Oui, vous avez le droit de m'enterrer vivant, de me faire cuir à le broche ou tout autres choses de ce genre. Je suis vraiment désolé, je vous avez promis cette suite y a deux jours. Roh je suis vraiment nul !
EvL490 a écrit:
A ton avis, Tonio... ?
Mais la question est.... Comment ce sont-ils rencontrés ?
Ahahahaha vous le saurai peut être ou peut être pas !
l-etwale-l a écrit:
Lorsqu'il ne sera plus là ?? ô_O What ???
Bah faut bien un peu de chamboulement non ?
amethyst a écrit:
hhahah on découvre un salieri capable d'affection (dans le sens où il n'est pas aussi froid)..avec son ami là..qui est bien sympa.
Oh mais Salieri cache bien son jeu.
talabarderez a écrit:
J'aime je crois que j'aime beaucoup Louis.
Ah il vous plait hein ?
Bon, franchement ne vous attendez pas à un phénomène pour cette suite...
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POV : Omniscient
- Que voulez-vous Mozart ? Lança Rosenberg
- Vous présenter mon prochain opéra comme me l'a demandé l'Empereur. Répondit calmement le jeune prodige.
- Oui j'en ai entendu parlé...un Enlèvement au Sérail n'est ce pas ?
- Oui c'est exact monsieur Rosenberg.
- Êtes-vous tombé sur la tête Mozart ? C'est une infamie que de traiter d'un tel sujet !
- Mais cela pourrait être très intéressant je vous jure ! Ce sera très léger !
- Justement ! S'écria Rosenberg.
- Mais ....
- Rosenberg ! S'exclama Salieri qui venaît d'entrer dans la pièce.
- Oui maestro Salieri ? Demanda Rosenberg sur un ton plus hypocrite que jamais.
- Taisez vous.
- Mais...
- J'ai dit taisez vous !
- ...
- Bien. Mozart, je parle au nom de l'Empereur, du conte Rosenberg et de moi même. Nous acceptons votre idée. Pourvu que vous ne preniez aucun retard.
- Ne vous faîtes aucun souci Salieri.
- Par ailleurs, monsieur Rosenberg et moi même viendrons lorsque bon nous semble vérifier l'avancée de votre travail est ce bien clair ?
- Oui monsieur.
- Bien. Rosenberg ce n'est pas la peine de protester, et Mozart suivez moi.
Salieri sortit prestement son manteau noir volant derrière lui et avec un Mozart sur les talons. Rosenberg fini par refermer la bouche lorsque la porte se referma et commença à rouspeter tout seul dans son bureau.
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POV : Mozart
De quoi Salieri voulait-il m'entretenir ? Je n'avais pas encore fait trop de vagues dans la cour non ? Il ne peut pas marcher moins vite, je suis obliger de courir derrière lui, il n'y a pas le feu au lac...
Tiens où va-t-on ? Ce n'est pas le chemin pour se rendre à son bureau...je me sentis soudainement violemment plaqué contre le mur. J'étouffa un cri de douleur et ouvrit les yeux pour voir mon agresseur. Ce n'était autre que Salieri. Ses pupilles noisettes vrillaient de colère, s'il avait voulu m'assassiner avec ses yeux, il ne m'aurait pas regardé autrement. Qu'avais-je donc fait ?
- .S..Salieri que vous arrive-t-il ?
Ses mains raffermirent leur prise sur le col de mon manteau. Il ferma les yeux cinq secondes. J'avoue que j'aurais préférer qu'il ne les rouvre jamais, j'eu l'impression de vivre mes dernières secondes lorsqu'il les rouvrit.
- En quel honneur m'avez-vous suivit hier après notre entrevue ?
- J...Je . Bégayais-je.
- Ne me mentez pas Mozart.
- Et bien, j..j'étais curieux de savoir ce qui vous pressez autant pour désobéir à un ordre de l'Empereur.
- Je n'y ai pas désobéi, je l'ai juste ajourné. C'est tout. Et donc qu'est ce que cette petite escapade vous à t'elle apporté ?
- Et bien à vrai dire rien, je vous ai perdu sur le marché...
Etait-ce moi où avais-je bien vu une lueur de soulagement dans les pupilles de Salieri ?
- En fait si j'ai découvert que vous étiez totalement fou de sortir aussi peu couvert en plein hiver. Plaisantais-je.
Salieri ne releva pas, il me lâcha et partit sans un mot de plus. Je devrais retenir la leçon mais je suis têtu comme une mule. Je le suivis donc encore une fois, plus discrètement cette fois-ci. Il sortit du palais par une porte que je ne connaissais pas, mais s'arrêta soudainement.
