bon voilà comme j'avais promis a certaine une fic et ben la voilà, surtout ne crier pas lorsque vous verrez le couple, je ne suis pas devenu folle ( enfin si mais vous me comprenez ), je c que g la réputation d'une adepte du
mais g changé un peu et g casé orly ac johnny deep, j'éspère que ça vous plaira
Il était là, assit dans l’avion qui l’emmenait aux Caraïbes. Il repensait au jour où il l’avait rencontré, lorsqu’il l’avait vu devant lui, avec ce sourire charmeur, celui qui faisait craquer tant de jeunes filles, qui l’avait fait craqué lui aussi.
Comme toujours, lorsqu’il appréhendait quelque chose, il manipulait sa médaille, puis il s’arrêta et la regarda rêveusement, elle lui rappelait tant de souvenirs. Il se souvenait du jour où il la lui avait donnée comme si c’était hier.
****flash-back****
Orlando était assit sur le sable, il regardait la mer tristement. Il faisait nuit aux Caraïbes et pourtant comme toutes les nuits là bas, il faisait assez chaud, il était plongé dans ses pensées et n’entendit pas, l’autre acteur qui approchait silencieusement ne voulant pas troubler le jeune homme, mais ce dernier fini par l’entendre.
-Bonsoir !! Lança joyeusement le plus âgé.
-B’soir
-Ouh la ! Toi ça va pas, allez, dis à ton copain Johnny ce qui tourne pas rond.
Orlando esquissa un sourire. Johnny Deep, car c’était lui, avait toujours la faculté de lui remonter le moral, que ce soit par des paroles ou par des gestes. Orlando s’était beaucoup attaché à lui, oubliant son statut de ‘‘star’’, ils étaient devenus amis et complices.
-Dans une semaine, tout est fini.
-Comment ça, tout est fini ? ... Orly mais ... mais je croyais que tu m’aimais.
-Arrête de faire l’imbécile, je suis sérieux et je parlais du tournage, ces lieux vont me manquer et toi aussi.
-Mon pauvre vieux, v’la que tu deviens sentimentaliste.
-Je ne te reverrai sans doute jamais, tu vas finir par m’oublier et te dire que je n’ai été qu’un partenaire.
Johnny reprit son sérieux, et planta ses yeux dans ceux d’Orlando, qui pu y lire de la sincérité.
-Orlando, une personne comme toi ne s’oublie pas. Dans ce métier, tu es l’un des rares mecs qui soit réellement gentil, sincère et en qui on peut avoir confiance, je ne t’oublierai pas ... J’ai quelque chose pour toi, histoire que toi non plus tu ne m’oublies pas.
Il sortit de sa poche une sorte de petit galet, qui pendait au bout d’une chaîne argentée. Il la tendit à Orlando, qui la regarda de plus près et qui pu y lire « Love from Capt Jack».
****fin du flash-back****
Il n’avait jamais su ce que cela signifiait exactement pour Johnny, et pourquoi il la lui avait donnée. Pour qu’il se souvienne de lui ? Comment l’oublier ... Pour lui faire passer un message ? Orlando n’y croyait pas trop, après tout qui était-il face à Johnny Deep, l’acteur le plus en vogue, le plus sollicité, le plus beau, le plus honnête et qui pourtant se foutait de sa popularité, du moins, c’était ce que Orlando croyait jusqu’ici.
L’avion atterrit, en sortant de l’appareil, Orlando reconnu Keira, qui lui faisait de grands gestes. Il lui sourit, tout en cherchant des yeux une autre personne. Mais il n’était pas là. Il s’avança vers la jeune femme qui lui sauta au cou, puis desserra son étreinte, laissant un Orlando tout pantois.
-Hey, on dirait que je t’ai manqué !
-Je suis contente de te voir, mais c’est surtout parce que Johnny ne cessait de me demander quand tu arrivais, et cela depuis deux jours.
-Il a fait ça ? Et pourquoi n’est-il pas venu avec toi alors ?
-Bonne question... Oh il m’a dit qu’il fallait que tu le rejoignes sur votre plage, il a dit que tu comprendrais.
-Oui, j’ai compris, on y va ?
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Johnny était assit sur la plage, les genoux repliés contre son torse, les entourant de ses bras. Il n’avait pas voulu aller chercher Orlando, ne sachant pas comment réagir face à lui. Ils ne s’étaient pas vus ni parlé depuis un an. Il était pourtant sûr qu’il tenait à lui, mais le jeune homme ne l’avait jamais contacté.
Il fut interrompu dans ses pensées, lorsqu’il entendit une voix derrière lui :
-Salut Johnny.
-Bonsoir.
Orlando vint s’asseoir à côté du ’’pirate’’ et se mit dans la même position.
-Ces lieux n’ont pas changés, dit Orlando
-C’est vrai, ils restent simples et pourtant ils sont magnifiques... C’est pas comme certain.
-Tu veux dire quoi, par là ?
Johnny tourna la tête pour vers Orlando et soupira.
-J’ai l’impression de ne plus être assez ... ‘ hollywoodien’ pour toi, j’ai jamais voulu me croire supérieur à toi simplement parce que j’étais plus célèbre. La seule fois où je t’ai donné un conseil, c’était pour te dire de ne jamais te croire supérieur aux autres, et de ne jamais te laisser marcher sur les pieds. Apparemment tu n’as pas dû entendre la première partie de ce conseil.
-Oh là, calme toi, pourquoi tu dis ça.
-Depuis un an, un an ! Tu ne m’as pas écris, ni téléphoné, en clair tu n’en avais rien à foutre de moi... Ce n’était pas toi qui avais peur que je t’oublie ?
-Je te signale que toi non plus t’as pas cherché à me revoir.
-Ecoute Orlando, moi j’ai une femme et deux enfants, moi j’ai bien plus de responsabilités que toi et je travaille tout le temps, tandis que toi ...
-Oui je sais, TOI t’as une femme, TOI t’as des enfants, TOI t’as des responsabilités et du travail, tandis que moi, je n’ai qu’un travail ...
-Et une fiancée ...
-Premièrement Johnny, je n’ai plus de fiancée, et deuxièmement ... ton collier là, tu peux te le garder !
Orlando ôta la chaîne que lui avait offert l’acteur et la lui lança. Il se retourna en murmurant « Et parfois est-ce que tu penses un peu à moi ? »
Puis il partit, les larmes aux yeux et la rage au ventre.
A suivre ...