Forum - Le Monde du Slash

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 Sujet du message: Invisible - Alexandre/Hephaistion
MessagePosté: 30 Avr 2006 23:37 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 12 Déc 2005 20:01
Messages: 37
Localisation: jamais très loin
...
à la base, c'était rien (vous me direz: et maintenant, c'est quoi ?)
je voulais même pas le poster...
c'est long, c'est lourd, et wi c'est de moi !!!
avec mes 2 favoris évidemment
mais bon si malgré tout ça interesse quelqu'un
j'espère quand même que c'est pas trop chiant...


***
POV Hephaistion


Il dormait.
Moi, tout contre lui, dans son lit.
L’hiver, les soldats avaient pris l’habitude de ne jamais dormir seuls. Pour compenser le froid, et le manque de couverture.
Quand nous avions environs 15 ans. Nous n’étions pas soldats. Seulement tout excités à l’idée de l’être un jour. Alexandre n’avait pas froid la nuit. Ou alors il ne le disait jamais, histoire de s’endurcir.
Moi, je me rappelle avoir eu froid, mais rien d’insoutenable. Je demandais pourtant à Alexandre si nous ne pouvions pas dormir ensemble, nous aussi. J’évoquais le blizzard des nuits glaciales passées à claquer des dents et à lutter contre le sommeil, car quiconque s’endormirait jamais ne se réveillerait…oui, bien sur, pas ici, pas dans la douce moiteur de la Macédoine…mais bon, ne faut-il pas être préparé à tout ?
J’entends encore son rire, lorsque je lui débitais mon discours peu convainquant, son rire franc, jamais mauvais… juste, dans ce cas, un brin sceptique…
Je rougis, moi qui n’avais pourtant honte de rien devant lui, et ajoutais en soutenant son regard (m’enfonçant un peu plus dans ma gène), que tous nos camarades avaient depuis longtemps décidé de le faire, et que nous étions désormais les seuls à ignorer ce nouveau jeu… j’étais sûr qu’il allait rire à nouveau, puis refuser en se moquant gentiment de moi, et de mon soudain côté frileux.
Mais bizarrement, il me laissa coi devant un simple « d’accord ! ».
Dès lors je pus dormir dans son lit les soirs d’hiver.
Nous avons alors passé des heures à rire et parler ensemble, savourant le plaisir de se croire les seuls encore éveillés. Nous chahutions tout en essayant d’étouffer nos cris et éclats de rire, qui retentissaient toujours trop fort dans le silence des couloirs du palais. Puis nous nous endormions dans les bras l’un de l’autre, délicieusement complices, sans secret entre nous.
Et de ces moments où il somnolait dans mes bras, mon corps collé tout contre le sien (je lui avais dit que c’était la partie de la nuit où j’avais le plus froid…), je garde l’odeur de sa peau, chaude et épicée, lorsque je blottissais mon visage dans son cou. Je m’enivrais de ce parfum troublant, jusqu’à avoir l’impression de lui appartenir. J’entrelaçais mes jambes aux siennes, passais mes bras autour de sa taille, avec l’envie de le serrer fort, si fort, qu’il m’appartienne aussi et que nous ne formions plus qu’un. J’était ivre de lui, de sa chaleur. Je l’écoutais respirer, me laissant bercer par ce bruit calme et régulier, puis je posais doucement ma tête contre sa poitrine, et là je pouvais entendre les battements secrets de son cœur.
Il me laissait faire gentiment. Il aimait les preuves d’amour, et je l’aimais, je l’aimais, plus que je ne pourrais jamais le dire. Un amour absolu et douloureux, un amour qui me rendait fou, alors qu’il me tenait dans ses bras avec tendresse et que je brûlait de lui hurler ma passion, ma folie, mon abandon total pour lui. Je rêvais de le goûter, de le mordre, de le sentir fondre en moi, de le voir s’embraser pour moi du même feu qui me rongeait peu à peu.
Tout ce qui faisait que j’aurais peut-être pu l’avoir à moi, ou perdre à jamais son amitié à laquelle je tenais plus qu’à tout autre chose au monde.
Il avait besoin de moi, je le savais. J’étais son confident, meilleur ami, compagnon des heures tristes auprès duquel il venait pleurer, à qui il montrait sans peur ses doutes et ses faiblesses, et qui savait le comprendre et réconforter son âme torturée. Il venait toujours à moi dans ces moments, recherchant amour et protection, et de la même façon ne refusais jamais que je me réfugie dans ses bras lorsque je me sentais trop mal.
