bon voilà se fut long mais voilà la suite ! j'ai hésité a la poster elle me parait trop guimauve mais je ne suis pas arriver a faire autre chose ! aller s'avoir pourquoi !
pas de lemon ! MERCI A MA ONEECHAN QUI MA CORRIGER ! supi bissssous
disclamer : rien est a moi !
voilà bonne lecture !
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Clark sortit de la voiture et inspira :
« Euh… »
Ces parents s’arrêtèrent et le regardèrent :
« Oui mon chéri ? »
Martha souriait, mais son mari non :
« Je vais aller chez Lex ! »
Jonathan grimaça :
« On vient à peine d’arriver, et il faut que je te parle ! »
Clark soupira : son envie d’aller retrouver Lex lui tordait le ventre. Le souvenir de leur simple baiser lui brûlait les entrailles. Il voulait plus. Il n’était pas vraiment prêt mais il le voulait. Et la discussion qu’il devait avoir avec son meilleur ami devait avoir lieu le plus tôt possible. Il argumenta :
« Mais la cousine m’a demandé de lui remettre ce pli, et tous ses remerciements ! »
Son père lui attrapa le bras :
« Oui, mais avant nous allons discuter ! »
Le ton de son père était sans appel. Il entra alors dans la maison, déçu. Il se laissa tomber sur le canapé et soupira. Son père s’installa devant lui, en jetant un regard à sa femme qui s’installa sur l’accoudoir à ses cotés. Clark attendit : il avait l’impression que son procès allait commencer. Son père plongea son regard dans le sien, et demanda d’une voix sûre :
« Pourquoi Lex a offert son voyage de noces à notre cousine qu’il n’a jamais vue ? »
Clark ne savait pas vraiment quoi répondre, il ne pouvait pas vraiment dire que le mariage de la cousine leur avait permis à tous les deux d’échanger leur premier baiser.
Le jeune alien inspira :
« J’en sais rien, tu connais Lex, il fait parfois des choses... »
Devant le regard peu convaincu de son père, Clark s’arrêta :
« Très bien ! Je sais pourquoi il l’a fait, mais je n’ai pas envie d’en parler ! »
Le jeune fermier se leva pour fuir le regard de ses parents, mais Jonathan Kent ne l’entendait pas de cette oreille :
« Clark, j’ai l’impression que tu me caches quelque chose d’important ! »
Il soupira bruyamment :
« Mon fils, est-ce que tu as dit à Lex que tu ne viens pas d’ici ? »
Précipitamment, le jeune homme répondit :
« Non ! Il ne sait rien ! »
Martha serra le bras de son enfant pour le rassurer :
« Alors mon chéri, que nous caches-tu depuis que tu es revenu de chez Lex ? Tu es étrange. J’ai l’impression qu’il s’est passé quelque chose de grave ! Tu ne nous as pas adressé la parole de tout le voyage ! »
Clark se dégagea de l’étreinte de sa mère :
« Très bien ! Vous voulez savoir ? »
Il hochèrent tous les deux la tête très vite. Comme pour se débarrasser d’un grand poids, le jeune homme murmura :
« J’ai embrassé Lex ! »
Jonathan se leva brutalement, et explosa :
« Tu quoi ? »
« Je l’ai embrassé... »
Martha lui jeta un regard d’incompréhension :
« Pourquoi ? »
« Qu’est-ce qu’il t’a fait, Clark ? »
Le jeune alien fixa son père :
« Il ne m’a rien fait, j’avait envie de l’embrasser... »
Martha jeta un regard perdu à son mari, et dit :
« Très bien, je suppose que tu as ressenti quelque chose ? »
« Oui maman, j’ai aimé ça... »
« Clark ! »
La voix de Jonathan était outrée :
« Comment peux-tu... Enfin c’est un homme ! Il est plus âgé, et c’est un Luthor, et... »
« Je sais tout ça, papa ! »
« Je ne comprends pas ! Non je ne comprends pas, tu es... »
Le jeune alien observa son père un instant, la colère se lisait dans ses yeux :
« Très bien, je te laisse te calmer, je sors ! »
« Tu vas le rejoindre, non, hors de question ! »
Martha, sa main plaquéer sur sa bouche, semblait perdue. Clark soupira :
« Papa, tu ne pourras pas m’en empêcher ! Je reviendrai quand tu seras disposé à discuter ! »
Il utilisa sa super vitesse pour quitter la maison, et fut bien vite aux portes du manoir. Penché sur le billard, Lex releva la tête en souriant quand le jeune alien entra. Comme il vit la mine grave de son ami, le milliardaire s’approcha :
« Clark, qu’est-ce qui se passe ? »
Le jeune alien se força à sourire :
« Ça va, j’avais seulement hâte de te voir... »
« Dis-moi ce qui ne va pas. »
Clark se laissa tomber sur le canapé :
« J’ai eu une discutions houleuse avec mes parents ! »
« A quel sujet ? »
« Ils m’ont demandé ce qui se passait avec toi, et j’ai répondu ! »
Lex le regarda bizarrement :
« Quoi ! Que leur as-tu dit ? »
« Que je t’avais embrassé ! »
Le regard du jeune se fit perplexe :
« Pourquoi ? »
« Par ce qu’ils me l’ont demandé, et que je ne leur ai jamais vraiment rien caché... »
« Ah oui pardon, je suis encore étranger à cette notion de confiance totale... »
Clark se mit à rire. Son ami se laissa tomber sur le canapé à ses cotés, comme si ce geste avait toujours été naturel, le jeune alien se colla à lui et ferma les yeux, apaisé. Il sentit alors les lèvres brûlantes du milliardaire sur les siennes. Et il oublia tout...
