Note: Les homos sont méchants. Pas tout le temps, pas tous. Mais quelques uns oui. J'adooooooooore le slash, mais cette fois j'avais besoin d'écrire quelque chose sur un couple qui soient des sales pédés au sens prope du terme. Excusez moi si vous aimez pas.
Lieux Italie du Sud? Sud espagne profonde? Find fond du Portugal?
Montres
C’est une sauvage on le sait. 30 kilos d’instinct animal et verbe assassin d’enfant de rue. Et avec tout ça on n’arrivait pas encore à lui ôter Inès et placer la gamine dans une ambiance plus saine, plus familiale, hors du champ de bataille.
Amalia n’as pas un euro sino elle ferait un procès contre son frère, elle ose le laisser crever dans une cellule de tout façon là, en prison on l’enculerait bien comme il aime. Carlos le mérite car c’est sa faute si les doigts d’Inès sont pleins de terre et de sang de s’être jetée sur le premiers qu’a dit ‘’maricon’’. Inès à mal, sa nièce est s’est battue furieusement contre ceux qui avaient raison car son père est bien un maricon de mierda, une sale pédale et un sodomite qui brulera aux fond de l’enfer. La petite le défend avec une fidélité animale et un amour d’héroïne grecque. Il mérite la mort Carlos.
Et d’ailleurs Juanvi aussi. Oui, ils le méritent car se sont des hommes. Oui, ils le méritent car ils couchent ensemble, cars ils sont en couple, car ils s’aiment. Amalia les tuerait avec ses propres doigts, comme le fait Inesita avec les gamins, pour les punir. Ils sont durs, trop durs, trop peu maternels. Ils sont coupables. D’amener l’enfant, ou plutôt la chiotte sauvage aux corridas et de lui dire que s’est bien. Et parce que Carlos dit a sa fille que sa mère était une pute et Juanvi se tait en signe d’approbation, et avant Inès pleurait et maintenant elle les croit.
Son frère était Guardia Civil avant Juanvi. Les deux ont été expulsés. Mais même comme ça ils gardent leur dureté, leurs armes. Ils flinguent des animaux et s’enculent et haïssent le monde et Inès les voit. Ou du moins elle sait.
Carlos était Guardia civil et il pense que s’il aime à un homme sa fille ne peut que lui obéir et accepter. Et s’il décide de vivre loin du monde dans les périphéries du village Inès doit partager sa haine pour le monde, son envie de tuer tous ce qui l’ont blessé lui et Juanvi. Son frère est un monstre. Et ça Amalia peut à la limite le comprendre car elle est trop bonne pour lui. Beaucoup trop bonne depuis qu’il est tout petit. Et elle est devenue carrément aveugle à ses crise de pleurs et de colères après qu’on a appris qu’il était gay dans ce coin et Ana l’à lâche.
Amalia est devenue folle au point d’accepter la théorie qu’Ana a abandonné Inès et que la valencienne, douce, belle, intelligente et folle de rage d’avoir perdu son beau Guardia Civil brun et musclé n’a pas monté des procès et des scandales publics pour récupérer l’enfant quand elle était toute petite. Pour amour pour son frère Amalia oublierait mène le jour ou Juanvi a montré un revolver a Ana et l’a dit de laisser en paix son homme si elle ne voulait pas avoir la cervelle en miettes.
Mais elle ublit pas et ils sont comme même des monstres Carlos et Juanvi. Car même si on leur insulte dans la rue s’ils sont pestifères de la société, si des groupes des jeunes hommes veulent tabasser Juanvi qui est plus jeune et a un regard couleur de miel et de feu et l’on fait quelque fois, ils ont pas le droit de faire ça a Inès. D’en faire leur arme et une paria comme eux.
Car maintenant elle a six ans mais un jour elle en aura plus et elle apprendra pour sa mère et pour tout. Et alors sa furie sera meurtrière et aura du raisonnement et plus de 30 kilos et Juanvi et Carlos vont souffrir ou encore pire Inès souffrira plus de ce qu’elle ne souffre déjà.
On voit bien qu’elle souffre, blessée allant voir ses papas. Elle jette un regard vers sa tante et se rappelle que sa tante l’aime et qu’elle ne peut pas lui parler sous peine de châtiment de son papa Carlos qui est le chef à la maison. Alors elle lance un sourire un peu gauche la petite harpie et continue son chemin.
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