Forum - Le Monde du Slash

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MessagePosté: 29 Avr 2007 13:57 
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C'est dingue comme j'ai la voix d'Emmanuel Moire dans la tête quand Louis parle ! ^^

Et j'ai hâte de lire ce qui va se passer ensuite entre Philippe et Filippo.

:suite:

Cybelia.


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MessagePosté: 29 Avr 2007 15:28 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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lol Je savais que tu allais dire ça ! (Pour moi, c'est plutôt la voix de Manu D., puisque je l'ai vu plus souvent - enfin, sauf si on compte toutes les fois où j'ai regardé le DVD - mais peu importe. Il est très bien aussi, Manu M... Surtout qu'il est très slashable ! :wink: )

Dans quelques jours, la suite, d'accord ?

Ah, et puis comme toujours: Image pour le commentaire. :)

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MessagePosté: 02 Mai 2007 14:40 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Chapitre 11

La formule d'accueil ne laissant aucun doute sur l'identité du visiteur, Filippo se précipita vers la porte et écarta son petit frère pour passer devant.

– Bonjour, Philippe, dit-il ensuite en s'efforçant de ne pas trop montrer qu'il aurait aimé ajouter quelque geste affectueux à ce salut trop strictement amical. Entrez si vous le souhaitez, mais je dois vous prévenir que c'est à vos risques et périls !

Comme prévu, l'avertissement amusa Philippe, qui sourit et répliqua sur le même ton :

– Votre famille ne saurait être pire que les courtisans et, surtout, les courtisanes qu'il me faudra affronter au bal ce soir...

Filippo s'effaça donc pour le laisser entrer et, au passage, lança un coup d'œil significatif à Alfonso, qui leva les yeux au ciel mais obéit tout de même à l'ordre muet : après être allé chercher un livre resté ouvert sur la table de travail, il revint vers les deux autres et passa entre eux pour sortir.

– Je vous laisse causer en privé, déclara-t-il en s'arrêtant un instant devant son frère avec une expression malicieuse indiquant clairement sa conviction que "causer" n'était pas le mot le plus susceptible de refléter la réalité.

Filippo n'y répondit que par un geste de la main non moins clair : "Allez-vous-en au lieu de vous moquer de moi". Mais il n'était pas fâché. Un sourire mal réprimé trahissait même un certain amusement qui n'échappa ni à son frère ni à Philippe.

Le prince, toutefois, était un peu gêné de chasser ainsi Alfonso de sa propre chambre. Aussi décida-t-il de lui dire qu'il ne voulait pas l'obliger à s'en aller.

– Ce n'est rien, Monseigneur, assura gracieusement le jeune garçon. Je serai aussi bien au salon. Et peut-être même pourrais-je me rendre utile en vous avertissant si quelqu'un d'autre arrive.

Cette dernière phrase s'adressait surtout à Filippo, qui ne trouva aucun moyen de le faire taire avant qu'il soit trop tard et ne put que limiter les dégâts en employant l'italien pour lui répondre qu'empêcher Olimpia de venir écouter à travers la porte devrait suffire. Mais Philippe avait déjà compris, comme le prouva la première chose qu'il dit dès qu'Alfonso fut parti :

– Il sait, lui aussi ?

– Oui, soupira Filippo, résigné. Je ne lui ai rien dit, mais il est très observateur et sait surtout très bien tirer les bonnes conclusions de ce qu'il voit. A vrai dire, je crains que notre oncle ne cherche rapidement à tirer profit de ce don... Mais pour l'instant, rassurez-vous, c'est encore à ma cause qu'il est acquis – ne serait-ce que parce que j'ai accepté de l'aider à prendre de l'avance sur ce qu'il apprendra au collège.

– Oh ! Serait-ce donc un futur élève modèle ?

Philippe semblait trouver amusante l'idée qu'Alfonso puisse vouloir étudier à l'avance alors que son frère n'avait, de son propre aveu, jamais accordé aux études qu'un intérêt très moyen.

– Pire que cela, répondit Filippo d'un air accablé qui n'était qu'à moitié feint. En fait, c'est un vrai petit génie. Il en saura vite plus que moi, et j'aurai l'air d'un idiot. Vous aurez honte de me fréquenter, Philippe !

A ces mots, le prince éclata de rire.

– Jamais ! s'exclama-t-il.

