Hello hello !
Un nouvel OS de mes nouveaux chouchous.
Contient un spoiler S3 de lieu (m'enfin, je dis ça, je dis rien hein... )
Enjoy !
**********
The Wolf InsideIls étaient tous autour de la table, regardant le corps de leur alpha. Un corps inerte, bien que vivant. Deaton l’avait bien précisé. Derek était toujours en vie. Il respirait et son cœur battait. Mais il ne bougeait pas. Immobile. Indifférent à ce qui l’entourait. Ne répondant à aucun stimulus.
La lutte contre les fées avait été des plus routinières, si jamais une bataille pouvait être routinière. Les blessures des loups-garous avaient cicatrisé depuis longtemps, et celles des humains étaient heureusement sans grave conséquence. Mais pourtant, Derek restait immobile.
— Je ne sais plus quoi faire, dit le vétérinaire.
— Il doit bien y avoir autre chose ? demanda Isaac en se passant une main dans les cheveux.
Le toubib soupira avant de regarder chaque personne autour de la table. Tous attendaient une réponse ou un miracle peut être. Il secoua la tête en baissant les yeux.
— Alors ça veut dire quoi ? On va le laisser dans cet état ? On a besoin de lui ! Qu’est-ce qu’il a ?
La voix d’Erica frôlait l’hystérie et Boyd la prit dans ses bras pour la réconforter. Scott se rapprocha d’Isaac pour l’assurer de son soutien, Lydia et Jackson se tenaient étroitement les mains, et Stiles, Peter et Danny échangèrent un regard.
— Ok… C’est une sorte de coma c’est ça ? Un… coma-garou ? Y’a pas des herbes ou des potions… Je sais pas, des incantations pour le sortir de cet état ? demanda Stiles.
Deaton leva les mains pour signaler son incompétence avant de se retenir et de sortir de la salle pour foncer dans son bureau. Il en revint avec un lourd grimoire un peu poussiéreux, tournant hâtivement les pages, les sourcils froncés.
— J’ai peut être une solution. Mais c’est pas garanti que ça fonctionne.
— On s’en fout, ça vaut le coup d’essayer. Qu’est-ce que c’est ? demanda Jackson.
Le véto eut un sourire. Qui aurait cru que Jackson Whittemore s’inquiéterait de quelqu’un qui n’était pas lui.
— C’est une ancienne pratique indienne. Qui permet de pénétrer l’esprit d’une personne pour comprendre pourquoi elle refuse de se réveiller. Et si ça fonctionne, amener cette personne à revenir parmi les vivants.
— Ok ! Cool ! Qu’est-ce qu’il faut faire ? fit Stiles.
— Il nous faut un volontaire pour accéder à son esprit.
Aussitôt, les bêtas levèrent la tête, et Deaton eut un nouveau sourire.
— Pas un loup-garou. Il risquerait de se sentir attaqué. Il faut que ce soit un humain.
— Je veux bien le faire, dit Lydia en faisant un pas en avant.
— Impossible, tu es déjà psychiquement lié à Peter. Il faut trouver quelqu’un d’autre.
— Je le ferai ! dit alors Danny.
— Tu ne fais pas parti de la meute depuis assez longtemps. Il faut quelqu’un qui le connaisse relativement bien pour arriver à sonder son esprit. C’est Stiles qui le fera.
L’humain concerné fronça les sourcils en levant les bras au ciel.
— Vous auriez pu commencer par là au lieu de tourner autour du pot. Un de ces jours, il va falloir apprendre à communiquer comme un humain et pas comme une diseuse de bonne aventure ! Putain mais le temps qu’on perd à chaque fois ! Bon... Qu’est-ce que je dois faire ?
— Déjà, il nous faut un endroit plus confortable, parce que je vais devoir te plonger dans un sommeil artificiel, et il vaut mieux pour ça que tu sois allongé.
— Sans blague ! lança Stiles avec un sourire narquois.
Il fut rapidement décidé que l’opération se déroulerait dans le nouveau loft de Derek. Le loup-garou avait un lit king size, idéal pour ce genre d’expérience. Derek fut donc transporté à l’arrière de la Jeep bleue (la seule voiture avec suffisamment de place dans le coffre) et toute la meute se retrouva en bas de l’immeuble de Derek.
