Forum - Le Monde du Slash

Drabbles ou One shot sur la relation entre Tony et Jethro, avec un mot parfois un épisode en fil conducteur...
Bonne lecture.

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Dimanche matin : 9h

Gibbs ponçait son bateau quand on frappa à la porte. Ne voulant pas être dérangé, il ne monta pas ouvrir.

- Il ne doit pas être là.
- Ou à la cave en train de s’occuper de son bateau, lui répondit Abby.
- Qu’est ce que tu veux faire ? Entrer et voir s’il est là ? interrogea Kate
- Pourquoi pas, de toute façon il laisse toujours sa porte ouverte.
- D’accord, mais s’il nous met à la porte c’est de ta faute.
- Trouillarde ! répliqua la scientifique.
- Facile à dire pour toi, tu ne te fais jamais engueuler !

Elles finirent tout de même par entrer, et se dirigèrent vers la cave, descendirent les marches qui les menaient à Gibbs.

- Un problème ?
- En faites ont auraient voulu te parler.

Gibbs ne dit rien, mais Abby remarque qu’il aurait préféré être seul. Il commença à remonter suivi de Abby, quand Kate la rappela doucement.

- Quoi ?
- Regarde.

Elles échangèrent un regard, perplexe pour Kate, amusé pour la jeune gothique.

Effectivement le regard de Kate s’était posé sur une photo accrochée au mur de la cave. Celle-ci représentait Gibbs et Tony, ce dernier dans les bras de son supérieur, l’embrassait tendrement.

Fin.

Ca à l'air sympa, mais tu aurais dû en mettre un peu plus. On ne sait ni ce que les filles viennent faire un dimanche chez Gibbs, ni ce qu'elles ressentent vraiment en voyant la photo.

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J'aime beaucoup les drabbles. Droit au but. On peut meubler les blancs à notre goût.

J'espère que tu en feras d'autres. Tu viens d'ouvrir une porte et comme celle de Gibbs, elle n'est pas près de se refermer...

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Le but du drabble était plus de voir comment deux des agents de l'équipe, en l'occurrence Kate et Abby, apprenaient la relation qu'il y a entre Jethro et Tony.



Bien sur j'en ferai d'autres... Oh! non elle est pas prête de se refermer... d'ailleurs voici le deuxième (plutôt un OS cette fois)

Merci à toutes les deux pour vos reviews!!


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Kate arriva devant chez Gibbs, une faible lumière provenait de la fenêtre du salon. Elle frappa à la porte, mais elle n’obtient aucune réponse, pensant que son patron serait à la cave en train de travailler sur son bateau, elle entra dans la maison et se dirigea vers la cave : personne. Elle aperçu une chemise sur la rambarde de l’escalier, et préféra appelé du rez-de-chaussée, si son patron était là-haut.

« Gibbs !? »

Dans la chambre :

« Et merde, on ne peut même pas être tranquille chez soi ! » pesta Gibbs.

« Si tu fermé la porte à clé, il n’y aurais pas de problème… attends, Jethro, tu devrais t’habiller un minimum. »

Il enfila rapidement un caleçon et une chemise et sorti de la chambre :

« Non, évite ma… » trop tard il était déjà sorti.

***

« Kate, qu’est ce que tu veux ? »

Elle resta plantée quelques instants devant la tenu de son patron.

« Kate ? »

« Euh… oui, c’est Abby qui voulait te voir, mais impossible de te joindre… » dit Kate en essayant de se reprendre.

« Alors tu es venu et… » s’impatienta Gibbs.

« Ca peut peut être attendre demain. »

Sur ce, elle fila de la maison de son patron.
Gibbs n’essaya pas de comprendre, il avait mieux à faire pour le moment…

Le lendemain labo d’ Abby :

« J’aurais jamais du aller chez Gibbs hier ! » s’exclama Kate.

« Pourquoi ? » l’interrogea Abby.

« Je dirais qu’il devait être… occupé. »

« Raconte ! »

« Abby ! »

« Aller… » supplia la jeune gothique.

« J’ai rien vu, ok, je suis restée en bas, mais quand il est descendu, il portait seulement un caleçon et… » commença Kate.

« Et… ? tu t‘arrête au meilleur moment ! »

« … la chemise de Tony. »

« Quoi ? »

« Je te jure, je l’aurais reconnu entre mille » assura la jeune femme.

« Tu fais attention aux chemises que porte Tony, toi maintenant ? » demanda Abby.

« Me dis pas que celle qu’il avait hier ne ta pas marquée ? »

« Non ! cette chemise là ! »

« Oui… ! »

« Au mon dieu, ça voudrais dire que… Tony et Gibbs… »

Gibbs arriva à ce moment entendant la dernière phrase de la gothique, qui s’arrêta net en le voyant.

