Oui, oui, ok, j'écoute les Pussycat Dolls et alors ? J'suis un peu bi sur les bords quand je veux, alors Nicole...
herm bref... comment ça je digresse ?
Quelques avertissements d'usage : présence de fluffy et zestes de relation hétéro... si ça vous dégoûte, passez votre chemin !
Pairings : Radek/Teyla, Rodney/John (attention, rareté !!!), Ronon/Carson
Rating : PG
NdA : On suppose bien sûr que ces trois scènes ne sont pas contemporaines, ça se passe à des moments différents.
Et qui que vous soyez, si vous aussi vous avez des migraines, tout mon soutien et ma sympathie.
C'était une douleur sourde et violente dans ses tempes, une douleur lancinante, comme une sirène d'alarme qui résonnait dans tout son crâne. Comme si un vortex s'ouvrait au dessus de ses deux oreilles, l'empêchant de voir, de penser, d'entendre et de réfléchir. Le simple fait le plus naturel d'ouvrir les yeux était une torture. Radek avala rapidement le médicament amer qui seul savait le soigner et se dirigea vers ses quartiers, aveuglé par les néons blafards du couloir déjà trop lumineux pour lui. Il avait mal, dans toute la tête, et était si fatigué qu'il n'espérait plus rien que le sommeil. En passant devant les appartements de Teyla pourtant, il ralentit, puis s'arrêta devant sa porte sans savoir pourquoi. Il n'était même pas sûr qu'elle soit là. Dès qu'il eut signalé sa présence, la console brilla, d'un faible éclat encore trop dur pour lui et la belle Athosienne apparut derrière la porte.
-Radek ? murmura-t'elle d'un ton inquiet. Que se passe-t'il ?
Le scientifique ôta ses lunettes et se frotta les yeux en gémissant tandis que Teyla l'attirait doucement à l'intérieur.
-Mais qu'est-ce que je peux faire, Rodney ?
-RIEN !!!
-Mais...
Rodney savait qu'une fois la crise passée il regretterait amèrement d'avoir été si dur avec son petit ami mais la douleur était tout simplement insupportable ! Surtout pour son cerveau si précieux et délicat. Ca le rendait fou. Il ne pouvait pas s'en empêcher.
-Carson t'a donné ce qu'il fallait ? reprit John d'une voix douce en tentant une nouvelle fois d'approcher le Canadien qui tournait dans la chambre comme un lion en cage.
-Oui, évidemment !
-Alors ça va bientôt passer non ? Calme-toi...
-Bien sûr que non ! Qu'est-ce que tu crois ? répliqua Rodney en levant les bras au ciel comme pour le prendre à témoin de la bêtise de celui qui ne méritait pas son titre de lieutenant-colonel. Ca ne passe pas aussi vite ! Et ces fichus points blancs, j'aurais dû m'en douter ! J'en ai pour des heures ! Des heures de perdues !
John s'approcha de son amant au bord de l'hystérie, et le gifla juste assez fort pour que Rodney sente quelque chose contre sa joue, la douleur promettant d'être de toutes façons largement amplifiée par la situation actuelle. Puis il le serra contre son torse, très tendrement.
Carson entra dans les quartiers de Ronon, un peu inquiet malgré ses promesse de ne pas s'effrayer d'un rien, car le Runner ne répondait plus aux mots tendres sur sa radio depuis près d'une demi-heure. Ce n'était sûrement rien, mais vu que le médecin passait justement dans cette zone d'Atlantis, faisant un détour tout à fait prévu dans sa trajectoire... il entendit un bruit familier s'élever de la salle d'eau, un bruit de régurgitation. Cette fois, il en était sûr ! Il entra dans la petite pièce close et alluma la lumière juste à temps pour voir Ronon, penché sur le lavabo, en train de se rincer la bouche à grande eau. Le Satédien cracha au fond de la vasque blanche et gronda :
-... lumière !
