kikou tout le monde,
l'idée m'est venu dans le bus, je sait pas pourquoi j'ecris sur eux puisque dans harry potter je prefers les couple Harry/Draco,, mais bon madame inspiration était d'un autre avis.
Sa fait tres bizard d'écrire avec des personnage pas à soit ( voui premiere fanfic
),
j'espere que c'est pas trop flushy,
avec mon internet qui marche plus vraiment j'ai pas demander de correction, j'espere qui a pas trop de faute.
alors c'est Harry/Ron, une OS, G
les personnages ne m'appartienne pas, et je ne conte en tirai aucun bénéfice ( eux c'est comme sa qu'on dit??)
Pov Ron
C’est mon meilleur ami, le seul que j’ai jamais eu. Mais il est devenu tellement plus ces derniers temps. Depuis que Dumbledore est mort, depuis que tout risque de s’effondrer d’une seconde à l’autre. Il a bien fallu que je m’avoue, ce que je me cachait depuis tellement longtemps.
Si il savait que ma seul étoile en ce monde se trouve dans ses yeux, quel serait son sourire. Que dirais tu de moi mon ange aux yeux si sombre, si je te disais mon amour. Est ce que tu rirais de mes mots, et de moi si puérils, incapable d’accepter ce que tu m’offres déjà et qui est tellement beau.
Je t’aime Harry Potter, et j’aimerai croire que cela me suffit.
Il est assis près de moi, le nez plongé dans le manuel de son nouveau balais, de temps en temps il lève les yeux et croise mon regard. Il sourit gentiment, et je l’aime.
Il faudrait que je me lève, dit la chimère dans mon cœur, que j’aille m’asseoir près de lui, et que je lui parle. Il comprendrai, il m’écouterai, ou il se mettrai à hurler qu’il a bien d’autres problèmes à réglet en se moment que mes fantasmes d’adolescent attardé. Je ne sais même pas ce qui me ferais la plus mal.
Je baisse les yeux sur le livre que je lis moi, un bouquin stupide sur la première montée au pouvoir de vous-savez-qui, qu’Hermione a tenu absolument à me passer. Je cherche dans les tréfonds de mon être, l’ombre de se que j’ai éprouver pour elle si longtemps, et qui me semble tellement irréel maintenant que je l’aime lui.
Le seul chose qui me préoccupe pour l’instant concernant vous-savez-qui, c’est qu’il pourrait tuer Harry. Malgré moi je relève les yeux sur lui, sur ses mains si fines, si fortes posées sur la table, sur ses cheveux noir qui ondule sur ses tempes. Il faudrait quand même, que je lui parle un jour. Aujourd’hui pourquoi pas, si j’ai le courage de le regarder encore une fois peut être.
Pov Harry
Il me regard encore avec ses yeux si plein de douleur, il croit que je ne comprend pas. Mais je sais, je sais très bien ce qu’il y a dans ses yeux. Ce qui me fait tellement peur. Parce que c’est la même chose qu’il y a dans les miens, et que je ne sais pas du tout où ça peut nous conduire.
Je me sens lâche, lâche d’avoir compris, et de ne rien faire pour soulager ce qui nous ronge tout les deux. J’ai beau me dire qu’il le faudrait vraiment, que ce n’est que des mots après tout, mais qu’ils peuvent tout changer.
Je me dis que quand il va relever les yeux vers moi encore une fois, je lui dirais.
Alors je le fixe tellement immobile, qu’il fini bien par sentir que quelque chose cloche. Et nos regard se croisent, ma gorge se sert brusquement, mes paumes se recouvrent de sueur. Je ne peux pas parler, j’y arrive pas, il y a cette boule dans ma gorge qui n’attend que de se transformer en sanglot au moindre mots.
Alors je le regarde, et je met dans mes yeux tout ce qu’il y a dans mon cœur. Je vois les siens s’emplirent de doute et de question. Puis ils se mettent à briller si fort, que mon ventre me brûle. Je le fixe encore, et je vois qu’il comprend, un sourire né sur ses lèvres.
Ça te va si bien le bonheur Ron Weasley.
Nos regard hésite, se croisent encore et encore, s’interrogent, se répondent.
Au bout d’un temps qui me parer si cour, et pourtant si long, son visage s’abaisse sur son livre, et le mien le suit. J’ai comme un goût d’inachevé derrière la langue.
Une seconde je crois que je vais pouvoir recommencé à lire comme si de rien n’était. Mais mon cerveau n’en à rien à faire de se que je pense, il m’entraîne bien plus loin.
Aucun mot n’a franchis nos lèvres, est ce qu’un regard suffit vraiment ? est ce que savoir mais faire comme si de rien n’était, ne va pas nous détruire plus sûrement que l’ignorance ? Je crois que c’est plus facile tout simplement, parce que ça ne nous oblige pas à nous regarder en face. Après tout qu’est ce qu’un regard a de définitif, on peu toujours avoir mal vu, ou bien s’en persuader.
Et je ne veux pas, je ne veux pas qu’il se disent le soir tard dans sa chambre « et si j’avais eu tord ? ». Ou bien les mots qui me hante moi, parfois depuis que j’ai compris « et si tout étais possible avec un peu plus de courage ».
J’en ai du courage, du moins je me le répète pour avoir la force de me lever. Je risque bientôt d’affronter Voldemort, et dire à l’homme qu’on aime ce que l’on ressent ne devrait pas être si dure que ça.
Doucement je m’assoie près de lui sur le banc, une jambe de chaque coté.
Sourit Harry, tu vas dire les plus beau mots que t’as jamais prononcé pour personne.
Il tremble, il fait semblant de ne pas voir que je suis assis si près de lui. Lentement ma main vient prendre la sienne sur la table. Je veux juste toucher sa peau, plus vraiment comme le ferai un ami, pas encore un amant. Il sert ses doigts très fort autour des miens, et tourne la tête vers moi, avec un pauvre sourire. Mon cœur fait une embarqué, ma peur se dissous avec mon sang qui bat. Je m’approche doucement de lui, son bras s’enroule sur ma taille et on se retrouve serré l’un contre l’autre.
J’ai le visage enfuis dans son coup, je sens son nez contre ma peau, sa main qui passe dans mes cheveux. Pour quelques secondes encore j’ai besoin de rien d’autre, j’ai pas besoin de nos bouches qui se touchent, de sa peau sur la mienne. Mes yeux me brûlent d’avoir enfin osé, et je ressert encore mes bras sur ses épaules, affolant les papillons dans mon ventre.
J’ai juste besoin des mots qu’il dit enfin à mon oreille, et que je répète si fort.
- je t’aime Harry Potter
- je t’aime Ron Weasley
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alors??