Forum - Le Monde du Slash

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 Sujet du message: Fume un joint, t'auras l'air moins con
MessagePosté: 11 Aoû 2005 00:08 
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Voilà, petit délire exutoire et cathartique que l'on s'est tapé ce soir avec mon cher pote Jackmaster (oui oui, celui des very secret diairies, déjà), après que celui-ci m'ait conté le récit de vacances de Valentin, un ami commun (vous pouvez d'ailleurs voir ces deux joyeux drilles dans une pose très fluffye dans la partie personnelle de la rubrique RPS), qui a croisé Mr Sechan dans une gare du sud de la France. Apparemment, cet être dont je ne trouve même plus de mot approprié pour le qualifier, se déplace un magnifique 4x4.
...
Eh oui... Roulez jeunesse, comme on dit.


Enfin, bref, Jonas (alias, Jackmaster) a commencé à tirer des plans sur un kidnapping et une bonne purge musclée, et comme il est dans mes habitudes d'aimer à réaliser sous word les choses que j'aimerais provoquer de mes petites mains, je lui ai envoyé un petit début, que nous allons continuer demain.

Réservé donc aux véritables fans seulement (je pense à Nasty, à toi, Pinec, évidemment, à Scilia si cela l'amuse, et à toutes les autres amatrices de sadisme).



Fume un joint, t'auras l'air moins con



Lorsqu’il revint à lui, il se trouvait ligoté des pieds à la tête sur une chaise à hauts pieds. Il le sut dès qu’il voulut vérifier si sa montre en or Cartier était toujours à son poignet qui, malheusement, se trouvait alors coincé derrière son dos avec son jumeau, derrière son dossier. S’extirpant tant bien que mal des brumes opaques de l’inconscience, il écarquilla les quinquets pour tenter de percer l’obscurité qui l’entourait. Il distinguait bien quelques formes, des reflets de verreries, surtout… mais il lui était impossible de discerner la nature exacte de l’endroit.
-Où suis-je… articula-t-il péniblement, le gosier sec semblant étranglé par une étoffe.
A ses mots, les lumières s’allumèrent après de petits crépitements hésitants qui laissaient deviner la vétusté des lieux. Un coin qui sentait la misère, sans aucun doute. Il put alors constater qu’il se trouvait… dans ce qu’on appelait communément un « café ». Vide. Il pouvait voir un peu plus loin les deux portes closes par une croix de planches.
-Cela ne te rappelle rien… ?
La voix s’était élevée dans le silence jusque là à peine troublé par le clapotis régulier d’un goutte-à-goutte. Une voix jeune et remplie de méchanceté. La peur le prit. Des petits malfrats avaient certainement dû l’enlever, profitant de ce qu’il se promenait à découvert parmi le peuple pour aller acheter de nouvelles fourrures à cette innocente… Romane. Où était-elle ?
-Qu’avez-vous fait de ma femme, petits gangsters ? s’écria-t-il soudain. J’exige de la voir ou je…
La gifle avait semblé le projeter plusieurs mètres plus loin, bien qu’elle ne lui eût, en fait, qu’envoyé voltigé la face du côté du mur.
-Comment as-tu pu ? lança-t-on froidement… et désespérément à la fois, il eût pu le remarquer en d’autres circonstances.
-Tu la verras, déclara une autre voix plus grave, en temps voulus. Et tu apprendras également qu'à partir de maintenant, le temps des exigences est révolu
Il leva péniblement ses yeux délavés par l’âpreté de l’existence sous ses lourdes arcades sourcilières bouffies, sa joue bien rasée en feu.


