Forum - Le Monde du Slash

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 Sujet du message: [Finie] The very, very cheap show! D/B . PG13
MessagePosté: 20 Mar 2007 22:50 
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Le slash, kesako ?
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Localisation: je tiens compagnie aux beaux pompiers de la caserne d'à côté (comment ça dans mes rêves)
Alors voilà, encouragée par KatSou, je vous poste ma première fic (terminée en tout cas! :roll: ). Et pour vous faire plaisir j'ai choisit une Dom/Billy. Pour le rating je suis pas sûre du tout, j'y connais rien donc si vous pensez qu'il faut changer, ben ... dites le! :wink:
C'est une song fic sur une chanson d'Anais: hum!... :oops: "B-B baise moi" :oops:

Disclaimer: ben rien n'est à moi. Ni Dom et Billy (malheureusement). D'ailleurs je précise que je ne connais absolument pas leur vie et que tout ceci n'est donc que le fruit pervers de mon imagination...
Ni la chanson... je ne suis pas assez douée pour écrire un truc pareil, elle est à Anais (The cheap show)
Pff, de toutes façons personne ne lit jamais ca...
C'est pas faux...

Bon trêve de bavardage, je vous laisse lire si ca vous intéresse



POV Billy

Pour la énième fois de ce début de soirée, je regarde l’horloge suspendue au milieu du hall de l’aéroport. Les aiguilles semblent me narguer à bouger si lentement. J’ai tellement hâte que tu arrives que c’en est douloureux. C’est physiquement que l’attente est la plus insupportable. Chaque cellule de mon misérable corps te réclame à chaque minute qui passe. Et déjà 10 minutes que ton avion aurait dû atterrir. Oh je sais, dix ridicules minutes et déjà je suis comme un chien fou qui n’en peut plus d’attendre son maître. Comme celui qu’on a abandonné pendant la journée, je pourrais me jeter sur toi pour lécher enfin chaque parcelle de peau que tu daignerais m’offrir : une main, une joue, un coin de lèvre… Et ce serait l’extase.

Oh mon dieu ! Imagine à quel stade de dépendance j’en suis arrivé pour me comparer à un vulgaire canidé !
Et pourtant mon cerveau repart dans de folles élucubrations. Comme toujours je m’emballe et me fais des films dignes d’Hollywood. Tu ne le sais pas mais je tuerais père et mère pour réaliser ne serais-ce qu’un dixième de ces rêves éveillés. Comme celui où tu vivrais à mes côtés. Nous nous retrouverions, dans notre bonbonnière, complices, chaque soir que dieu fait, et la première chose que nous nous dirions serait

Salut mon bébé, mon bébé d'amour
T'as passé une belle journée



En tout cas ce brave toutou a au moins un avantage sur moi : celui de voir son maître tous les jours. Misère ! Cela pourrait être comique si ce n’était pas aussi réaliste. Moi cela fait déjà trois mois que je ne t’ai vu, et depuis je me sens comme déraciné. Oh je me doute bien que pour toi cela n’a pas été un supplice comme pour moi.
A la fin du tournage, je t’ai vu t’envoler pour ta Perfide Albion, et que pouvais-je bien te dire ? Tu vas me manquer ? Ca je l’ai fait. Mais comment cette phrase si simple et impersonnelle aurait-elle pu te faire comprendre que ce manque allait être aussi grand pour moi ? Je ne t’ai jamais dit à quel point tu comptais. Je ne te l’ai même jamais montré.

Et pourtant le fait est que je suis comme un camé en manque de sa dose quotidienne. Le fait de devoir t’attendre alors que je sais ton arrivée imminente me met dans un état de nervosité impossible à décrire. Je tremble comme un fumeur en période de sevrage. Mais aucune drogue ne m’apporterait autant de plaisir et de sérénité que ta simple présence.
Simplement toi, ton corps que j’imagine si chaud, si exquis… Te sentir à mes côtés et savoir qu’il me suffit de détourner la tête pour croiser ton regard.