Il avait les yeux rouges, brillants, les sourcils froncés dans une expression douloureuse. Comme un fauve blessé, il semblait prêt à tuer toute personne qui le contrarierait. Carson ne put s'empêcher de demander en repoussant l'interrupteur, bien qu'il eut une petite idée sur la crainte de la lumière et les nausées :
-Quels sont les symptômes ?
-C'est ma tête, gémit Ronon, ma tête...
Il avait posé ses mains sur son crâne et haletait bruyamment.
-Ce n'est rien,
mo ruin*, je reviens, attends-moi, j'ai toujours ce qu'il faut contre les migraines...
-Tu m'avais dit de... de passer si jamais, j'avais encore...
-Encore une migraine ? Oui bien sûr, viens... viens te reposer...
Radek se laissa guider par les mains délicates sur ses poignets. Atlantis se mit à tourner plus vite lorsqu'elle le fit s'allonger sur l'épaisse couverture mais derrière ses paupières closes la lumière s'était faite plus tamisée, il devinait la chaleur rassurante des bougies, l'odeur suave et pas trop entêtante des fragrances qu'elle faisait brûler en permanence. Elle souffla :
-J'éteins ce bâtonnet d'encens, endors-toi, je suis là.
Dans cette position, Radek n'aurait pu faire autrement. Il ferma les yeux et tenta de se calmer, de détendre ses muscles et penser au sommeil, tout en confiance. Dans cette chambre il était en sécurité. Il sentit à peine le léger poids à la tête du lit puis deux doigts vinrent masser lentement ses tempes, juste à l'endroit où la douleur semblait naître. Il inspira profondément. Comment Teyla faisait pour trouver à chaque fois le point qui l'apaisait, c'était encore un mystère, mais ses mains étaient la plus douce des compagnies qu'il aurait pu espérer dans ces moments-là. L'Athosienne posa ses lunettes sur la petite table de chevet et continua son massage, en prenant bien garde à ce que sa respiration soit calquée sur celle de Radek, afin qu'il n'entende aucun bruit extérieur qui puisse le perturber.
John garda Rodney tout contre lui, au plus proche, jusqu'à ce qu'enfin son ainé se décide à répondre à son étreinte. Il l'embrassa sur le front et murmura :
-Je ne sais pas ce que ça fait, amour, je n'ai pas de migraines, tu le sais... mais si je peux faire quoi que ce soit pour toi, dis-le...
-John...
-Explique-moi. Je ferai tout ce que tu veux.
Rodney releva les yeux sur son boyfriend désespéré qui ne pouvait que le dévisager sans saisir, de ses grands yeux de chien battu. Il ressemblait à un enfant qui ne comprend pas. Rodney soupira et le repoussa doucement. Il s'assit sur le lit. Son regard triste l'avait un peu calmé. Bien sûr, John ne pouvait pas savoir qu'il n'y avait rien à faire, ce n'était pas une raison pour s'en prendre à lui. Il se prit la tête entre les mains et ordonna :
-Laisse-moi, s'il te plaît... c'est la meilleure chose à faire.
-Je...
-J'ai besoin d'être seul, John. Rien d'autre. De silence.
-D'accord...
-Et promets-moi, reprit Rodney en faisant glisser ses mains sur sa nuque douloureuse, de ne pas entrer dans la chambre avant deux bonnes heures, voire deux heures et demie...
-A condition que tu me promettes de vraiment te reposer, répliqua Sheppard en passant une main sous sa nuque pour l'allonger sans heurts.
-Ok.
John l'embrassa doucement sur les lèvres.
-Dors bien... ça va aller... si tu as besoin de moi, n'hésite pas.
Rodney essaya de trouver le pouvoir de sombrer, au moins dans son sommeil il oubliait la douleur le temps qu'elle passe. Derrière ses paupières fermées il voyait toujours le regard clair de John qui le ferait se sentir coupable plus tard, le regard qui l'avait rendu amoureux. Il ne supportait pas John, il ne pouvait pas vivre avec lui, ils étaient trop différents... mais il ne pouvait pas vivre sans lui, c'était clair maintenant.