Il y eut un « clic » sonore, l'interrupteur d'une lampe de bureau. Avant qu'elle ne soit dirigée droit dans ses yeux, il eut le temps de distinguer l'aspect de ses ravisseurs. La première voix appartenait à une jeune fille aux cheveux nattés, vêtue d'un blouson de cuir, d'un bandana rouge à pois blancs et d'une casquette de poulbot ; le mégot éteint d'une cigarette roulée à la main pendouillait au coin de ses lèvres. La seconde voix était celle d’un garçon à l’allure assez inquiétante : sa chevelure consistait en deux rangées de petites choupettes agressivement dressées sur le haut de son crâne par des élastiques multicolores, bien parallèles. Il avait une chemise de cuir noir sur laquelle était passé un gilet de jean sans manche. Un foulard mauve était noué à son cou et un pantalon serré de cuir brun luisant lui ceignait les jambes, allongeant sa silhouette, avant de se relâcher au bout pour tomber sur ses bottes, bien ouvert, avec la dernière des kitcheries. En fait....leur vêture reproduisait au plus près la pochette de ses deux premiers albums !
Son sang se glaça. « Mon Dieu », gémit-il intérieurement, « Je suis tombé entre les mains de deux fans extrémistes...que vas-t-il m'arriver ? »
Une main l'empoigna rudement aux cheveux… devant s’y reprendre à plusieurs fois devant la concision de sa nouvelle coupe de magazine américain dont il était si fier mais, en pareille occasion, fort mal pratique. On lui colla sous le nez un morceau de papier.
« Tu sais ce que c'est, ça ? » demanda la voix grave.
Après quelques secondes, il parvint à faire la netteté : c'était une photo en noir et blanc, prise au téléobjectif, de son nouveau et cher 4x4.
« Et ben...c'est ma nouvelle voiture », ânnona-t-il.
Une main atterrit sur son autre joue, faisant la symétrie avec la première claque.
« Mauvaise réponse, très cher. Ceci n'est pas un voiture...c'est l'un des nombreux symboles de ta totale décomposition mentale ! »
La photo fut remplacée par une vue de la penderie de sa femme, remplie de fourrures.
« Vous vous êtes introduit chez moi ? » s'exclama-t-il. Il fut récompensé de sa perspicacité par un coup de plat de la main sur le nez qui lui fit monter les larmes aux yeux.
« La n'est pas la question. Nous souhaitons simplement te faire prendre conscience de ta propre aliénation ».
Cette démente séance-diapo se poursuivit pendant ce qui lui parut des heures. Les photos succédaient aux photos, toutes montrant à quel point l'ex-chanteur engagé était devenu une loque, un simple appendice d'une multinationale de la culture rentable. Chacune d'entre elle était commentée d'une voix acerbe par l'un où l'autre des deux tortionnaires, et la plupart valurent au débris humain qu'était devenu Séchan un coup dans diverses parties sensibles de son anatomie.
Après la énième photo, il finit par s'écrouler. « Mais qu'est-ce que vous voulez, à la fin ? Pourquoi vous me torturez comme ça ? D'accord, j'ai sérieusement déconné, mais vous croyez que je ne m'en suis pas rendu compte ? Je n'ai pas eu le choix ! Vous êtes jeunes, vous ne pouvez pas comprendre...J'aurais jamais pu continuer comme au début ! Je... »
Il fondit en larmes.

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MessagePosté: 12 Aoû 2005 12:49 
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AAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaa !
Ma Half !!!!
:heart:
Ce que ça fait du bien... Monsieur Séchan, lisez-nous donc un peu, bordel !
Pas moyen de s'infiltrer dans l'équipe ? lol. En tout cas, j'ai hate de lire la suite.
Ca fait même du bien à lire, alors j'imagine à écrire... Profite, ma Half ! :wink:

:(

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MessagePosté: 12 Aoû 2005 12:52 
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Merci, Pinecou, la suite arrive ce soir. :D (Avec sdp)

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MessagePosté: 18 Aoû 2005 22:50 
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L’un de ses agresseurs parut devoir se contenir, mais il ne sut si c’était de le consoler ou de l’achever sur place.
-On a toujours le choix ! C’est ce qui différentie l’homme du cochon sauvage. Ainsi, en disant cela, tu te relègues au rang de cochon sauvage.
-Mais enfin ! Qu’est-ce que vous vouliez que je fasse ? sanglota-t-il. Vous m’avez bien regardé ? J’ai plus de cinquante berges, je suis bouffi et français. Ils se seraient tous foutus de moi ! Mes fans de l’époque sont tous à l’armée ou patrons l’usine, ou rentiers, ou petits bourgeois, ou morts. Les jeunes, maintenant, ça veut du sang neuf, de la culture bon marché, des sweat shirts et des nombrils à l’air. Vous me voyez le nombril à l’air ? –les deux ravisseurs eurent le sourcil qui flancha- Je n’avais plus aucun avenir dans la rébellion : je laisse ça à ces gourgandins de Lorie et Marylin Monson…
A ces mots, le pauvre ex-gavroche geignard se vit gratifié d’un nouveau pain dans la frimousse.
-Comment ôôôôses-tu mettre Marylin Manson et Lorie sur le même plan, béotien ? glapit le garçon aux choupettes.
-Ah non, il a raison, là… fit remarquer la jeune fille tressée.
L’autre lui lança un regard noir.
-Bon, de toute façon, ce n’est pas le problème pour l’instant, et votre sensibilité musicale à tous les deux n’est plus à vanter. Ce que vous auriez dû faire, mon cher ? Mais vous paraissiez le savoir fort bien il y a quelques années, laissez-nous vous rafraîchir la mémoire…
Sur ce, sa complice alluma un lecteur CD et, après avoir sélectionné une piste et avancé le début en accéléré, relâcha le bouton sur un nasillard : « On les a récupérés, oui mais moi on m’aura pas : je tirerai le premier, et j’vis’rai au bon endroit ! J’ai chanté dix fois, cent fois, j’ai hurlé pendant des mois, j’ai crié sur tous les toits… ce que je pensais de toi : Société… Société… tu m’auras pas… »