J'adore te voir, juste te voir et je savoure
Comme t'es beau, comme t'es bien fait


Et maintenant j’attends tout simplement que tu arrives enfin. Mes ongles ne sont plus qu’un simple souvenir et je réprime un sursaut de douleur quand je sens le sang couler dans ma bouche. Les minuscules parcelles de peau que j’arrache minutieusement depuis maintenant près d’une demi-heure ont laissé la place à la chair rougie et sanguinolente. J’avais pourtant cessé de me ronger les ongles depuis bien longtemps mais il faut croire que tu as le don d’exacerber mes pires dépendances, et cela même lorsque tu es absent. Très fort, tu es vraiment très fort.

Et peu à peu l’angoisse monte, une boule se forme dans ma gorge. Quelle sera ta réaction à ma vue ? Pour moi c’est clair : je calquerai mes gestes sur les tiens. Je ne veux pas t’effrayer et te faire fuir, alors que je te retrouve enfin !

Après tout pour toi, nous ne sommes qu’amis. De très bons amis certes, très proches. Mais de simples amis. Tu n’as absolument aucune idée des tentations perverses qui traversent mon petit cerveau quand tu entres dans mon champ de vision. Et je reste persuadé que tu fuirais le plus loin possible si jamais je m’avisais de t’en faire part.

C’est généralement quand tu es face à moi, en train de parler de ta dernière conquête, alors que tes yeux brillent de lubricité à l’évocation de vos folies nocturnes, que ma raison se fait la malle et laisse le champ libre à mon imagination. Ton petit sourire coquin fait discrètement se hausser le bord de tes lèvres à l’évocation de vos ébats, et je comprends que me raconter tout cela te fait en quelque sorte revivre le plaisir que tu as connu.

Oui souris moi, j'adore quand tu souris
Oh oui parle moi, j'écoute, je suis toute ouïe.


Alors je t’écoute, mais dans mon esprit je suis à la place de cette fille. Ce que tu lui as fait c’est moi qui le vis. Le plaisir qu’elle a pris je le ressens dans toute ma chair. Tous mes sens sont en éveil et pourtant je ne dois rien laisser paraître. Tu me regarderais différemment si tu savais où vagabondent mes pensées, et je ne suis pas prêt à ça. Je peux déjà m’estimer heureux que tu ne te sois jamais demandé pourquoi en retour j’avais si peu à raconter… Comme si je pouvais t’avouer les fantasmes de mes nuits alors que tu en es généralement l’unique objet !

Et le son de ta voix entre dans ma poitrine
C'est si bon quand je bois tes paroles
J'hallucine


Je dois être fou pour me faire du mal ainsi. Parce que bien sûr je ne serai jamais à la place de toutes ces filles. Parce que bien sûr je ne sentirai jamais tes fines lèvres venir titiller les miennes. Parce que je ne sentirai jamais ton souffle chaud sur la peau de mon cou. Parce que je n’entendrai jamais ta voix susurrer des mots d’amour à mon oreille.

Et pourtant je continue à rechercher ta présence comme un mort de soif perdu dans le désert, et je ne sais me rassasier de ce que tu me donnes. Un salut amical, une claque sur l’épaule et je tremble comme une feuille perdue sur son arbre. Il te suffit de m’effleurer pour que mes sens s’allument comme un brasier incandescent, et alors plus rien ne m’importe. Je vis, suspendu à tes gestes, attendant que tu me frôles à nouveau, complètement déconnecté de la vie réelle.