- Que fais-tu là ?
- Moi ? Je suis venu rendre visite à un ami pourquoi ? Répndit un homme que je ne pouvais voir.
- Le seul ami que tu ai ici c'est moi .
- Et bien figure toi qu'il n'y a pas que toi dans ma vie mon cher. Maintenant si tu pouvais me laisser passer...Merci.
Un jeune homme d'environ 25 ans entra, j'étais panté bêtement en plein milieu du couloir, très discret en effet. Il avait des cheveux courts, châtains clairs et des yeux verts fonçés d'une profondeur à en couper le souffle. Une légère barbe ornait sa machoîre fine. D'après ses vêtements, il ne devait pas faire parti de la bourgeoisie, mais plutôt de la classe moyenne du peuple viennois...et encore.
- Ah ! Wolfgang que cela me fait plaisir de te voir !
Et c'est ainsi que je me fis enlacer virilement par un inconnu, et que je vis pour la première le compositeur officiel de la cour me lancer un regard empli de jalousie et d'incompréhension. Avais-je bien vu ? De la jalousie ?
- Tu le connais ? Questionna Salieri ?
- Oui c'est un ami d'enfance. Sur ce Tonio, à plus tard !
Et cet inconnu m'entraîna avec lui. Je ne comprenais plus rien.
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POV : Louis
J'avais prié de tout mon coeur pour ne pas croiser Antonio, mais évidemment j'ai du le croiser. Merci Seigneur. Il ne fallait pas que je traîne avec lui même si j'en mourrai d'envie, mais j'avais d'autres chats à fouetter, enfin un autre chat à fouetter. Par chance, à peine avais-je mis un pied dans le palais que ce chat se trouvait là, planté comme un idiot en plein milieu de couloir. Je le reconnu immédiatement. Tonio avait mit temps de coeur à me le décrire hier midi. Jouant la carte de l'ami d'enfance et priant pour qu'il soit un peu naïf sur les bords. Heureusement pour moi il l'était. J'étais vraiment chanceux aujourd'hui. Je l'entraîna de force avec moi, laissant un Salieri ,que je soupçonnait être totalement décontenancé, derrière moi. Je le bloqua un peu plus loin au détour d'un couloir et le pris entre quatres yeux.
- Où peut-on discuter vous et moi tranquillement sans être dérangé ?
- Euh...J..Je ne sais pas. Qui êtes vous ?
- Je vous expliquerai. Vous n'avez pas un bureau ici ?
- Euh..si
- Et bien voilà ! Où est-il ?
- Suivez moi.
Le pauvre il semblait totalement perdu. Peu importe. Il nous emmena à son bureau et l'ouvrit. Je referma la porte et le pria de s'asseoir. Je nous servit à tous deux un verre d'eau et m'asseya dans le fauteuil en face du sien. Je l'observa quelques minutes. Antonio n'avait pas tort, ce jeune prodige était vraiment très charmant.
- Je m'appelle Louis, et je suis l'ami le plus proche d'Antonio.
- Oh...d'accord.
- Bien, je connais donc très bien votre confrère. Hier lui et moi avons eu une petite conversation, et vous êtes la première personne le faire sortir de ses gonds aussi rapidement. C'est pourquoi je suis ici.
- Je ne comprends pas.
- Il faut que vous l'aidiez.
- Je ne comprends toujours pas.
- Ce n'est pas compliqué, s'il vous dévoile involontairement des émotions, vous avez une chance de pouvoir rentrer dans son jardin secret, là où se terrent ses sentiments. Et ainsi vous pourrez l'aider à vaincre ses propres tourments qui l'obsèdent depuis des années !
- Je comprends encore moins...
- Mozart vous le faîtes exprès ou quoi ? Buvez un peu, voilà. Bref, commençons par le début. Quelles émotions vous à t-il ...euh...adressé jusqu'à aujourd'hui ?
- Haine. me lança-t-il mécaniquement.
- Oh...d'accord. C'est mal parti...soupirais-je
Je pris une longue inspiration et bu une gorgée d'eau. La journée allait être longue...très longue.
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Et voilà. Donc ce chapitre servait juste à introduire la rencontre entre Wolfy et Louis. Et j'avais pas vraiment d'idées donc j'ai pondu cette bouse d'éléphant.
Bref. Pour me faire pardonner de mon énoooooorme retard, je vous poste la suite d'ici la fin du week end. Et je vous promet que la suite va être BEAUCOUP plus intéressante
Merci de votre lecture !