Un baiser sur les lèvres vint à point pour donner plus de poids à la protestation, même si Philippe n'avait en réalité pas du tout calculé cet effet. En simple amoureux, il avait seulement saisi la première occasion de se jeter dans les bras de celui qu'il aimait – et, bien sûr, Filippo n'y vit aucune objection.

– Un parfait idiot m'ennuierait, reprit le prince un instant plus tard sans toutefois reculer de plus d'un centimètre, mais je n'ai pas non plus besoin de quelqu'un qui m'assommerait de discours auxquels je n'entendrais rien.

– Même s'il ressemblait à Paolo, que vous trouviez si beau ? ne put s'empêcher de demander Filippo, tout en se maudissant de trop laisser paraître le complexe d'infériorité que son oncle et sa mère lui avaient donné à force de le comparer à cet aîné héroïsé par une mort au service du Roi.

– Mais qu'allez-vous donc imaginer ? s'écria Philippe, en riant de ce qui, pour lui, n'était que divagation. Pensez-vous vraiment que je pourrais vous délaisser aussitôt que votre frère serait en âge de prendre votre place ?

Filippo savait bien que c'était absurde – d'autant plus qu'Alfonso, lui, aimait les filles – mais il ne plaisantait toujours qu'à moitié quand il répliqua :

– Qui sait ? C'est bien ce que fera mon oncle.

Cela, du moins, n'avait rien d'une inquiétude sans fondement. C'était l'évidence. Même si se demander subitement si le Cardinal n'en viendrait pas à penser qu'Alfonso remplirait peut-être mieux la mission abandonnée par son aîné revenait sans conteste à tomber de nouveau dans un gouffre d'exagérations paranoïaques. Heureusement, Philippe était là pour mettre un frein à ces idées extravagantes.

– Votre oncle ne vous aime pas, concéda-t-il, mais moi...

Il s'interrompit pour chercher des mots qui pourraient exprimer ce qu'il ressentait, mais rien ne lui parut convenir, et il finit par embrasser une nouvelle fois son "ami", plus longuement, en espérant qu'il comprendrait ainsi. Ce qui ne l'empêcha pas de finir par préciser, parce qu'après tout ce genre de choses est toujours agréable à entendre :

– Moi, je ne vois que vous, je ne veux que vous...

Il se sentit bien encore un peu coupable quand l'idée qu'il voyait tout de même beaucoup Armand aussi s'imposa à son esprit, mais il chassa cette pensée importune et ne rompit le baiser suivant que pour poser une question pleine de sous-entendus :

– Cette porte ferme-t-elle à clé ?

Filippo le regarda un instant d'un air choqué – ou, plus exactement, surtout stupéfait d'entendre le prince lui parler d'une manière presque digne de Pierre-Emmanuel – puis, avec un éclat de rire, il franchit d'un pas la distance qui le séparait de la porte et donna un tour de clé en se disant que, si quelqu'un s'apercevait qu'il s'était enfermé, il serait toujours temps d'inventer une explication aussi stupide qu'innocente du genre "J'ai mis Alfonso dehors et j'ai verrouillé la porte pour l'empêcher de revenir parce que je ne supportais plus ses bavardages". De toute façon, à part Maria, qui soupçonnerait la vérité ?

~ * ~

En qualité de neveu et nièces de Mazarin, les aînés des Mancini étaient invités au bal dont Philippe avait parlé quelques heures plus tôt. N'ayant, comme le prince, aucune envie de faire la conversation à des demoiselles qui pourraient se montrer trop intéressées par lui, Filippo avait décidé de danser avec Maria... en s'arrangeant pour avoir Philippe dans son champ de vision le plus souvent possible.

– Cessez donc de le regarder ainsi ! finit par le gronder la jeune fille, impatientée. Tout le monde va s'en apercevoir !

– Les gens ont mieux à faire que m'épier, répliqua distraitement son frère en tournant de nouveau la tête pour suivre des yeux Philippe qui parlait avec son ami Armand.

Maria soupira mais n'abandonna pas.

– Peut-être pas tout le monde, insista-t-elle, certaine qu'une ou deux filles au moins jetaient souvent un coup d'oeil dans leur direction en souhaitant être à sa place. Et à ce propos, ne danser qu'avec votre soeur n'est sans doute pas très judicieux.

Bien que sachant parfaitement aussi ce qu'en penseraient les gens – au mieux, qu'il se voulait fidèle à une absente ; au pire, qu'il avait pour sa soeur une tendresse excessive et, entre les deux, la vérité – Filippo préférait s'exposer aux ragots plutôt que d'être privé de la seule personne à qui il puisse parler de ce qui l'intéressait.

