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Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G http://guillon.christelle.free.fr/forum/viewtopic.php?f=77&t=8856	Page 2 sur 3

Auteur:	Texas Cow-Girl [ 01 Mai 2011 18:32 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
Il est bizarre Armand, on dirait une espèce de créature magique il me fait penser à un Korrigan lol Citation: Lui et... Mozart... Ensemble... ? Mais oui, bien sûr, et il s'appelait Hamtaro maintenant ! Alors ça j'ai adoré XD Salieri en Hamster je le veux !

Auteur:	Kilia [ 01 Mai 2011 19:59 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
Aaaaah j'adore !! J'adore Salieri qui perd toute crédibilité en essayant de nier x) Ils sont mignons !! merci Armand ! Texas-Cow-Girl a écrit: Il est bizarre Armand, on dirait une espèce de créature magique il me fait penser à un Korrigan lol ou un chat garou !

Auteur:	madoka83 [ 01 Mai 2011 20:16 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
J'adore. Quel bavard Armand.

Auteur:	Sann [ 01 Mai 2011 20:41 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
EvL490 a écrit: - Quand je parlais du terme "ensemble", je pensais à... tous les deux au même endroit... Ah j'étais pas sure d'avoir compris ^^ Mais au moins ça a eu de l'effet

Auteur:	Mademoiselle-Rim [ 01 Mai 2011 21:14 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
Il était temps que je revienne faire un tour ici! J'aime beaucoup ta fic, elle est géniale! Mozart en pingouin : énorme! & Salieri en hamtaro, encore pire! J'aime beaucoup Armand et cette façon qu'il a de changer le cours des choses!

Auteur:	aeryna [ 02 Mai 2011 19:57 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
J'avais commencé à lire cette fic sur Fanfic.net il y a quelques temps, et je suis très contente de voir que tu as commencé à écrire la suite. Etrangement je crois que j'aime beaucoup le neveu de Rosenberg, surtout s'il aide nos deux compositeurs à s'avouer leurs sentiments. Et puis, j'ai beaucoup apprécié à quel point antonio pouvait se montrer quand il essayait de nier son affection pour Wolfang. C'est pas bien de renier l'évidence Salieri En tout cas, ils sont trop choupis tous les deux

Auteur:	Anagrasmus [ 04 Mai 2011 17:56 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
C'est juste énorme, j'adore et j'adhère ! Armand est trop drôle. Et le pauvre Salieri qui contrôle plus rien ! Et pire encore Mozart...juste sublime C'est vraiment extra .

Auteur:	Shmi [ 06 Mai 2011 18:19 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
Excellent!! J'aime énormement ta fic elle est super! Ils sont mimi tous les deux! J'adore Antonio qui essaye de monter qu'il déteste Mozart mais qui au final lui fait une déclaration sublime!! J'aime bien Armand aussi, j'espère qu'on continura à la voir aussi dans la suite !

Auteur:	l-etwale-l [ 07 Mai 2011 22:53 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
Haaa mais c'est terrible (dans le bon sens du terme) _ Merci Armand j'ai envie de dire Haha =D =D Bonne continuation !! Vivement la suite

Auteur:	MozartOperaRock<3 [ 07 Juil 2011 22:48 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
Oh my god !! Le choc pour notre Tonio preferé !! J'aime bien " Quand je disait " ensemble "... Je parler de tout les deux au meme endroit... " Mon dieu la gene qu'il y a du avoir d'un coup !! Je l'aime bien ce Arment malgré le fait qu'il soit le neveu de ce bougre d'âne sans cervelle de Rosemberg !! N'empeche le passage ou il sont dans la neige a se faire des chatouille dans le chapitre 1 j'aurais bien aimer que ca derape !! lol Je n'est que deux chose a vous dire les gens : Et :

