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| Le slash, kesako ? |
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Fic Surprise/ Slash
Tout d'abord je voudrais vous dire que cette fic a des rapport avec d'autres fic que j'ai pu écrire... alors elle contient parfois des délires avec mes copines et si je fais passer Orlando pour un débile c'est tout à fait normal !  Cette fic contient des persos de stargate, du seigneur des anneaux et de ma création. Bonne lecture !
Un monde perdu…
Bon alors tout d’abord, je vais vous expliquer en quoi consiste une fic surprise : c’est une fic où nous ne seront pas les personnages principaux…
H : Alors j’aime pas ces fics….
… Ou peut-être pas forcément (du moins dans celle là c’est pas nous… et heureusement !) Mais nos compagnons qui vivront des aventures à eux perso… et je ne vous en pas aurez parler, puisqu’elle est comme son nom l’indique : surprise… Voilà j’espère que tout le monde aura compris (laisse tomber Orlando de toute façon j’avais même pas l’espoir que tu comprennes le titre alors…)
Cette idée de fic m’a été donnée par un autre épisode de Stargate mais je me rappelle plus de son nom… qu’importe et donc j’ai imaginé ce qu’on aurait pu faire à la place de SG-1… n’ayez pas peur nous ne vivrons pas longtemps ! Je voudrais aussi préciser que cette fic va effrayer les petits enfants (et je parle pas que de vous Ju et H … ) par la relation désespérée qu’aient nos trois héros….
………………………………………………………………………………………………….
Michael s’étant lié d’amitié avec Viggo et Orlando, pensa que se serait sympas d’inviter tout le monde à une petite excursion dans une planète inconnu, pour faire un petit pique-nique (surtout nique en ce qui me concerne !!!) . Accompagnés par leur âme sœurs (je parle de nous pour ceux qui n’auraient pas reconnu…). Il propose donc à ses amis de l’accompagné à cette journée qui s’annonçait calme et amusante.
Nos trois petits couples et F (dsl mais j’ai trouvé personne avec qui t’accompagné…) se retrouvèrent donc devant la porte des étoiles que certains découvrirent…
M : Vous allez voir j’adore la sensation que le transfert produit…
O : Ca fait qu’elle sensation ?
M : … comme un orgasme !
C : Cool !!!
Le premier couple : Orlando et C se mettèrent donc en place, main dans la main devant la flaque bleue encerclé par le chaa’paï. Ils fermèrent les yeux firent un pas en avant et lorsqu’ils les rouvrit, ils avaient traversé l’univers en quelques dixièmes de secondes. Le deuxième couple accompagné de Fanny firent la même opération et après un orgasme, se retrouvèrent dans un monde qui leur était étrangers…
H : Papa, c’est quoi un étranger ?
Le dernier couple, Lu et Michael, qui avait l’habitude (ou la bite rude…) de traverser cet anneau de transfert, s’embrassa pendant le passage entre les deux planètes et arrivèrent peu avant que la flaque bleue ne s’éclipse. Tous les amis regardèrent autour d’eux et commencèrent à explorer les environs.
O : Oh regarde c’est beau ça qu’est ce que c’est ?
C : C’est la même chose qu’à la maison, ce sont des cailloux…
Aucune formes humaines n’a été détecter auparavant par les calculs scientifiques (non pas d’Alexis) de Michael et de Sam à qui ont pouvait faire confiance.
Nos petits couples passèrent donc une journée formidable à découvrir de nouvelles espèces animales…
C : Non, ça Orlando se sont des escargots, il y a les même sur terre…
Ils découvrirent un champs qui semblait être protéger de toutes attaques des goa’ulds et décidèrent d’y passer la nuit. Michael partit demander au SGC l’autorisation qui fut approuvée sans aucune difficulté et on apporta quatre tentes. Le colonel O’Neill (avec deux l parce qu’il est plus drôle !) avait décidé de passer cette nuit avec Fanny. Il avait peur qu’elle s’ennuie. Viggo aluma un feu de camps et les quatre petits couples se retrouvèrent à griller des chamalows dans le feu…
C : Non, Orlando le but pour faire brûler les chamalows, c’est de pouvoir encore en manger un peu c’est à dire de ne pas tout faire cramer…
Ils chantèrent des chansons paillardes (bin quoi, ils ont pas le droit ?) et dansèrent tel des sioux autour du feu sacré de Viggo…
LU : Appeler moi prince des flammes…
H : Euh Prince des flammes, t’a la queue qui crame !
LU : Ahhh
Après cet incident malencontreux, nos couples fatigués par leurs expéditions décidèrent d’aller se coucher. Chacun parti donc dans sa tente. ( Je ne raconterais pas ce qui se passe dans chacune des tentes car sinon nous y passeront toute la nuit et puis c’est le centre du sujet de cette fic… ce sera plus tard !)
Le lendemain, chaque couples se réveillèrent fatigués par leurs exploits de la nuit. Mais ce matin là, Michael ne se sentait pas bien. Il avait l’impression qu’il trompait son véritable amour mais il ne savait pas qui c’était. Il décida qu’il ne devait rien dire et que ce n’était qu’une impression. Il embrassa, tout au naturel, Lu qui venait de s’éveiller à ses côters.
M : Bonjours, ça va ?
LU : J’ai passé une très bonne nuit en ta compagnie…
M : Allons rejoindre les autres.
Tout le monde se retrouva devant le feu de bois qui s’était éteint après les festivité de la veille. Chacun raconta à ses amis comment c’était déroulée leur nuit, qui apparemment avait était parfaite pour tout le monde. Mais lorsque Viggo raconta ses aventures avec H, Orlando eut comme un sentiment de jalousie. Il n’y croyait pas. C’était impossible, il ne se sentait pas du tout attirer par H. En plus elle était amoureuse de Viggo. Mais ce sentiment était quand même présent. Il se posa des questions mais ne trouva pas la réponse. Alors pour ôter cette idée qu’il avait et qu’il trouvait effrayante, il proposa d’aller surfer un peu sur les vagues.
M : D’accord, j’ai toujours voulu apprendre à surfer ! Etre un beau surfeur comme ceux que l’on voit dans les feuilletons !
LU : Tu es déjà mon surfeur adoré…
Et alors que Lu prononça cette phrase, nous entendons tous le bruit de la porte des étoiles qui s’ouvre. Ils se dirigèrent donc tous voir ce qu’il se passait.
C’était la terre, le général Hammond nous envoya un message par le robot envoyé un peu plus tôt :
Ha : Nous avons un problème sur terre…
J : Quoi que se passe-t-il ? Quelque chose de grave ?
Ha : Oui, Sam a eu un accident de voiture hier, elle est dans le coma…
M : Mais c’est horrible !
Ha : Oui, je sais et j’ai pensé que le colonel O’neill devrait venir à son chevet. Tilk et Jonas sont déjà en train de veiller sur elle mais je pense qu’elle aura besoin de sa compagnie.
J : J’arrive tout de suite…
F : Je veux venir avec toi Jack…
Ha : Je ne vois pas d’interdiction mais par contre les autres devront rester pour continuer d’étudier ce monde.
M : Bien mon général.
C’est ainsi que Fanny ainsi que le colonel O’Neill partirent de cette planète extraordinaire. Ils se retrouvèrent donc tout les six : Michael, Lu, Orlando, Chieuse, Viggo et H.