– Vous voulez dire divaguer en énumérant les qualités de votre prince adoré, grommela Maria, qui commençait à se lasser de ses discours d'amoureux.

– Et ajouter que, même s'il affirme ne voir que moi, je vois bien, moi, que le comte de Guiche est loin d'être invisible à ses yeux.

Ce couplet du jaloux, Maria le connaissait également par coeur.

– Il ne l'est pas aux vôtres non plus ! s'exclama-t-elle en riant, dans l'espoir qu'un ton léger serait plus efficace qu'un autre soupir agacé pour convaincre son frère de changer de sujet.

– Non, mais c'est différent, répondit Filippo beaucoup trop sérieusement. Je...

Il s'interrompit brusquement et cessa aussi de danser, sans explication, s'écriant seulement "Non, vraiment, il exagère !" avant de laisser Maria toute désorientée au milieu de la pièce.

N'ayant pas vu la scène qui indignait son frère – Armand parlant bas à l'oreille de Philippe, qui minaudait comme une fille – elle ne pouvait deviner lequel des deux désignait ce "il", mais elle n'en était pas moins persuadée que c'était l'un ou l'autre – et tout autant qu'il serait vain de rappeler Filippo. Aussi prit-elle le parti de se chercher un coin tranquille pour s'asseoir et regarder danser le Roi. Avec Olimpia... Mais non, elle n'était pas jalouse.

~ * ~

– Mancini ! Quel plaisir de vous revoir !

Filippo répondit assez froidement au salut d'Armand et se plaça aussi près de Philippe que la décence le lui permettait, écoutant à peine le comte qui continuait à lui parler joyeusement et, à son grand embarras, finit par faire signe à l'un de ses amis de venir les rejoindre.

– Bernard, vous allez enfin pouvoir dire au Signor Mancini ce que vous pensez de ses accusations, annonça-t-il même, rieur, dès que ledit ami – un garçon blond que Filippo avait souvent vu avec lui – fut à portée de voix.

Puis il fit rapidement les présentations d'usage, bien que ce ne soit pas réellement utile :

– Bernard de Longueval, marquis de Manicamp... Philippe Mancini – ou plutôt Filippo Mancini, déclama-t-il en accentuant comme il se doit les avant-dernières syllabes. La prononciation est-elle correcte ?

– Parfaite, assura d'une voix faible Filippo, qui ne savait plus où se mettre.

C'était vrai, du reste, et Philippe se serait encore attardé à regretter de ne pouvoir faire aussi bien s'il n'avait, lui aussi, eu l'esprit trop absorbé par le souvenir de la conversation qui les mettait maintenant dans une situation embarrassante. De toute évidence, Armand avait trouvé très amusant de rapporter au moins à Bernard les insinuations de Filippo au sujet de la nature exacte de leur amitié.

– Je ne voulais pas vous insulter, hasarda le jeune italien, incapable de trouver autre chose à dire.

Par chance, le marquis réagit exactement comme son meilleur ami : il éclata de rire.

– Je le sais ! s'exclama-t-il comme si c'était la seule réponse qu'on put attendre. C'est Armand que vous vouliez insulter... Je ne peux vous en blâmer, car il le méritait assurément.

Avant que quiconque ait le temps de répliquer, un autre jeune homme – aussi blond que Bernard de Longueval, mais au teint plus clair et à la taille plus épaisse – se glissa sans cérémonie entre le comte et le marquis pour intervenir sur le même ton :

– Il n'est là rien de surprenant : l'esprit d'un Italien ne peut qu'être naturellement enclin à cette sorte de pensée.

Après coup, il ajouta "Bonsoir, Messieurs", et Filippo, qui avait reconnu Louis-Victor de Rochechouart, duc de Vivonne, lui rendit son salut en souhaitant une fois de plus n'avoir jamais prononcé les mots dont ils plaisantaient tous avec tant de désinvolture.

– C'était seulement une rumeur que j'avais entendue, commença-t-il d'une voix hésitante.

– Et vous avez eu l'esprit d'en faire une arme pour vous défendre, constata le duc, visiblement amusé de le voir si embarrassé. Nous-même n'en usons pas autrement.

– Presque pas, fit mine de corriger son ami Bernard avec un gloussement de rire digne de Philippe.