L’hiver passa. Je craignais qu’il ne veuille me renvoyer dormir dans mon lit, me privant de sa présence dont j’avais tant besoin, mais il n’évoqua jamais le sujet. Alors que tous nos camarades faisaient désormais chambre à part, nous continuions tout naturellement à nous endormir l’un contre l’autre.
Habitude qui perdura bien des années plus tard.
Alexandre eut de nombreux amants. Des courtisanes parvenues à leur fin, des jeunes gens à la beauté envoûtante, des corps qu’il aimait passionnément l’espace d’une nuit et qui disparaissaient avec le soleil. Ses premières frasques me rendirent malade de jalousie, mais j’appris bien vite à ne pas en vouloir aux mignons avec lesquels il jouait, au moment de gloire si éphémère. Il m’en parlait et s’en amusait, comme un enfant racontant ses bêtises, puis les oubliait.
Il me réservait toujours tendresse et sincérité. Rien de plus cependant. Il n’aurait pourtant eu qu’un mot à dire, qu’un geste à faire, et j’aurais été à lui, avec plus de passion et d’amour que tout ce que ses amants pouvaient lui offrir.
Mais il rencontra Roxane. Une princesse quelconque d’un de ces nombreux pays qu’il explorait un à un. Une barbare, que tous lui déconseillaient. Mais aller contre l’avis de ses conseillers ne l’avaient jamais vraiment préoccupé.
Je la détestais dès le premier jour. Elle, sa peau brune, sa voix aux accents rauques et sensuels, ses yeux noirs brûlants qui avaient séduit mon Alexandre. Elle parlait peu, restait mystérieuse, un lourd voile or et pourpre cachant son visage à tous, ne laissant voir que son regard perçant.
Il était complètement envoûté et ne pensait plus qu’à elle. Il me parlait d’elle jour et nuit, de son corps qu’il rêvait souple et ferme à la fois, de ses yeux farouches et de leur éclat sauvage qu’il avait si hâte de dompter, de cette chevelure noire d’huile qu’il voulait tordre et respirer jusqu’à en perdre la raison…
Un soir je lui dit en plaisantant que les nuits dont il rêvait avec elle ressemblaient plus à des corps à corps acharnés qu’à de tendres moments amoureux. Il me répondit, la voix enflammée :
« Au contraire! As-tu déjà vu regard aussi… ardent? As-tu vu sa force, sa flamme lorsqu’elle danse, lorsque tout son corps se tord et s’enroule, comme la panthère noire, les membres tendus, luisants, prête à bondir… le moindre de ses mouvements aspire à la violence de l’amour, Hephaistion ! Cette fille est un feu, un brasier de passion !
- Et alors ? Plus le brasier est ardent plus il s’éteindra vite ! Tu sais comme moi que les petites flammes sont les plus vivaces… embrase celle là quelques nuits, et vois ce qu’il t’en reste par la suite ! »
Oui, je plaisantais.
Je plaisantais, que pouvais-je bien faire d’autre… comprendra-t-il un jour combien je souffrais en l’écoutant fantasmer sur elle… en vérité, je savais pertinemment qu’il la respectait trop pour en faire son amante parmi tant d’autres, pour qu’elle ne soit que sa maîtresse. Non, c’était tellement plus…
Cette femme porterait son enfant.
Et mon cœur saignait si fort, Alexandre…
Chaque jour je sentais qu’elle t’obsédait d’avantage, je te voyais t’éloigner un peu plus de moi, de mon pauvre amour, éternel et douloureux. M’appartiendras-tu encore un peu ? Je ne viendrai plus dormir dans ton lit Non, je n’oserai plus m’introduire dans ta chambre, me glisser dans tes draps et me coller à toi jusqu’au petit matin. Toi, ton corps, ta chaleur…cela ne serait plus correct. Et puis je risquerai de l’y croiser. Mais toi, viendras-tu dans le mien ? Le roi fait ce qu’il veut, quand il veut… viendras-tu quelquefois, juste avant l’aube rouge, recréer avec moi ces délicieux moments d’intimité… viendras-tu ranimer cette complicité, si intense entre nous, et dont j’ai tant besoin ? je serais toujours là Alexandre, je ne vis que pour toi. Mais toi, m’oublieras-tu ?