V : Si non continuons à trouver un endroit où passer la nuit prochaine…
H : Tu pense déjà à la nuit prochaine !
A cet instant, le regard de Viggo croisa celui de Michael et ne sachant pas pourquoi, il baissa les yeux. Il ne pouvait supporter de voir ses si beaux yeux bleu le glacé. Il ne voulait pas que l’on devine qu’il était tomber amoureux de son meilleur ami. Il ne voulait faire de mal à personne et surtout pas à H qui l’avait aider le long de ces dernières années , à reconstruire une vie normale.
M : Il vaut mieux que nous restions tous ensemble…
C : Tu as raison, sinon je crois que l’on ne sera pas assez concentrés…
Ils partirent donc tous les six, les uns derrière les autres à trouvé un autre endroit pour pouvoir replanter nos tentes. Ils traversèrent une forêt terrifiante où l’on marchait sur des cadavres d’animaux. Lu avait très peur. La lumière était tombé malgrès l’heure tôt qu’il était. Ils avaient dû mal à cerner les trous et les bosses que contenait le chemin et parfois certains membres du clan des dodos (ne disant pas que c’était toujours Lu…) tombait. Leurs hommes les relevèrent avec amour ce qui donnait encore plus envie de tomber !
Ils marchèrent durant de longues heures. La forêt n’en finissait plus.
C : Est ce qu’on peut s’arrêter je commence à être fatigué moi !
V : trouvons plutôt un endroit plus sur qu’ici…
LU : C’est vrai que ça craint un peu !
H : Par là, je vois un rayons de soleil, peut être trouverons nous un petite clairière.
Ils continuèrent leurs randonnées par le chemin que nous avait indiquer H. Ils aperçoivèrent un flot de lumière caché derrière les feuilles grasses des arbres qui semblaient épier tous les faits et gestes de ces étrangers. (H : Papa, c’est quoi un étranger ?). Ils s’approchèrent et découvrit une clairière entouré par cette foret angoissante. Au milieu de cette clairière, une sorte de grand dolmen montrait un grand intérêt pour Michael.
M : Arrêtons nous là.
V : Oui, de toute façon nous sommes tous fatigué.
O : Et puis je sais pas ce que j’ai mais je ne me sens pas très bien.
C : Ca ne va pas ? qu’est ce qu’il y a ?
O : Non , c’est personnel, quelque chose ne tourne pas rond…
Il se posait des questions. Il avait plusieurs fois aperçut Viggo et Michael qui se lançaient des regards en coin. Des regards amoureux. Mais ceux-là étaient cachés. Orlando ne voulait pas dire ça aux filles.
Michael s’approcha de ce monument. Il en fit le tour. Ces pierres était placé d’une telle façon que cela ressemblait à une porte. Il toucha les pierres qui était froides et humides alors que les alentours était chaud et sec. De la mousse parcourait l ‘ensemble du monument et Michael décida qu’il était peut-être possible qu’elle dissimulait quelque chose d’intéressant. Il frotta la pierre d’une telle tendresse que Lu en fut même jalouse ! Il aimait ce contact avec les éléments qui composait le monde. La pierre découverte, il aperçut des inscriptions placé sur la troisièmes pierres placés horizontalement et au-dessus des deux autres. C’était de l’égyptiens ancien. Mais il avait du mal à comprendre certains dessins.
M : C’est vraiment bizarre…
C : Quoi donc ?
M : C’est la première fois que je vois un symbole identique à celui-ci…
O : On dirait une pomme et un arbre…
TT LE M : … Orlando s’il te plait épargne nous tes blagues pas drôle…
O : Mais ce n’est pas une blague…
M : Il a raison mais je ne vois pas pourquoi une pomme serait représenter ici…
H : Bon et si nous parlions de ça demain ? Là je suis crever et j’ai faim !
LU : C’est vrai que la bouffe est ton élément principal !
Viggo partit pécher quelques poissons et ils firent cuire dans un nouveau feu. Mais ces flamme n’étaient pas les même que celle de la dernière fois. Le sentiment autour de ce feu était différent. Avoir passé quelques jours ensemble, avait changé les mentalités de chacun ainsi que des sentiments apparaissent. Les hommes n’osaient se regarder en face et après une petite heure de cette manière là, ils décidèrent d’aller se coucher, prétextant la fatigue contre ce qu’il ressentait les uns pour les autres.
Lorsque Viggo s’aperçoit que tout le monde dors il se relèva, ne pouvant fermer les yeux après tout ce qu’il penser dans la journée et partit dans les bois à le recherche d’un coin tranquille pour pouvoir réfléchir sans qu’il ne sente la présence de ses amis. Peut-être se posait-il trop de question ? (A quoi ça sert ? Suis-je un bon père ? Est ce que j’ai donné un bonne éducation à mon Henry II ?) Peut-être que c’était une idée fausse ? mais il sentait qu’au fond de lui, il était très attiré par son ami Michael. Cela l’effraya quelque instant mais il pensait que si personne n’était au courant cela ne se verrait pas. Il retourna au camps de peur que quelqu’un ne se réveille et s’aperçoivent qu’il n’était plus là. Lorsqu’il aperçut Michael endormis près de Lu, il ne pus s’empêcher de s’approcher de lui et de s’accroupir près de son visage. Il s’assit sans bruit et contempla le visage de son aimé avec envie. Il resta là près de cet homme pendant plus d’une demi-heure. Il ne vit pas le temps passé. Il était si heureux à contempler un si beau visage qu’un instant il voulu y poser sa main. Mais il se rendit compte que personne ne devait être au courrant et de peur de réveillé cet être de beauté il se releva et retourna au côtés de son amie H ; il était vraiment triste de ne pas être amoureux d’elle. Elle qui l’aimait tant et qui aurait tout fait pour lui. Mais c’était vraiment plus fort que lui il n’y pouvait rien, c’était contre sa nature.
V : Pourquoi ça n’arrive qu’à moi ? (oui, Viggo à quelque tendance à se parler tout seul…), A quoi je sert ?
(LU : A rien…)
Le lendemain, Michael se réveilla avant les autres. Le soleil était à peine levé et on pouvait apercevoir ses rayons rouges.
O : L’aube est rouge se matin, beaucoup de sang a du couler cette nuit…
M : C’est magnifique, dommage que l’être que j’aime ne puisse pas le voir en même temps que moi…
Il regarda du coter de Viggo, qui paraissait faire un rêve très intéressant… Il avait le sourire au lèvre ce qui ne lui était pas arrivé depuis bien longtemps. Michael le fixa tellement intensément que Viggo se réveilla tout émut de son rêve. Cependant, il n’eut pas le temps d’apercevoir le regard de Michael car celui-ci voulait cacher tout l’amour qu’il lui portait. Il se dirigea vers la porte dont il n’avait toujours pas déchirer les hiéroglyphes.
M : Je ne trouve vraiment pas ce que ça veut dire…
V : Attend je viens t’aider.
Viggo s’approcha de Michael. Il sentit monter en lui comme une bouffée d’adrénaline, mais se refusait de le montrer. Michael ressentit la même chose et à chaque pas de Viggo celui-ci reculait un peu de peur de laisser échapper ses sentiments.