Et Armand parvint finalement à détendre complètement l'atmosphère en enchaînant :

– Pas du tout, en vérité, si l'on considère que la meilleure défense, c'est l'attaque !

Filippo comprit rapidement pourquoi Philippe appréciait généralement leur compagnie, malgré le risque d'être victime de leurs moqueries : ils ne disaient que des bêtises, mais leur humeur joyeuse était communicative et, la plupart du temps, même quand ils critiquaient quelqu'un, ils tournaient l'injure de telle manière qu'on ne pouvait qu'en rire, quelque soit l'opinion qu'on avait de la personne visée.

Il eut d'ailleurs bien aimé savoir ce qu'ils disaient de son oncle et il comptait le demander à la première occasion, mais leur conversation prit fin trop rapidement, Louis-Victor s'étant brusquement souvenu qu'il avait promis à une jeune fille de lui amener Armand "de gré ou de force". Ils prirent donc congé – tous les trois, car la jeune fille en question avait des amies qui ne manqueraient pas d'accorder une danse aux deux autres garçons.

– Je parierais que Bernard préfèrerait danser avec Armand ! commenta Philippe aussitôt qu'ils se furent éloignés.

Filippo sourit.

– Vous devriez le lui dire, pour voir comment il répondrait...

– C'est inutile, répliqua Philippe en souriant aussi. Je le devine très bien. Pas vous ?

– Quelque chose comme "Vous me prêtez votre propre rêve" ? suggéra Filippo.

Il avait voulu dire que Philippe aurait sûrement aimé danser avec lui, comme il souhaitait d'ailleurs pouvoir le lui demander, mais la formulation faisait plutôt penser qu'il l'imaginait rêvant de se trouver dans les bras d'Armand, et Philippe s'empressa de préciser que ce n'était pas le cas :

– Si je ne craignais de fâcher mon frère et ma mère, je porterais une robe de princesse, et vous seriez mon prince, ajouta-t-il même avec le plus grand sérieux.

L'idée, toutefois, était trop extravagante pour être accueillie sans un éclat de rire.

– Le seul prince, ici, c'est vous, remarqua modestement Filippo, jugeant qu'il ne pouvait accepter sans protester un titre – aussi théorique soit-il – que même la fortune de son oncle n'aurait pu lui acheter. Et vous n'avez pas besoin de vous transformer en princesse pour me plaire.

Son regard disait d'ailleurs très clairement à quel point Philippe lui plaisait tel qu'il était et, comme souvent, le prince se perdit dans ces yeux sombres, oubliant que le monde continuait de tourner autour d'eux.

– Tout de même, reprit Filippo d'un ton rêveur, j'accepterais volontiers l'aide d'une fée qui vous permettrait, d'un coup de baguette magique, de danser avec moi sans choquer personne.

– Et pas seulement danser, murmura Philippe en s'approchant machinalement.

Il s'en fallut de peu pour qu'ils envoient toute prudence aux orties mais, même s'ils se reprirent à temps, leur attitude fut si transparente pendant quelques secondes qu'ils auraient presque pu s'embrasser pour de bon sans causer plus de scandale.

En vérité, bien peu de gens les virent, et moins encore s'en soucièrent, mais une personne en reçut un tel choc qu'elle dut feindre de se trouver mal pour justifier le cri qui lui échappa.

La reine Anne avait certes élevé son deuxième fils pratiquement comme une fille, mais elle n'était pas pour autant préparée à le voir soudain si visiblement amoureux d'un garçon.

* * *

Et voilà pour tout ce que j'ai écrit jusqu'à présent. J'ai prévu d'écrire le chapitre 12 la semaine prochaine, mais j'attendrai probablement encore d'en avoir plusieurs avant de poster. Donc, d'avance, toutes mes excuses pour le délai.

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Dernière édition par Cybèle Adam le 29 Avr 2010 14:17, édité 2 fois.

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MessagePosté: 02 Mai 2007 19:03 
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J'adore toujours autant. Vivement la suite ! ^^

Cybelia.