Un feu immense se mit à couler dans ses veines, une explosion de sensations envahit son esprit en même temps. Et quand la langue charnue de son ami s’insinua dans sa bouche, il ne put s’empêcher de gémir. Sans qu’il s’en rende compte, ses mains se glissèrent sous la chemise de soie impeccablement repassée du propriétaire des lieux. Sa peau était brûlante et douce. Sous les caresses de l’alien, le vêtement se déboutonna et Clark put apercevoir les muscles saillants de son ami...
Il quitta les lèvres de Lex et, sans lui jeter aucun regard, il les déposa sur son torse imberbe, le faisant gémir.
Il ne put s’empêcher de goûter cette peau qui lui était offerte. Le gémissement que Lex avait poussé l’avait fait frémir, il voulait l’entendre de nouveau. Il titilla alors ses tétons durcis par le désir : il y passa d’abord la langue, puis les dents. Le milliardaire s’accrocha à son cou, et à son tour Clark gémit quand il l’embrassa juste en dessous de l’oreille.
Essoufflé, le fermier osa enfin regarder son ami dans les yeux : dans ses prunelles brûlait un feu gigantesque qui fit frémir le jeune homme. Sans un mot, ils s’embrassèrent de nouveau, et ce moment sembla durer des heures, c’était peut-être même le cas...
Quand ils se séparèrent ce ne fut que pour se sourire en haletant. La voix de Lex résonna, grave et pleine de désir dans la pièce si silencieuse :
« Reste ici cette nuit ! »
Clark ne fut pas étonné de cette proposition : il avait lui aussi tellement envie de rester près de Lex, de le voir, de sentir sa chaleur le réchauffer...
Pour toute réponse, le jeune homme se mit à sourire :
« Je prends ça pour un oui ! »
« C’est en un ! »
Le jeune alien se serra un peu plus contre son futur amant, et murmura :
« Je voudrais qu’on discute ! »
« De quoi ? »
« D’abord de nous ! »
Etonné, le milliardaire le fixa, attendant la suite :
« Je voudrais savoir où ça va nous mener ?... »
A part dans ta chambre. Il n’avait pas osé ajouter le reste de la phrase. Lex le fixa un moment dans les yeux :
« Je ne sais pas, Clark ! Tout ce que je sais, c’est que ça m’a pris d’un coup, comme ça ! J’ai eu envie de t’embrasser, de te toucher, d’être près de toi... »
Il ajouta dans un murmure :
« Tu as toujours été celui qui a le plus compté pour moi. »
Doucement, le jeune alien posa ses lèvres sur les siennes. Il n’y avait ni flamme ni désir dans cet effleurement, mais un amour infini :
« Je voudrais que tu répondes à une question, Lex. Aussi sincèrement que tu le pourras, je pense que notre avenir dépendra de ta réponse... »
« J’écoute ! »
Le jeune fermier inspira :
« Est-ce que tu pourrais tout me pardonner ? »
L’homme sembla réfléchir un moment, ne comprenant pas vraiment où voulait en venir son ami. Il répondit néanmoins sincèrement, comme il lui avait demandé :
« Je ne sais pas ! Je ne suis pas le genre à accorder mon pardon ! Mais avec toi c’est différent... »
Il fit une pause qui sembla durer des heures à Clark :
« Je pense que je ne pourrais jamais t’en vouloir, quoi que tu aies fait... Je tiens trop à toi pour ça ! »
Le jeune homme inspira, se demandant s’il pouvait croire cette déclaration, et puis il se lança, il ne voulait plus reculer :
« Je t’ai menti, Lex ! »
Celui-ci, sentant que le moment était important, referma sa chemise et se pencha légèrement vers son ami en demandant :
« Quand ? »
« Tout le temps ! Chaque fois que quelque chose de bizarre arrivait, chaque fois que tout s’arrangeait par miracle... »
« Je sais ! »
Clark sursauta violemment :
« Tu sais ? »
« Oui ! »
Le cœur de Clark se mit à battre à une vitesse folle, tant de questions se bousculaient qu’il ne pouvait même pas y trouver de réponse :
« Je sais que tu ne viens pas d’ici, Clark. »
Le monde s’effondra autour de lui. Comment son ami avait-il su ? Pourquoi ne lui en avait-il pas parlé avant ? Et surtout qu’en pensait-il ? Le jeune alien n’eut pas le temps de poser la question. Voyant à quel point il était pâle et troublé, le milliardaire ajouta :
« J’ai compris il n’y a pas longtemps, j’attendais que tu m’en parles, et tu l’as fait ! »
La voix cassée du jeune fermier n’était qu’un murmure :
« Tu m’en veux de n’avoir rien dit ? »
Lex ne répondit pas, il hocha à peine la tête :
« Tu m’en veux de ne pas avoir arrêté les enquêtes sur toi ? »
Clark fut surpris. Non, il n’y avait pas pensé, il ne pouvait plus lui en vouloir, plus maintenant...