V : Qui a-t-il ?
M : Je me sens pas très bien je crois que je vais aller prendre une douche dans la cascade là-bas…
V : très bien, je garde le camps pendant ce temps là…
Mais il ne fallut pas dire deux fois à Viggo que son amour allait se retrouver nu dans une eau gelée… Il attendit donc quelques minutes et marcha sans bruit en direction de la cascade. Arrivé à l’endroit propice, il vit Michael qui retirait délicatement ses affaires. Viggo se cacha derrière les feuilles du grand arbre qui se trouvait derrière lui. Il avait une vision globale de la scène. Mais malheureusement pour lui, Michael garda tout de même son caleçon. Viggo pu tout de même admirer ses beau abdos bien musclé. Il en resta bouche bée. Michael travaillait son corps à ses heures perdu et le résultat était surprenant.
V : Qu’il est beau…
C : A qui parle-tu ?
C’était chieuse (toujours dans les mauvais moments elle…) elle venait de découvrir Viggo qui c’était caché. Il ne sus rien répondre mais C vu dans ses yeux que c’était quelque chose de grave et lorsqu’elle aperçut Michael en train de se laver dans l’eau, elle compris tout de suite de quoi il s’agissait.
C : Je ne dirais rien, c’est promis…
V : ce serait vraiment gentil…
C : Mais tu n’aime pas H alors ?
V : Si je l’aime mais pas aussi fort que Michael… il est si beau, si intelligent, …
C : C’est bon je me passerais des commentaires… Allez viens, faut pas que H te trouve là…
V : D’accord j’arrive…
Viggo suivit avec grande peine Chieuse mais il savait que si l’une des deux autres filles apprenait cet amour, elle allait tout dévoilée… Et il ne voulait pas que Michael lui fende le cœur en lui avouant que son amour n’était pas réciproque.
V : Bonjours H …
H : Bonjours mon amour !
A ces mots il ne pu la regarder en face mais laissa monter en lui une larme qui coula contre son visage. H s’en aperçut et vint tout de suite consolé son ami, même si elle ne savait pas ce qu’il se passait dans sa tête.
H : Je pense que tu est fatigué…
V : Je suis désolé de te faire endurcir tout ça… tu mérite vraiment mieux que moi…
H : Ne dis pas, tu sais comme je t’aime et je ne voudrais jamais te perdre…
C’était de trop pour Viggo qui ne supportait plus de faire du mal à son amie involontairement. Il décide qu’il ferait mieux d’aller faire un tour dans le bois. Sur son chemin, et entre deux larmes, il rencontra Orlando qui comme lui était déboussolé par ses sentiments. Alors qu’il se croisèrent ils comprennent chacun ce que pense l’autre et sans un mot se prennent dans les bras. Orlando aima beaucoup le contact de la chair de Viggo avec le sien et il en profita pensant que c’était la première et dernière fois qu’ils feraient ainsi.
O : Je ressens tes émotions mais j’espère que ce n’est pas ce que je pense…
V : Je savais que tu avais un don d’elfe…
O : Tu es amoureux, c’est ça ?
V : Je ne peux pas te le dire, c’est encore nouveau pour moi et je veux vraiment être sur de mes sentiments…
Orlando pensa tout de suite que ses sentiments étaient pour lui. Et il ne voulait pas brusquer son ami qui semblait déjà assez perdu.
O : Je comprend ce que tu ressens…
V : Ca je ne pense pas…
O : Moi aussi je suis amoureux et j’espère qu’il se reconnaîtra dans mes paroles…
Et là, Viggo compris tout de suite dans qu’elle situation il s’était fourrer (et c’est le cas de le dire !). Il s’aperçut qu’Orlando l’aimait. Il ne savait que faire, c’était vrai il aimait beaucoup sa compagnie mais de là à dire qu’il en était amoureux…
V : Je ne sais pas Orlando, laisse moi réfléchir…
O : je te laisse tout le temps nécessaire, j’ai attendu depuis si longtemps que je peux encore attendre un peu…
V : Ce sera mieux…
Ils partirent rejoindre leurs amis, Orlando était heureux d’avoir dévoilé son secret à Viggo mais celui-ci ne savait plus rien pensé. Il aimait beaucoup Orlando et c’est vrai qu’il fut troublé plusieurs lors du tournage du seigneur des anneaux mais il y avait Michael et son amour était vraiment très fort. Lorsqu’ils arrivèrent sans s’être dit un mot, et apercevèrent Michael qui était dans tout ses états…
V : Que se passe-t-il ?
M : C’est C, cela fait plus d’une heure que l’on ne la pas vu…
H : Et elle ne répond pas à nos appels !
O : Non, c’est pas vrai ! Vite il faut chercher partout …
Cet ordre fut vite mis en exécution. Chacun partis à la recherche de leurs amie commune mais après plus d’une demi-heure de recherche H tomba sur une vision effroyable…
H : AAAAHHHHH
V : Quoi que se passe-t-il ?
Tout le monde s’avança à l’endroit où se trouvait H. Orlando cria suivit de LU. Michael et Viggo reculèrent de stupeur devant cette scène accaparante. C était allongé par terre, le ventre complètement ouvert et avait les boyaux qui se promenaient à coter de son corps inerte.
O : c’est impossible qu’est ce qu’il aurait pu se passer ?
M : C’est sûrement une bête sauvage qui l’a attaquer… il faut rester sur nos gardes…
Pleurant Orlando s’approcha du corps de son aimée. Il l’embrassa. D’un coter il était soulagé car il n’avait plus à choisir entre C et Viggo mais il aimait beaucoup C et n’aurait pas voulu la perdre dans ces conditions.
V : Il faut partir d’ici, c’est dangereux !
LU : Oui tu as raison (pour une fois…)
M : Non il ne faut pas partir tout de suite j’ai presque finit de déchiffrer les dessins sur la porte et cela me dit qu’il y a un paradis caché derrière cette porte…
H : D’accord mais tu sais comment on peut l’atteindre ce paradis ?
M : Pas encore mais apparemment il faut une clé…
V : D’accord restons mais si tu n’a pas résolu cette énigme avant ce soir, nous partirons…
O : Allons enterrer le corps de C… pour qu’elle puisse monter au paradis (Euh ça c’est pas sur…) en paix avec son corps…
LU : Tu te met à la religion Orlando ?
H : S’il te plait Lu on ne rigole pas dans ces conditions…
LU : C’est bon, C aurait dit la même chose que moi…
C : C’est vrai !
O : Putain mais qu’est ce que tu fout là ? Tu es sensé être morte !
C : Ah oui c’est vrai pardon…
Après avoir recouvert le corps de C d’un vieux draps (bah oui, il allait pas en prendre un tout propre…) Orlando le posa sur son épaule et senti à travers le tissu la fraîcheur que le corps renvoyait. Cela lui glaça le sang pendant tout le trajet. Il arriva au bord du trou que Viggo avait creuser avec du matériel de fortune et après avoir dit chacun un dernier mots à C, Michael reboucha le trou. Toutes les figures montraient de la peur et de la tristesse. Même Viggo qui cachait souvent ses sentiments, laissa couler le long de son visage des larmes chaudes. H passa sa main sur son visage pour l’essuyer et posa ensuite sa tête contre son torse. Ils demeurent tous ainsi pendant quelques minutes et Michael se rappela qu’il avais plus important à faire… Il se dirigea vers la porte.