« Qu’est ce qu’il y a entre Tony et moi ? » questionna Gibbs.

« Rien, rien » affirma Abby.

« Abbs, tu veux être privée de ta boisson préférée toute une semaine ? »

« Tu n’oserais pas » défia t-elle.

« Tu crois ? »

« Bon d’accord » s’inclina la gothique.

« Abby, non ! » s’exclama Kate.

« C’est que… enfin quand Kate est passée chez toi hier… »

« Abbs. »

« Oui, elle a vu que tu portais la chemise de Tony, alors que tu sortais de ta chambre, et donc…enfin… Tony et toi, vous… »

En écoutant l’explication de la jeune scientifique, Gibbs sourit.

« Oui, Abbs, Tony et moi, tu m’étonnes de ne pas avoir découvert plus tôt, alors que Ducky le savait déjà. »

« Quoi !? Ducky le savait et moi tu ne m’as rien dit ! » s’exclama Abby, mais Tony et toi… C’est génial ! J’suis vraiment heureuse pour vous deux ! » dit elle en prenant Gibbs dans ses bras.

Fin.

Bon, le drabble ça me laisse toujours un peu sur ma faim. Mais c'est bien écrit et très agréable à lire.
Continue et j'espère te lire dans des épisodes plus longs.

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by Christie
L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-même de ce qu'on a fait de nous (JP Sartre)
Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles (O. Wilde)
Un artiste n'est jamais morbide. L'artiste peut tout exprimer (O. Wilde)

Bravo encore une superbe aventure. C'est drôle de voir les réactions des autres. Abby de son côté est égal à elle-même. Bravo!

À bientôt, j'espère...

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Merci beaucoup pour les reviews!!


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A partir d’un épisode cette fois-ci - Épisode 20 – Saison 1 – Bienvenue en enfer.
Bonne lecture.

Irremplaçable.

Tony était assis par terre derrière son bureau tous ses collègues étaient partis, et ces mots résonnaient dans sa tête « Tu es irremplaçable », Gibbs les lui avait dit, il y a deux heures, mais Tony avait eu mal lorsqu’il avait vu que McGee était à SON bureau.

Il ose me dire que je suis irremplaçable, alors qu’il m’a déjà remplacé…

A ce moment alors qu’il croyait tout le monde parti, Gibbs entra dans l’open-space, mais le jeune homme ne lui prêta aucune attention et enfoui sa tête entre ses genoux, l’ancien marine récupéra quelque chose et commença à repartir, mais il s’arrêta net quand il vit Tony par terre dans cette position, il s’approcha de son agent doucement pour ne pas lui faire peur et posa une main sur l’épaule.

« Tony ? »

Il releva la tête pour croiser le regard bleu acier de son patron.

« Qu’est-ce qui se passe ? » demanda Gibbs.
« Rien, c’est bon, ça va. »
« Tony ! me prends pas pour un idiot, tu as les larmes aux yeux ! »
« Je… non laisse tomber c’est ridicule. »
« Qu’est ce qui est ridicule ?
J’ai tout mon temps, je ne partirais pas, et toi non plus, tant que tu ne m’aura pas expliquer ce qui te mets dans cet état. » déclara Gibbs.

Tony reprit la position qu’il avait lorsque Gibbs l’avais trouvé 5minutes plus tôt, et l’ancien marine s’assit prêt de lui. Il remarqua que Tony tremblait et passa son bras autour de ses épaules, et obligea son subordonné à poser sa tête sur son épaule.
Doucement Tony se calma.

« Si je te dis maintenant ce que j’ai, après cette scène tu vas me trouver plus que ridicule.» annonça le jeune agent, malgré tout il se lança, il connaissait suffisamment Gibbs pour savoir qu’il ne laisserai pas partir. « C’est quand on est rentré tout à l’heure, tu m’as dit que j’étais irremplaçable, alors que McGee avait déjà pris ma place, ça te parais sûrement débile, mais ça m’a blessé. »

« Je suis désolé Tony, je ne pensais pas que ça te toucherais autant, mais je pensais réellement ce que j’ai dit, tu es irremplaçable, depuis ton arrivé ici, il y a quelque chose qui fait que j’ai l’impression que tout est plus facile et moins pénible, par ta continuelle bonne humeur et aussi par les bêtises que tu peux sortir même si ça se fini toujours par une claque derrière la tête, et surtout parce que tu es un agent formidable et loyal. »

« Vraiment ? » demanda Tony qui n’était pas totalement convaincu par le monologue de son supérieur.

« Vraiment ! »

« Après tout ça c’est certainement une erreur, et tu ne voudras plus de moi, mais j’ai besoin de te le dire : Je t’aime Gibbs. Et pas comme on aime un ami, un père, mais comme on aime la personne avec qui on veut finir sa vie. »

L’ex-marine s’attendait à tout sauf à une déclaration d’amour de la part de son agent, il eut du mal à tout comprendre, c’était tellement inespéré.
Voyant la réaction, ou plutôt la non-réaction de son patron Tony se leva.