Lex se mit à sourire légèrement :
« Et si on disait que tout ça n’a plus d’importance ? »
« C’est tout ce que je veux ! »
« C’est tout ? »
Le regard brûlant de désir de Lex ne laissait aucun doute sur les pensées qu’il venait d’avoir. Le jeune alien se mit à rire. Il était soudain empli d’une joie intense. Doucement, il s’approcha, et prit le milliardaire dans ses bras avec un sourire. Amusé, Lex le fit tomber avec lui sur le canapé.
Clark se lova alors contre lui...
C’est seulement quand il ouvrit les yeux, le lendemain, qu’il s’aperçut qu’il s’était endormit dans les bras de son ami. Il en profita pour l’observer d’abord, puis presque malgré lui sa main parcourut le visage impassible de son presque amant. Il ne put s’empêcher de frissonner à cette idée...
Il fit descendre peu à peu sa main sur le torse de Lex. Sa chemise était toujours entrouverte. Alors qu’il descendait encore, caressant chaque parcelle de la peau imberbe de son ami, une main lui attrapa le poignet, et quand il releva les yeux ce fut pour croiser le regard amusé du milliardaire :
« Tu n’as pas honte, Clark Kent, de profiter de moi pendant que je dors ? »
« Euh ? Non ! »
« Bonne réponse ! »
Il l’embrassa alors, avec tendresse, avec passion, avec amour... Tout semblait si intense d’un coup, jamais Clark n’avait ressenti autant de choses à la fois. Les mains du milliardaire dans ses cheveux, sa langue qui caressait la sienne...
Toutes ces sensations lui procuraient un plaisir immense.
La cuisse de Lex vint frôler son entrejambe. Le jeune brun allait gémir quand une toux gênée retentit dans la pièce. Il se releva alors vivement, et rougit en croisant le regard amusé du domestique :
« Pardon, monsieur Luthor, mais les Kent sont là ! »
Lex grimaça :
« Faites-les entrer dans le salon, nous arrivons ! »
Une fois que le domestique eut refermé la porte, il ajouta :
« Nous allons prendre une douche avant, ça te dit ? »
Pour toute réponse Clark se mit à sourire...
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Jonathan faisait les cent pas dans le salon. Son fils avait passé la nuit dans ce manoir. Qui sait ce qui avait bien pu se passer entre lui et Lex ?! Il soupira bruyamment :
« Je t’en prie, Jonathan, calme toi ! »
« Martha, tu sais bien ce qu’il a dû se passer cette nuit... »
« Même si c’est le cas, nous n’y pouvons rien ! Est-ce que tu t’es seulement demandé si ça le rendait heureux ? »
« Je t’en prie, Martha, ce n’est encore qu’un gamin ! Lex est plus vieux que lui, c’est un Luthor et... »
La porte s’ouvrit, et il ne put finir sa phrase. Clark se tenait dans l’embrasure de la porte, Lex à ses cotés.
