Donc comme d'habitude c'est personnages ne m'appartienne pas,ils sont la propriéter de leurs céateurs,je ne me fais aucun n'argent avec ce que j'écris.Il n'y a que l'histoire qui est a moi "Et bien sûr ce, je remercie ma bêta "Moonlight" que vous pouvez retrouver sur ce forum, sans qui je n'oserais pas poster de textes tellement je fais des fautes et je vous annonce également qu'elle se porte volontaire pour corriger ceux ou celles qui le souhaitent donc il ne faut pas avoir peur de lui demander, elle ne mord pas." Temps circonstanciel
Il faisait nuit, l'orage grondait. D'aussi loin qu'il puisse s'en souvenir, Nick, n'avait jamais aimé les nuits telles que celles-ci. Le fracassement des éclairs, la chaleur se faisant de plus en plus lourde, les courants d'air aussi rare qu'inexistant.
En grandissant il avait abandonné ses vieux réflexes consistants à se cacher sous un amas de couvertures jusqu'à tout se termine. Il n'aimait, toujours pas les temps comme celui-là.
Néanmoins, depuis quelques temps maintenant, il avait trouvé un autre moyen de se réconforter. Le dis moyen, s'attendant à ce qui allait arriver, avait décidé, avant d'aller se coucher qu'un simple boxer lui serait amplement suffisant pour lui servir de pyjama.
Il s'était habitué depuis un certain temps au manège de son amant, les nuits d'orages. Oh bien sûr, vu ses origines, lui non plus n'appréciait pas le temps qu'il faisait. Jamais les loups de sa famille n'avaient mis, ne serais-ce qu'une patte dehors par temps orageux.
C'est pour cette raison qu'il ne fut pas surpris quand le grimm qui partageait son lit, vint lui déposer une série de baisers désireux au creux de la gorge pour ensuite y laisser sa marque.
Ce fut ensuite le tour des mains du brun qui se firent baladeuses et retracèrent les muscles de son torse de manière à faire monter de quelques degrés la température ambiante.
Monroe n'en attendit pas plus pour se retourner et capturer les lèvres, de son vil tentateur, passionnément.
Après tout ce n'était pas la manière la moins agréable de se soustraire à une phobie, alors autant en profiter.
fin