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MessagePosté: 02 Mai 2007 21:04 
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Merci. :)

Bon, pour la suite, je ne peux vraiment pas dire quand je pourrai la poster. Mais elle arrivera bien un jour ou l'autre. ^^

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MessagePosté: 02 Mai 2007 22:00 
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Pas encore atteint(e)... mais presque
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Je trouve sa toujours tres bien :D
j'ai hate de savoir se qui va se passer :)

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i will let you go with longing
and the hope that you will be fine"
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MessagePosté: 03 Mai 2007 12:31 
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Merci ! ^_^

Pour ce qui va se passer... je ne sais pas non plus ! lol (Enfin si, je sais en gros ce que doivent contenir le chapitre 12 et les suivants, mais comme j'ai toujours tendance à improviser et à "laisser les personnages décider", je ne saurai réellement que quand j'aurai vraiment tout écrit.)

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MessagePosté: 03 Mai 2007 18:25 
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Yiiiiiiiiiii!!! Je viens de tout lire en bloc et je suis totalement conquise!
Ton style, tes personnages, tout est génial!
j'applaudis.
Tu viens de gagner une nouvelle lectrice assidue!

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MessagePosté: 03 Mai 2007 18:56 
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Tu as lu les onze chapitres en une seule fois ?! :shock: lol Ça a dû prendre des heures ! J'espère que tu n'avais rien de plus important à faire, au moins. :wink:

Pour les personnages, je n'y suis pas pour grand-chose: je n'ai fait que les emprunter à l'Histoire, après tout ! ^^ Mais je suis contente que tu apprécies la façon dont je les ai mis en scène. Et puis les compliments sur le style, ça fait toujours très plaisir, évidemment. :)

Merci encore d'avoir lu et commenté. J'espère que tu aimeras aussi la suite... même si elle risque de se faire attendre longtemps (enfin, toi, au moins, tu as échappé aux deux autres longues pauses, c'est déjà ça de gagné ! :wink: )

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MessagePosté: 03 Mai 2007 19:37 
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ah bon onze chapitres? ah ben ouais! je les ai pas senti passer dis donc! Pis en fait je lis très vite alors, ça m'a pas pris tant d'heures que ça! J'espère quand même que la suite arrivera dans pas trop longtemps *nieux mouillés de bébé labrador*

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MessagePosté: 03 Mai 2007 19:48 
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Eh bien... comme la suite n'est pas encore écrite, que j'écris généralement un chapitre par mois (parce que j'ai d'autres trucs en cours aussi) et que je préfère attendre d'avoir plusieurs chapitres avant de recommencer à poster (parce que parfois je modifie des détails dans un chapitre après avoir écrit le suivant)... Ça risque d'être assez long, quand même. :oops:

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MessagePosté: 22 Sep 2007 17:17 
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Non non, je n'avais pas disparu, et encore moins abandonné ma fic ! En fait, je l'ai même finie ! :) Donc, maintenant, plus de longue attente entre les chapitres restants.

Chapitre 12

La plume, cadeau de Philippe, courait sur le papier, ne s'arrêtant que pour plonger dans l'encrier avant de se laisser à nouveau guider sur la page par la main de son propriétaire. Elle n'avait pas chômé, ces dernières semaines : entre les lettres et les poèmes, Filippo écrivait certainement plus en un mois que Philippe en un an.

La porte s'ouvrit brusquement et Alfonso entra, suivi de Maria. L'élan de la plume se brisa net.

– Que se passe-t-il ? interrogea Filippo, surpris et vaguement inquiet, en se tournant vers ses frère et soeur.

– J'ai entendu quelque chose... commença Alfonso avec une appréhension visible. J'allais voir Zio Giulio, mais la Reine était avec lui, et...

– Il a écouté à la porte, l'interrompit Maria.

Il était impossible, au ton de sa voix, de dire si elle désapprouvait ou s'amusait de cette indiscrétion. En fait, son intervention avait surtout pour but d'éviter que le récit traîne en longueur. Elle l'avait entendu avant et estimait que Filippo devait savoir au plus vite. Mais Alfonso n'en protesta pas moins :

– Pas du tout ! s'écria-t-il comme si l'accusation l'avait gravement offensé.

Puis il précisa, très digne, en regardant son frère :

– La Reine criait... Écouter n'était donc pas utile.

Filippo éclata de rire. Même s'il lui arrivait de penser que son petit frère avait une fâcheuse tendance à se croire tout permis parce que leur oncle lui donnait un très mauvais exemple, il ne pouvait pas résister à ce genre de répliques faussement ingénues.

– Nous dirons donc que vous avez entendu à travers la porte, déclara-t-il ensuite, feignant aussi le plus grand sérieux.

Mais, contrairement à ce qu'il attendait, Alfonso ne lui adressa en réponse qu'un petit sourire dénué de gaieté.

