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| Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ? |
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Inscription: 26 Mar 2010 21:19
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Voici un petit OS conconcté rien que pour avec mes petites mimines  Edit de Polymnia: ne pas oublier le rating dans le sujet SVP ! (ici c'est G) Résumé : Danny et Don viennent de se disputer violemment au CSI . La situation finit par se désamorcer entre deux stations de métro ...D'un air dépité et malheureux , Danny Messer monte dans le New York City Subway , afin de rentrer chez lui . A cette heure aussi avancée de la nuit , plus personne n'ère dans le métro , ce qui n'est pas plus mal . Une fois le train en marche , le bel italien s'adosse contre la porte en retirant ses lunettes . Ensuite , il passe une main sur ses cheveux , se blâmant de jurons . Comment a-t'il pu être aussi idiot ? Faire autant de mal à Don Flack , son meilleur ami , qui est également la seule personne a qui il tient réellement ... Il a osé lui dire qu'il n'avait pas sa place avec eux dans les labos , qu'il était incompétant ...Son impulsivité légendaire lui a encore joué des tours mais cette fois-ci c'est différent : il a vraiment l'impression qu'une partie de son coeur s'est brisée , fendue sous la mine épleurée du policier , qui ne comprenait pas toute cette haine à son égard . La vérité , c'est que Danny est trop attaché à Don , bien plus qu'il le voudrait . Le laborantin finit par abaisser la tête , en fermant les yeux . Pour la première fois aujourd'hui , il accepte de voir la réalité telle quelle est : il est tombé éperdumment amoureux de son meilleur ami et au lieu de lui avouer ses sentiments comme une personne censée , quitte a se prendre un râteau , il utilise le seul moyen de communication qu'il connaisse : l'agressivité . Une chose est sûre : ce n'est pas demain la veille qu'il formera un couple avec Don . Trop absorbé par ce qui s'est passé , Messer ne s'aperçoit pas que la rame s'est arrêtée . Ne s'attendant à voir personne y monter , son coeur rate un bond quand son regard croise celui de ... Don Flack Junior . Trop gêné pour le regarder dans les yeux , le scientifique se contente de petites oeillades discrètes , alors que ce dernier l'ignore totalement ... jusqu'au moment où il se rend compte qu'ils ne sont que tous les deux ... Idéal pour vider son sac . Le jeune homme se met à faire les cents pas devant Danny , qui le fixe d'un oeil perplexe . Accompagnés par les à-coups du sous-terrain , Don prend la parole d'un ton ironique , méprisant :
-Tu sais Danny , grâce à toi j'ai vraiment compris que je m'étais planté en beauté ... Je n'aurais jamais dû accepter de collaborer avec la police scientifique ... Je ne suis pas assez INTELLIGENT pour vous suivre ... Je ne suis que l'idiot de flic qui sert à préparer le terrain avant votre arrivée et vos outils high-tech ... Dans tous les cas , je te remercie beaucoup Danny car grâce à toi , j'ai pris une décision radicale ...
Ce dernier le scrute d'un oeil effrayé , ne sachant à quoi s'attendre de la part de son ami :
-Un ami de mon père m'a téléphoné ... Il part à la retraite dans quelques temps et me propose de reprendre son poste à Dublin ... et j'ai accepté ...
C'est sur cette annonce fracassante que le dialogue est définitivement clos . Le silence est seulement interrompu par le bruit des frottements métalliques causés par les rails et le métro . Danny regarde Don une nouvelle fois . Non , il ne peut pas le laisser repartir en Irlande , il ne s'en remettra pas . Il est grand temps que le CSI réagisse .
-Don ... Je ne veux pas que tu partes ...
Le flic émet un rire perfide . Ce genre de rire qui vous glace le sang en une fraction de seconde . Malgré tout , Danny ne se décourage pas .
-Ah oui ?! Donne-moi une bonne raison de rester .
Une minute suffit pour que le détective se retrouve plaqué contre les portes . Il peut sentir à travers son visage le souffle de Danny , qui s'approche dangereusement pour lui chuchoter ces quelques mots :
-Je t'aime .
Sans hésiter , le scientifique s'empare de la bouche de son ami devenu amant , en l'étreignant par la taille . Le grand brun ne tarde pas à répondre au baiser fougueux et violent de son ami . Cette nuit-là , dans les chemins de fers New Yorkais , deux hommes s'appliquent à faire vaciller leurs corps au même rythme que les vibrations incessantes du métro qui s'engage dans les tunnels .
FIN
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Parce que je le vaux bien . By Cissy
Dernière édition par cissy le 24 Oct 2010 23:32, édité 2 fois.
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