Ronon s'était presque endormi lorsque Carson entra de nouveau dans la chambre, un verre à la main. Le Runner se demanda s'il devait le tuer avant ou après avoir pris le médicament, mais un baiser sur la joue l'attendrit un peu. Il avala le liquide amer cul-sec et laissa rouler le verre au sol en se rallongeant.
-Je vais rester avec toi, déclara le docteur avec un accent plus qu'exagéré par l'inquiétude.
-Non, merci...
-Si, on ne sait jamais.
-Tu as d'autres patients à surveiller.
-Tu ne veux pas venir à l'infirmerie alors ?
-C'est le pire endroit pour se reposer ! Il y a toujours de la lumière et du bruit...
-Mais...
-Carson ! Ca fait mal !
-D'accord, d'accord, abdiqua l'Ecossais en se dirigeant vers la porte de sortie, rajustant son stéthoscope.
Arrivé à mi-chemin, il se retourna et, oubliant ses devoirs de médecin, vint déposer sur son front, ses joues, ses lèvres, tout son visage une multitude de petits baisers. Ronon embrassa l'intérieur de sa paume avant de se laisser aller.
Il était encore fatigué, il ne savait pas où il se trouvait mais il n'avait plus mal à la tête. L'oreiller épousait les contours de sa nuque, la chaleur, l'atmosphère lui donnaient envie d'ouvrir les yeux. Non, il n'avait plus mal, c'était sûr. Une vague de soulagement l'envahit, comme à chaque fois. Il avait beau savoir que d'une façon ou d'une autre ça finirait par passer, être libéré de la douleur était toujours un plaisir. Son amie était allongée contre lui, lovée contre son épaule comme la jeune fille fragile qu'elle n'était pas. Elle finissait toujours par se blottir contre lui lorsqu'il dormait dans sa chambre, les jours de migraine. Ce n'était qu'une amie, une très bonne amie pour lui. Bien sûr, ils étaient tout deux très différents, et Teyla avait le courage d'une guerrière, ce que Radek ne possèderait jamais, mais elle lui répétait souvent qu'il était très courageux à sa façon, et qu'ils avaient l'un comme l'autre sauvé tant de vies. Il laissa ses doigts se perdre dans les cheveux soyeux. Prenant son courage à deux mains il fit l'effort d'ouvrir ses paupières. L'éclairage des bougies était parfait pour se remettre sur pied, pas trop violent. Il voulut lever son bras pour voir sa montre mais l'Athosienne était couchée dessus. Et Radek dut se rendre à l'évidence en se relevant un peu pour se dégager... Teyla était entièrement nue. Des pieds à la tête elle ne portait rien, ni vêtement, ni bracelet, ni pendentif. Radek recula un peu, stupéfait. Etait-il bien sûr d'être éveillé ? Son mouvement brusque tira la jeune femme du sommeil, et elle demanda avant toute chose en lui effleurant la joue :
-Comment va ta tête ?
-Oh bien, bien... bien, très bien ! Mais... mais pourquoi es-tu...
Le grand sourire charmeur indiqua à Radek que ce n'était pas un malentendu. Elle remonta sa jambe sur la cuisse du scientifique qui apprécia à sa juste valeur l'épaisseur de son propre pantalon beige, mais la lumière chaude se reflétant sur les fesses bombées, les doigts fins sur sa joue risquaient de venir à bout de sa discrétion. Il balbutia :
-Qu'est-ce que...
-Je ne sais pas ce que sur Terre cela signifie, sourit-elle en posant un doigt sur sa bouche, quand une femme se déshabille contre vous...
Radek recula un peu et remit ses lunettes sur son nez, paniqué. Son coeur battait la chamade. Il ressemblait à une petite souris effarouchée.
