Désolé pour l'attente, voici l'ultime scène. Si je me sens le courage, il y aura peut être un épilogue.
Scène 3
Le soir, chez Salieri.
(Salieri, Mozart, un majordome)
Mozart (dans le vestibule d'un hôtel particulier): Bonsoir, je suis attendu par Monsieur Salieri.
Le majordome: Maestro Mozart, je présume ?
Mozart: Lui-même.
Le majordome: Veuillez me suivre.
L'employé de maison guide Mozart à travers différentes pièces de la grande demeure. Le majordome s'arrête devant une porte.Le majordome: C'est le salon. A cette heure-ci, il joue du piano.
Le majordome se retire. Mozart ouvre doucement la porte. Dos à lui, se tient Salieri, assis devant un sublime piano à queue. Il joue une mélodie chargée de tristesse. Wolfgang, prit aux tripes, s'approche de lui, pose ses mains sur ses épaules, qui remontent en une caresse aimante le long de sa nuque. Il lui dépose un baiser sur le haut du crâne alors qu'Antonio joue les dernières notes.Salieri (se retourne et amène Mozart sur ses genoux. Il l'embrasse): Cette journée a été une vraie torture.
Mozart: C'est fini. Tu n'auras plus à souffrir, j'ai quitté Constance.
Salieri (caresse la joue de Mozart): Et comment cela s'est-il passé, mon aimé ?
Mozart: Cela aurait pu mieux se passer, mais ça aurait pu être pire. L'important c'est que nous soyons réunis.
Salieri (inquiet): Et ta famille ? Comment l'a-t-elle pris ?
Mozart: Bien. Mon père et ma sœur m'ont clairement fait comprendre que j'avais leur soutient.
Salieri: Ils sont vraiment extraordinaires.
Mozart: Je sais.
Salieri (explore le cou de Mozart avec ses lèvres): Et si on finissait ce qu'on avait commencé ?
Mozart: Avec plaisir, mais dans ta chambre, j'ai besoin d'espace.
Salieri sourit, prend la main de Wolfgang, et l'entraine jusque dans sa chambre. Il laisse Mozart mener la danse. Le jeune autrichien l'allonge, et se positionne à califourchon sur lui. Il l'embrasse tout en se débarrassant de ses vêtements, dévoilant le torse bronzé de l'italien.Mozart: Hum... Antonio, tu es si beau.
Salieri (taquin): Plus beau que toi mon Wolfgang ?
Mozart: Ah ça c'est impossible !
Salieri: Occupe toi de moi au lieu de dire des inepties.
Mozart (dessine les pectoraux de Salieri du bout de la langue): Tu es pressé à ce que je vois.
Salieri: Bien sûr que je suis pressé, j'ai tellement envie de toi.
Mozart (pose une main sur l'entrejambe de Salieri): Ah oui, ça je le sens bien.
Salieri: Hum.... Wolfgang, caresse moi.
Wolfgang Amadeus Mozart finit de déshabiller Antonio, et se débarrasse de ce qui reste de ses propres vêtements. Une fois tous deux nus, il satisfait la demande de Salieri.
Une demi-heure plus tard:Salieri (les joues rouges, les cheveux en bataille, dans les bras de Mozart): C'était divin mon Wolfgang. Il n'y a pas à dire, en plus d'être aimé des dieux, tu en es un.
Mozart (essoufflé): Peut-être que je suis un dieu, mais c'est fatiguant.
Salieri: J'espère que tu récupères vite, Monsieur le dieu, parce-que je compte bien remettre ça.
Mozart: Quand ?
Salieri: Maintenant !
Mozart (rit, tout en embrassant Salieri): Alors on inverse les positions !
Baissé de rideau. Fin de la pièce.--------------------------------------
THE END !!!!!
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J'adore!
, je suis tellement contente qu'il est quitter Constance pour Salieri que je n'arrive pas à être triste pour elle, bien que cela soit plus dur pour elle que pour mozart
tout à fait vrai par ailleurs, et tu as su la placé merveilleusement bien 
T'as pas de raison d'être jaloux Salieri il t'aime ton Mozart !
Ta fic sous forme de pièce va drôlement me manqué