Voila, voila la suite!!!!!!
Chapitre 2 : Un retour pas très accueillant
Tous les élèves étaient sortit du stade : le match de Quidditch a été annulé. Une atmosphère lourde pesait dans l’atmosphère. Ron et Hermione pleuraient de tout leur cœur avec les Gryffondors. Les Serdaigles et les Poufsouffles pleuraient aussi. Les Serpentards, eux, ne pleuraient pas mais ne disaient rien. Malefoy était avec Crabbe et Goyle. Il ne pleurait pas mais on sentait qu’il avait un immense chagrin. Soudain, quelque chose sortit du stade. Tous levèrent la tête.
C’était les professeurs. Deux infirmiers tenaient un brancard occupé. Un drap blanc recouvrait le corps. Au niveau de la tête, le blanc du drap était devenu rouge sombre. On voyait qu’une main blanche était sortit du drap et pendait. Des grosses gouttes de sang perlèrent sur la main et tombèrent par terre.
Les gouttes de ton sang continuèrent à tomber
Tout au long du chemin attristé.
La dague d’or a été prise
Ainsi que la boîte aux reflets grises.
Ton sang gisait, encore, sur l’herbe verte du stade
Une mare de sang noire.
Ainsi il a terminé
Harry Potter au sang devenu glacé.
Pourquoi as-tu fais ça, Harry ?
Es-tu triste ?
Cela fait des mois que tu n’as pas rit
Nous n’avons plus entendu ton éclat de rire.
Mais maintenant, tout est fini
Mon héros est bien partit.
Mais je m’en souviens
Ton sourire avant la fin.
Pourquoi as-tu fais cela
Avant que je dise ce que j’ai là ?
Je t’ai aimé
Mais je voulais te détester.
Alors je me suis comporté
A l’inverse de ce que mon cœur a demandé.
Maintenant, je le regrette
Tu es partit sans défaite.
Mon cœur pleure
Il est sans chaleur.
Ma chaleur est partit
Comme le ciel, devenu gris.
Non, c’est impossible !
Tu ne peux pas partir !
Tu te réveilleras à cet instant
Devant nos yeux implorants
Pour nous dire en souriant
Que c’était une blague démente.
Mais rien ne se passe
Sur ce lit en désastre.
Tu es bien mort, mon amour
Je souhaite tant ton retour.
S’il le faut
J’aurais dans mes mains une faux
Pour m’arracher ce cœur pleins de défauts.
Je sens sur mes joues pâles
Des larmes qui me glacent
Pour m’annoncer
Que le grand chagrin va commencer.
///
C’était l’heure du dîner et tous étaient assis à leur table, même les professeurs. Une nourriture incroyable était présentée sur les tables mais aucuns l’avaient touché, sauf quelques Serpentards. Cela fait dix heures qui se sont écoulées depuis ce sinistre événement. Aucun n’a parlé depuis, ils n’ont fait que de pleurer. Dumbledore se leva, lentement, puis regarda tous les élèves.
Dumbledore : « Je voue prie de bien vouloir m’écouter. »
Tous les élèves se tournent vers Dumbledore. On voyait que certain des professeurs ont pleuré depuis des heures : ils avaient les yeux rouges à cause de leurs larmes.
Dumbledore : « Je sais que c’est très difficile pour vous et pour moi. Je sais que Harry Potter avait une grande place dans notre cœur, surtout pour les personnes qui se comportaient à l’inverse de leurs sentiments les plus profonds. »
Il tourna les yeux vers les Serpentards, plus précisément : Drago Malefoy. Ce dernier le regarda, le visage très fatigué. Ses yeux étaient très rougis. Dumbledore détourna son regard puis observa ses élèves.
Dumbledore : d’une voix pleine de tristesse « Je voudrais rendre hommage à un garçon de grande qualité qui aurait dû être ici pour partager ce banquet avec nous. Je vous demande de vous lever et de porter un toast en l’honneur de Harry Potter. »
Tous les élèves se mirent debout et levèrent leurs gobelets. D’une même voix, tout le monde prononça le nom de Harry Potter. Des larmes coulèrent sur les joues des professeurs (même Rogue.), des Poufsouffles, des Gryffondors, des Serdaigles et des Serpentards (certains). Puis tous se rassissent avec le plus grand des silences.
A peine mis leurs fesses sur leur chaise que, la grande porte de la Grande Salle s’ouvrit bruyamment. Un des deux infirmiers courra jusqu’à Dumbledore.
Infirmier : visage livide et couvert de sueur « C’est terrible ! C’est terrible ! »
Dumbledore : calme « Calmez-vous, mon cher. Qu’y a-t-il de si terrible ? »
Infirmier : essaye de reprendre son souffle « La… la boîte qui contient la dague… »
Vint le silence le plus complet.
Infirmier : lâcha « Elle a disparu !! »
Dumbledore : calme « Il doit y avoir un voleur qui s’est approprié de l’objet. »
Infirmier : « C’est… c’est pas ça le pire ! »
Dumbledore : leva un sourcil « Hm ? Quoi donc ? »
Infirmier : bégaye « Le… le corps… »
Des exclamations de surprise et de terreur retentirent dans la Grande Salle. Dumbledore se leva, subitement.
