Et une chapitre tout juste sortie du four et un!!
Chapitre 2
Eva nous annonce ce qu’elle a trouvé sur notre victime, je la remercie de faire diversion. Je lui demande de convoquer son mari. Elle part le chercher en me lançant un regard inquiet sur son visage, je la rassure en lui souriant.
- Chevalier ? m’appela-t-il.
- Qu’est-ce qui se passe Falco ?
- Est-ce que j’ai fait quelque chose de mal ?
Oui, tu es tellement beau que je craque pour toi. Je me noie dans tes yeux quand tu me regardes, je m’inquiète pour toi dès l’instant que tu disparais de mon champs de vision.
- Non, pourquoi demandes-tu ça ?
- Parce que tu es en colère, dit-il.
- Ce n’est pas contre toi enfin si non. Ecoute, je n’ai juste pas l’habitude de travailler avec quelqu’un. C’est nouveau pour moi donc laisse-moi juste le temps d’encaisser ça, mentis-je.
- Je comprends, Chevalier.
Un silence s’installe jusqu’à ce qu’Eva arrive avec le mari de la victime. On la suit vers la salle d’interrogatoire n°3, elle va derrière la vitre pendant que nous allons poser des questions. Le mari et Falco s’installe tandis que moi je reste debout.
- Que fais-je ici, je vous ai tout dit, dit-il.
- Mr Déboula aviez-vous une maîtresse ? questionnai-je.
- Bien sur que non, j’aimais ma femme plus que tout au monde et jamais je ne la tromperais ! s’exclama-t-il.
- Alors c’est elle qui vous trompait, ai-je raison ?
- Ecoutez c’est une histoire ancienne, Lieutenant. On faisait des thérapies de couples pour surmonter ça. Elisa voulait avoir une deuxième chance et c’est la seule condition que j’ai posé pour que je lui accorde, avoua-t-il.
- Le nom de cet homme ?
- Elle ne me l’a jamais dit.
- Vous n’avez vraiment aucune idée ? l’interrogea Falco.
- Non mais je suppose que c’était quelqu’un de son boulot.
- Bien, un de nos collègues va vous raccompagner.
On le raccompagne jusqu’à la sortie puis on rentre pour trouver l’homme qui couchait avec la victime. On arrive près de nos bureaux quand le commissaire arrive.
- Falco, Chevalier dans mon bureau tout de suite, ordonna-t-il.
Je suis surpris, je me demande ce que j’ai pu faire pour qu’il me convoque avec Falco. Falco me regarde avec étonnement lui aussi. On se dirige vers le bureau du commissaire, je reste debout contrairement aux deux. Un silence s’installe pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que le commissaire le brise.
- Suite à ton entretien Alex, la psy a eu l’idée de vous faire cohabiter pour renforcer vos liens, nous annonça-t-il.
- Pardon ? C’est hors de question, Commissaire.
- Vous n’avez pas le choix, Lieutenant.
- Cela ne me dérange pas du tout, déclara Falco.
- Et moi je ne veux pas !
- Chevalier, vous allez accepter ou je vous mets un blâme pour refus d’ordre.
Mais il ne comprend pas que si je ne veux pas ce n’est pas parce que je le déteste non loin de ça. Dieu a vraiment décidé de me pourrir la vie, je dois être maudit. Oui, ça doit être ça.
- Bien, Commissaire. Quand doit-on habiter ensemble ?
- Maintenant, pour cela je vous donne votre après-midi.
- Entendu, Commissaire.
Puis on s’en va vers nos bureaux pour prendre nos affaires pour rentrer chez moi. Une fois qu’on a toute nos affaires, on part et on croise Eva.
- Bin, où allez-vous les gars ?
- Le Commissaire a décidé qu’on devait « vivre ensemble » pour renforcer nos liens enfin c’est plutôt cette psy de mes deux ! m’exclamai-je.
- Oh, ne vous inquiétez pas tout va bien se passer. Falco, tu me diras comment est son appartement.
- Tu n’y as jamais été ?
- Non, Monsieur ne veut pas qu’on voit son chez-soi, plaisanta-t-elle.
- Eva, tu sais très bien pourquoi, répondis-je.
- Je plaisante Romain, je plaisante, rigola-t-elle.
Pendant que Falco fume sa cigarette, je passe un coup de fil important. Je m’écarte un peu d’eux pour pouvoir avoir de l’intimité. Quand je reviens vers eux, je m’aperçois que Falco m’attend devant la voiture. On s’installe puis on se dirige vers l’appartement enfin si on peut dire ça de Falco pour qu’il puisse prendre des affaires à lui pendant son séjour chez moi. Une fois fait, on repart direction mon appartement. Je sens que ma cohabitation sera dure très dure, que Dieu en soit témoin.
Que l'histoire vous plaise toujours autant
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Steve: You know what, partner? We can get on a plane right now and settle this.
Danny: That is why I love you, buddy. You’re always willing to risk both our lives at any given moment.
Steve: Why do they always run?
Danny: Because I believe they hope the person chasing them ends up wrapped around a telephone pole.
McGarrett: Why are you so angry?
Danno: 'Cause I'm an angry person, okay?