Attention, cet Os est particulier. Il reflète mon style d'écriture. Ici il n'y a le point de vue que d'un personnage.
Tu me rends fou.
Enfant rêveur, il plane. C'est un enfant enclin à la solitude. Une sensibilité constamment mise à l'épreuve dans de conditions obscures. L'amertume est dû au voyage, tu pars à contre-courant. Retour chez soi! Une nostalgie du monde de l'enfance t'étreint. Le retour définitif ne sa fait pas sans difficulté. Saute, saute, saute au-dessus de la mer! Toujours et encore éviter les problèmes. Ouvres les yeux et vois, ouvres la bouche et parle. Lèves tes pieds et marches, lèves tes mains et frappes! Membres attachés et cœur piétiné. Pensées libres mais paroles mesurées. L'homme tue et on laisse faire. La nature meurs, direction l'Enfer! Chante, danse, et hurle, évacues tout ce que tu contiens! Une feuille de papier se déchire, ton âme suit le mouvement. Susceptibilité. Amitié. Tout fout le camp! On dégrade, on décline, position altérée. Tu coupes les liens, tout va à la poubelle. Nous partageons ton secret et élevons un monument à ta gloire. Parallèle avec la mort. Discussion endiablée. Qui veut être qui? Les choses changent, du bleu on passe au rose, du noir au vert. Sais-tu reconnaître les bonnes personnes? Vous ne réussirez jamais. Dans les histoires anciennes, une décadence. Aujourd'hui, manque de vertu, trop de jalousie. Renoncer à la conscience. Infortuné. Dieu, toi, moi, et ce qui m'entoure, rien n'existe. Piétine, piétine, vole! Confronté à un problème extérieur. Vices et corruptions. Défaut de mon âme. Qu'apprend-t-on? Pas besoin d'artifices pour être heureux? Cela n'a ni queue ni tête, mais tu souffres, alors tu comprends tout. Le sens de l'amitié? Rien. Tu ne sais pas ce que c'est. J'envisage les choses d'une mauvaise façon. Mauvais caractère, envahissement. Sens très fort. Je suis dans une salle, assis, mon esprit vagabonde. A Symphony, tout est en double. Tu pense à danser, mais tu marches. Symphony est le monde qu'il y a à l'intérieur de ma tête. Robot, produit de la société? Non! Différence et et originalité sont les maitres mots. Symphony, c'est moi. C'est étroit mais étonnamment grand. Soleil, je préfère la pluie. Ma bouche s'ouvre grande et je parle, mais ce n'est pas moi qui prononce ces mots. Me vois-tu, m'entends-tu? Resserrer les liens. Pas de division mais une réunion. C'est tellement dur de vivre quand on ne possède rien. C'est tellement dur d'aimer sans être aimé en retour. Trois points de suspension. Tout cela demande tellement de sacrifices. Sacrifices, indulgence, et reconnaissance. Inconstante, et sublimée. Ne t'appuies sur personne. Laisse seul tes sentiments. Une humanité à rejeter, mais une harmonie recherchée. Tu es au bord de l'eau, plongeant ton regard dans le bleu et soudain, tu comprends. Tu respires l'innocence. Ton regard accroche le mien. C'est mon histoire et la tienne. Ma santé se dégrade, et je n'ai plus que la peau sur les os. Plus envie de manger, plus envie de boire. Nostalgie de l'univers de l'enfance. Crises d'angoisses. Le peu de contacts extérieurs que j'ai s'évanouissent. Je m'accuse de haute trahison. Personnification. Mon esprit est dérangé. La folie me prend. Je te suis, me fuis-tu? Tes lèvres, ton corps, ton visage, ta chevelure, tout me plaît. Mes pensées deviennent de plus en plus cohérentes. Symphony s'évapore petit à petit. Mes valeurs morales réapparaissent. Non je ne veux pas! Je me prends la tête dans les mains, je me laisse tomber, je roule par terre. Hurle,hurle, hurle, HURLE!! Je rêve. Tes mains se posent sur mon corps, et tu me caresses. Baisers et louanges, m'aimes-tu? Cauchemar. Repoussé, rejeté, hurlé, frappé, craché, piétiné! Je me relève. Quel est le sentiment qui s'empare de moi? La mer s'étend à perte de vue. Comment finit mon histoire? J'vance pas à pas. Je sens le vent m'emporter. La nuit tombe et je tombe avec elle. Un pic me traverse e corps, me déchire. C'est ne folie. Et elle me délivre. Mes yeux se ferment, je me libères enfin. Envol, envol, envol, envol! Des arbres, et uniquement des arbres. L'air pur, je tourne sur moi-même. C'est le même paysage. Oui, c'est ça le paradis. Je me sens enfin en paix avec moi-même. Symphony.
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Fiiiiiiin.
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