LU : C’est vraiment horrible ce qu’il se passe ici…
V : Je ne te le fais pas dire…
Viggo avait l’esprit ailleurs il regardait alternativement Michael et Orlando ne sachant que faire. Il était vraiment dans une mauvaise situation. Il ne savait que faire. Quand à Orlando il n’avait plus que Viggo pour le consoler alors il s’approcha de lui et le prit dans ces bras. Lu et H se regardèrent incrédule mais elles n’osaient rien dire, Orlando paraissait si troublé. Enfin peut-être est ce aussi parce qu’il était dans les bras de son amour mais les deux filles n’en savait rien.
M : J’ai trouvé !
LU : Quoi qu’est ce qu’il se passe ?
M : J’ai trouvé comment ouvrir cette fichu porte !
H : Vas –y montre-nous…
Orlando, Viggo, H et Lu s’approchèrent de Michael qui était tout exité (en état second quoi !) de sa trouvaille. Il prit un cailloux par terre…
O : Oh un caillou !
… qui avait une forme… très personnelle !!! Et il la glissa à travers une fente entre deux hiéroglyphes. Et là… rien ne se passa !
H : Très drôle Michael, franchement tu crois pas qu’on a d’autre choses à faire….
M : Non attendez je suis sur que….
Et là à la grande surprise de tous, une sortes de mini cyclone sortis de la porte et elle possédait une grande force qui les attira malgré eux à entrer à l’intérieur. Alors pendant une seconde les cinq personnages voyèrent la vision qu’ils avait eu lorsqu’ils avaient traversé la porte des étoiles. Ils furent projeter à terre et s’évanouir tous sous ce violent choc.
V : Ouah quel choc…
Après plusieurs heures d’assoupissement, Viggo se réveilla et sentit tout de suite une violente douleur à la tête. Il passa Sa main sur son crâne mais s’aperçut rapidement qu’il avait une énorme bosse. Il ouvrit doucement les yeux et pencha la tête. Il aperçut Michael à sa droite qui dormait encore. Il était si mignon assoupi comme ça qu’il essaya de lui caresser les cheveux. Et alors qu’il se relevait doucement il aperçut Orlando ce qui lui jeta un grand froid dans le dos. Il s’abstient donc de caresser les cheveux de son ami. Orlando était lui aussi couché. Derrière lui se trouver H qui faisait un petit somme roulé en boule. Il ne vit pas tout de suite Lu ce qui l’effraya un peu puis s’aperçut qu’elle gisait (c’est le cas de la dire…) derrière son dos. Il se leva et décida qu’il fallait réveiller Michael. Il hésita à s’en approcher mais après tout personne ne le voyait. Il en profita d’ailleurs. Il s’assit à coter du visage de Michael et passa sa main dans ces cheveux. Ils était si doux et fins qu’il la laissa à l’intérieur de cette fourrure épaisse. Puis il descendit sa main pour caresser son front puis son nez, et enfin sa bouche. Ses lèvres était si douce qu’il voulu l’embrasser. Il regarda autour de lui vérifiant que personne ne puisse la voir et surtout pas Orlando, et embrassa tendrement celui-ci. Ce fut un baiser doux et tendre pour la première expérience homo de Viggo. Enfin pour Michael aussi. Mais alors que Viggo reposait une seconde fois ces lèvres sur celle de Michael, ce dernier s’éveilla et lorsqu’il ouvrit les yeux, il tomba directement devant la figure de son meilleur ami…
M : Viggo, Qu’est ce que tu fabrique ?
V : Oh rien je suis désolé je pensait que tu dormait…
Faisant semblant de rien, Michael changea subitement de conversation…
M : Tout le monde dors ?
V : Oui, n’est pas peur, personne n’a rien vu…
M : où sommes-nous ?
V : Je n’en sais rien du tout mais nous ne sommes pas sur le même monde que tout à l’heure…
M : Réveillons les autres…
V : Tu es sur ? Tu ne veux pas que l’on discute ?
M : Ecoute Viggo, je ne veux pas en parler maintenant et je ne veut rien savoir sur ce que tu pense…
V : D’accord, allons réveiller les autres…
Déçu de cette réponse, qu’il avait pourtant fait à Orlando, Viggo se posa des question sur ce que pensait Michael. Peut-être qu’il n’était pas amoureux de lui et qu’il s’était fait des illusion. Il ne savait que pensé de la réaction de son ami. Il craignait au pire.
M : Lève toi Orlando…
O : Quoi qu’est ce qu’il se passe ?
M : Nous avons changé de monde… mais j’ignore complètement où nous sommes…
O : Tout le monde est là ?
M : Oui, tout le monde est présent…
O : Viggo est réveillé ?
M : Oui, il est parti réveillé H…
Michael dit cela avec une angoisse dans la voix. Il pensait beaucoup à Viggo depuis quelque jours mais il ne voulait pas que leur relation commence comme ça. En tout cas , il savait que Viggo l’aimait et était heureux. Mais , il essayait de ne pas trop le montrer. Il ne voulait pas faire de mal à Lu qui d’ailleurs dormait avec un visage si serein qu’il décida de ne pas la réveiller tout de suite. Elle était fatigué des deux nuits qu’elle avait passé à flirter avec son amour. Il voulait qu’elle se repose.
M : Viggo, laisse Lu dormir, je crois qu’elle en a besoin, elle paraît si fatigué…
V : Comme tu veux mais je préfère réveillé H, elle a besoin d’évacuer son énergie…
Viggo s’approcha de H et le réveilla d’un baiser qui pour la première n’était pas aussi parfait que celui qu’il avait donner auparavant à Viggo mais H se réveilla quand même. Heureuse de voir son amour devant elle, elle l’embrassa violement et se redressa comme si de rien ne c’était passé…
H : Je vois que Lu dors toujours qu’elle paresseuse…
M : non, mais elle est fatigué alors je la laisse se reposer…
H : Tu a raison, elle travaille si dur en ce moment…
V : Et si nous allions faire un tour dans ton « paradis » ?
M : Ce n’est pas moi qui est dit que c’était un paradis, ce sont les inscriptions…
O : J’espère qu’il y a une porte des étoile parce que ton autre porte à disparut…
H : Bon allez-y je vais rester ici pour garder notre paresseux…
O : Viggo, tu viens avec moi ?
V : Non, désolé je crois que ce serais mieux que l’on parte chacun de notre coter…
M : Oui, je crois qu’il vos mieux…
Michael croisa le regard de Viggo mais il réussit tout de même à cacher ses émotions. Ils partirent donc l’un vers l’Est, l’autre vers l’ouest et un autre vers le Nord. H s’assit sur un rocher près du corps de Lu qui dormait toujours, et commença à chanter une chanson pour penser à autre chose qu’à la vision qu’elle avait garder de Viggo dans les bras d’Orlando…
H : Et chier sur les passants…1,2,3,4 c’est notre vrai nature, c’est d’avoir 14ans, c’est d’conduire une voiture, sans toucher au volant, c’est aller droit dans le mur, mais y aller en s’marrant… moser focker !!!!!