Le jeune alien s’approcha de sa mère et la serra dans ses bras :
« Bonjour, maman ! »
« Bonjour, mon chéri ! »
Clark vit son père soupirer de nouveau, et il jeta un regard désolé à son meilleur ami :
« Papa ! »
Le jeune homme soupira, et fit quelque pas vers le milliardaire :
« Je te rejoins tout à l’heure ! »
Jonathan hurla presque :
« Quoi ! Non ! Il ne va pas partir ! Il va rester ici, et nous expliquer ce qui ce passe... »
« Non, papa ! Il n’y a pas d’explication à donner ! Tu es encore en colère, tu risquerais de le blesser par tes paroles, et je ne veux pas que ça arrive ! »
Lex s’approcha du jeune homme :
« Ça va, Clark, je suis assez grand pour me défendre seul, et puis nous n’avons rien à nous reprocher ! Enfin, presque rien ! »
L’alien ne put s’empêcher de sourire et de rougir. Son père grimaça :
« Vous pouvez arrêter de faire ça ! »
« Quoi ? »
« Flirter avec mon fils ! »
« Je ne crois pas que ça le gêne ! »
Le fermier eut l’air choqué, mais il observa son fils un instant. Le jeune homme souriait :
« Je ne... je... »
Jonathan se laissa tomber sur le canapé, sa femme passa sa main dans son dos :
« Pourquoi ? »
« Pourquoi quoi, papa ? »
Il se leva et recommença à faire les cent pas :
« Comment un simple sentiment d’amitié fraternelle peut se transformer en amour ? »
Les deux jeunes gens se jetèrent un regard complice, et Clark répondit :
« Peut-être que ça n’a jamais été fraternel, mais que nous n’étions simplement pas prêts à voir autre chose... »
«Ou peut-être que nos sentiments ont changés et évolué, et que nous avons seulement fini par les accepter ! »
L’homme les regarda un moment tous les deux, et soupira :
« Et que devons-nous faire ? »
« De quoi tu parles, papa ? Tu n’as rien à faire ! C’est ma vie... »
« Ta vie, Clark ?! Et quand les tabloïdes et les journaux publieront ta photo parce que tu couches avec Lex Luthor, que feras-tu ? Hein, quand ils mettront leur nez dans nos affaires ? Que feras-tu alors ! »
Lex s’approcha de son ami, et répondit :
« Cela n’arrivera pas ! Et si c’était le cas, je ferai tout pour que vous n’en souffriez pas ! »
La colère de Jonathan explosa de nouveau :
« Vous croyez que l’argent peut tout arranger ? Vous n’avez aucune idée de ce qui pourrait arriver par votre faute ! »
« Monsieur Kent. j’ai de l’argent bien plus que la plupart des gens l’imaginent ! Pour votre fils, je ferais n’importe quoi ! Vous avez raison, je suis un Luthor et je suis près à tout pour protéger les gens que j’aime ! S’il le fallait, je donnerais ma fortune, tous mes biens et même ma propre vie pour votre fils ! »
En disant ces mots, c’est son ami que Lex avait regardé. Le regard profond et intense que les deux hommes avaient échangé n’échappa pas à Martha :
« Vous êtes au courant Lex, n’est-ce pas ? »
Jonathan hoqueta de surprise :
« Quoi ? »
Lex soupira :
« Il y quelques temps que je sais, oui ! »
Les parents de Clark observèrent un moment leur fils et son ami, puis le fermier murmura :
« Et vous n’avez rien dit ? »
Le milliardaire ne répondit pas...
Le silence s’installa dans la pièce, et Clark soupira. Sa mère s’approcha de lui doucement, et le prit dans ses bras. Elle s’approcha de Lex et fit de même au jeune homme qui se crispa légèrement : peu de gens l’avaient ainsi serré sur leur cœur :
« Lex, tu es un garçon bien, je sais que tu prendras soin de mon fils. J’ai confiance ! »
Le milliardaire ne répondit pas :
« Allons, viens Jonathan, nous rentrons à la maison ! »
« Mais... »
Elle attrapa la main de son mari et l’entraîna dehors. Clark prit alors Lex dans ses bras, et celui-ci murmura :
« Ça ne c’est pas si mal passer que ça ! »
« Tu trouves ? »
« Oui, tes parents son compréhensifs. Attends de voir la réaction de mon père, s’il vient à l’apprendre... »
Clark se mit à rire :
« Ça te fais rire, tu n’as pas peur de ce qu’il pourrait faire ? »
« Tu as peur, toi ? »
« Non, il y a longtemps que mon cher père ne me fait plus peur ! »
« Alors tout va bien... »
Lex sembla réfléchir un moment :
« Oui, tout va bien ! »
Ils embrassèrent alors, avec toute la passion dont ils étaient capables. Scellant ainsi une promesse qu’ils n’avait pas faite, mais qui était pourtant bien présente entre eux.
S’aimer et se protéger toujours...
FIN
Oh là j’ai fait dans la guimauve pure, c’est carrément neu neu, mais c’est pas ma faute, je voulais pas finir comme ça ! Si c’est trop fleure bleue, voyez sa avec les deux garçon, moi je savais pas que ça allait finir comme ça, ça peut venir que d’eux ! Mais si, je vous jure ! Rien que de le relire, je trouve ça tout rose, c’est bizarre...
C’est comme le lime : moi j’en voulais un, et ben ils ont pas voulu, j’y suis pas arrivée, pas ma faute !
Enfin bref, voilà ! J’espère que ça vous a plus. mdr
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