En ce moment je viens de commencer le premier des 5 tomes du guide du voyageur galactique puisque depuis des années je trip sur le film qui en à été fait et qui est culte pour pas mal de gens dans mes potes, au point que tu dit des mots comme "don't panic" "pas de panique" "la réponse est 42" ou "il faut toujours avoir sa serviette sur soi" etc etc etc que tout le monde se marre en comprenant parfaitement les anecdotes associées qu'ils aient juste lu les livres ou vu le film.
mais la hors ne serait ce que l'aspect déjà slashounet que j'avais trouvé entre Arthur Dent et Ford perfect, l'aspect slashounet que j'avais vu entre ford Perfect et Zaphod beeblebox, l'aspect slashounet entre l’androïde et n'importe quel mâle dans les environs de lui, les vogons entre eux, le pot de pétunia et le cachalot, Slartibartfast et Arthur Dent ce qui m'a fait tilter totalement dans le premier tome et qui prouve que Douglas Adams est peut être un slasheur qu'il s'ignore ou non (ou qu'il à juste voulu pousser l'humour) mais dans les premières pages de la destruction de la maison de Arthur Dent avant la destruction de la terre, j'ai pas pu m'empêcher de piaffer sur une partie de la description du chef des ouvriers chargé de la démolition et descendant direct de gengis khan.
Quand on en vient à parler de sa maison y a cette citation " il possédait un gentil petit cottage avec de longues verges suspendues au dessus de la porte d'entrée et passerait agréablement son temps au point E qui serait le pub le plus proche du point D.
sa femme bien entendu préférait les roses trémières, mais lui, il voulait des verges. Il ne savait pas pourquoi mais il aimait les longues verges. un point c'est tout. Il se sentit devenir tout rouge devant le sourire narquois des conducteurs de bull."
Si a c'est pas de l'allusion
)
Si j'en trouve d'autres de citations
dans les tomes je les remettraient
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Je partis dans les bois car je voulais vivre sans me hâter, vivre intensément et sucer toute la moelle secrète de la vie.
Je voulais chasser tout ce qui dénaturait la vie, pour ne pas, au soir de la vieillesse, découvrir que je n'avais pas vécu.
Robin Williams, Le Cercle des poètes disparus (1989), écrit par Tom Schulman