Scott et Boyd se chargèrent de porter l’alpha inconscient, et Stiles se demanda si Scott ne faisait vraiment pas exprès de le cogner contre les murs comme il tentait de le faire croire à tout le monde.
L’ascension de l’escalier en colimaçon dans le loft posa encore plus de problèmes, et si Derek avait été conscient, il aurait déjà viré en mode « total alpha » et beaucoup de gorges auraient été mises à mal.
Finalement, Derek fut installé sur le coté droit du lit et Stiles s’allongea près de lui.
— Vous êtes sur que ça va marcher ? demanda Peter, visiblement peu impressionner.
— On peut aussi essayer le baiser d’amour véritable, mais je doute que ça fonctionne, répondit le vétérinaire dans un sourire.
Stiles cligna plusieurs fois des yeux avant d’éclater de rire, rapidement suivit par les autres. Il leur fallut plusieurs minutes avant de reprendre leur sérieux, et Stiles se rallongea.
— Ok. Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
— Maintenant, tu prends la main de Derek et tu fermes les yeux. Quoi qu’il arrive, tu ne dois pas rompre le contact, sinon on risque de te perdre aussi.
— Ah ouais, si je pouvais éviter de me retrouver coincé dans l’alpha, ça me ferait super plaisir. Bon… Comment on procède ? Vous m’hypnotisez ou un truc comme ça ?
— Un truc comme ça ! reprit le vétérinaire avant d’ouvrir un sac et d’en sortir quatre bougies jaunes qu’il plaça aux quatre coins du lit. « Elles sont faites avec de l’essence d’escholtzia. Ca va permettre à ton corps et à ton esprit de se détendre. Tu seras endormi, mais tu seras capable d’entendre ce que je dis, et tu pourras me répondre. Ca te va ? »
Le jeune humain hocha la tête et se tortilla un moment pour trouver une position confortable avant de se saisir de la main de l’alpha. Les doigts de l’autre se refermèrent sur les siens.
— Hey ! Vous avez vu ! s’écria Scott.
— C’est bon signe, fit Deaton. Ok. Si vous voulez rester, vous devez être silencieux. Si nous interrompons le processus, nous pouvons les perdre tous les deux.
Tous hochèrent la tête, et Stiles prit une profonde inspiration avant d’expirer lentement en fermant les yeux. Deaton alluma les bougies et aussitôt, une senteur suave et sucrée envahit la pièce et la voix du vétérinaire se fit entendre, douce, calme, récitant une incantation que Stiles ne comprenait pas mais qui semblait faire son effet. Peu à peu, il se sentit partir, la main de Derek toujours serrée dans la sienne.
***oOo***
« Stiles ? Est-ce que tu m’entends ? »Stiles sursauta en ouvrant les yeux. Oui il entendait, même s’il y voyait que dalle. Le noir absolu. Carrément flippant.
— Ouais, je vous entends… Fais sombre ici… Pas très accueillant…
Un grondement lui répondit. Quelque part.
— Oh… Je crois qu’il essaie de communiquer. Bon, qu’est-ce que je fais ?
« Tu cherches Derek »
Tu cherches Derek ? C’était quoi ce bordel ? Comment Deaton voulait-il qu’il trouve Derek dans cette obscurité totale. Mais alors totale de chez totale. Un vrai four. Et sans la petite fenêtre pour vérifier que la dinde était pas en train de cramer en plus !
Il lui sembla entendre un « la ferme Stiles », mais c’était vraiment pas sur. Il se tourna à droite puis à gauche, indécis quand à la direction à prendre. Il fit quelques pas hésitants, en se disant que ce serait bien sa chance de trébucher sur un rein ou un poumon. Enfin, il était pas vraiment dans le corps de Derek, mais voilà quoi… Il devait se trouver dans sa conscience… Ou un truc du genre.
— Derek ? Derek ?
Un autre grondement, un peu plus fort, mais rien de plus.