Après plusieurs heures de recherche, les trois hommes revinrent au point de départ. Il commençait à faire noir et commençait à avoir faim… enfin surtout H. Viggo et Michael partirent ensemble à la pêche pour pouvoir se mettre quelque chose sous la dent. Après avoir attraper cinq malheureux poissons. Ils revinrent sur leurs pas. Ils ne s’était pas parler une seule seconde. Michael n’osait pas et Viggo pensait que Michael ne l’aimait pas car il n’avait pas fait un seul sous-entendu de la journée de ce qu’il c’était passer le matin même. Et Viggo sentait que Michael le repoussait un peu. Les deux hommes se rapprocha du feu qu’Orlando l’aide de H avait réussi à allumer (ce qui est un exploit pour lui…). H décida qu’il était peu être temps de réveiller Lu qui dormait toujours dans la même position…
H : Lu réveille-toi !! LU, REVEILLE TOI !!!
H lança une grande beigne dans la figure de Lu mais rien n’y fit… Viggo pensa qu’il faudrait lui balançait de l’eau dans la figure. C’et ce que H se précipita à faire. Elle prit un grand seau d’eau froide de la rivière et le balança d’un coup violent et plein de jouissance à Lu. Malgré cela, Lu semblait toujours dormir. H passa donc sa main sous la tête de Lu pour la lui soulever. Mais lorsque elle retira sa main, du sang en était recouverte…
H : AAAHHHH
M : Quoi qu’est ce qu’il se passe ?
A la vue du sang dans la main de H, Michael déplaça le corps de lu et s’aperçut avec stupeur que celui-ci était sur un caillou en locurence sous son crâne. Il essaya de lui prendre le pouls mais rien ne fit. Son cœur ne battait plus. Elle était morte comme C. Lu n’avait décidement pas de chance, elle était tomber sur le seul caillou des alentours…
Deux jours était passé et il ne restait plus que quatre survivants à cette aventure : H, Michael, Orlando et Viggo. Ils avaient tous pleurer la disparition de leur amie Lu. Personne ne pouvait la remplacer. Elle mettait l’ambiance et trouvait toujours une blague même quand la situation était très dramatique. Ce fut une énorme perte pour le clan des dodos qui n’était d’ailleurs former que par H. Plus rien ne serrait comme avant et ils le savait, surtout Michael qui finalement était soulagé de ce poids.
M : Bon et bien que faisait nous, la situation est plus que désespéré vu qu’il n’y a pas de porte des étoiles sur cette planète…
V : Nous sommes condamné à rester sur cette planète…
H : Cool !
O : Je ne suis pas trop de ton avis…
Il regarda Viggo qui détourna son regard, c’ était le seul à avoir garder son fardeau et finalement il le regrettait un peu…
V : C’est vrai, il faudrait nous construire une grande maison et nous nourrir… je peux pécher mais manger du poisson tout les jours je pense que ça le fait pas trop…
M : On a qu’a manger ses plantes là ?
O : Oui pourquoi pas je l’ai goûter hier et elle ont un goût très bon… ça me rappelle quelque chose mais je ne sais plus quoi…
H : Je sais Lu en prenait tout le temps avant et après elle nous disait toujours des blagues pas drôle et était morte de rire…toute seule…
LU : Je te ferait remarquer que je ne suis pas la seule à rigoler toute seule…
C : Si tu parle de moi…
LU : Non, pas que de toi…
V : Et dite là vous êtes censé être morte…
LU C : Ah oui, c’est vrai…
M : Je crois même qu’elle en était accro…
V : Non mais ça c’est parce qu’elle n’aimait pas mes beaux poissons…
M : Enfin je la comprend parce vu la gueule des poissons que tu péchait…
V : Quoi t’est pas content ? Quand je t’aurais demander ton avis, je te le dirais…
La discussion se termina ainsi et fâcher Viggo décida d’aller faire un tour SEUL dans la foret… Mais Orlando avait vu la tête de son ami et pensa qu’il ferait mieux d’aller le consoler à sa manière… Il le suiva un peu et lorsque Viggo s’arrêta contre un arbre pour se reposer d’un grand effort qu’il venait faire (deux cent mètres…) ; Orlando en profita puis s’introduire (non, pas encore…) derrière lui et posa sa main sur son épaule.
O : Ca n’est rien, on juste tous un peu fatigué et ému de tous les événements qui viennent de se produire..
V : Je sais…
Viggo ne pouvait retenir ses larmes.
O : C’est pas grave, laisse exprimer ton corps comme il le souhaite, ça fait du bien, crois moi j’ai de l’expérience…
V : Je suis désole je ne sais vraiment pas ce que j’ai… Je me sens vide et je n’est plus foi en rien…
O : là, ce n’est rien n’est pas peur je suis là… Frétéfrétéfren…
V : Eh c’est mes paroles ça !
Orlando le prit dans ses bras et se retrouvèrent collé l’un contre l’autre. Cette chaleur corporel rassura quelques peu Viggo qui se laissa aller et renifla plusieurs fois dans l’oreille d’Orlando. Ce dernier ferma les yeux sentant la douce odeur des cheveux de son ami. Il était presque arrivé au septième ciel. Il en profita pour murmurer à l’oreille de Viggo :
O : Je t’aime et je serais toujours là pour toi…
V : Je sais… mais je ne peux pas il y a H…
O : Laisse là un peu, tu mérite un peu d’amour…
V : Tu a raison…
Ils se décolèrent l’un de l’autre et se regarda avec attention un long moment les visage très rapprochés.
O : Tu es si beau…
V : Toi aussi…
O : Oui mais ça je le sais !
Orlando caressa d’une main langoureuse le visage de son ami et essuya d’un revers les restes des larmes de Viggo. Ce geste fit rire Viggo. Il était si mignon qu’Orlando ne pu résister de lui donner un petit baiser furtif. Surpris Viggo recula un peu mais sentait que ça lui avait permis de retrouver un peu de bonheur. Il ferma les yeux et embrassa Orlando qui se prit au jeu et se laissa glisser sur Viggo. Ils rirent à l’unisson puis échangèrent longuement leurs langues.
…………………………………………………………………………………………………...
Alors que Viggo était partis fâcher dans la foret, H retourna déçut par le comportement de son ami, chercher du bois le long de la rivière. Elle aussi était énervé mais lorsqu’elle passa à coter du matériel de pêche de Viggo, elle sentit en elle un remords. C’est vrai elle aussi avait manger de ses plantes et cela la rendait très irascible. H évalua son comportement et s’aperçut qu’elle aussi avait été méchant et que ce n’était pas de la faute à son amant. Elle déposa alors ces morceaux de bois et se dirigea vers la foret.
Elle savait où Viggo serait. Elle l’avait déjà surpris à fumer cette mauvaise plante près de son arbre fétiche qu’Orlando avait graver pour laisser les marques de son existence d’après lui… Elle s’enfonça donc dans le bois obscur. Elle vit l’arbre et ne voyant pas ce qu’il se passait derrière, avança préparant la phrase qu’elle dirait à Viggo pour s’excuser de son comportement. Elle contourna l’arbre et aperçut cette scène dont elle se souviendrait toute sa vie : Viggo était en train d’emballer Orlando et ils était tout les deux l’un sur l’autre ! Elle resta stupéfaite plusieurs secondes devant cet abominable endroit. Rien ne pouvait sortir de sa gorge tellement elle était bouleversée. S’en était de trop, elle jeta un énorme caillou sur le crâne d’Orlando (C’est d’ailleurs à partir de ce moment là qu’il se prit une énorme compassion pour les cailloux…). Orlando tomba dans les pommes et Viggo qui rouvrit les yeux aperçut la fureur que renvoyait le visage de H.