Je me rapelle...
Quelques jours avant la mariage.
Il était si excité… comme un jeune soldat, lassé des entraînements, frémissant d’impatience à l’approche du combat.
La nuit.
J’étais allongé tout contre lui, profitant du peu de nuits qu’il me restaient avant de ne plus pouvoir le faire librement. Marié…cela me semblait si étrange…
Il s’était endormi paisiblement après m’avoir pour la énième fois énuméré les bizarreries d’un mariage perse. Il trouvait follement amusant de se marier selon leurs coutumes. Tous ses généraux grinçaient des dents, mais il était tellement heureux… irrésistible, lorsque ses yeux sombres étincelaient de joie folle et sincère.
Irrésistible aussi à présent, endormi, le visage serein, ses cheveux d’or tombants en cascade brillante sur ses épaules nues. Appuyé sur un bras, je le regarde, inlassablement. Son torse finement musclé à la peau de miel, se soulevant sur un rythme lent et régulier, ses lèvres douces entrouvertes sur son souffle chaud…je me mords la lèvre. Comment cette scène, si émouvante, peut-elle m’apparaître si délicieusement… érotique ?
Tu es là, comme toujours… si près, et pourtant si loin de moi… et cela, pour combien de temps encore ?
Comme souvent lorsque je le contemple, les larmes me viennent aux yeux.
Voudras-tu un jour de moi, Alexandre...
M’aimeras-tu un jour, autrement que comme l’ami que je ne supporte plus d’être…

