Alors après les réclamations que j'ai eu voici une fin que certains lecteurs pourront apprécier!!
Un an plus tard :
J’ai enfin réussi à t’oublier, tout va bien dans ma vie enfin presque. Je me mens à moi-même, je n’arrive pas à t’oublier. Tes gestes trop brusques, ton petit sourire et nos disputes me manquent de trop. Je vois toujours les cousins de temps en temps. Kono me parle souvent de toi, elle me dit que tu as changé et que tu as même rabaissé Catherine devant ses yeux. Aurais-tu changé ? Je voudrais bien la croire mais je n’y arrive pas. Je suis devant le QG du Five-O à attendre Kono comme je lui ai promis quand tu me bouscules.
- Vous ne pouvez pas faire attention ! s’exclama-t-il. - Non, mais tu ne manques pas de culot, tu me bouscules et c’est à moi de faire des excuses ! m’énervai-je. - Danno, c’est toi, waouh tu as changé, dit-il.
Changé c’est un euphémisme, j’ai juste maigri rien de plus. Ca aide un peu la déprime quand même, bref passons ce petit moment.
- Mais que viens-tu faire ici ? me demanda-t-il. - J’attends Kono, justement la voilà. Tu es en retard, je te signale heureusement que je n’ai pas réservé, dis-je en rigolant. - Daniel, vas-tu arrêter de te plaindre pour une fois que c’est moi qui est en retard, Oh Boss tu es là, déclara-t-elle. - Passez une bonne soirée, annonça-t-il. - Tu veux venir avec nous ? proposa Kono.
Heureusement que je suis dos à lui, je suis entrain de faire une grimace. Pourquoi me fait-elle ça ? Elle a une idée dans la tête, Kono est pire qu’une petite sœur. Pitié faites que tu dis non, pitié !
- Je ne voudrais pas déranger dans vos retrouvailles, avoua-t-il. - On se voit tout les vendredis soirs donc tu peux venir, répondit-elle.
Tu me regardes avec un air interrogateur, j’hausse les épaules pour te faire comprendre que ce n’est pas ton problème.
- J’accepte avec plaisir, dit-il.
Oh punaise, je sens qu’elle va prétendre être fatigué pour pouvoir nous laisser seul. Elle va me rendre dingue. On arrive au restaurant, on s’installe à notre table habituelle. Le repas se passe quand même dans une bonne ambiance, on est arrivé au dessert quand Kono fait sembler de bailler. Je l’avais parié, je lui murmure un je me vengerais traitresse et pour me répondre elle me sourit. Kono s’en va en nous laissant à 2, d’un coup la tension descend d’un cran. Je veux pour prendre un morceau de fruit quand mon main touche la tienne en même temps. Une décharge électrique me parcourt le corps et je vois que toi aussi. Je me lève à mon tour mais tu m’attrapes le bras.
- Reste, Danno, je dois te parler, dit-il. - D’accord, je t’écoute, déclarai-je. - Non, pas ici chez moi. - Je te suis.
Non, pourquoi je lui ai dit oui. Je me gifle mentalement de mettre fait avoir comme un débutant. Je le suis avec ma voiture, on arrive chez lui au bout de 10 minutes. On se dirige vers la plage, là où il ramène de la bière que je refuse car je sais que si j’en bois je vais flancher et je ne veux pas. - Je t’écoute. - J’ai beaucoup réfléchi durant c’est un an passé loin de toi et je me suis rendu compte que je me suis comporté comme le pire des salauds avec toi, non écoute moi jusqu’au bout s’il te plait. Je ne sais même pas pourquoi je rejoignais Catherine alors que j’étais avec toi, mais je lui ai dis que elle et moi s’était fini. Tu me manques, Danno. Nos disputes, ton sourire espiègle quand tu t’apprêtes à faire des conneries, tes piles de linges sales qui trainent par terre me manquent. Tu faisais vivre cette maison, tu me faisais revivre mais à cause de mon sale caractère je t’ai blessé et je ne sais pas comment me faire pardonner pour ça. Je veux pouvoir recommencer à zéro avec, avoua-t-il. - Je ne t’ai jamais entendu parler autant, dis donc, dis-je en rigolant.
Tu me souris. Oh Dieu, que ton sourire m’a manqué. Je voudrais de prendre dans mes bras, me blottir contre toi. Enfin, je n’ai pas besoin de le faire car tu le fais déjà.
- Tu m’étouffes, dis-je. - Désolé.
Je rigole, mais tu ne desserres toujours pas tes bras. Je soupire de bien-être, je respire ton odeur que m’a manquée. Combien de fois j’ai rêvé que tu me prennes dans tes bras après notre séparation. Une larme coule rien qu’en repensant à cette année qui fut désastreuse pour moi.
- Hey, Bébé, qu’est ce qui se passe ? me demanda-t-il. - J’ai plus souffert de la séparation que quand on était ensemble, il faudra remercier Kono, elle m’a sauvé la vie, j’étais entrain de me laisser mourir, déclarai-je. - Dieu, Danno, tout ça c’est de ma faute, je te demande pardon.
Tu m’embrasses sur le front, les joues, le nez et pour finir sur mes lèvres. Puis tu me prends comme si j’étais une mariée, je me laisse faire. On se dirige dans ta chambre, tu m’allonges délicatement sur le lit, tu me rejoins à mes côtés. Je me colle à toi comme je le faisais auparavant, tu poses tes mains sur mon ventre. Tu m’embrasses dans le cou ce qui me fait sourire. Je me bats pour ne pas dormir.
- Bébé, je serais toujours là à ton réveil, et si par malheur je n’y serais pas tu auras le droit de me taper, déclara-t-il en rigolant.
Je ris puis je me laisse aux bras de Morphée. Je sens que tu poses tes lèvres sur mon front.
- Je t’aime Daniel Williams, murmura-t-il.
J’ai redemandé mon transfert dans l’équipe de Five-0, j’ai remercié Kono en lui offrant un voyage sur le continent. Maintenant je laisse ce passage de ma vie derrière moi. Je regarde Babe qui me sourit, tu cours vers moi pour me prendre dans tes bras et instinctivement je me colle tout contre toi.
Fin !!
_________________ Steve: You know what, partner? We can get on a plane right now and settle this. Danny: That is why I love you, buddy. You’re always willing to risk both our lives at any given moment. Steve: Why do they always run? Danny: Because I believe they hope the person chasing them ends up wrapped around a telephone pole. McGarrett: Why are you so angry? Danno: 'Cause I'm an angry person, okay?
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