– Oui... Mais ce n'est pas drôle. Elle a compris, pour vous et le Petit Monsieur...

En effet, il n'y avait vraiment pas de quoi rire ! Une exclamation horrifiée échappa à Filippo, dont la main se crispa sur la plume qu'il tenait toujours sans y prêter attention. Il la reposa enfin sur le bureau et, comme chaque fois qu'il se trouvait dans une situation difficile, ses yeux cherchèrent ceux de sa soeur préférée.

Maria ne dit rien, mais croiser son regard suffit. Se tournant de nouveau vers leur petit frère, Filippo réclama plus d'informations.

– Elle était très en colère, raconta le jeune garçon avec une moue désolée. Elle a hurlé "Comment osez-vous manipuler mon fils de cette façon ?" et "Cette histoire doit cesser immédiatement".

– Mais... non ! s'exclama Filippo, incapable de croire que ses pires craintes étaient en train de se réaliser. Elle ne peut pas tout détruire sous prétexte que j'ai commencé par obéir à un ordre insensé ! Notre oncle ne lui a-t-il donc pas dit qu'il n'était plus question de cela, maintenant ?

Alfonso secoua tristement la tête. Bien sûr, cette phrase-là aurait pu lui échapper, mais...

– Hélas, intervint Maria d'un ton encore plus triste, je crains qu'il n'ait volontairement omis de le préciser. Il a probablement saisi l'occasion de se venger de votre insoumission...

– Oh ! Oui, bien sûr... soupira Filippo. C'est tout ce à quoi l'on peut s'attendre de sa part. Et maintenant la Reine va aller dire à Philippe que je ne l'ai jamais aimé.

Sa voix se brisa sur ces derniers mots, et Maria s'empressa de s'approcher pour le serrer dans ses bras.

– Peut-être n'est-il pas trop tard, dit-elle doucement, comme elle aurait parlé à un enfant apeuré. Vous pourriez lui expliquer...

– Il ne me croira jamais !

Les autres tentèrent de le persuader qu'il pourrait au moins essayer, mais Filippo savait qu'il n'avait aucune chance. Philippe doutait déjà tellement sans raison ! Habitué à vivre dans l'ombre de son royal aîné, il avait toujours du mal à croire qu'on puisse s'intéresser à lui. Il avait sans cesse besoin d'être rassuré... Ce n'était que trop facile à comprendre pour quelqu'un comme Filippo, qui devait toujours se battre pour le droit d'être lui-même et non le remplaçant de son frère disparu. Lui aussi doutait trop souvent. Lui aussi perdrait définitivement toute confiance dans un cas comme celui-là.

– Alors le mieux serait d'aller parler à la Reine, déclara Maria après un instant de réflexion. Si elle accepte de nous écouter, elle comprendra qu'il vaut mieux ne rien dire à son fils.

Malheureusement, Anne d'Autriche tenait, comme son ami le Cardinal, Maria et Filippo en piètre estime. Ortensia et Marianna, qui avaient sa préférence, auraient sans doute pu la convaincre de n'importe quoi, mais il était évidemment hors de question de mettre les petites dans la confidence. Laura Vittoria étant absente et Olimpia indigne de confiance, il ne restait qu'une option :

– J'irai ! décida Alfonso sans la moindre hésitation.

Filippo le regarda sans répondre, songeur. Était-ce une bonne idée ? Il n'en était vraiment pas sûr. Mais le "petit" guettait sa réponse avec un air qui semblait supplier "Laissez-moi faire quelque chose pour vous aider", et il fallait bien admettre que c'était son seul espoir.

– Très bien, accepta-t-il finalement. Dites-lui...

– Que vous aimez Philippe, termina Alfonso à sa place.

Et il sourit. Pas malicieusement comme d'habitude, mais avec une telle assurance que Filippo en fut touché. Ce sourire-là signifiait "Faites-moi confiance, elle me croira" et, à le voir, il était impossible d'en douter.

– Merci...

Pour une fois, Alfonso ne tenta pas d'esquiver la main qui lui ébouriffa les cheveux. Cela faisait ridiculement "bébé" mais, après tout, si c'était le seul moyen qu'avait trouvé son frère pour montrer qu'il l'aimait, il pouvait le supporter.