Mes larmes coulent, à présent. Je pleure, en silence.
Invisible.
Me verras-tu un jour, Alexandre ?
Je ne tiens plus.
Dans un sanglot, je me penche sur son visage inconscient, et plaque brutalement mes lèvres sur les siennes. Mais pourquoi ai-je fais ça ? Pourquoi ai-je fais une chose aussi stupide, et qui me ressemble si peu ? Je sens brusquement son souffle brûlant m’envahir. Je ne peux plus respirer. Le simple contact de ses lèvres chaudes sur les miennes salées de larmes m’électrise. Je l’embrasse, je le touche. Je me lie à lui, plus intimement que jamais auparavant. J’étouffe un gémissement de peur, d’étonnement, d’excitation, tout à la fois.
Je sens soudain sa langue frôler ma bouche. Il s’est éveillé ! Je n’ose ouvrir les yeux. Je ne sais si je pleure encore. Je la sens qui effleure délicatement mes lèvres. Je frissonne de surprise. La sensation est si douce, si agréable ! Tremblant d’émotion, j’ouvre légèrement la bouche et sa langue vient doucement caresser la mienne. Une intense chaleur se répand en moi, enflamme mes sens. Je suis incapable de bouger. Je n’ose y croire. Il m’embrasse. Ce tendre baiser m’aspire, m’étourdit. Je ne sais plus où je suis, qui je suis. Chaque mouvement de sa langue sur la mienne me pénètre, m’ébranle d’un rythme lent et profond. Je me sens partir. Je goûte à sa langue, sa saveur si intime. Il me caresse, il m’explore tendrement. Je suis à lui, enfin. C’est si bon ! Tout mon corps frémit de bonheur.
J’ai tant imaginé ce moment… celui où il me verrait vraiment, comme l’amant que je voudrais être…
Mais soudain il soupire, puis détourne lentement la tête, brisant l’instant fantastique, me laissant frissonnant et perdu.
J’essaie de retrouver mes esprits. A bout de souffle, je me redresse péniblement. J’ai peur pour la suite. Je le vois s’agiter un moment, puis ouvrir les yeux. Il s’assied, l’air hébété, et pose enfin les yeux sur moi.
« Hephaistion ? »
Je tremble.
Que va-t-il faire à présent. Va-t-il enfin comprendre, va-t-il enfin me voir ?
Ou regrette t-il déjà ce qu’il a fait ? Ma gorge se noue à cette idée. Le silence est palpable autour de nous. J’ai peur, pourquoi ne dit-il rien…
Mais son regard se détourne. Il soupire, puis lâche d’une voix plate, presque à regret :
« Je crois que j’ai encore rêvé de Roxane… »
Roxane.
Oh Alexandre, Jamais tu ne sauras combien ces paroles m’ont fait mal.
La nuit est des plus noire. Heureusement.
J’arrive tant bien que mal à étouffer les sanglots qui m’étranglent à présent, mais je ne pourrais pas lui cacher les larmes amères qui roulent sur mes joues. Je voudrais m’y noyer. Roxane…tout est détruit, tout.
Il est là, plongé dans ses rêves, ne se doutant pas une seconde du désespoir qui me broie le cœur. Je voudrais m’effondrer dans ses bras. Je voudrais m’enfuir pour ne plus avoir à réfréner mes pleurs. Crier, hurler, je ne sais plus ce que je veux. Je ne veux plus rien.
La nuit est si sombre…
« Jamais elle ne me donnera d’héritier. »
Sa voix est dure. Mais pourquoi dit-il ça tout à coup ? Son regard est vague. Je dois répondre quelque chose, rapidement, ou il se rendra compte de mon trouble. J’essaie d’empêcher ma voix de trembler.
« P-Pourquoi ? »
Lamentable, je sais.
Mais si tu savais comme j’aimerais être plus fort…
« Je ne sais pas. Je l’ai vu en rêve. »
Il soupire bruyamment dans la pénombre, s’appuie sur ses avant-bras derrière lui et rejette la tête en arrière.
« Crois-tu que j’ai tort de l’épouser, Hephaistion ? »
Je calme difficilement mes larmes. Je me sens vide. J’ai froid, si froid…et lui semble avoir tellement chaud…
Je sais ce qu’il attend de moi. Une réponse honnête, sincère, sans savoir ce qu’il m’en coûterait de lui dire tout ce qui pèse sur mon cœur. Mais puis-je encore lui donner, en ai-je encore la force…mon esprit est éteint.
Je sais que tous s’opposent à ce mariage. Ses généraux, fidèles amis de son père, tous ont essayés de le dissuader. Mais il s’est obstiné, encore et encore, comme un gamin capricieux, avec sa fougue et son assurance habituelle. Douterait-il à présent ?
Il est si beau, encore une fois. La tête ballante, les yeux clos, la bouche ouverte, ses cheveux longs caressants ses bras nus, rayonnant de chaleur et de vie dans l’obscurité. Mon Alexandre, que tous croient invincible. Mais que tous attendent de voir tomber, un jour ou l’autre. Il a toujours su ce qu’il faisait, toujours fait ce qu’il voulait. Non, il ne doute pas. Il a juste quelquefois besoin d’être rassuré.
Et c’est là il se tourne vers moi…
« Non Alexandre, tu n’as pas tort. Tu aimes cette femme, qu’importe le reste…je suis sûr qu’elle te donnera un fils, aussi grand, aussi fort que toi aujourd’hui. Et tu seras heureux, Alexandre…dans quelques jours, tu seras heureux, avec elle, et plus rien d’autre ne comptera… »
Ma voix s’étrangle. Je ne parviens plus à ravaler mes larmes. J’arrête avant qu’il ne s’en aperçoive. Jamais encore je n’avais eu autant de chagrin.
Suis-je fou, Alexandre, de te pousser ainsi dans les bras d’une autre…cette femme, que je hais…elle t’a ensorcelé…suis-je fou de te conseiller d’oublier tout le reste…
Je le vois qui sourit, de cette façon qui m’attendrira toujours. Il se rallonge et rabat les draps sur sa poitrine nue. Il tourne la tête vers moi et m’ouvre gentiment ses bras.
Je m’y blottis avec tristesse. Je sais bien à présent, qu’il la voudrait à ma place en ce moment. Il dépose un baiser sur mon front, tendrement. Comme s’il me condamnait à toujours rester ainsi. Là où est ma place.
Je dois lutter pour ne pas pleurer à nouveau. Je noue mes bras à son cou et enfouit mon visage dans le creux de son épaule. Je sens sa peau sur mes lèvres humides, son parfum qui m’emprisonne, ses mains chaudes dans mon dos…
Jamais il ne saura combien cet amour me détruit.
Peut-être est-ce là mon destin. Etre celui que tu ne verras jamais.
Mais je serais là, toujours là, à tes côtés, puisque tu as besoin de moi.
Sois heureux, mon Alexandre.




***

pff...
j'ai même pas relu, j'avais pas le courage...
dsl pour les phôtes si vous en trouvez


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MessagePosté: 30 Avr 2006 23:49 
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Pas encore atteint(e)... mais presque
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Inscription: 10 Nov 2004 00:34
Messages: 2004
Localisation: Sous ma couette
Liltih, Zabeth, ce texte est magnifique! Gosh, j'en ai les larmes aux yeux! Héphaïstion y est magnifique et Alexandre ... à foutre des baffes! Je ne l'ai pas trouvé lourd et je n'ai pas relevé de fautes (enfin, il est tard, je ne les vois plus, lol). En tout cas, chapeau, parce que ton texte m'a captivée!

:bravo:

Poutoux.
Gred

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Membre de la Confrérie des Chieuses.