Il parut se tasser encore d’avantage sur sa chaise, tout ligoté qu’il était. Chaque mot semblait l’atteindre comme un coup d’un poinçon aigu en pleine poitrine. Au moment du «Tu m’auras pas » final, il se tassa sur sa chaise et cessa de pleurer. La jeune fille voulu se pencher sur lui, mais le garçon l’en empêcha d’un geste.
« Monsieur Séchan est en train de réaliser que sa vie est une gigantesque contradiction, et de la façon la plus cruelle qui soit : au travers de ses propres mots, de sa propre musique. Cela mérite bien une où deux larmes, tu ne crois pas ? »
Elle acquiesça lentement, le visage volontairement figé, les yeux fixé sur son ancienne idole.
« C’est à toi, à présent », reprit le garçon.
Elle hocha la tête une nouvelle fois, puis renifla et s’approcha de l’homme livré tout entier à des sanglots silencieux.
« Monsieur Séchan…puis-je vous appeler Renaud ? »
Devant son absence de réaction, elle s’assit en tailleur en face de lui et continua d’une voix hésitante, fragile.
« Je voulais vous dire…tout ceci nous à paru nécessaire, mais nous ne le faisons pas de gaîté de cœur pour autant. Je…j’admire énormément ce que vous avez fait. J’aime vraiment vos chansons…d’avant. Et je voudrais que vous sachiez que je…que nous sommes là pour vous aider avant tout. Plus vite et mieux vous coopérerez, plus vite vous sortirez…
En tant que Renaud, et non Monsieur Séchan ».
La jeune fille se releva et s’éloigna, remplacée par le jeune homme. Elle atteignit rapidement la porte, mais pas tout à fait assez rapidement pour étouffer un bruit de gorge étrange…toussotement où sanglot ? Le prisonnier n’eut pas beaucoup de temps pour s’interroger. Ses yeux furent bandés à nouveau.
« Qu..qu’allez vous faire ? » demanda-t-il d’une voix encore hésitante, remué qu’il avait été par la tirade de la jeune fille.
« Vous expliquer vos perspectives d’avenir, Monsieur Séchan. », répondit le garçon d’une voix froide.
« Bien… » (sa voix tournait autour de l’homme aveuglé, soulignée par l’échos de ses bottes sur le carrelage crasseux ). « Je ferais mieux de vous expliquer le sens de notre démarche, puisqu’elle exige votre collaboration. » Il marqua une pause, il y eut le bruit d’un briquet qui s’allume, puis un nuage de tabac vint agresser les narines du chanteur, lui rapellant cruellement qu’il y avait facilement 10 heures qu’il n’avait pas tiré sur une clope. En plus, se rendit-il compte, ce salopard poussait le vice jusqu’à fumer la même marque de tabac que lui…
« Comme je le disait », reprit le salopard en question, « notre démarche exige votre coopération. Il s’agit ni plus ni moins que de retransformer une véritable larve, une marionette des majors, en l’authentique rebelle qu’il était à ses débuts…de lâcher le loup dans la bergerie, en somme. »
« Et vous allez faire comment ? » interrogea son interlocuteur, son intonation sarcastique fâcheusement contredite par le tremblement de sa voix.
« Et bien…nous avons prévu un certain nombre de choses. Monsieur Séchan…vous n’avez jamais rêvé de redevenir Renaud ? Nous vous en offrons la possibilité.
- Vous appelez ça ‘offrir la possibilité’ ? Vous m’avez enlevé, séquestré, frappé…et si je n’obéis pas, qu’est-ce qui m’arrivera ?
- Le choix, comme toujours, vous appartiens. Nous avons été contraint de nous livrer à cette mise en scène afin de vous rendre plus…réceptif, mais nous ne pouvons rien faire sans vous. »
Un bruit de feuilles froissées se fit entendre, suivi d’un claquement de briquet. La porte s’ouvrit, puis le bandeau fut retiré de ses yeux. Le garçon tenait à la main ce qui, d’après l’odeur, n’était certainement pas une cigarette classique…
Pendant que la jeune fille le détachait, le jeune homme le regarda dans les yeux. Une fois cette opération effectuée, l’homme se leva et s’étira, avant de lui rendre son regard d’un air interrogateur.
« Il est à présent temps pour vous de choisir. Vous pouvez retourner à votre vie actuelle, toute cette…orgie matérialiste (il désigna les photos éparpillées sur le sol d’une volute de fumée), continuer à faire des disques pour les bobos et à passer sur RTL en vous gavant de caviar… »
Ici, le jeune homme tira une longue latte sur son joint, puis expulsa un panache de fumée au dessus de sa tête, remplissant la pièce de l’arôme entêtant du haschich.
« Mais vous pouvez choisir de rester ici. Nous avons tout ce qu’il vous faut pour vous faire retrouver une seconde jeunesse…imaginez la tête de votre manager quand vous lui annoncerez votre décision de créer un label indépendant, de sortir un disque en partenariat avec la scène punk francophone, de vous remettre à la guitare électrique…Est-ce que ça ne serait pas plus marrant que de se balader en 4x4 avec la certitude d’avoir raté votre vie ? »
Le jeune homme ouvrit la porte du café d’un geste théâtral.
« Le choix t’appartient », dit la jeune fille dans son dos.