-... mais chez nous, continua Teyla les joues rosies, c'est la coutume pour dévoiler ses sentiments à l'être aimé.
-Je... je...
-Dis-moi si tu préfères que nous restions amis.
Elle entremêla les doigts de leurs mains en douceur.
-Non, non, ça me va... enfin... sur Terre on... va plus lentement, en général...
Ils se regardèrent en silence un instant.
-D'abord, je pourrais t'inviter à dîner ? osa Radek sans savoir comment. Un repas tchèque ?
-Avec plaisir.
Et elle vint l'embrasser sur la joue, d'une façon qui appellait les fantasmes, comme pour sceller le début de cette plus-qu'amitié. Radek remonta ses mains sur les épaules rondes et se laissa câliner. Comme ses yeux se perdaient sur les jambes cuivrées à croquer, bien malgré lui, il se dit qu'il devrait vraiment demander à Caldwell de ramener du pain d'épices de son prochain voyage sur Terre.
John s'approcha de la porte et lui ordonna mentalement, au nom des Anciens, de s'ouvrir avec le moins de bruit possible. La chambre était encore sombre mais sur le lit Rodney s'était assis. L'ainé papillonna des cils et se frotta les yeux. John ne savait pas si la zone avait été sécurisée ou s'il allait très vite recevoir une invitation à aller se faire cuire un oeuf alors il avança prudemment, attendri par l'adorable vision de son nounours, jambes croisées, le t-shirt tombant sur le haut de ses cuisses charnues.
-Ca va ? osa-t'il après quelques longs instants d'hésitation.
Il avait bien attendu le temps réglementaire et, pour se faire pardonner, n'était pas revenu sans un petit plateau-repas composé des friandises préférées de McKay. Rodney releva la tête, sourit et tendit les bras vers lui en ouvrant et fermant ses mains pour l'encourager à venir. La douleur était passée, mais la fatigue embrumait encore ses esprits. Il lui faudrait un peu de temps pour s'en remettre. Son sourire épuisé s'élargit lorsqu'il réalisa ce que contenait le plateau. Le militaire s'agenouilla sur le matelas. Il voulut tenter d'envoyer sa main en avant, caresser sa joue.
-Je...
-John, le coupa Rodney en passant ses bras autour de son cou. Je t'aime.
Et il l'embrassa en espérant au fond de lui que ça suffirait à le faire pardonner. John se sentit fondre. Il se blottit contre son cou. Il avait beau s'être entiché du plus casse-pieds des nouveaux habitants d'Atlantis, il ne savait pas résister à ses câlins. Il cala ses mains sur les hanches potelées, frotta son nez contre le lobe de son oreille.
-Comment tu te sens ?
-Fatigué... mais je n'ai plus mal. J'ai la tête dans du coton.
-Ca va aller ?
-Oui. Je crois que je vais être obligé de me reposer. Qu'est-ce que je ferais sans toi ?
-Et moi donc ! sourit John en s'enfouissant un peu plus dans son cou. Je suppose que tu vas attendre un peu avant de toucher au plateau ?
Rodney eut un léger rire suffisant. Il repoussa son John et prit une barre chocolatée.
-Pas question, répliqua-t'il en l'ouvrant, j'ai besoin de forces !
Et il mordit dedans à pleines dents avec ce petit sourire satisfait auquel John ne pouvait résister. Le militaire se mit à rire. Il préférait voir son Rodney dans cet état ! En plus, avec un peu de chance, il aurait droit à une nuit de câlins sans grognements ni mauvaise humeur.
-Merci, souffla Rodney en l'embrassant de ses lèvres délicieusement chocolatées.