Comme tu me fais de l'effet
Et tes doigts de fée
Lorsqu'ils passent sur mon cou
Je frissonne de partout


Et tant pis si c’est involontaire. Et tant pis si pendant que je me fais des films, tu as déjà porté ton regard sur une conquête potentielle. Et tant pis si je ne suis pas pour toi ce que tu es pour moi. Je saurai vivre mon amour silencieusement, me contentant des petites marques d’affection que tu consentiras à m’accorder au nom de notre amitié, même si tu ne te doutes pas de ce qu’elles représentent pour moi. Et je ne te demanderai rien d’autre. Enfin j’espère…



Mais enfin j’entends que ton avion arrive. Et bientôt tu es là, face à moi, ta valise à la main. Tu es encore plus beau que dans mes souvenirs, tu es carrément majestueux. Tu t’avances et j’ai l’impression que je vis au ralenti et qu’il te faudra des heures pour arriver jusqu’à moi. Pas après pas, mes repères s’évanouissent un à un. J’ai la sensation que tous mes neurones sont en train de se déconnecter à cause de la chaleur qui envahit mon corps. T’avoir en face de moi… alors même que je suis encore perdu dans mes pensées… qui ne sont, avouons-le, que pures folies…est tellement…rahh !
Apparemment ce doit être trop difficile à gérer pour ma conscience parce qu’elle vient visiblement de passer le relais à quelqu’un qui n’est pas moi.

Je suis tout simplement incapable de penser logiquement à ce que je dois faire… d’ailleurs je crois que je suis incapable de penser tout court. Les connections là-haut ne se font plus et je me dis que j’aurai de la chance si je ne suis pas réellement en train de baver devant l’exquise vision que tu m’offres en toute innocence.

Je me gifle mentalement pour essayer de me reprendre avant que tu ne comprennes ce que signifie ce regard fixe et torve que j’avais quelques secondes auparavant. Allez, reprends-toi mon vieux ! Je me force à sourire en pensant que j’ai vraiment dû avoir l’air d’un débile, bouche grande ouverte et rouge carmin. Pour la discrétion vous êtes prié de repasser mister Boyd… J’ai la désagréable impression que tu as pu lire en moi comme dans un livre ouvert. Allez, sourire et faire comme si de rien n’était. Tu n’as rien vu, j’en suis sûr… D’ailleurs comment pourrais-tu imaginer ça…

Tu es enfin devant moi, tu lâches ta valise et te penches vers moi, bras ouverts. Vas-tu me serrer dans tes bras ? Oh si seulement c’était possible ! Je t’ai peut-être manqué un peu finalement.
Tu me serres contre toi en gardant le silence, et je ne sais pas quoi dire.

Si j'étais une chatte, je ronronnerai

Comment réagirait un simple ami qui ne verrait rien de louche dans ce geste spontané ? Pour ma part je n’en sais rien parce que mon cerveau fait des cabrioles plus extravagantes les unes que les autres pour me prouver que j’ai peut-être une chance. Parfois je me dis que je ne suis pas du tout réaliste…

Mais tout de même, tu dois trouver que ce moment de tendresse a assez duré, et que le prolonger davantage ne serait pas raisonnable, parce que tu commences à t’écarter de moi. J’ai à peine le temps d’apercevoir cette petite lueur dans tes yeux ; de défi ou de lucidité, je ne saurais dire. Toujours est-il qu’avant d’avoir pu esquisser le moindre geste, je me retrouve avec tes deux lèvres plaquées sur les miennes.

Si j'étais une natte, je me déferai

C’est un rêve. Non ? Je me suis si souvent fait des films que je n’arrive plus à savoir si je suis dans le monde réel. Je devrais me pincer pour voir si je me réveille, mais en même temps, même si ce n’est qu’un rêve, il est tellement plus beau que la réalité que ça ne doit pas être trop grave de le prolonger un peu…

Si j'étais une latte, je craquerai


Quoiqu’il en soit j’en ai momentanément oublié comment respirer, et me sentant proche de l’apoplexie, je dois finalement ouvrir les lèvres pour aspirer goulûment une gorgée d’air salvatrice.

Si j'étais une blatte (euh non...c'est dégueulasse)


Ta langue taquine mes lèvres avec une sensibilité que je ne t’aurais jamais imaginé. Je suis tellement perdu qu’il ne me viendrait même pas à l’esprit de répondre à ton baiser.