— Petit, petit, petit ? Viens voir Stiles. Viens mon grand, je te ferai aucun mal tu sais !
Un jappement cette fois-ci. Franchement déroutant comme expérience. Il continua à… avancer. Ouais, il allait dire ça comme ça. Avancer. Pour aller dieu seul savait où, mais il y allait gaiement. Enfin, façon de parler.
Une forme se dessina dans l’obscurité, mais la première chose qu’il remarqua furent les orbes sanguines. Oh seigneur. Avalant sa salive, il avança encore, les mains en avant, tandis que la forme se rapprochait à pas de loup (ahah ! à pas de loup, elle est bien bonne celle là, tiens)
« Concentre-toi, Stiles ! »Oh pardon ! Si on pouvait plus plaisanter un peu… Donc la forme approchait, et bientôt il eut en face de lui un loup énorme, immense, gigantesque…
« On a compris Stilinski ! »Ah… Il avait parlé tout haut. Bref. Le loup. Le grand loup s’approcha de lui en montrant les dents. Stiles s’arrêta soudain de bouger, laissant la bête s’approcher de lui pour le sentir. Et pour le sentir, il le sentait. Les cheveux, le cou, le torse, les mains.
— Je te préviens, si tu me sens le cul, ça va mal se terminer !
Le loup jappa une nouvelle fois, lui lécha la joue et s’assit sur ses pattes arrières, la tête penchée sur le côté.
— C’est dégueu ça, franchement. Derek ?
Le loup gémit et se rapprocha jusqu’à ce que Stiles puisse le toucher. Le jeune humain tendit la main et toucha la fourrure douce. L’animal laissa échapper un grondement de contentement, alors Stiles continua à le caresser.
— Bon…Je l’ai trouvé. Maintenant je fais quoi ? Il a la forme d’un loup, comment je communique avec lui ?
« Tu es dans sa conscience. Il faut que tu arrives à trouver ce qui cloche. Il faut trouver pourquoi il ne revient pas »— Facile à dire, j’ai oublié mon dico « loup-humain » à la maison, et mon téléphone capte pas ici. Vous avez vraiment des idées à la con !
« Stiles, tu es notre seul espoir »— Super ! Maintenant me voilà dans la peau d’Obi-Wan Kenobi… Ok. Je vais essayer de lui parler, et c’est pas gagné. Vous nous laissez un peu d’intimité ?
Il regarda le loup un moment, qui semblait totalement à l’aise de se faire papouiller comme ça, puis il s’assit en tailleur. S’il devait entamer une conversation, autant être à l’aise. Le loup se laissa tomber sur son giron, poussant avec son museau pour que Stiles recommence à le caresser.
— Si seulement tu pouvais toujours être aussi câlin, je pense que ça simplifierait bien des choses. Alors dis-moi… Pourquoi tu restes ici ? C’est sombre, c’est moche. Je vais pas dire qu’il fait froid, mais il fait pas super chaud non plus. C’est triste quoi.
Le loup gronda une nouvelle fois en levant la tête, tournant son regard vers la gauche. Stiles suivit le regard carmin, et, comme au cinéma, plusieurs images défilèrent… Sa famille, Laura, Peter, le feu, Kate Argent…
— Tu te sens coupable, c’est ça ?
Derek souffla avant de poser son museau sur ses pattes.
— Hey ! Hey ! Non… Tu n’es y pour rien, Derek. T’étais un gamin à l’époque. Cette garce s’est servi de toi, c’est pas de ta faute. Si elle n’avait pas réussi avec toi, elle aurait trouvé un autre moyen. Et puis, je sais qu’on ne remplacera jamais ta famille, mais on est là. Ta meute. Ta propre meute, Derek. Et tes bêtas ont besoin de toi.
Sur l’écran (ouais, il allait appeler ça comme ça, faute de mieux), apparurent les images de la meute. Boyd, Erica, Isaac, Scott, Jackson, et même Peter.
— N’oublie pas les humains s’il te plait ! plaisanta Stiles.
Aussitôt apparurent les visages de Lydia et Danny.