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MessagePosté: 01 Mai 2006 09:36 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 16 Nov 2004 12:06
Messages: 307
Localisation: Tu vois la fille scotchée à Colin ? Oui ? Ben c'est moi.
Idem que Gred. J'ai rarement lu une fic sur la relation Alexandre/Hephaistion qui soit si émouvante. C'est tellement fort ce que tu décris, on a l'impression de ressentir la douleur d'Héphaistion (le POV renforce cette idée d'ailleurs...), vraiment, c'est magnifiquement bien écrit.
Bravo, vraiment.

_________________
Les gribouillAz...


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MessagePosté: 01 Mai 2006 09:59 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 19 Oct 2005 16:53
Messages: 134
Localisation: On Mars
Idem que les filles... on sent la douleur d'Hephaistion et le sacrifice qu'il fait par amour même si ça le rend malheureux... c'est beau...

_________________
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MessagePosté: 01 Mai 2006 10:31 
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Inscription: 17 Jan 2004 13:57
Messages: 11370
Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
:mouchoirs: C'est trop triste !! Vais aller attraper Alexandre par la peau du c* et l'obliger à regarder Hepha, non mais !! Quelle idée de vouloir épouser une pouffe quand on a un superbe apollon dans son lit !! pfff...

:bravo: c'est vraiment une fic magnifique !

Cybelia.


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MessagePosté: 01 Mai 2006 11:42 
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Pas encore atteint(e)... mais presque
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Inscription: 18 Jan 2005 16:30
Messages: 2254
:mouchoirs: Maaaiiis euuh !!

Moi j'vais me faire l'avocat du diable !
C'est pas sa faute a Alexandre s'il voit pas qu'il a la premiere merveille du monde dans ses bras. On dit bien que l'amour rend aveugle !

C'est Héphaistion de fautif : Bon sang mais dit luiiiii !!!!
Quelle fiereté mal placée ! :?

_________________
Toutes mes fics ici : http://narya-stories.livejournal.com/

French RPS :
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MessagePosté: 01 Mai 2006 22:10 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 12 Déc 2005 20:01
Messages: 37
Localisation: jamais très loin
:reviews:
très contente que ça vous ai plu !!
et en plus vous avez mis 4 fois 'magnifique'... :D :D :D
( *Zabeth-la-modeste* à *Zabeth-qui-se-la-pète*: nan mais t'as fini de révouiller toi ?? )

Sinon, Narya
Citation:
Quelle fierté mal placée !


ben en fait je n'avais même pas pensé à de la fierté... sincèrement, je crois qu'à ce stade Hephaistion n'en a plus beaucoup (uniquement avec Alexandre bien sur), sinon il ne resterait pas à ses côtés même après avoir compris qu'il ne l'aimera jamais vraiment... s'il était fier vis à vis d'Alexandre il ne se résignerait pas ainsi à l'adorer et en souffrir en silence
non je ne pense pas qu'il ne dise rien à cause da fierté (wai, ça va, on a compris), mais peut-être parce qu'il voit Alex avec tous ses amants et qu'il n'a pas non plus envie de perdre son statut de meilleur ami/confident intime pour celui de mignon comme les autres vu qu'Alex n'a pas l'air de ressentir quelque chose pour lui... Il veut que ça vienne de lui, d'une passion, pas qu'il lui fasse l'amour comme à d'autres, juste avec tendresse parce qu'il sait que ça lui fera plaisir (et donc sans véritable sentiment, ce qu'Hepha ne veut surtout pas mais sentirait forcément puisqu'il connait bien son Alex et qu'ils ne se cachent rien, et qui lui ferait encore plus de mal, à moins qu'Alex ne commence à lui mentir en simulant pour le rassurer, ce qui peut détruire leur relation d'amitié pure puisqu'ils n'ont pas de secret l'un pour l'autre, surtout si Hepha s'en rend compte un jour, ce qui ferait que....................(<--carambolage de neurones))




quoi c'est pas convaincant? je viens de me convaincre moi-même !
quoi je défends mon perso préféré? même pas vrai, nan mais quelle idée !!!
^^
(ok ok j'arrête, vais me coucher...)


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MessagePosté: 09 Mai 2006 10:03 
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Slash ou non, telle est la question...
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Inscription: 20 Avr 2004 16:38
Messages: 615
Localisation: Brest pour le moment
C'est très beau, vraiment très bien ecrit !