~ * ~

Philippe entra chez sa mère d'un pas hésitant. Pourquoi l'avait-elle convoqué ? Il ne voyait pas ce qu'elle pourrait avoir à lui reprocher, mais l'expression indéchiffrable qu'elle affichait semblait indiquer que la conversation n'aurait rien de plaisant, et le ton sur lequel elle l'invita à s'asseoir le conforta dans cette impression. Ce n'était pas exactement celui qu'elle employait quand elle était fâchée, mais il avait quand même quelque chose d'inquiétant.

– Ce Philippe Mancini... commença-t-elle alors, et le coeur de son fils s'emballa.

Savait-elle ? Avait-elle des soupçons... ou des certitudes ?

– Depuis quand le fréquentez-vous ?

Certitudes, apparemment. Mais peut-être ne savait-elle pas tout.

– Quelques semaines, répondit évasivement Philippe en s'efforçant de ne pas paraître trop mal à l'aise. J'apprécie beaucoup sa compagnie. Tout le monde préfère toujours tenter d'obtenir les bonnes grâces de Louis, mais lui...

– Il ne s'est intéressé qu'à vous, conclut la Reine à sa place. Et soudainement, je crois... Cela ne vous a-t-il pas étonné ?

Où voulait-elle en venir ? De nouveau, Philippe chercha – en vain – un indice quelconque sur le visage impassible de sa mère. Pas le moindre sourire, mais pas non plus d'éclat de colère dans les yeux. Rien. Si ce n'est, peut-être, la détermination. Mais quant à deviner ce qu'elle tenait à savoir...

– Mère, je ne sais ce que vous imaginez, mais je vous assure qu'il ne s'agissait pas de passer par moi pour mieux se concilier le Roi ensuite, hasarda-t-il. Philippe Mancini ne ressemble en rien à son oncle.

– Qu'en savez-vous, mon fils ? répliqua aussitôt Anne en détournant les yeux, incapable de soutenir plus longtemps le regard de son fils.

– Mère, je le connais ! Nous sommes amis.

– Amis...

Cette fois, l'expression était parfaitement claire, tout comme le ton de la voix quand elle répéta ce simple mot : non seulement elle doutait que ce fut tout, mais elle était persuadée du contraire. Elle finit même par regarder à nouveau son fils droit dans les yeux pour exiger la vérité :

– Ne me cachez rien, Philippe. Qu'est-il exactement pour vous ?

Mais comment répondre à cela ? Existait-il seulement un mot approprié à la situation ? Un mot qui évoquerait les sentiments réciproques sans risque d'ambiguïté ?

– Mon... meilleur ami, balbutia finalement le prince, tout en sachant pertinemment que sa mère ne le croirait pas.

– Vous n'avez jamais su me mentir, soupira Anne, comme résignée à devoir tout dire elle-même. Mais lui, de toute évidence, est très capable de vous faire accroire beaucoup de choses. Il prétend vous aimer, je présume ?

– Prétendre ? s'indigna Philippe, oubliant un instant son embarras. Mère, il...

– Et vous l'aimez, constata la Reine avec un autre soupir.

Ce n'était pas la peine de nier. Au moins, elle ne semblait avoir l'intention ni de hurler ni de se lamenter, mais Philippe n'en fut pas vraiment rassuré pour autant. C'était tout de même très gênant, et il était toujours convaincu qu'elle ne pouvait que lui en vouloir.

– Est-ce... vraiment mal ? demanda-t-il d'une voix faible au bout de plusieurs secondes d'un silence pesant. Louis en serait choqué, je le sais, mais vous...

Il s'interrompit, n'osant ajouter "vous m'appeliez votre chère petite fille". Cela sonnerait trop comme une accusation, comme un "tout est de votre faute" qu'elle ne pourrait que mal prendre. Toutefois, elle devait se sentir un peu coupable, car elle répondit d'un ton navré :

– Je ne juge pas vos... inclinations, Philippe. Et je ne nie pas non plus les avoir probablement favorisées à force de penser que vous auriez fait une fillette ravissante. Mais le problème n'est pas là. Cessez seulement de fréquenter ce garçon.

Renoncer à Filippo ? Les yeux de Philippe s'écarquillèrent d'horreur à cette idée.

– Mère, non ! s'écria-t-il, désemparé. Tout mais pas cela ! Nous serons discrets, je vous le promets. Personne ne saura.

Il n'était pas question qu'il accepte une chose pareille. Il supplierait sa mère à genoux s'il le fallait. Elle ne pouvait pas être si cruelle...