Alors tu t’écartes à nouveau, un petit air d’incompréhension sur le visage. Forcément, il était si simple de me percer à jour ces dernières minutes, que même le moins perspicace des machos aurait compris ce qui se passait dans ma petite tête. Soit dit en passant, penses bien que si j’avais pu imaginer, ne serais-ce qu’une minute, que ta réaction serait à la hauteur de ce que je viens de vivre, je n’aurais pas autant tergiversé!
Mais trêve de bavardages. Tu es toujours face à moi, un peu perdu il faut bien l’avouer, et à vrai dire on le serait à moins car mon absence de réaction est digne de celle d’une huître avariée.

Mais les rouages de mon cerveau se remettent soudainement en marche. Peu importe ce qui t’a pris, peu importe le pourquoi du comment, et peu importe ce qui se passera après mais je ne vais pas te laisser t’arrêter là. S’il y a ne serait-ce qu’une chance que tu ne penses pas encore avoir commis une erreur, crois bien que je vais la saisir !

Mes lèvres rattrapent les tiennes au vol, avec beaucoup moins de douceur que toi je le reconnais, et je te montre à quel point tu m’as réellement manqué. Mes baisers ne sont ni délicats ni retenus, et je laisse exploser ma frustration de t’avoir si souvent vu en embrasser d’autres. Par ce baiser je veux rattraper tous ceux que je n’ai pas eus.

Oh bébé baise moi
Oh bébé baise moi
Oh bébé baise moi
Oh bébé baise moi


Je te laisse enfin reprendre ta respiration et le rouge me monte aux joues en pensant à ce que je viens de faire. Et si tu ne m’avais embrassé que dans un accès de délire, pour plaisanter ? Tu es tellement taquin que tu en serais bien capable ! Mes pensées redeviennent beaucoup plus sombres et je n’ose plus te regarder en face, trouvant soudainement un intérêt insoupçonné au sol de l’aéroport que j’arpente depuis pourtant près d’une heure. Toute ma hardiesse et mon enthousiasme se sont envolés et j’attends ta réaction, ta fuite probable. Tu ne bouges pas, les pieds rivés au sol et je me dis qu’en plus de tout je t’ai sûrement choqué. Et maintenant je te dégoûte. Je prends ma respiration pour m’excuser quand ta voix résonne à mes oreilles.


Salut mon tout beau, mon bel adonis
T'as passé une belle soirée


Le choc doit se refléter sur mon visage parce que ça te fait sourire, mon beau Dom ! Tu te penches finalement pour m’enlever de la bouche cet air stupide et niais par un nouveau baiser.

Tes Baisers chauds ont d'un goût d'anis
Légèrement alcoolisé



Mes pieds auparavant rivés au sol me semblent à présent flotter à dix mètres au dessus du niveau de la mer, et si l’on venait m’annoncer que de petites ailes ont soudainement jailli quelque part au niveau de mes omoplates, ça ne m’étonnerait pas outre mesure.
Je me demande brièvement si tu es dans le même état de félicité absolue que moi, mais j’avoue que j’ai tellement rêvé ce moment que la plupart de mes pensées sont purement égoïstes. Je suis heureux. Il ne faudrait rien de moins qu’une attaque nucléaire pour me détacher de toi. Et encore. Seulement le temps de se mettre à l’abri.


J’ignore comment nous sommes arrivés jusque chez moi mais le fait est que nous sommes à présent dans le salon, et que jamais le sofa ne m’avais paru si accueillant que lorsque nous nous y sommes finalement échoués. Entre deux baisers l’un de nous a dû demander un taxi mais j’ignore lequel et comment il a procédé. Tout ce que je sais c’est que mes lèvres n’ont pas quittés les tiennes depuis tellement longtemps que j’ai l’impression de ne plus être de ce monde. Je suis comme anesthésié, suspendu à ta bouche si suave, réclamant toujours plus que ce que tu me donnes enfin comme un affamé.