Lorsque Ronon s'éveilla, il situa au reflet de la lune contre le mur qu'il était environ minuit. Il avait dormi plus de quatre heures. C'était trop. Alors qu'il dormait encore, son cerveau avait compris qu'il n'était pas seul dans la chambre, à la respiration tranquille qui s'élevait à côté de lui. Le Runner se leva, sans égards pour sa tête qui ne l'avait que trop ennuyé, et s'étira, puis il jeta un coup d'oeil à son ami. Il soupira. Le médecin, une fois de plus, s'était endormi à même la couverture, sans se déshabiller ni même ôter sa blouse et ses affaires de travail. Carson était un dormeur, et il fallait bien avouer que ça ne déplaisait pas à Ronon. Ce dernier s'empara de la radio de son amant et sortit dans le couloir pour pouvoir parler.
-Infirmerie ? Ici Ronon Dex.
-Ronon, répondit un interne, que voulez-vous ?
-Savoir à quelle heure le docteur Beckett a quitté son poste ce soir.
-C'est intéressant que vous me posiez cette question car on ne l'a pas vu depuis vingt heures mais avec le retour de l'équipe du Major Lorne en mauvais état, nous n'avons pas eu le temps de nous inquiéter...
-Il est dans mes quartiers, précisa le Satédien car personne n'ignorait sa relation avec Carson, et personne n'aurait osé la remettre en question. Je viens de le trouver endormi, il est très fatigué. Merci.
Et il coupa court à la conversation avant de rentrer dans sa chambre. Comment Carson faisait pour s'endormir aussi vite, dans n'importe quel lieu, peu importait le bruit et la lumière, avait toujours été un mystère pour Ronon. Et ce sommeil si lourd, que rien ne pouvait briser ! Lentement, le guerrier s'agenouilla sur le lit pour s'occuper de son ami. Il lui ôta ses chaussures, puis ses chaussettes. Il savait qu'il pouvait y aller franchement, rien ne le réveillerait. Puis il s'attaqua à son pantalon, le plus facile. Parfois, en pleine nuit, lorsqu'il était d'humeur câline, Ronon pouvait laisser sa bouche prodiguer mille délices au docteur qui ne s'éveillait qu'au moment de l'orgasme dans un mélange de plaisir et de surprise tout à fait excitant. Le vêtement enlevé, il se demanda un court instant quoi faire du boxer bleu, puis il décida que la nature était bien faite et qu'il ne fallait surtout pas la contrarier : ces jolies fesses dodues dormiraient à l'air libre. Carson dormait toujours. Ronon ne put s'empêche de penser que s'il ne le protégeait pas lui-même, cet impossible terrien ne le ferait pas tout seul et serait mort vingt fois depuis leur rencontre. Il ouvrit sa blouse largement et souleva son t-shirt, il ne pouvait pas faire mieux sans vraiment risquer de le réveiller. Enfin, après s'être lui aussi dévêtu, il s'allongea à ses côtés, et se prépara à son petit plaisir préféré. Il adorait faire ça sans que Carson ne s'en rende compte. Il prit son stéthoscope délicatement et ajusta les écouteurs derrière ses oreilles, et non dedans comme le lui avait expliqué Melina dans le temps, car on ressentait mieux le pouls au niveau de la peau. Puis après avoir réchauffé le pavillon de métal pour ne pas que le froid le réveille, il le posa sur le torse du dormeur, juste sous le coeur. C'était une sensation magique. Ronon ferma les yeux. Le rythme était rapide, familier. Vivant. Il aurait pu s'endormir au son de cette berceuse. Les lèvres entrouvertes l'attiraient. Il les devinait toutes proches. Le souvenir de leur premier baiser. La timidité. Leurs bouches se rapprochant, les premiers contacts. Ronon qui lui avait demandé l'autorisation d'aller plus loin du bout de la langue. C'avait été son premier instant agréable sur Atlantis. Ronon déplaça un peu l'écouteur et se laissa porter par le rythme régulier. Les coups sourds dans sa tête du début de la soirée avaient été remplacés par les plus douces des pulsations. Il se replia en position foetale. Comme ça, il était bien.
~ Fin ~
*
mo ruin, mon amour en gaélique écossais !