« Je savais que j’aurais rien du te dire, enfin, maintenant c’est fait alors soit tu vis avec et on fait comme si rien ne s’était passé, soit tu me vire. »

Gibbs ne répondait toujours pas, il n’arrivait pas à se persuader que Tony lui avait réellement dit qu’il l’aimait, lui…

« Bien comme tu voudras si c’est plus simple pour toi, tu auras ma lettre de démission sur ton bureau demain. » dit Tony avant de se diriger vers l’ascenseur.

Contrairement à la déclaration de Tony, cette dernière phrase fit un électrochoc à l’ancien marine, il se précipita vers l’ascenseur avant que les portes ne se referment sur son agent. A peine l’ascenseur partit qu’il l’arrêta, et mis une claque derrière la tête de Tony.

« Tu comprend le sens d’irremplaçable ? » demanda Gibbs.
« Oui, mais… »
« Il n’y a pas de mais. J’ai juste du mal à réaliser ce que tu m’as dit. Depuis quand ?»
« Depuis quand quoi ? » demanda le plus jeune.
« Tu…tu m’aimes ? » interrogea fébrilement l’ex-marine.
« Baltimore. J’ai été impressionné par tes méthodes mais je suis surtout tombé sous ton charme. »

Gibbs se rapprocha de son agent, et lui caressa la joue, avant d’oser aller plus loin et de frôler les lèvres de son subordonné avec les siennes. Alors que le cœur et la respiration de Tony s’accélérer

« Moi aussi. » annonça Gibbs.
« Quoi toi aussi ? »
« Moi aussi tu m’as impressionné à Baltimore, ta détermination, et cette façon de me tenir tête, et d’arriver à soutenir mon regard, tu étais l’une des premières personnes à y parvenir. Et moi aussi… Je t’aime Anthony. » Jethro scella cette déclaration par un tendre premier baiser.


Fin.

Trop choupi! J'aime beaucoup, même si j'ai un peu de la peine à imaginer Jet' dire si facilement qu'il aime Tony. M'enfin, c'est tout mignon quand même

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j'ai attendu de lire les trois avant de poster mon petit commentaire et je dois dire que j'aime beaucoup. Je suis la serie depuis peu et à chaque fois que je les vois je les imagine au lit et à force de lire des fics ici je deviens toute après devant les séries TV

La tête de mes parents quand je pousse des soupirs je vous dis pas

Au plaisir de te lire à nouveau

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Les doutes de Tony! Je ne me lasse jamais de lire sur ce sujet. Bravo pour cette première fois, ce premier échange de baisers. Attention! Ta lecture va devenir irremplaçable!

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Nouvelle petite fic...

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Depuis que Tony faisait parti de sa vie privée, il n’arrivait plus à se passer de son amant, et pendant ces deux jours, où l’enquête leurs avaient pris tout leur temps, ils n’avaient pas pu se voir hors du bureau, et ça lui manquait terriblement. Gibbs rentra chez lui, il était déjà 22h, mais malgré tout il prit une douche, s’habilla, et reparti. 20 minutes plus tard, il était devant l’immeuble de son subordonné, il entra et monta les escaliers rapidement avant d’ouvrir la porte de l’appartement de Tony sans faire de bruit, il entra et se dirigea vers la chambre du jeune homme, qui était allongé sur son lit.

POV Tony :

*Hum… je sens comme une douce caresse dans le dos, qui monte le long de ma colonne, et qui s’attarde dans mon cou, je me retourne pour être maintenant allongé sur le dos et toujours cette douce caresse, sur mon ventre cette fois, puis sur mon visage, sur mes paupières encore fermées, puis un baiser sur chacune, avant de retrouver toujours la même caresse sur mes lèvres et de sentir ses lèvres contre les miennes.*

Fin POV.

Il ouvrit les yeux et les plongea dans ceux de Jethro, qui tenait toujours dans sa main la plume qui avait servi pour réveiller Tony.

- Bonsoir chéri.
- Comment tu vas ? demanda Jethro.
- Maintenant que je suis avec toi très bien, lui répondit Tony.
- Tu m’as manqué, pendant ces deux jours, dit Jethro avant d’embrasser son amant.

Alors qu’ils s’embrassaient, Tony entraîna Jethro dans le lit…

Fin.

c'est mignon tout plein

tu en refais quand tu veux

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Bravo, c'est un joli moment. Merci de nous le faire partager.

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c'est trop mignon
j'en redemande

j'ai tes OS à la suite et je les trouve super. j'ai hate d'en lire un nouveau.



Sam Sidney

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Sam Sidney