Oh j'adore quand tu me donnes ta langue

Mes mains ont depuis longtemps déjà trouvé le chemin de ton corps et les deux pèlerines se promènent en toute innocence sur la peau fine de ton torse à présent dénudé, tandis que ma bouche ne rêve que de les rejoindre. La tienne se fraye un chemin jusqu’à mon cou et ces nouveaux baisers m’électrisent comme du 2000 volts.

Anise moi le corps ou mange moi comme une mangue
Il fait 50 degrés au moins sous ma chemise
Je frémis, je pétille comme un gin-fizz


Tes mains sont passées sur mes hanches lorsque tu t’es penché vers moi, et les deux coquines entreprennent à présent de soulever ma chemise. Quand elle passe par-dessus ma tête, tu prends un malin plaisir à me décoiffer au passage et à jouer avec mes mèches, laissant finalement tes paumes s’égarer sur ma nuque, puis revenir se saisir de mes joues pour capturer mes lèvres avec les tiennes, m’attirant si c’est possible un peu plus près de toi encore.

C'est fou comme tu me fais de l'effet
Et tes doigts de fée
Lorsqu'ils passent sur mon cou
Je frissonne de partout


Nos langues se mêlent dans un ballet sensuel et mon cœur manque un battement lorsque tu repars explorer mon corps. Tes cheveux caressent mes joues alors que ta bouche se balade sur la peau nouvellement découverte. Fermant les yeux pour mieux profiter de toutes ces sensations si nouvelles et pourtant si attendues, j’exhale un gémissement lorsque tu laisses ta langue frôler l’un de mes tétons.

Si j'étais une clope, tu m'allumerais
Si j'étais une clope, j' coûterai trop cher


Mon souffle se fait court et, au comble de l’impatience, je me laisse glisser sur le tapis, autorisant mes mains à descendre à leur tour de plus en plus bas sur ton corps, à passer sur ton torse glabre, à jouer maladroitement avec les boutons de ton jean.

Si j'étais une clope, t'essayerai d'arrêter
Pas cool


Tu saisis mes poignets pour m’arrêter et je relève la tête pour te regarder.
La bouche entre ouverte, une légère rougeur sur les joues et le souffle court, je vois passer dans tes yeux un soupçon d’inquiétude.
Avec autant de douceur que j’en suis encore capable étant donné mon degré d’excitation, prenant appui sur tes genoux pour me redresser, je t’embrasse sans laisser tes yeux quitter les miens. Je veux que tu y lises tout l’amour que je te porte, tout ce que tu représentes pour moi. Je ne veux pas t’effrayer en allant trop vite, c’est juste que j’attends ce moment depuis si longtemps sans y croire que je n’ai pas encore réalisé ce qui se passait.

Mais il faut rester ce que je suis
Hein bébé, hein bébé


Finalement rassuré, tu te laisses glisser près de moi, appréciant à ton tour la douceur moelleuse du tapis. Tu guides toi-même mes mains vers ton bas ventre, où tu les relâches finalement pour les laisser se perdre plus loin que ce que la morale cautionne. Tes bras s’enroulent autour de mon cou, tes jambes les imitant plus près de mes reins, et je te sens, tremblant, te blottir contre moi. Je ne veux plus jamais être privé de ce contact, et me serre contre toi comme un mourrant se rattachant à son dernier souffle de vie.

Oh bébé baise moi
Oh bébé baise moi
Oh bébé baise moi
Oh bébé baise moi


Bébé,
Bébé.



++++++++++++++++++


Bon ben voilà! :oops: :oops:
Alors avant tout : si vous êtes arrivés jusque là, c'est que normalement vous avez tout lu, alors: merci!!!!! :D et désolée pour le baratin qui suit, je ne savais pas où le mettre ! lol

Donc merci Katsou pour le temps que tu as passé sur cette fic pour me permettre de l’améliorer un peu.
Sans tes conseils et tes encouragements je ne pense pas que je l’aurais publiée car j’en étais vraiment trop insatisfaite. Et même si je ne l’adore pas maintenant elle correspond (bizarrement) un peu plus à ce que j’avais en tête quand j’ai commencé à l’écrire !