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MessagePosté: 18 Aoû 2005 23:26 
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Superbe !
Et puis au moins je comprend le titre ! ^^ Ah, mais la fin, c'est "assez" frustrant !
Citation:
-Comment ôôôôses-tu mettre Marylin Manson et Lorie sur le même plan, béotien ? glapit le garçon aux choupettes.
-Ah non, il a raison, là… fit remarquer la jeune fille tressée.

Ca fleure la private joke mais c'est très joli ! ^^ mdr !
Citation:
Chaque mot semblait l’atteindre comme un coup d’un poinçon aigu en pleine poitrine.

Ca sent le vécu... ne serait-ce que le mien ^^;
Tout le paragraphe ou "la jeune fille aux tresses" déclame son amour pour Renaud avec un grand R, c'est superbe... :)
Citation:
Ici, le jeune homme tira une longue latte sur son joint, puis expulsa un panache de fumée au dessus de sa tête, remplissant la pièce de l’arôme entêtant du haschich.

Et tu oses publier ça ? MDR ^^

Et puis je ne ferais pas de commentaire sur la "faute que c'est pas moi c'est lui"... Ah ben si ? Oh, zut ! ^^

Bravo ! J'applaudirais des 4 membres si tu pouvais m'entendre et si mes parents ne dormaient pas au-dessus ! ^^
:suite:

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MessagePosté: 19 Aoû 2005 08:25 
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OOoooooooooooooooohhhh...

Ben heu, ça résume assez bien ma pensée. D'abord bravo, et puis merci. ça fait du biiiiieeeeeeeen d'imaginer ça!... (en mêmê temps ça fait de la peine de savoir que ça risque pas d'arriver! :roll:)

Donc merci et... :suite:....

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-Tout à la fois. Ou autre chose... Qui sait?»
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MessagePosté: 20 Aoû 2005 15:51 
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MessagePosté: 23 Aoû 2005 14:33 
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Merci pour les commentaires, les filles! ^^
A la demande de pKp, je mets directement ma suite afin qu'il puisse l'avoir le plus tôt possible.