Auteur:	EvL490 [ 12 Juil 2011 16:24 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
Vraiment vraiment désolé du retard, j'ai eu un gros problème informatique Encore merci pour les reviews qui me font toujours autant plaisir ___________________________________________________ Chapitre 3: - A quoi pensait-il exactement en partant ? grimaça Salieri en fermant les yeux. - A ton avis ? répliqua Wolfgang en roulant les yeux. - Je ne veux même pas savoir, répondit le plus âgé d'un ton cassant. - Antonio... commença Mozart. - Qu'est-ce qu'il s'est passé dans votre tête au juste ? s'écria le compositeur officiel de la Cour. Je... Me prendre par surprise comme ça... - Mais je ne t'ai pas encore pris, Antonio, susurra le blond en un sourire malicieux. - N'y pensez même pas ! s'exclama l'italien, rouge et effroyablement gêné. - C'est trop tard pour cela, Maestro... murmura son collègue avec douceur. - C...Comment cela ? l'interrogea le brun, un peu surpris d'autant de sérieux de la part de l'Amadeus. - Dès que je t'ai vu, je suis tout de suite tomber sous ton charme. Tu es différent des autres, Antonio. Au moment même où nos yeux se sont croisés, j'y ai lu toutes les souffrances, la douleur que tu caches au plus profond de toi. Tu étais... un prince des glaces, surplombant quiconque de sa grandeur et de sa majesté, mais sans âme... Je voulais être celui qui t'insufflerais cette vie, cette âme. Mais en te donnant un coeur, j'ai fait naître en toi beaucoup plus de souffrances et de contradictions. Le goût de la jalousie, de la culpabilité, de la douleur est né par ma musique... - Un bien qui fait mal... murmura dans un soupir étranglé son homologue. Il serrait les poings à s'en faire mal. Ses dents entaillaient sa lèvre inférieure. Ses larmes refoulées depuis si longtemps menaçait de sortir à n'importe quel instant, tandis qu'il essayait vainement de les en empêcher. Il ne devait pas pleurer. Pas devant Mozart. Sa victoire serait ainsi complète, ayant bel et bien la preuve qu'il était la seule personne à pouvoir le chambouler ainsi. Son masque menaçait de tomber, vacillant avec tentation à chaque battement de cils. L'autrichien prit son menton entre ses doigts pour lui faire relever la tête. Ses yeux ne reflétait que le chaos. Lorsque Salieri croisa le regard tendre de son rival, il ne pu plus tenir. Il se jeta dans les bras du blond en hurlant sa peine et son désespoir. Celui-ci lui caressait les cheveux doucement, murmurant des paroles rassurantes. A ce moment précis, le fier et sarcastique compositeur ressemblait d'avantage à un enfant fragile qu'à un prince. Wolfgang le repoussa doucement pour essuyer ses larmes, et déposa un baiser délicat sur sa joue, puis au coin de ses lèvres. Le brun s'écarta aussitôt. - Mozart, je vous prierais de bien vouloir vous contrôler, grogna le compositeur officiel de la Cour, encore sonné de s'être ainsi laisser aller. - Ce qui m'est impossible en ta présence, rit le génie insolemment. De plus, avec ton nez rouge, tu es tout sauf effrayant, Antonio. - Vous êtes puéril, se renfrogna l'italien, croisant les bras sur sa poitrine comme pour se protéger, et arrêtez de me tutoyer, c'est insupportable ! - Cela ne sert à rien de mettre une barrière entre toi et moi, Antonio, s'amusa le blond comme s'il lisait dans ses pensées. Le brun lui envoya en retour un regard noir. - Très bien, Maestro, soupira le blond avec amertume, de toute manière, je ne vous ferais rien que vous ne vouliez pas. - Et que pensez-vous donc que je veuille faire avec vous ? demanda le brun d'un air exaspéré, son masque se recomposant peu à peu. - Vous voulez un dessin ? se moqua allègrement Armand qui revenait vers eux à grands pas, le sourire aux lèvres. Excusez-moi de vous interrompre, mais il se fait tard. L'Empereur... - Et bien il attendra ! s'écria avec colère l'aimé des Dieux. Nous sommes occupés ! - Non, c'est parfait, nous arrivons, le contredit son rival, les yeux fixés sur un point imaginaire devant lui. Le blond ferma les yeux en soupirant. Ils n'étaient pas sortis de l'auberge... _________________________________________________________________________ Le valet de Joseph II observait avec intérêt les trois individus qui venaient d'apparaître devant eux. Un mur de glace psychorigide munit d'un charmant balai dans le postérieur, un excentrique mal coiffé et un... androgyne frivole. Charmant. Il adressa un regard inquiet à son maître qui le rassura d'un signe de tête. - Et bien, on peut dire que quand vous partez tous les deux, il est difficile de vous retrouvez, sourit l'empereur. Il n'eut pas de réponse, et fronça les sourcils. Il reconsidéra silencieusement les deux compositeurs. L'italien était encore plus pâle que d'ordinaire, et son rival semblait nerveux. Il décida donc de se tourner vers le rouquin qui souriait, tranquille. - Dites-moi, mon ami, qu'est-ce qui c'est passé ? - Et bien, j'ai été témoin d'une scène hautement secrète et... intime, souffla-t-il sur le ton de la confidence. - Votre Altesse, je vous prierai de bien vouloir ignorer le flot d'inepties qui sort du gouffre sans fond qu'est la bouche de ce jeune homme, déclara Salieri non sans un regard assassin au principal concerné. Mozart et moi étions simplement en train de bav... - De faire du patin, Votre Altesse ! s'écria gaiement le blondinet. Salieri s'était gentiment proposé pour me servir de professeur et... - Pardon ?! le coupa l'italien, outré. C'est VOUS qui m'avez traîné jusqu'à ce lac pour ME forcer à vous apprendre quelques techniques que vous n'êtes même pas capable d'exécuter ! - Ce n'est pas la peine de vous énervez parce que vos talents de professeur laissent à désirer, Salieri, sourit insolemment le jeune prodige. - Comment osez-vous... ? s'exclama le brun, furieux. Moi, au moins, je sais tenir debout sur mes deux patins sans déclencher une avalanche ! - Si vous ne faisiez pas preuve d'une telle mauvaise foi aussi... marmonna Wolfgang. - Moi ? Je n'ai aucune mauvaise foi ! se renfrogna Salieri, débitant le plus gros mensonge de toute l'humanité entière. - Laissez-moi rire, rétorqua l'Amadeus, je ne connais personne qui dégage autant de mauvaise foi que vous. Armand, Joseph II et son valet observait l'échange devant eux comme on suivrait un match de tennis. Le valet commençait d'ailleurs vraiment à se sentir gêné. Il tourna la tête vers son maître qui souriait allègrement. - On dirait qu'ils vont mieux tout à coup, constata-t-il d'un air satisfait avant de se tourner vers Armand. Dites-moi, mon ami, comment va ce cher Rosenberg ? - Oh, trop bien à mon goût, grimaça son neveu, il n'arrête pas de gesticuler dans tous les sens. Ils se retournèrent vers le spectacle qui s'offrait à eux, mais à vrai dire, cela ne changeait pas vraiment à l'Empereur qui commençait sérieusement à s'ennuyer. - Il est sûr qu'il serait plus intéressant de les mettre tout deux torse nu dans un lit, commenta Armand devant le bâillement tout sauf discret du maître de l'Empire. Le valet faillit s'étouffer devant la remarque du roux. Son maître, quand à lui, réfléchit un moment avant de sourire dangereusement. - Ce n'est pas une mauvaise idée... - ARRETEZ CA TOUT DE SUITE !! cria d'un ton hystérique Salieri, au bord de la syncope. - Pourquoi donc, Antonio, vous auriez peur d'aimer ça ? murmura à son oreille le blondinet, taquin. - P..Pas du tout, qu'est-ce que vous allez vous imaginez ? bégaya l'italien, en chassant des images plus que douteuses de son esprit. - Il fait chaud, vous ne trouvez pas ? le railla Armand. - Non, au contraire j'ai froid, répliqua le beau ténébreux en essayant de rassembler le peu de dignité qu'il lui restait, en vain. - Quand je parlais de mauvaise foi, je ne pouvais pas tomber plus juste, ricana l'autrichien, un sourire éclatant aux lèvres. - Je ne vous entends plus, Mozart, annonça d'un ton mortel son rival. - Quel dommage... Moi qui allait vous réconfortez à ma manière, susurra chaudement l'aimé des dieux. - Cela me donne encore moins envie de vous écoutez ! - Et bien, pourquoi le faites-vous ? - Vous m'énervez, Mozart ! - Ne vous inquiétez donc pas, je crains que tous le monde ici ne l'ai compris... - Oh, ça je peux même vous l'assurer, l'enfonça un peu plus le roux toujours posté aux côté de l'Empereur. - Quand à vous, on ne vous a rien demandé ! explosa le brun. Vous apparaissez comme un diable qui sort de sa boîte et foutez tout mon monde en l'air ! - Et vous m'en voyez navré, ce qui n'est pas non plus une raison pour devenir grossier. - Oh, à ma place, n'importe qui deviendrait grossier ou même fou ! Explosa finalement l'italien. Le valet de l'Empereur se racla alors la gorge bruyemment, coupant ainsi le brun dans son élan. - Monsieur l'intendant Rosenberg, annonça-t-il en sentant déjà la catastrophe arrivée. A suivre...

