Un nouveau petit chapitre (encore un !) ... J'espère que ça va plaire
... Ici il est question de Johnlock et d'amûûûr (bien sûr), mais aussi de stupidité (comme d'hab'), de cuisine, de casserole, et de ... violence ?!
... Bref, bref, bref : bonne lecture !!
... Et merci pour la review !! Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, on … oui, bon, certes, je ne vous aurez pas comme ça !... Voyez-vous, j'essaye de gagner du temps. Parce qu'en fait … comment dire … heu … disons que … la suite de cette fiction (que vous voulez lire, je n'en doute pas si vous vous trouvez ici) … Eh bien cette suite donc, est des plus … hum … choquante je dirais …
Non, non, ne vous y méprenez pas, je ne vous parle pas ici de ce genre de scènes gores, interdites aux jeunes enfants … ni de quelques scènes de galipettes ou de parties de jambes en l'air (elle aussi interdites aux jeunes bien sur !) … Non, je ne vous parle pas de scènes que vous pourriez trouver dans certains films, séries, livres … que sais-je encore, et qui heurte votre conscience pure et noble de chérubin sage et modèle … Je ne vous parle pas de scène choquante qui changerais votre conception du monde, un genre de secte ou quoi que ce soit !...
Effectivement, je vais tenter ici de vous conter une scène, une histoire, bien moins ambitieusement.
Mes intentions ne sont ni de vous choquer à vie, ni d'ébranler votre conscience, ou de changer votre perception des choses et de la vie …
Il n'y aura rien de tout cela, c'est promis … Aucune violence réelle … si ce n'est quelques coups peut-être, et un peu de sang … mais il ne s'agira pas, de toute façon, et quoi qu'il en soit, de faire tremper votre intestin grêle dans de l'acide tout en vous arrachant le cœur sur une table d'autopsie où vous aurez été préalablement brûlé par un jet de produits chimiques qui vous aura fait perdre vos yeux (… oui, heu, bon, je m'égare ...) !
Rien de tout cela donc ... juste une scène de vie. Un moment.
Vous comprendrez vous-même ... voici donc :
Vous vous rappelez sans doute que Sherlock avait décidé -après de loooongues réflexions- de séduire John …
Vous vous en souvenez n'est-ce pas ? Cette scène où il se levait de son canapé pour aller faire dieu-sait-quoi … mais dans le but certain de rejoindre John dans la cuisine où il s'apprêtait à cuisiner (vous vous rappelez également que le verbe « cuisiner » n'est pas un verbe utilisé au 221B …).
Vous vous remémorez tout cela donc …
Sherlock se dirige donc vers la cuisine où John a enfin (et ce, après de nombreux efforts et un combat intérieur pour ne pas céder à la panique à la vue des contenus des placards) trouvé de quoi faire à manger (enfin, faire quelque chose de décent bien sur … car il pourrait tout aussi pu considérer les yeux humains comme un apéritif digne de ce nom mais de fait, il se débrouille autrement); tout en se félicitant pour sa victoire (et pas des moindres) contre le bazar ambiant qui régnait dans la pièce.
Sherlock arrive relativement vite sur le seuil de la cuisine pour s'adosser contre le chambranle. Il resta là, à observer avec des yeux … hum … nous utiliserons le terme « suspect » pour le moment à défaut d'autres mots.
Au bout d'un certain temps, John commence à trouver la présence de Sherlock un peu trop omniprésente dans la cuisine, bien que celui-ci ne soit qu'à l'entrée de celle-ci (cherchez la logique …). Il décide donc de lui faire savoir d'une façon très subtile en lui disant :
« -Heu … Sherlock, tu pourrais t'occuper autrement qu'en me regardant avec des yeux de merlan fris ? C'est la première fois que tu vois quelqu'un faire la cuisine ou quoi ? »
(… Hum, hum … Subtile j'avais dis … Enfin, ce n'est pas grave … )
Ce à quoi Sherlock s'empresse de répondre : … Heu bah, non, en fait, il s'empresse de répondre rien du tout, car au lieu de cela, notre détective consultant se ... jette sans ménagement sur le pauvre cuisinier.
… Définition du mot « jette » pour la phrase du dessus peut-être ?
Retenez juste qu'en bref, Sherlock vient de se rapprocher soudainement (un peu trop d'ailleurs) de John pour le plaquer contre le plan de travail.
John ayant toujours sa casserole dans une main (sexy !) et un air ahuri au visage pendant que Sherlock, sans gène apparente, prend goût à se coller au blond avec un sourire type « carnassier » sur le visage …
Autant vous dire que le sang de Watson ne fait qu'un tour et qu'il a directement le réflexe d'envoyer valser Holmes sur la table de la cuisine avant de lui asséner un grand coup de poing au visage …
Voilàààààà !... C'est fini pour aujourd'hui
... J'espère que tout ceci a été agréable à lire, j'attends pour ma part les réactions ...
(Et pour répondre à votre question : oui, c'est totalement injuste de couper le chapitre ici ...
@ +++ (pour de nouvelles débilités !!)