Le chanteur était en proie à un dilemme qui semblait faire fondre les dernières soudures de son cerveau. Quelque chose en lui, quelque chose de très ténu, semblait commencer à se révolter. Mais cette petite voix était encore beaucoup trop faible et peu crédible pour peser suffisamment dans son comportement. Il avait ses devoirs, ses obligations…
-Ecoutez, vous savez, si ça ne tenait qu’à moi… c’est vrai que je serais plus en paix avec moi-même en redevenant ce que j’étais avant… (sa voix s’étrangla légèrement) sincèrement. Mais, ce n’est pas si simple, les enfants, j’ai une nouvelle hygiène de vie, j’ai une femme…
-Avais, corrigea le jeune fille.
-Enfin ! s’écria son compère, féroce.
-Qu’est-ce qu’elle voulait dire ? interrogea l’homme.
-Rien, répliqua le garçon à crêtes.
A ce moment-là, une autre jeune fille fit son apparition, un sécateur et un marteau ensanglantés dans chaque main.
-Dites, au niveau des doigts de pieds, je coupe aussi ou je brise ?
La fille tressée s’apprêtait à répondre mais le jeune homme se précipita sur la nouvelle venue pour la reconduire dans les toilettes d’où elle venait.
-Tu fais ce que tu veux, mais tu restes là-dedans !
Lorsqu’il revint, l’expression de Mr Sechan s’était décomposée et son visage avait pâli d’une manière inquiétante.
-Vous êtes ici aujourd’hui, vous n’y serai plus demain, ne vous attachez à rien, cita la gavrochette d’un ton docte.
-Vous… vous avez… vous avez tué ma Romane ? balbutia l’homme en se mettant à trembler.
Le garçon baissa la tête, ennuyé.
-Je lui ai dit que c’était peut-être un peu exagéré, mais… en même temps, il est nécessaire de vous désengluer de toute ce qui pourrait vous retenir dans l’état de déchéance qui est le vôtre : vices… ou plutôt devrais-je dire vertus, comme individus.
Il tapota l’épaule de l’homme effondré, qui fixait un point fixe de la porte avec des yeux hagards.
-Je peux comprendre ce que vous ressentez mais, comprenez que…
-Oh, comme si c’était la peine de se mettre dans des états pareils ! s’exclama soudain la jeune fille. Ca vous fera faire des économies ! Votre public vous aimera déjà, et si c’est pour une malheureuse histoire de fesses, vous pourrez abuser des nouvelles fans que vous vous ferez en redevenant Renaud ! Et le mieux c’est qu’elles ne seront plus dans la catégorie ménagère de plus de cinquante ans ! Elle sera pas plus belle, la vie ?
Son presque-interlocuteur la fixa, sans expression, tandis qu’elle lui adressait un sourire au ravissement souligné par une rangée de petites dents. Il la regarda ensuite sautiller jusqu’à son acolyte et l’entraîner dans une petite danse bras dessus bras dessous en chantant :
-Quand j’ai connu Jasmiiineuh
J’y ai offert du Jasmiiin-iinh,
Elle avait mauvaise miiineuh
J’y ai demandé sa maiiiin…
Mais comm’ disait Léniiineuh
Y a beaucoup d’gens rhumains
L’internationale sera le genre humain…

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MessagePosté: 23 Aoû 2005 17:06 
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ROMANE EST MORTE !!!
Tu sais, Half, à partir d'aujourd'hui la réalité parallèle de cette fic sera ma réalité ^^ Romane est morte ! *danse* C'est marrant parce que son nom m'horrifie mais dans cette phrase, pas de problème... :roll: :lol:
Lalalalala-tire-lalonlèreuh !

(C'est qui donc la mystérieuse autre jeune fille ?)

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MessagePosté: 23 Aoû 2005 21:12 
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wihi dansons et faisons la farandole...jadore ces jeunes!!!!

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MessagePosté: 24 Aoû 2005 00:59 
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Le slash, kesako ?

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Merki miss Half ! Je m'y atellerais des demain, j'ai 6h de train devant moi :D

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Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit
Oscar Wilde


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MessagePosté: 27 Aoû 2005 09:44 
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Boris Jardel.
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MessagePosté: 23 Déc 2005 18:20 
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Hey hey les frangines, visez un peu ce qu'on vient de m'envoyer! Cette fois-ci, pKp, tu t'es définitivement surpassé! :D:D:D Bonne lecture à toutes et encore bravo à petit Djo fluffy.






