J'ai lu vos réactions dans l'autre topic, mais comme cybelia a suggéré (à juste titre) que l'on poursuive dans la partie spoilers, je livre les miennes ici.
Tout d'abord, un gif pour résumer mes impressions à chaud :
Voilà.
SO, NOW...
J'étais assez nerveuse en attaquant : avec l'immense popularité de la série, le temps qui passe, les attentes des hardcore fans que nous sommes... la qualité serait-elle toujours là ? Nos petits mignons allaient-ils s'être vendus à la facilité mainstream et glisser insidieusement vers le médiocre ?
Et bien sûr, BIEN SÛR, en cinq minutes ce cher Gatiss m'a eue. ^____^ Le premier scénar pour le roof, j'y ai (presque) cru... Oh, Godtiss... Je dis presque, parce qu'au moment du saut à l'élastique j'étais un peu là "WTF ? :lol: ", plus le moment héro sexy et vas-y que je galoche Molly (Louise Brealey m'avait spoilée à propos du snog sur Twitter, mais là tout de suite, je ne lui en veux plus ^^")... Mais quand est apparu Anderson : Ooooh, you've got me, good old clever you.
Que dire, que dire... LE moment kikoo les slasheuses (mais pourquoi avoir coupé avant le baiser ?
) qui malgré tout passe totalement dans l'épisode (le fan service, tout un art (Mark :
)...
Les rapports Mycroft/Sherlock : amoureuse je suis. Quand My explique "qu'il y a des gens, qu'il faut leur parler"... (je n'ai plus la réplique exacte en tête) Oh dear, I feel for you, deeply.
Obviously, le coup du Dr Maboul...
Les jeux de déductions, leurs souvenirs d'enfance (Sherlock réalisant qu'il est tout sauf idiot (juste un peu moins brillant que son frère (qui apprend le Serbe en deux heures XD)) une fois au contact de l'extérieur...)
Toujours dans les affaires de famille,
THE. FUCKING. BLOODY. PARENTS.
AH NON MAIS LA,
AH NON MAIS LA... !Je ne peux même pas décrire ma réaction. hgurhgjexelhgzukesuhfjskbgzkj
(juste : bon OK, ils sont ordinaires, mais Mr Holmes, tout distrait qu'il soit (un symptôme d'Asperger ? OK, je cherche trop loin...
), finit les phrases de Mrs. ^^)
Revenons à un sujet d'inquiétude : Mary. D'abord tout ce que ça implique dans la dynamique de la série et puis le fait que la joyeuse troupe reste entre elle (copine -de l'époque- de Cumbie dans la saison 1, compagnon de Gatiss dans la saison 2, Mme Moffat à la production... Booon. ^^"). D'abord, rien à reprocher au jeu d'Amanda Abbington. Quant à son perso, justement, Mary est très futée et aussi un peu taquine, ferions-nous un transfert, Johnny-boy ?
Je trouve qu'elle s'adapte assez vite à tout ça, bien que ses réactions soient naturelles. J'aimais bien Sarah (ne me jetez pas la pierre), mais de ce qu'on a pu voir, je laisse volontiers une chance à la petite Mary !
Concernant l'enquête, je suis séduite... J'avouerai juste avoir mis 300 ans à percuter le nom du Lord traître à la patrie... (Lostie devant son PC : "Moran bordel, MORAN !" :corde: ) Le coup du métro fantôme, de la bombe (Remember, remember the fifth of November...), rien de tel pour remettre Sherlock en scène.
D'ailleurs, maintenant que j'ai enfin vu Londres, les suivre partout dans la ville est encore plus jouissif.
A propos d'enquête, l'idée d'offrir une journée à Molly est un concept que je valide avec allégresse. J'ai adoré ces moments, Molly FTW !
Par contre, la pauvre, j'étais mal à l'aise pour elle à la fin de l'épisode...
Pour la toute fin et la petite introduction de CAM (qui semble être plus qu'un maître-chanteur (comme dans les livres)) me fait me demander si le rapt de John n'a pas rien à voir avec l'affaire qui occupait les frères Holmes. C'est arrivé au même moment, mais...
Pour finir, car il se fait tard (du moins lorsque j'ai tapé cette review) et que la pression retombe (et les souvenirs s'estompent) : les retrouvailles. D'abord, glisse-nous plus de français Sherly, dear. :^^: Je ne sais que dire, l'entrée en scène magistrale et toute en étapes dans le restaurant de Sherlock, la réaction parfaite de John, les coups de boules/poings (et la dégringolade en qualité d'établissements...
). Et bien sûr, le coup de bluff à la fois génial et dégueulasse dans la rame de métro (la voiture, pas le wagon !
).
Ah et un mot sur Anderson : Gatiss parvient à travers lui à rendre hommage aux fans si nerdy que nous sommes, c'est brillant du début à la fin : les explications de fou (le masque, le slash...) le chipotage sur le placement de John, la "déception", "je n'aurais pas fait comme ça"... le pire, c'est que Sherlock n'expliquant pas à John (j'ai eu peur qu'on ne sache d'ailleurs rien, voyant l'heure avancer), il (Mark) laisse ouvert... je prends l'explication donnée à Anderson, obviously. D'ailleurs, je suis contente pour ceux qui avaient capté pour la balle stop-pouls. A titre personnel, je suis contente d'avoir capté à l'époque: que My était impliqué et de mèche avec son frère dès le départ et que devant Bart's il était question du homeless network (avec cycliste dans le coup).
Voilu. Merci, ô Godtiss, pour ce moment plus que merveilleux et électrisant pour mes neurones, et j'oubliais l'essentiel :
Philip.
(ce prénom et son emploi, particulièrement par Sherlock, m'a tuée. Dunno why...
Ah oui, et :
Elle est où Donovan ?
ET,J'ai juste oublié de dire :
QUE LESTRADE (qui a certes pris un petit coup de vieux) FAIT UN GROS CÂLIN A SON SHERLY.