V : Non ça n’est pas ce que tu crois !
H : Mais je ne crois rien mon pauvre, je constate…
V : Tu sais je t’aime…
H : Tais toi, n’utilise pas ta salive pour me dire des mensonges…
Et elle parti furieuse, courant à l’autre bout de la foret. Viggo n’essayait pas de la poursuivre (Il est vieux, il ne peut pas trop courir à cause de ses genoux cagneux…) et tenta de réveiller Orlando qui s’étalait d’une façon très provocante sur son corps.
V : Orlando ? T’es encore vivant ?
O : Je vois des cailloux partout !
V : Bon tout va bien alors…
O : Que c’est-il passé ?
V : H nous a vu et je crois qu’elle est super énervé…
O : T’inquiète pas elle s’en remettra…
V : Non, je ne veux pas que notre histoire se termine comme ça…
O : Tu ne m’aime donc pas ?
V : Si je t’aime mais il faut que tu partage, il n’y a pas que toi que j’aime…
Il pensa tout à coup à Michael à qui il aurait tellement envie de l’embrasser. Mais, il l’avait rejeter et donc ne devait plus penser à lui. Malgré tout, son image restait là et rien ne pourrais l’enlever.
V : Je vais aller lui parler…
O : Je viens avec toi,ça me concerne aussi.
Les deux amants partirent donc à la recherche de leur amie. Ils firent le tour de la foret et la trouva pendu à un arbre. Dessus était gravé : « Je vais retrouver mon Lu, elle au moins ne me trahira jamais… adieu et prend bien soin de toi… Je t’aime, H »
V : Oh non, c’est horrible !
O : Elle était désespéré…
V : C’est à cause de moi, tout ce qui est arrivé…
O : Mais non, au contraire tu lui a permis la vie éternel…
V : Tu a raison de toute façon, elle serait morte un jour ou l’autre…
Ils décrochèrent son cadavre et l’envoya à la mer. Viggo pensait que lorsqu’il pêcherais il pourrais avoir un contact avec son premier amour qui lui manquerai… Ils retournèrent au camps où Michael commençait à s’inquiété de leur disparition.
M : Ou étiez vous ? J’ai eu peur moi !
V : Ah bon tu es sur ?
Il regarde avec un tel froideur et sèchement que Michael ne compris pas tout de suite quel crime il avait commis. Puis il repensa au matin où Viggo l’avait embrasser. Il sourit à sa pensé mais n’osait toujours rien n’avouer. Il était tellement timide.
O : H est morte…
M : Ah bon ? Que lui est-il arrivé ?
V : Elle s’est suicidé…
M : Pourquoi aurait-elle fait ça, elle avait l’air si heureuse…
O : On n’en sait rien…
V : Bon il commence à faire tard allons nous coucher.
Viggo passa à coter de Orlando et lui murmura quelque chose à l’oreille que Michael ne pouvait entendre. Il fit comme si de rien n’était et partit dans son coin à la recherche d’un endroit chaud pour dormir tranquillement et réfléchir à la situation. Orlando et Viggo se retrouvèrent donc tout les deux tout seul.
O : Où en étions nous tout à l’heure ?
V : Ici…
Viggo saisit violement Orlando à la ceinture et l’embrasse énergiquement. Il ferma les yeux profitant de cet instant magique et ne pensa plus à rien. Rien ne l’empêchait à présent d’aimer Orlando, ni H, ni Michael. Orlando en profitait aussi et mordilla légèrement les lèvres de son amant. Il aimait sentir le goût sucré du sang de Viggo qu’il léchait sans modération. Viggo porta sa main timidement sur les pectoraux d’Orlando. Ce dernier n’hésita pas à lui montrer qu’il était d’accord avec ce geste et lui permit d ‘aller plus loin en la glissant sous son tee-shirt sale. Viggo sentait toutes les petites bosses et creux que formait ses muscles. Il aimait ce contact avec la chair. L’elfe prit le dessus sur cet homme dominé par ces sentiments, et lui déchira d’un geste brusque sa chemise…
V : Non, Orlando c’était la seul que j’avais…
O : Comme ça tu sera obligé d’être nu toute la journée, à mon plus grand plaisir…
Viggo souria par cette réflexion qu’Orlando avait la bite rude de faire. Les deux hommes se collèrent l’un à l’autre et se mirent en contact par leur torse chaud. Cet elfe avait déjà eu des rapport homo mais celui-ci était vraiment très intense. Orlando l’embrassa dans le cou et entrepris de lui faire un suçon. Viggo aimait avoir un peu mal et Orlando le savait. Il avait déjà vu tout les points faible de son ami. Ils montèrent ainsi tout les deux au septième ciel qu’il avait tellement attendu. Cette nuit les avait très rapproché et rien ne pouvait les séparés.
Après une longue nuit très agité, Michael se réveilla très triste. Il ne savait pas pourquoi mais sentait qu’il c’était passé quelque chose qu’il n’aimait pas. Son intuition ne le trompait jamais. Il ouvrit les yeux et pensa qu’il ferait mieux d’aller se réconcilier avec Viggo (et peut être plus…) car s’il devait passer leur vie ici, qu’ils la passent avec gaîté et joie… Il se leva et après c’être habillé (oui, c’est quand même mieux, avec Orlando on ne sait jamais…) et chercha Viggo. Et alors qu’il s’approcha de l’endroit où avait passer la nuit et Viggo et Orlando, il les vit tout les deux l’un sur l’autre et nu !
M : Viggo ?!?
Viggo a moitié réveillé le vit…
V : Euh désolé de cette vision.. Orlando réveille toi…
M : C’est impossible…
V : Et pourquoi pas… de toute façon tu ne m’aime pas
M : Et comment tu peux le savoir ? Je ne t’es rien dit
V : Et bien justement…
M : De toute façon maintenant c’est trop tard tu as choisi… adieu…
Michael partis ainsi essayant vainement de cacher ses larmes mais c’était vraiment horrible. Il était amoureux d’un homme qui lui avait fait croire qu’il l’aimait aussi. Il couru désespéré et pensa à la mort de H. Peut-être qu’il devait faire la même chose, mais il n’avait pas assez de force pour ça. Il s’assis pleurant sous un vieux chêne et pleura toutes les larmes de son corps.
V : Je ne veux pas que ça recommence…
O : Quoi donc ?
Orlando venait à peine de se levé et Viggo ne l’avait pas encore embrassé ce qui lui paraissait louche. Il avait vu s’enfuir Michael et avait compris la situation.
O : Tu m’aime ou pas ?
V : Oui, mais ce n’est pas la question…
O : Je sais que tu l’aime plus que moi, mais ce n’est pas une raison pour m’oublié…
V : Je ne t’oublie pas, je ne veux pas qu’il fasse la même bêtise que H…
O : Au moins nous seront tout les deux tout seul et personne ne pourra nous embété…
V : Tu n’ai vraiment qu’un salop, tu ne pense qu’à toi.