Elle se retourna sautillante puis s'interrompit. Son compagnon, surpris, regarda derrière lui...le chanteur les fixait tous deux d'un regard halluciné. Ils s'entreregardèrent, conscients pour la première fois des bruits d'écrasement et de déchirement provenant de la porte d'à côté. Le garçon se rapprocha lentement de l'homme attaché.
"Ecoutez", commença-t-il lentement, "je sais ce que c'est que de perdre un être cher..."
Il mit sa main sur son épaule. La réaction de l'homme fut immédiate, il se débattit violemment, faisant bondir le garçon en arrière. Les deux tortionnaires reculèrent lentement, effrayés par les convulsions de possédé qui tordaient le corps du supplicié. Il s'arrêta soudainement, la tête pendante, cherchant son souffle, puis la releva et hurla comme un damné "ROMAAAANE !!!" Avant de se taire et de demeurer dans une immobilité cataleptique. Impressionnés, les deux co-meurtriers se regardèrent. A voix basse, le garçon dit:
"Je crois qu'il va falloir utiliser ma méthode...
- Non ! Imagine, s'il garde des séquelles cérébrales...
- Ouais...et là, il a quel genre de séquelles ?"
La jeune fille se tut. Le garçon fit quelque pas et passa derrière le bar où l'attendaient toute une collection de fioles, Butagaz et autres ustensiles chimiques d'amateur, tous remplis de liquides aux couleurs étranges. Il en préleva un d'un vert brillant, en versa une goutte dans un verre rempli d'un liquide blanchâtre : il tourna immédiatement à un rouge profond.
"Juste à point", murmura-t-il pour lui-même.
Il introduisit l'extrémité d'une seringue stérile dans l'éprouvette , tira le piston d'un centimètre, puis reposa la fiole et se rapprocha de l'homme prostré. La jeune fille s'interposa sur son passage.
"Djo..."
- Pas de noms !
- Excuse moi...tu es sur que c'est la seule solution ?
- Non. Je ne suis pas sur que çe soit la bonne, ni même la moins mauvaise. Tu as une meilleure idée ?
- ...
- C'est bien ce que je pensais."
Il écarta la jeune fille et prit le bras du chanteur attaché, qui ne réagit pas.
"Et puis, c'est une expérience à vivre, surtout pour un artiste tel que lui", ajouta-t-il. "Ca ne pourra qu'enrichir son univers..."
Il injecta la solution.
"...s'il survit", termina-t-il.