Dumbledore : a perdu son calme « Harry ?? Le corps d’Harry ?? » l’infirmier hocha la tête « Dites le nous !!! »
Infirmier : cria « Le corps a disparu !!!! Il n’y a que du sang !!! Rien d’autre !!! »
Tous : « QUOI ???? »
Beaucoup de personnes se levèrent subitement. Hermione et Ron se dirigèrent vers l’infirmier.
Hermione : « C’est impossible !!! Notre ami ne peut pas avoir disparu !!! »
Drago : « Si tu ne le retrouve pas, je te le jure que ta vie sera un enfer !!! »
L’infirmier se retourna et vit un garçon blond : Drago Malefoy. Ses yeux étaient noirs de colère et de haine.
Hermione et Ron : « Malefoy ? »
Drago : « … »
Infirmier : a peur « M… mais… je… »
Dumbledore : « ASSEYEZ-VOUS !!!! »
Mais personne ne l’entendit malgré son cri. Tous étaient terrorisés et certains pleuraient.
Voix : « Mais… pourquoi pleurez-vous ? »
Cette voix…
Tous tournèrent la tête vers une des fenêtres en haut de la Grande Salle. Une personne, souriante, était assise au rebord de cette fenêtre ouverte.
Deux grands yeux verts étincelants brillèrent grâce à la nuit, qui était derrière lui. Un visage, pâle et un peu efféminé, était dessiné avec un sourire tendre et doux. Ses cheveux courts, d’un noir de jais, dansèrent avec le vent qui entra par la fenêtre.
Son nom…
Ron : écarquille ses yeux voilés de larmes « Ha… Harry ? »
Harry : « Oui, Ron. C’est moi. »
Ron éclata en sanglot et Hermione tomba dans les pommes. Drago resta figé, tous ses sentiments s’emmêlèrent.
Harry : « Arrêtez de pleurer. »
Ron : pleure « Co… comment… tu es un fantôme… »
Harry : leva ses sourcils, surpris « Un fantôme ? »
Il éclata de rire. D’un rire joyeux et heureux. Depuis combien de temps n’a-t-il pas rit ?
Harry : « Mais Ron, c’était qu’une farce ! »
Tous : « Quoi ? »
Dumbledore : en colère (??) « UNE FARCE DE TREEEES MAUVAIS GOUT, MR HARRY POTTER !!!!! »
Harry : O_O « … »
Dumbledore : « ALLEZ DANS VOTRE CHAMBRE !!! VOUS AUREZ 5 MOIS DE RETENU !!!! »
Harry : regard triste « Désolé à vous tous mais c’était nécessaire… Pardon… »
Harry remarqua que Hermione était revenu à elle puis il réfléchit. Soudain…
Harry : « Hééééé ! ! Je fais comment pour redescendre ? ? ? »
Dumbledore : « De la même façon que vous avez monté ! ! »
Harry : murmure « Ben, je ne sais plus comment on fait… Bon, tant pis ! »
Il se leva et sauta. (De la fenêtre jusqu’au sol : 6 mètres.)
Tous : « HAR… »
BONG ! BIG ! BLAM ! !
Harry : ? « Ben, tient ! J’ai rien sentit ! »
Voix : qui provient d’en bas : « Ouuuuuuhh… »
Harry : baisse la tête « ??? » distingue une chevelure blonde « Malefoy ? »
Harry était sur le dos de Drago. Mais c’était bizarre ! Harry était, pourtant, sûr qu’il n’y avait personne en bas. A moins que…
Harry : « Tu… tu es venu pour pas que je me blesse ? »
Drago se releva en faisant tomber Harry par terre.
Drago : « PAS DU TOUT ! ! ! ! »
Harry : ( Mais… il pleure… )
Drago : en larmes « COMME JE TE HAIS, POTTER ! ! ! ! »
Harry : baissa les yeux « … »
Harry se leva lentement puis reçut une gifle sur la joue. C’était Hermione. Elle s’était interposée pendant qu’il s’était relevé.
Hermione : « Pourquoi as-tu fait ça, Harry ? »
Ron : vient « Pourquoi ? »
Harry les regarda puis observa les autres. Tous étaient en colère mais des larmes coulèrent sur leurs joues. Même chez les professeurs. Harry leur tourna le dos.
Harry : « Je vais me coucher. Namarië ! »
Ron : « Arrête avec ta langue stupide ! »
Harry se retourna. Son visage ressortait une grande colère.
Harry : « Comment oses-tu critiquer mes ancêtres ? ? Ar ilyë tier undulàvë lumbulë ! ! ! Ar sindanòriello caita mornië ! ! I falmalinnar imbë met, ar hisië, untùpa mìri oialë ! ! ! NIN ENQUANTUVA ! ! ! !
Puis il s’en va en courant, maudissant sa « mort ».
Dumbledore : ( Si c’était vraiment une farce, comment as-tu paralysé toutes les personnes qui se trouvaient dans le stade ? Sans même ta baguette ? Même Voldemort ne peut faire cela. )
A suivre…