Viggo s’habilla en vitesse et sans regard pour Orlando, il partis rejoindre Michael dans la forêt. Lorsqu’il l’aperçut en train de pleurer,il ne pu lui-même s’empêcher de pleurer…
V : Je suis désolé…
M : Tu n’a pas à être désolé, c’est de ma faute… J’ai cru que tu m’aimais et j’allais te le dire mais c’est trop tard…
V : Non, ce n’est pas trop tard…
M :Et Orlando alors tu ne l’aime pas ?
V : Pas autant que toi…
A ces mots, Viggo kidnappa les lèvres de Michael mais ce dernier n’en pensait pas ainsi. Il recula un peu, laissant voir à Viggo que c’était trop tard.
V : Je t’aime…
M : Alors pourquoi tu te tape le premier elfe de passage ?
V : J’aime aussi Orlando… mais pas autant que toi…
M : En tout cas tu te l’ai tapé…
V : Peut-être mais je n’aurait pas fait la même chose si tu m’aurais dit que tu partage la même passion que moi…
M : Non, désolé mais la pêche, c’est pas trop mon truc…
V : Je ne parle pas de ça…
M : je sais mais je ne sais plus quoi penser… Je ne veux pas souffrir ni voir souffrir Orlando…
V : Ne parlons pas d’Orlando s’il te plaît,nous sommes tout les deux profitons-en…
Maintenant que Viggo avait l’habitude de pratiquer ces choses,il décida de faire la démonstration à Michael. Ce dernier après plusieurs réflexion, ce dit qu’après tout il n’avait rien à perdre… à part peut être un ami. Mais il n’y pensa pas. Viggo toucha le bout des cheveux de Michael. Les deux yeux bleu de l’homme se baissa. Il n’osait pas trop regarder en face les gens lorsqu’il pleurait et encore moi Viggo.
V : Fais moi confiance…
M : Je t’est toujours fait confiance jusqu’à ce matin…
V : Tais-toi…
Il lui captura les lèvres mouillé de Michael pour le faire obéir à cet ordre. Celui-ci lui répondit d’un mouvement léger de langue. Viggo compris alors qu’il voulait sentir un contact avec sa langue. Il entrouvrit alors légèrement la bouche et alors qu’elle se remplissait de la bave de Michael, il posa ses mains sur les fesses dures de mIchael. Le vieil homme mit ses deux jambes entre le ventre de Michael qui était toujours assis contre le chêne, et mit en contact son ventre avec celui de Michael. Il trouva cela très excitant et profita de cet instant magique qui lui été donné par l’être qu’il aimait le plus au monde. Michael aimait tout aussi ce contact et ferma les yeux pensant qu’il était en train de réaliser son rêve ; Ils se prirent dans les bras l’un dans l’autre. Réconcilier ils souriait heureux de son bonheur intense. Ils s’embrassèrent encore une fois et Viggo proposa quelque chose :
V : Allons voir Orlando il faut lui expliquer la situation…
M : Il faut d’abord que je te dise deux choses
V : Va-y je t’écoute…
M : D’abord je voulais te dire que j’ai toujours attendu ce moment et que je t’aime…
V : je sais…
En remerciement, Viggo l’embrassa encore une fois
M : mais il faut que je te dise que je suis aussi amoureux d’une autre personne…
Viggo était déçu, il n’aimait pas partager les sentiments de son amour Michael mais lui faisait endurcir la même chose avec Orlando…
V : Qui c’est ?
M : Tu ne me croira jamais…
V : Dis toujours…
M : Orlando…
V : C’est impossible… nous aimons la même personne !
M : c’est pour ça que j’était vraiment dégoûté ce matin… les deux hommes que j’aimais était en train de faire l’amour…
V : Je te comprend… bon allons voir Orlando et il faut que tu lui annonce ta nouvelle !
M : Je ne sais pas s’il sera d’accord avec moi…
V : Ne t’inquiète pas, il est ouvert à toute disposition… et position !
Les deux hommes se dirigèrent alors pour aller discuter avec Orlando qui était partis à la recherche de cailloux pour sa collection.
V : Orlando, t’en a déjà plein…
O : Mais ils sont tous tellement beau, je ne peux pas résister à cette tentation…
M : Bon, viens il faut que l’on te parle.
O : C’est bon, j’arrive… Qu’est ce qu(il y a ?
V : Voilà je voudrais te dire qu’on c’est réconcilier Michael et moi…
O : Et bien tant mieux pour vous, tu as choisi Michael alors ?
V : Non, je vous est choisi tout les deux et Michael à quelque chose à te dire…
M : Il faut que tu me croie et me promette de ne pas rigoler…
O : Tu viens de me piquer on mec alors je vois pas pourquoi je rigolerai de tes blagues pas drôle !
M : Je ne crois pas que c’est le bon moment…
V : Si vas-y c’est toujours le bon moment…
M : Voilà, Orlando je t’aime !
O : C’est une blague !
M : Non, je suis amoureux de toi et de Viggo en même temps.
Orlando était troublé, comme il l’avait toujours pensé, tout le monde l’aimait mais c’était la première qu’on lui disait ça ! Il savait qu’il était aimé mais pas à ce point ! Il sourit heureux de savoir ça et prit Michael dans ces bras.
O : Je suis désolé mais je ne peux pas partager mon amour…
M : Je ne veux pas partager mais tant faire profiter aussi…
O ; Je ne comprend pas…
LU : De toute façon ta jamais rien compris… bon dsl je reviendrais plus…
V : Voilà nous pourrions tous les trois partager nos amour ensemble vu que tout le monde s’aime…
O : Bon, j’ai toujours rien compris mais du moment que je peux être avec toi où avec quelqu’un d’autre pour ressentir des émotions fortes ( !!) je suis d’accord !
M : Bon et bien nous sommes tous d’accord !
V : Fêtons ça !
M : Euh tu veux pas attendre un peu…
V : Allons prendre un bain, nous en avons besoin !
O : J’adore tes idées Viggo !
Les trois amants partirent à leurs rivière préférée. Chacun se déshabilla sans bruit, en jetant quelques coups d’œil par ci par là et ils pénétrèrent dans l’eau chaude. (Elle a pas le droit d’être chaude l’eau ?)
V : Tu es si beau Michael…
M : c’est pas pour rien que je fais de la musculation !
Viggo caressa tendrement les gros (H : ça on savait ! LU : Ta gueule et savoure ce péché parfait…) abdos de Michael qui les narguais depuis tout à l’heure. Michael imita son mouvement et sentit les poils du torse de son ami. Il mit sa paume sur le sein de Viggo et l’embrassa. Orlando qui se sentait seul s’approcha des deux amants et fit un bisous enflammé dans le cou de Viggo. Ce dernier était soumis au deux hommes et il ne demandait rien de mieux. Il attrapa l’oreille de l’elfe qui se trouvait derrière lui et la caressa longuement. Orlando lécha le cou du roi et descendit d’un geste jalousant Michael jusqu'à pouvoir touché le haut des fesses de Viggo…
Ces trois amis passèrent plusieurs mois ainsi profitant d’être seul habitant de ce monde et firent l’amour autant qu’il voulait. Jusqu’au jour où Viggo se posa des questions.