La brulure chaude du liquide qui se répands à travers mon bras
Je tremble. Qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce qu'ils ont fait ?
Tout mon corps semble à la fois plus lourd et plus léger. Je commence à
entendre des battements, lourds, réguliers. Comme des pas.
Je comprends qu'il s'agit de mon propre coeur au moment où cette chaleur atteint mon cerveau. J'ouvre les yeux malgré moi. La petite pièce
sordide à bien changé.
Une musique envahit la pièce, je ne l'identifie pas. A la fois légère et
répétitive, propice au rêve, à la transe. La transe...je vais me
trasformer. Cette drogue...je sais que ce qe je ressens n'est pas réel.
Je dois lutter ! Ma volonté est plus forte
J'impose à la pièce de retrouver son aspect normal, abandonnant ces
distorsions de la vue. Les murs deviennent rose...puis noirs...non,
c'est moi qui vient de fermer les yeux...qu'est-ce que c'est ?
J'entends sa voix derrière moi. Sa voix. Romane ! Je me retourne et elle
est là. Intacte. Je cours pour la serre dans mes bras, mais je suis
incapable de bouger, de l'appeller. Elle se détourne, s'en va. Elle
porte au doigt les diamants que je lui ai offert.
Elle sort, vers la liberté. A cet instant, je réussis à pousser un cri
pour la retenir. Elle s'immobilise, sans se retourner. Les diamants à
ses doigts grossisent, enflent, la voiture qui l'attends se transforme
en un monstre de métal chromé et rutilant, elle porte sur le dos une
hécatombe de visons, de loutres et de renards. Elle se retourne, mais ce
n'est plus Romane, c'est un monstre, une horreur pâle aux longues
canines, la bouche pleine de sang vert et violet. Dans ses yeux flotte
la cupidité, la faim toujours plus intense de moi, de mon essence.
Elle s'approche lentement de moi, un sourire obscène sur ses lèvres
pâles. Que veut-elle ?
"Rien, mon petit Renaud, rien", répond-elle.
Sa voix est une
monstrueuse caricature, trop douce, impossiblement sucrée.
"Rien que ta vie...ton sang..."
Elle m'aggrippe et se penche sur mon cou. La, elle s'arrête, et je sens
que j'ai un choix.
Je peux la repousser, dire adieu, reconnaître que cet amour était une
erreur. Je viens de voir ce qui était la vraie Romane. Des scènes de la
vie quotidienne défilent devant mes yeux.
"Chéri, tu ne veux pas augmenter mon argent de poche ? Il y a un vison
chez Grütle...une merveille !!"
"Chéri, tu ne trouve pas ce diamant merveilleux ? J'en rêverais presque
la nuit"
"Mon amour, tu ne trouve pas que ta voiture est un peu vieille ? Les
Erlenmeyer en changent tous les trois mois, eux. Et le mari est
teeellement sexy..."
Je me lève, je la repousse, contact répugnant de la chitine verdâtre
contre ma peau. Elle est à mes pieds à présent, elle reprends son
apparence de Romane. Belle, fragile, tellement désirable, à chérir et à
protéger sans réserve. Quelle salope... je l'anéantis en pensée, et
elle disparaît.
Le tournoiement de ma tête semble s'apaise maintenant que je suis
debout. Je me souviens soudain que mes yeux étaient fermés. Lorsque je
les rouvre, je suis sur une estrade brillamment éclairée. Des centaines
de gens devant moi, hurlent...nom de dieu, c'est énorme ici ! Et cette
gratte dans mes mains...c'est du matos de qualité tout ça...Les vieilles
sensations affluent en moi, rage, révolte, colère, et tellement
d'amour...mais quelque chose sonne faux. Le moi-qui-chante...qu'est-ce
que c'est que cette soupe ?
"Trois années dans la jungle,
Ligotée, baillonnée,
Avec le vent qui cingle
dans tes cheveux défaits..."
...de dieu, c'est digne d'Indochine cette bouse !
Je veux me lever, m'excuser et reprendre un spectacle normal, mais
quelque chose m'en empêche. Je referme les yeux et je vois...
un type en costume-cravate. Il est assis derrière un bureau, j'occupe
l'autre bout. Il me tends quelque chose...un contrat ?
"Tu sais, Renaud, je sens que tu vas te plaire chez nous. On peut pas
être révolté toute sa vie, hein... toutes ces conneries de jeunesse,
chanter contre la société, c'est bien gentil mais ça nourrit pas son
homme. Content que tu sois là, on va s'faire plein de pognon..."
Putain, c'est quoi ces conneries ? Exactement le genre de renard que
j'avais juré de ne jamais approcher à moins de trois kilomètres...et ce
connard de moi-qui-tient-le-stylo qui va pour signer !
Je reprends le contrôle. Je lâche le stylo, et j'ouvre la bouche pour en
parler, mais c'est une chanson qui sort de ma bouche

"On les a récupérés.
oui mais moi on m'aura pas,
je tirerai le premier,
et j'viserai au bon endroit."
Le costume-cravate veut m'interrompre, je lui retourne une mandale et je
continue
"J'ai chanté 10 fois, 100 fois,
j'ai hurlé pendant des mois,
j'ai crié sur tous les toits,
ce que je pensais de toi,
société, société,
tu m'auras pas."
je m'arrête quand des gros bras entrent dans le bureau. Ils sont
énormes, des bras larges comme ma tête, et...ils n'ont pas de visage !
Leur face est lisse comme ma main. Je me retourne et le costume-cravate
s'est transformé, un mec gigantesque avec deux cornes, le feu au fond de
ses yeux...il me tends un scalpel au lieu du stylo, les deux gros bras
me chopent et l'un d'eux entaille mon bras pour en enduire une plume.
Ils veulent me forcer à signer !
Mais...
ils ne peuvent pas.
Je les dégage d'un geste du bras. Le poulpe me menace, m'envoie des
images de ruine, de déchéance, ma nouvelle maison saisie, mon 4x4
(qu'est-ce je fous avec un 4x4 ?) aussi... je les envoie valser d'un
geste et je sors.
Je réouvre les yeux et je suis en studio. Quelque chose en moi sens que
ceci n'est pas encore arrivé... dans le monde réel. Je discute avec des
types... nom de dieu, encore des cravates? Qu'est-ce qu'ils foutent là,
où sont mes zicos ?
"On est conseillers en communication, c'est nous qui écriront les
paroles de ton prochain album"
Je suis horrifié, je les regarde discuter entre eux et m'écrire des
énormités en gros sur ma guitare...
"Rita, donne-moi ton coeur,Rita, donne-moi ta main,Rita, donne-moi ta
soeur,Rita, nous partons demain..."
Non de dieu ce que c'est moche !
Ils se retournent et me fixent, ils parlent tous en même temps
"Tu n'aime pas, Renaud ?"
"Tu veux peut être un truc plus cool ?"
"Ouais, moins overflowing pour le mercant prospect..."
"En même temps si on tente un shock prospecting..."
"T'en penses quoi ?"
Il me parle ?
"De la merde, j'en pense. Dégaez de mon studio et appelez mes zicos !"
Ils éclatent de rire.
"Tes zicos ? Mon pauvre vieux, t'es dépassé, c'est nous les créatif ici,
toi t'es là pour chanter et jouer le rebele pour les target audience
!"

