L'idée m'est venu de cette image.
Depuis plus de huit ans
Huit ans qu’il est mort et nul n’a jamais su faire vibrer les auditeurs au son de ses mélodie comme lui le faisait… Personne sauf lui… Lui…
Cette rumeur étaient parvenu à mes oreilles bien avant que je n’envisage même de me rendre à Paris pour m’y produire. Et pourtant c’était de cette magnifique capitale tant aimé de sa personne que provenait cette rumeur, ce grondement sourd qui m’avait valu cette invitation des Républicain à me rendre à Paris.
Malgré la Révolution et la haine du peuple français pour la royauté, et tout ce qui s’y rapportait, moi l’ancien compositeur officiel de l’empereur Joseph II, j’avais été invité à une cinquantaine de concert ou je jouerais en son nom dans les grande ville de France, dont la majorité a Paris.
Je savais qu’il aurait adoré cela, que ses composition soit apprécier, réclamer et acclamer par des anticonformiste a la loi et/ou a la moral, par des révolutionnaire.
Sa seul amertume envers ce peuple aurait été la mise à mort de Marie Antoinette, celle qu’il avait demandé en mariage à l’âge de sept ans, mais il serait passé outre cela.
Vous vous demandez surement qui je suis et de qui je parle. C’est simple, du plus grand génie de l’Histoire.
W.A.M.
Wolfgang Amadeus Mozart.
C’est de cet homme que je fais connaitre la musique, de cet homme qui m’était plus cher que tout ce que je possédais.
Car oui cet homme, Wolfgang, a éclairé ma sombre et misérable existence. A force de vibrionner autour de moi sans interruption et au fil du temps nous sommes devenus ami puis amant et enfin âme sœur.
Les dernière années de sa vie ont été les plus belle que nous ayons vécus, et ce malgré son statut d’homme marié. Il s’apprêtait d’ailleurs a divorcée lorsque sa maladie l’a arraché à ce monde.
Sa maladie…
J’aurais pu l’aider, s’il n’avait pas eu autant de fierté.
Je lui ai proposé plusieurs fois de lui prêter de l’argent afin d’améliorer sa condition de vie mais il le refusait et lorsque j’appris qu’il commençait doucement à être happé par la mort j’ai envoyé les meilleurs médecins à son chevet mais Wolfgang les a fait renvoyer à chaque fois.
Il n’aimait pas être dépendant de qui que ce soit et pourtant il l’était de moi.
Il est mort dans la misère la plus total, et sa femme la laisser aller à la fosse commune. Pour moi cela étaient une abomination, un sacrilège que je ne pouvais tolérer.
Etant présent lors de ses derniers moments parmi les vivants je savais de la bouche de sa femme, pas vraiment toucher par ce décès me semblait il, le lieu et la date d’«enterrement » de mon merveilleux Wolfgang.
Une idée folle m’est venu, face à cette injustice, qu’était la mise en fosse commune de mon aimée. Aidée de mes serviteur je m’étais rendus au cimetière où ils étaient sensé se trouver et j’étais moi-même descendus dans la fosse et j’avais récupérer le corps de Wolfgang parmi plusieurs autre cadavre.
Je l’avais ramené dans une maison de campagne proche de Viennes et là je l’avais fait embaumé puis enterrer dignement dans le caveau des Gassman, là où mon maitre voulait que je sois à ma mort puisqu’il m’avait toujours considérée comme son fils.
J’avais ensuite tout fait pour faire connaitre la musique de Wolfgang avant de quitté le service de l’empereur en faisant bien savoir à tous les courtisans hypocrite qui avait gâché la vie de mon Wolfgang, ce que je pensais d’eux, avant de traverser l’Europe, faisant connaitre mon autrichien et sa musique.
C’est ainsi que je me retrouvaient là dans ce théâtre seul sur scène devant un magnifique piano à queue face à une foule composé de riche et de moins riche, pourtant silencieuse, attendant que je commence a joué sa musique.
Inspirant doucement je survolais les touche avant de commencé a joué les Noces de Figaro, et comme depuis huit ans, je retrouvais, à travers ces moment de communion avec la musique qui était mon second amour, la présence de Wolfgang à mes coté.
Ses mains se mêlait aux mienne, nos doigts s’entrelaçais, et je commençais a joué, devant un auditoire toujours plus attentif et lorsque je m’arrêtait, lorsque je quittais ce monde de musique ou malgré la mort Wolfgang et moi nous unissions depuis plus de huit an, il posait un dernier baiser sur mon front avant de rejoindre Hadès aux royaume des mort avant de revenir la prochaine fois que je toucherais un instrument.
Si son corps n’était plus, l’âme de Wolfgang vivait et flottait autour de lui, et il était le maitre de ses mouvement des qu’il approchait d’un instrument, car Antonio savait qu’à lui seul il lui aurait été impossible de continué si l’âme de Wolfgang n’était pas à ses coté.