Auteur:	Sann [ 12 Juil 2011 17:20 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
aïe aïe ça promet pour la suite si Rosenberg s'en mêle.. Pauvre Salieri seul contre tous

Auteur:	madoka83 [ 12 Juil 2011 17:35 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
J'adore. EvL490 a écrit: Un mur de glace psychorigide munit d'un charmant balai dans le postérieur, un excentrique mal coiffé et un... androgyne frivole. Charmant. Effectivement la description est charmante. Sann a écrit: Pauvre Salieri seul contre tous Ben je veux bien m'allier avec lui...............quoique plutôt le convaincre à accepter Mozart dans son lit.

Auteur:	Sann [ 12 Juil 2011 17:46 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
madoka83 a écrit: Sann a écrit: Pauvre Salieri seul contre tous Ben je veux bien m'allier avec lui...............quoique plutôt le convaincre à accepter Mozart dans son lit. Je suis bien d'accord Mais sinon je peux vous rejoindre? Comme alliée

Auteur:	madoka83 [ 12 Juil 2011 18:01 ]
Sujet du message:	Re: Les avantages de l'hiver - Salieri/Mozart - G
Sann a écrit: madoka83 a écrit: Sann a écrit: Pauvre Salieri seul contre tous Ben je veux bien m'allier avec lui...............quoique plutôt le convaincre à accepter Mozart dans son lit. Je suis bien d'accord Mais sinon je peux vous rejoindre? Comme alliée Y a aucun soucis Mais moi

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