_________________
La Halfeline
__________

Image

Le sachet de thé c'est la santé!


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 Sujet du message:
MessagePosté: 23 Déc 2005 18:49 
Hors ligne
Ouh là... ça commence à devenir grave !
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Inscription: 15 Sep 2004 04:14
Messages: 3116
Localisation: Dans mes rêves de Belgique
Citation:
La Halfeline a écrit:
Hey hey les frangines, visez un peu ce qu'on vient de m'envoyer! Cette fois-ci, pKp, tu t'es définitivement surpassé! :D:D:D Bonne lecture à toutes et encore bravo à petit Djo fluffy.

*contente contente* C'est l'overdose ces temps-ci ! ^___________^

Citation:
Elle se retourna sautillante puis s'interrompit.

Déjà, image mentale :P

Citation:
Ils s'entreregardèrent, conscients pour la première fois des bruits d'écrasement et de déchirement provenant de la porte d'à côté.

*aimerait avoir l'image* ... Hihihi.
*veut rencontrer la personne*

Citation:
Avant de se taire et de demeurer dans une immobilité cataleptique. Impressionnés, les deux co-meurtriers se regardèrent.

Le con. C'est comme si on tuait une poule idiote, non ? Ca fait kotkot, et même sans la tête ça continue à courir ?

Citation:
- Non ! Imagine, s'il garde des séquelles cérébrales...

Tss tss pas de pitié ! Comme si il était pas déjà lobotomisé, vraiment !

Citation:
Le garçon fit quelque pas et passa derrière le bar où l'attendaient toute une collection de fioles, Butagaz et autres ustensiles chimiques d'amateur, tous remplis de liquides aux couleurs étranges. Il en préleva un d'un vert brillant, en versa une goutte dans un verre rempli d'un liquide blanchâtre : il tourna immédiatement à un rouge profond.

... *petite voix* C'est en libre-serice ? :P
Jolie description en tout cas ^^

Citation:
"Et puis, c'est une expérience à vivre, surtout pour un artiste tel que lui", ajouta-t-il. "Ca ne pourra qu'enrichir son univers..."
Il injecta la solution.
"...s'il survit", termina-t-il.

^_____________________^
Enrichissez !!

Quand à la suite, elle n'est pas forcément disséquable, à part le coup des souvenirs des gamineries de la pouf... Qui sont merveilleuses ! ^^
L'introduction, ses réactions... *pas juste* C'est très ... intéressant.
Quelle monstre... Quelle vie d'horreur... Pas besoin d'halluciner, c'est la réalité o_O

Bravo ! La suite ! ^^

_________________
Image(I live you)

Renaud est mort, Vive Renaud !
Co-présidente et membre honoraire des Anti-Proantiliberté
Co-présidente du club du Tampax. Image


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 Sujet du message:
MessagePosté: 24 Déc 2005 13:01 
Hors ligne
Pas encore atteint(e)... mais presque
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Inscription: 24 Aoû 2004 22:46
Messages: 1797
Localisation: Entre Zénon et Severus, Forster et Marilyn...
*toute folle*

Trop contente d'avoir la suite, surtout que... elle vaut le coup! :D
Vraiment génial!
:bravo:

_________________
«-Tu es un drôle d'animal, Forster Tuncurry. Fou le soir, malade le matin, normal le midi. Et l'après-midi?
-Tout à la fois. Ou autre chose... Qui sait?»
L'escalier C, Elvire Murail.


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