Elle le fut pourtant, parce qu'elle croyait savoir mieux que lui ce qu'il convenait de faire.

– Mon fils, je sais que vous tenez à lui, mais quoi qu'il vous ait dit, sachez qu'il n'agissait que sur ordre de son oncle.

– Comment ? Non ! C'est insensé ! s'emporta d'abord Philippe. Il n'a pas pu...

Mais, se souvenant de ce que lui avait dit Armand à propos de "tout cet embrouillement sentimental" dont le comte affirmait que "les hommes entre eux" ne s'embarrassaient généralement pas, il n'ajouta "C'est impossible" que de la voix sans timbre de quelqu'un qui ne croit plus à ce qu'il dit. Et il ne put retenir les larmes qui menaçaient déjà de couler depuis l'instant où sa mère avait prononcé les mots "Cessez de fréquenter ce garçon".

– C'est possible et c'est la vérité, insista Anne aussi doucement que possible. Monsieur Mazarin a ordonné à son neveu de gagner votre amitié, voire plus, et le neveu a obéi... comme son frère il y a quatre ans.

La stupeur stoppa momentanément les pleurs incontrôlables de Philippe, qui releva la tête pour croiser le regard désolé de sa mère.

– J'ai bien fait comprendre au Cardinal que j'étais outrée de le voir ainsi chercher à manipuler mes fils, annonça celle-ci, reprenant un air de majesté qui donna à Philippe la triste conviction qu'il ne pouvait attendre de sa part aucune parole consolatrice.

Au contraire, elle acheva même de l'accabler en poursuivant, toujours avec cet horrible détachement :

– Et je lui ai ordonné d'éloigner son neveu au plus vite.

– Non ! gémit Philippe.

Et il se remit à pleurer, vivante image du désespoir.

Même dans ses conditions – même en sachant que Filippo ne l'aimait pas réellement –, il ne pouvait supporter l'idée d'en être séparé à jamais. Ne plus le voir, ne plus lui parler... C'était tout simplement inenvisageable. Sans doute aurait-il dû le haïr, maintenant, mais quelque chose en lui s'y refusait farouchement.

– Mère... supplia-t-il.

Mais comment aurait-elle pu comprendre ? Comment aurait-elle pu accepter de laisser rester à la Cour un garçon qui s'était moqué de son fils ?

Plus tard, peut-être... Quand elle serait suffisamment remise du choc et de l'humiliation causés par la découverte des manoeuvres scandaleuses de son ami le Cardinal – qu'elle avait apparemment semoncé vertement mais non chassé, du reste. C'était à se demander si... Mais Philippe n'avait pas la tête à se poser des questions sur les relations de la Reine avec le Principal Ministre qui l'avait tant aidée durant sa régence. Il se contenta de prendre congé et de partir, profondément abattu.

Anne le suivit des yeux jusqu'à ce que la porte se referme. Elle aurait voulu pouvoir le consoler, mais cette situation la dépassait. Tout était tellement plus facile quand il était petit ! Maintenant, il lui échappait. Et il lui en voulait de lui avoir enlevé le garçon qu'il aimait, même si elle avait une bonne raison pour cela – du moins le croyait-elle.


A bientôt pour le chapitre suivant !

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Dernière édition par Cybèle Adam le 29 Avr 2010 14:25, édité 2 fois.

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MessagePosté: 22 Sep 2007 17:35 
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Localisation: ♫ J'ai longtemps cherché un paradis sur Terre... ♫
Moi qui suis déjà dans un état d'esprit pas très joyeux ce soir (et je ne sais même pas pourquoi), ça ne m'aide pas... mais j'aime toujours autant la façon dont tu décris les sentiments de chaque personnage...

:suite:

Cybelia.


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MessagePosté: 22 Sep 2007 18:29 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 07 Sep 2006 21:07
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Oh, désolée ! Ça ne va pas s'arranger avec le chapitre suivant, en plus... mais ça ne se termine quand même pas mal, rassure-toi !

A part ça, comme d'habitude, Image ^^

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MessagePosté: 26 Sep 2007 14:36 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 08 Sep 2006 02:52
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Mais heu!!! *pleure* c'est pas juste! et que fait Alfonso dans tout ça? Il a intérêt à courir vite! Moi qui était si heureuse de voir la suite de cette fic, tu m'as un peu cassée, mais j'ai encore plus envie de savoir la fin!! vite stp stp stp!!!!

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