_________________
"outside the government, beyond the police"
"Captain Jack: Nice to meet you, Martha Jones.
The Doctor: [Irritated] Oh, don't start!
Captain Jack: I was only saying 'hello'!"

Non non je ne suis pas monomanique en ce moment


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MessagePosté: 09 Mai 2006 11:15 
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Dieu du slash ! Prosternez-vous !
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Inscription: 06 Mai 2006 18:50
Messages: 14711
Localisation: Toulouse
C'est super beau mais c'est triste...

Faites un effort les gars, communiquez !
Mon choupinou d'Héphaïstion, faut lui dire à Alex que tu l'aimeuuuuuuuuuuu
Et Alexandre faut te réveiller quand Hépha t'embrasse.

A bas Roxane, elle est trop laide ! :evil:


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 Sujet du message:
MessagePosté: 18 Juil 2007 18:25 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?

Inscription: 14 Juil 2007 13:48
Messages: 217
c'est pas lourd du tout ça ! c'est juste... ultra émouvant ! c'est un plaisir à lire d'ailleurs !!
j'irai bien tirer sur les paupières à alexandre pour lui ouvrir les yeux moi ! pauvre petit hephaistion... :? surtout que roxanne lui arrive même pas au niveau du petit orteil !! (je sais, c'est pas très constructif tout ça mais vrai !... :P ^^)
et si ça marche pas, je lance une expédition pour mettre un coup de pied aux fesses d'héphaistion (pas trop fort hein ?! faudrait pas l'abimer !) pour qu'il lui dise tout !

par contre, j'avoue que j'ai été un peu perturbée par les quelques rares passages en italique qui s'adressent directement à Alexandre
c'est vrai que ça donne vraiment un côté émouvant au texte mais j'ai trouvé ça un peu déstabilisant que ça se fixe tout à coup au milieu du reste.


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 Sujet du message: Re: Invisible - Alexandre/Hephaistion
MessagePosté: 18 Juin 2008 14:50 
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Le slash, kesako ?

Inscription: 08 Juin 2008 13:15
Messages: 68
c'est triste la fin. mais c'est trés émouvant


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 Sujet du message: Re: Invisible - Alexandre/Hephaistion
MessagePosté: 19 Juin 2008 09:25 
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Ouh là... ça commence à devenir grave !
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Inscription: 10 Juin 2006 14:07
Messages: 3585
Localisation: A Détroit, avec Connor.
Non de dieu! c'est vraiment hyper triste!! Mais tellement beau!!!

Chunhua.

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"Which part of 'I'm a genius' aren't you getting?" Nikola Tesla (Sanctuary)

"When did you get here?" "Three Cabernets and two Côtes du Rhone ago" "What's the occasion?" "Unemployment" Henry Foss/ Nikola Tesla (Sanctuary)

"-You did it Markus!
- We did it. This is a great day for our people! Humans will have no choice now. They'll have to listen to us" Markus & Connor, Detroit Become Human.

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 Sujet du message: Re: Invisible - Alexandre/Hephaistion
MessagePosté: 19 Juin 2008 11:51 
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Le slash, kesako ?

Inscription: 08 Juin 2008 13:15
Messages: 68
ta fiction est magnifique*
tres beau texte


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 Sujet du message: Re: Invisible - Alexandre/Hephaistion
MessagePosté: 06 Sep 2010 22:17 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 30 Aoû 2010 12:47
Messages: 79
Localisation: Quelque part entre le ciel et les nuages
:bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo:
Criant de vérité et d'émotion. Des émotions si pures mais si flamboyantes.

C'est un texte envoûtant (et non pas Roxane mais le bel apollon dans les bras du stupide Roi.....TT.TT)

Magnifique

Originellement


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 Sujet du message: Re: Invisible - Alexandre/Hephaistion
MessagePosté: 26 Sep 2010 15:32 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 25 Sep 2010 20:46
Messages: 313
Magnifique texte :D :O !!

En tous cas tu arrives bien à nous faire ressentir toute la douleur d'Hephaistion !
Et malgré se peine, il se comporte quand même en ami juste et fidèle, il sacrifie son bonheur et cache sa peine pour qu'Alexandre continue à être heureux.
Parce qu'il aurait très bien pu dire à Alexandre tout ce qu'il ressentait et l'empêcher de se marier à Roxanne !!

J'aime beaucoup ton histoire :D

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"Le monde est un pervers et je continuerai de le braver."

→ La vie bouge, les vents tournent et le soleil se couche tous les jours.
Comme une chanson j'ai envie d'être racontée, d'être chantée mais surtout être écoutée .←


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