V : A quoi ça sert ? Suis-je un bon amant ? Suis-je un bon père ? Est ce que je dois continue à emmerder les gens avec mes conneries ?
Toutes ces question était sans réponses. Il se sentait seul et la solitude commençait à lui monter au cerveau. Mais il n’y pensa plus très longtemps. Il vit qu’Orlando n’allait pas bien.
V : Qu’est ce que tu as ?
O : Je me sens seul, je suis que tu préfère Michael et je me demande si je ne suis pas obstacle à votre amour…
V :…
O : Putain, tu te rend compte comment ma phrase est bien tournée ? Faut que je la mette de coter !
V : Je sais moi aussi que je préfère Michael mais je t’aime aussi et ne pourrais vivre sans toi…
O : Je ne sais pas…
Viggo embrassa Orlando en signe de mécontentement avec les bêtises que disaient son ami. Michael s’avança, croyant qu’il se passerai quelque chose.
O : Non, désolé mais je n’est pas la tête à ça…
M : Toi ? Ce n’est pas possible !
V : Laisse le tranquille Michael, il pense à autre chose…
O : Avant de partir, je voudrai vous dire que je ne regrette rien de ce que j’ai fait et que je vous aimes.
Orlando embrassa les deux hommes et passant derrière Viggo, il lui pince gentiment les fesses…
V : Arrête tu me fais des guili…
L’elfe se dirigea vers l’arbre où H s’était suicidé. Viggo et Michael ne se rendit compte de rien, trop occupé par leurs baisers. Orlando s’assit au pied de l’arbre et décidé d’en finir avec sa vie, il prend plusieurs cailloux environnent et les porta à sa bouche. Il les avala et comme il l’avait supposer, il s’étouffa avec le dernier caillou blanc, ses préférés…
O : Adieu Viggo…
Michael et Viggo découvrirent le corps quelques heures plus tard. Mais, ils s’étaient doutés de ce qu’Orlando pensait. Ils ne furent donc pas trop surpris. Les deux hommes laissèrent tout de même couler quelques larmes en signe de leur amour pour Orlando. Peut être était-il con mais il était si mignon et gentil (et il prenait bien par derrière, avait une technique particulière pour les pipes (pas ceux des hobbits, ça c’est Viggo !)…). Ils furent anéantis par ce nouveau cadavre.
V : Nous allons tous mourir ici…
M : Nous seront morts ensemble et heureux au moins…
V : C’est un point positif…
M : Et puis nous le rejoindrons au paradis.
V : Tu as raison profitons de ce moment qu’il nous reste tout les deux…
Il embrassa Michael qui était d’accord avec les paroles de Viggo. De toute façon, il était toujours soumis à cet homme qu’il aimait tant. Ce retrouver dans ces bras était un moment très fort et il en profitait un maximum, si jamais un jour, il ne revoyait plus son ami. C’est ainsi qu’ils firent l’amour toute la journée sans interruption.
Après c’être endormis par cet effort intense, Viggo se leva de bonne humeur et partit à la pêche pour pouvoir offrir à son amour un petit dîner amoureux. Michael dormait toujours, étant exténué par cette nuit de folie. Viggo partit donc à la recherche d’un bon poisson. Arrivée à la berge (non, pas la verge… Michael dort toujours !), il s’aperçut que son matériel n’était plus là. Comme il crut voir sa canne à pêche flotté sur l’eau, il se déshabiller pour s’enfoncer dans l’eau. Ce contact froid lui raidit tous les muscles (oui, tous…) et il avança péniblement jusqu’à ne plus avoir pied. Il nagea jusqu’à atteindre sa canne (à pêche…) Michael s’était levé et regarder allongé dans le sable ce spectacle. Il était ému de voir un homme si fort nager avec élégance dans l’eau. Mais alors que Viggo attrapa sa canne à pêche, quelque chose lui attrapa le pied. Cela l’entraîna vers le fond. Il aperçut dans l’eau entre deux secousses, un requin ! Il nagea dans l’eau, épuisant toute son énergie. Quand, Il remonta à la surface, il appela son ami qui c’était déjà rendu compte de la situation.
V : Michael, je t’en prie aide-moi !
M : Viggo, je t’aime attend, j’arrive…
V : Ne t’inquiète pas je bouge pas !
Mais trop tard, le requin lui lâcha la jambe et lui attrapa violement le cou. Viggo pu tout de même poussé un dernier cri.
V : Michael, je t’aime…
Puis, il s’enfonça dans l’eau, immerger il ne pus reprendre sa respiration et tomba dans les pommes. Du sang lui sortait du cou que le requin avait blesser. Alors que le requin se préparait à croquer une dernière fois dans cette chair, Michael lui planta son couteau dans la chair. Le requin fut surpris et décida de ne pas lutter. Il partit nageant le plus vite possible.
Et alors que Michael ramena le corps de son amour, Viggo, il s’aperçoit que celui-ci que son cœur ne battait plus. Il était mort, mort pour avoir voulu les faire vivre tous les deux dans ce monde où tout leur manquait.
Michael pleura toutes les larmes de son corps. Il avait perdu en deux jours, ces deux amours. Il sentit en lui un vide qui ne sera plus jamais comblé. Tout seul sur la plage, tenant serrée contre lui la dépouille de son amant tant aimé, il pleurait sans bruit. Il posa sa tête contre celle de son ami et laissa couler contre la joue froide de Viggo des larmes chaudes et fondantes. Michael ressenti en lui une solitude immense. A mesure qu’il pensait, qu’il revoyait défilé sa vie devant ses yeux, il s’aperçut qu’il n’y avait que les images de Viggo sur lequel il était et resterait amoureux à tout jamais. Sans lui il ne pouvait vivre.
Alors dans un dernier moment de réflexion et avant que la dernière larme n’eut le temps de glisser le long de sa joue rougie par le chagrin de cette triste et sombre journée, il saisit le petit couteau qui avait effrayer le requin et se l’enfonça dans le cœur. A cet instant, il ferma les yeux mais aucune douleurs ne remontait en lui. Il partit ainsi rejoindre ses deux amants au paradis où ils vivront éternellement leur amour. Michael sentit son sang couler le long de son torse mais aucune chaleur n’en sortait. Son sang était déjà comme mort. Ce liquide rouge lui parcoura le ventre et se mélangea avec celui de Viggo. Leurs deux sangs se confondirent pour former une union sacrée. Une odeur sortit de se mélange de deux sangs purs… c’était celui de l’amour…
Les deux âmes montèrent ensemble rejoindre leur ami commun, Orlando qui les attendait avec impatience. Tous les trois réunit, ils continuèrent leur amour commencé dans leur vie passé. L’immortalité leur avait été offerte au coter de Dieu qui les regardait s’épanouir de leurs désirs communs et de leurs amours…
FIN[/size]
voila j'espère que ça vous aura plus... dsl pour les fautes.... mais je ne suis pas très bonne en français...
si vous avez des commentaires n'hésiter pas !
J'ai suprimer les scène où le slash est très expliquer... 
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J'ai du mal à suivre le même temps dans une histoire... c'est dans mes gène deepuis que suis petite alors... je crois qu'il n'y a plus rien à faire pour moi !!! 