— Hey ! Sale bête, et moi alors ? C’est quand même moi qui suis plongé dans un sommeil bizzaro pour venir te parler.
Le loup le regarda, et aussitôt, tout l’endroit se retrouva envahit d’images de Stiles.
— Wow ! J’en demandais pas tant. Tu vois ? Nous sommes tous là. On est là pour te protéger, pour t’aider à être un bon alpha.
L’écran présenta alors la fuite de Boyd et Erica, la trahison passagère de Scott, la résurrection de Peter, le corps d’Isaac couvert de sang après une des attaques des Alphas, le Kanima, Lydia quand elle avait aidé Peter, Danny dans la chambre de Stiles qui reluquait « le cousin Miguel »
— Ok… Ok… Mais c’était avant ça ! Tout le monde s’inquiète, Derek. Il faut que tu reviennes. Il faut que tu reviennes parce qu’on tient à toi ! Et qu’on a besoin de toi.
Derek se releva et fit quelques pas pour s’éloigner. Il tourna les yeux vers Stiles qui sembla y distinguer de la tristesse, avant de regarder à nouveau vers l’écran (mais vraiment… il y avait pas d’autres mots pour décrire ce truc). Des couples. Il n’y avait que ça. Scott et Isaac qui partageaient une glace. Jackson et Lydia qui riaient. Boyd et Erica qui échangeaient un tendre sourire.
— Oh… Tu te sens seul, c’est ça ? Je croyais qu’on était jamais seul dans une meute. Et puis regarde Peter et Danny. Ils n’ont personne en ce moment, mais ça n’empêche pas qu’ils sont heureux. Enfin je crois.
Une image de Stiles apparut à nouveau. Le Stiles en photo souriait, mais le sourire ne semblait pas atteindre ses yeux.
— Ouais, merci de me rappeler que je suis seul aussi, c’est vachement sympa de ta part, bougonna l’humain.
Sans prévenir, l’image changea. Apparurent des images de M. et Mme Hale, enlacés, et des images de M. et Mme Stilinski, se souriant comme si rien d’autre n’existait autour d’eux. Stiles sentit sa gorge se serrer, et le loup gémit une nouvelle fois avant de rapprocher pour poser son museau dans le cou de l’humain. Aussitôt, Stiles noua ses mains autour du cou de la bête et prit plusieurs profondes inspirations pour se calmer.
— Oui, mes parents étaient heureux ensemble, et les tiens l’étaient surement aussi…
La voix de l’humain était tremblante, et Derek releva le museau pour lécher une larme qui coulait sur la joue de Stiles. Le jeune homme se mit à trembler alors qu’il sanglotait dans la fourrure noire. Du coin de l’œil, il vit une nouvelle image se former. Une image de Derek et lui. Stiles riait, la tête en arrière, et Derek le regardait, avec dans les yeux une… une… tendresse…
— Oh ! fit Stiles. C’est pour ça que tu ne veux pas revenir ? Parce que tu crois que je ne voudrais jamais de toi ? Oh… Derek…
A nouveau, les images des parents Hale et des parents Stilinski apparurent, entourant l’image de Derek et lui, et Stiles fronça les sourcils pour essayer de comprendre. Il posa son regard humide sur les yeux rouges, sa main caressant doucement les flancs de l’animal.
— Des âmes sœurs ? C’est ça que tu essaies de me dire ? Mes parents, tes parents… Toi et moi ? Des âmes sœurs ?
Le loup aboya et donna un léger coup de tête dans l’épaule du plus jeune. Ca expliquait finalement pas mal de chose.
— Mais pourquoi tu n’as jamais rien dit ? T’as vraiment de gros problèmes de communication, c’est pas croyable. Ca frise le pathologique, mon pote !
Une photo du vétérinaire apparut soudainement et le jeune Stilinski comprit cette fois-ci immédiatement.
— Deaton était au courant ? Je vais lui payer des cours d’expression oral à cet enfoiré. Il a jamais rien dit. Toi non plus d’ailleurs t’as jamais rien dit… Putain vous êtes pas possible. Comment vous vouliez que je comprenne. Je sais que je suis un as dans l’art de la recherche, mais faut pas pousser non plus…
Le loup leva la tête et poussa un long hurlement.