Oh, et je voulais juste m’excuser auprès du piti frodon… j’espère qu’il n’a pas trop souffert à cause de moi… :wink:


Dernière édition par draymione21 le 25 Mar 2007 22:10, édité 1 fois.

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MessagePosté: 20 Mar 2007 23:07 
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Pas encore atteint(e)... mais presque
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Messages: 2004
Localisation: Sous ma couette
:dombilly: :dombilly: :dombilly:

Hé, je suis contente de voir que tu t'es décidée à écrire une fic sur ces deux-là! ^^ Et en plus, tu choisis une chanson d'Anaïs, je sens que ça va le faire.

En revanche, je suis trop hs pour lire la fic ce soir... Trop de boulot, tue la motivation pour lire même une fic dombillienne, c'est pour te dire mon niveau de fatigue... (rien que pour écrire ces qqs phrases, j'ai du retapé des mots à cause des fautes! -_-")

Je la lirai plus calmement demain (j'espère!). Je te remercie déjà!

Poutoux.
Gred

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Membre de la Confrérie des Chieuses.


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MessagePosté: 25 Mar 2007 20:41 
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Slash ou non, telle est la question...
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Inscription: 21 Juin 2005 01:23
Messages: 589
Ah! Tu l'as postée finalement, cette petite ficlette! :)
C'est bien miss, je t'encourage à continuer!

:dombilly:

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My fluffy Hobbits :
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MessagePosté: 27 Mar 2007 09:33 
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Slash ou non, telle est la question...
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Inscription: 09 Fév 2006 15:01
Messages: 687
Localisation: Paris
Oooh... :D :D
Allez, un petit mot d'encouragement! :dombilly: ^^
En revanche, comme gredoune, je n'ai pas le courage de lire ta fic dans l'immédiat... -_-'
Néanmoins, merci de t'être finalement lancée! ^^

_________________
"Cumberbatch- it sounds like a fart in a bath, doesn't it? What a fluffy old name. I can never say it on a Monday morning. When I became an actor, Mum wasn't keen on me keeping it."
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MessagePosté: 27 Mar 2007 11:24 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 11 Jan 2007 09:45
Messages: 82
Localisation: je tiens compagnie aux beaux pompiers de la caserne d'à côté (comment ça dans mes rêves)
:D :D
ben c'est moi qui vous remercie toutes les trois... parce que si vous m'aviez pas encouragé :roll: ben je pense pas que j'aurais essayé de poster une de mes fics. Bon maintenant je sais que c'est pas parfait, mais je suis très égoïste et j'aime écrire alors le reste... 8)
Allez merci :wink: bizz


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 Sujet du message: Re: The very, very cheap show! D/B . PG13
MessagePosté: 29 Mar 2011 18:28 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 28 Mar 2011 01:09
Messages: 32
Localisation: La Colonie d'la Nouvelle France.
Rawr. Ça date, mais ça a toujours bon goût une petite dose de Dom/Billy... C'est un réel délice, ça c'est certain. Et chaque fois que je vois un petit amoureux fou se retrouver avec l'objet de ses désirs qui lui offre exactement ce qu'il quémande depuis une éternité, j'me dis qu'il a trop de chance.

Et Dom et Billy quoi... En tout cas, c'est excellent ! Et j'le trouve plutôt sage pour un PG13. J'en ai vu des plus eum... Explicites que ça, même en PG-13. Celui là limite j'le trouve assez G. De toute façon moi c'que j'en dis... J'connais pas les classements plus que ça et paraît que mon jugement est complètement nul... J'ai quand même posté des dessins "wrong" sur un forum où y avait des gamins en me disant qu'avec c'qui a partout sur le net, ça pourrait pas les choquer... Oh well ! *Arrête de raconter sa vie *

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