« Stiles ? Qu’est-ce qui se passe ? Derek remue. Est-ce que ça veut dire qu’il va revenir ? »
— Hey c’est une conversation privée, Deaton ! Je crois que j’ai cerné le problème. Faites sortir tout le monde de la pièce. Et laissez-moi du temps.
« Comme tu veux »— Tu veux bien revenir ? Pour moi ? Tu peux faire ça ? S’il te plait. J’ai besoin de toi… S’il te plait... Il faut qu’on discute, et c’est pas évident de communiquer comme ça. S’il te plait… Reviens !
Le loup s’écarta puis se sauva en courant.
— Derek ! Derek reviens ! Putain de sale clébard ! Reviens ici ! Reviens ! Bordel Derek, reviens !
Il avait tenté de le suivre, mais ça ne servait à rien. Alors il se laissa tomber à genoux sur le sol invisible et poussa un soupir à fendre l’âme.
— Reviens, Derek…
***oOo***
— Stiles ? Reviens maintenant !
Le jeune homme cligna des paupières avant d’arriver à ouvrir les yeux, son regard se posant sur la forme floue penchée au dessus de lui. Peu à peu, les contours se firent plus distincts et il put voir le visage inquiet de Derek. Se relevant d’un coup, il enroula ses bras autour du cou de l’alpha et serra autant qu’il put, laissant échapper un soupir de soulagement quand les bras de l’autre se refermèrent autour de sa taille. Il savoura la proximité de l’autre quelques instants avant de le repousser aussi violemment qu’il le pouvait.
— Sale connard ! On a pas idée de faire peur à tout le monde comme ça parce que môssieur nous fait une crise existentielle ! On aurait pu parler de tout ça… Autour d’un café, ou pendant un petit repas… Mais non, il a fallu que tu fasses ça genre « dramatique »
— Stiles… fit le lycan dans un murmure.
— J’ai pas envie de te parler pour le moment… Et vous ! Oui vous ! Vétérinaire de mon cul ! Vous saviez depuis le début, et vous n’avez jamais rien dit ! Pourquoi il faut toujours que vous ayez recours aux rébus et aux devinettes !
Deaton ne releva même pas l’insulte et se contenta de sourire.
— Sois honnête, Stiles… Tu le savais aussi…
— Hein ?
— Pourquoi, depuis le début, tu es toujours là quand Derek a eu besoin d’aide ? Tu ne t’es jamais posé la question ?
Le jeune homme resta bouche bée pendant un moment avant de se passer une main dans les cheveux.
— Ben… Euh… Ca me semblait… Juste. Oui, c’est ça… Juste… Oh…
Le vétérinaire se leva du lit et leur sourit largement.
— Je vais aller prévenir les autres que tout va bien. Ca vous laisse quelques instants pour en discuter. Mais je ne pourrai pas les retenir bien longtemps.
Il disparut derrière la porte, laissant les deux jeunes hommes un peu ébahis par ce qu’il venait de se passer.
— Stiles… tenta l’alpha.
L’humain se retourna, les sourcils froncés, avant de coller une gifle magistrale à l’autre.
— Abruti ! fut le mot qui fusa, tendre sous l’insulte.
Derek n’eut même pas le temps d’y répondre ou de s’énerver, car il se retrouva soudain les bras envahis pour un jeune humain qui prenait possession de sa bouche. De l’autre côté de la porte de la chambre, la meute signala son contentement en hurlant doucement puis le silence s’installa, laissant le temps aux âmes sœurs de rattraper le temps perdu.
FIN
Connexion
M’enregistrer
FAQ
Rechercher
wow wow wow wow !!! j'étais scotchée devant la lecture de cette fic. Scott Caan aurait pu sonner à ma porte je me serais pas levée. J'attendais de savoir comment Stiles allait récupérer Derek.J'ai eu aussi des frissons quand le loup commence à s'en aller et à se retourner avec un regard triste. Heureusement que Stiles a compris le problème.
J'apprécie, j'apprécie 
)
)
)
bon sang 
