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 Sujet du message: Cette nuit d'aveux - TRC - Kurogane/Fye - PG-13 (T)
MessagePosté: 22 Juin 2009 02:25 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 15 Juin 2009 19:41
Messages: 28
Bon, je remarque le manque flagrant de fic relié à des mangas et animes sur ce site... Je vais essayer d'y remédier à ma manière avec plusieurs de mes fics. Voilà une fic que j'ai fait sur la série Tsubasa Reservoir Chronicles (dsl je pouvais po le rentrer dans le titre du sujet), ma série préférée. Le couple est celui de Kurogane et Fye, un de mes 2 couples fétiches. Pour ceux qui connaissent la série, la fic se déroule à Nihon, après que Kurogane ai reçu son bras mécanique (dsl pour le spoil, le tome 22 sort dans 3 jours en France...). POV Fye. Laisser un commentaire à la fin svp.

Je te regarde à travers la porte entrouverte de ta chambre. Je n’ose point entrer, tu as l’air absorbé dans tes pensées, accoudé à la fenêtre. Le soleil se couche, ses derniers rayons illuminants la pièce d’une douce lumière.

J’ai le coeur qui bat si fort même si je sais que c’est inutile. Je n’ai pas de courage, je le sais. On s’attire, on se repousse, dans un incessant jeu de cache-cache. On se blesse mutuellement, pourquoi voudrais-tu de moi ? Je vais encore laisser tomber, comme pour tout le reste.

Une larme glisse furtivement de mon oeil, descend tranquillement sur ma joue, se frayant un chemin sur ma peau pâle. J’ai décidé de repartir, sans que tu ne saches rien, c’est mieux comme ça. Je ne veux plus être ton malheur.

Je me retourne sur moi-même mais j’accroche la porte. Elle grince. Tu te retournes brusquement. Tu me vois. Avant même que tu puisses me dire un mot, je me suis enfui. J’accélère mes pas en espérant que tu ne me rattrapes pas mais je sens déjà ta main qui se referme brusquement sur mon poignet. Je me retrouve face à toi. Nos regards se croisent l’espace d’un instant. Je baisse immédiatement les yeux. Tu n’as pas à me voir ainsi souffrir, souffrir à espérer des choses impossibles, souffrir parce que j’ai décidé de t’oublier.

C’est le silence. Tu ne dis rien. Tu lis en moi, à travers mon attitude fuyante. Tu l’as toujours fait malgré toi. Ta main délaisse mon bras et se saisir doucement de mon visage affligé. Je ne peux plus éviter ton regard. Je m’attendais à cet habituel regard de colère, celui que tu m’as souvent réservé mais ce n’est pas lui. J’y lis de la tristesse. J’y lis de la déception. Je n’ai qu’une seule envie : m’enfuir aussi loin que possible, pour que l’on puisse s’oublier.

Mon regard s’embue une fois de plus. Je me mets à trembler. Mon coeur se débat dans ma poitrine. Pourquoi est-ce comme ça ? Pourquoi est-ce que je ressens ça ? Pourquoi est-ce que je pense sans cesse à toi alors que c’est impossible pour nous deux ?

Patiemment, tu sèches chacune de mes larmes. Ma gorge laisse s’échapper quelques sanglots. Tu dis toujours rien. Tu me regardes, découragé par mon état. Tu me regardes encore dépérir mais tu ne peux rien faire pour moi.

- Laisse-moi...

Je parviens difficilement dire ces deux mots. Ils me font mal. Ils te font mal. Tu ne me touches plus. J’ai l’impression que tu vas encore te mettre en colère après moi. Je reculai de quelques pas mais tu m’attrapais immédiatement. En moins de deux, je me retrouve sur ton épaule. Tu me ramènes à ta chambre. Je ne peux résister, je ne suis pas de taille face à toi.

La porte se referme derrière nous. Tu me déposes au pied du lit. Je reste assis à fixer mes genoux. Toi, tu te tiens debout, devant moi. Je sais que tu me regardes.

- Tu vas me dire ce qui se passe ?

Je ne réponds pas. Je n’ai pas envie de te répondre. Je pourrais te mentir, comme j’ai si souvent fait mais je sais que ça ne sert à rien. Tu le sais à chaque fois si c’est vrai ou non.

J’hésite. Fuir ou me jeter dans tes bras… Remettre ce moment à plus tard ou prendre le risque que tu me rejettes.

- Rien…

Ce malheureux mot, à peine murmurer, je sais qu’il est faux. Tu le sais aussi. J’attends ta réponse, appréhendant ta colère.

- Je veux que tu me dises ce qu’il y a, s’il te plaît…

Je lève mon regard vers le tient. Aucune colère, aucun dégoût dans ta voix : elle était juste ferme. L’inquiétude transperce tes yeux. Je ne peux m’en détacher. Je tremble, incapable de te répondre. Pourquoi tu me mets dans cet état ?

Je suis faible, j’en suis conscient. Te voir me regarder ainsi, j’ai l’impression que c’est de la torture. Se laisser, partir chacun de notre côté, ça serait mieux ainsi. Tu ne mérites mieux qu’un être comme moi. Quelqu'un comme moi ne te mérite pas.

Je craque pour de bon. J’enfoui ma tête dans mes mains. C’est trop tard, les larmes envahissent mon visage. J’en peux plus.

- Je suis là…

À trop être enfoncé dans mon désespoir, je ne me suis pas aperçu que tu venais me prendre dans tes bras. Ta voix résonne doucement dans ma tête, ta chaleur me réconforte.

- Je suis si faible, lâche, couard, menteur… Je suis un monstre !

- Non! ...

Je lève la tête. Ton regard me transperce. Pourquoi tu n’es pas d’accord avec ce que je suis, toi qui m’as toujours traité de menteur.

- Ce n’est pas vrai. Tu es gentil, intelligent, attentionné et très courageux…

Tu me lâches et vient t’asseoir à ma gauche. Tu passes ton bras autour de mes épaules. Nos regards ne se lâchent plus.

- Je ne connais personne qui soit plus courageux que toi. Je vais te raconter une histoire. C’était l’histoire d’un gamin qui vivait sa mère, une prêtresse et son père qui était le roi du pays. Le gamin les aimait beaucoup et son vœu le plus cher était de les protéger car leur pays subissait souvent des attaques de monstres qui vivaient aux frontières. C’est pour ça qu’il a appris à se battre, pour tuer les monstres et tous ceux qui s’en prendrait à son pays et à ses parents. Il grandit et devint de plus en plus fort. Cependant, sa mère qui protégeait le pays à l’aide d’une barrière magique tomba malade et son état se dégradait de semaines en semaines. Son père devait alors aller se débarrasser des monstres qui forçaient de plus en plus la barrière. Le gamin s’inquiétait beaucoup de cette situation. Un soir, son père dû partir se battre contre un monstre très puissant. Il voulu l’accompagner mais lui donna comme mission de protéger sa mère, qui priait afin que la barrière résiste son état de santé faible. Quelques heures passèrent, jusqu’au moment où un mystérieux assassin poignarda sa mère. La gamin n’avait rien pu faire car il ne pouvait entrer dans le lieu de prière. Elle est morte dans ses bras après quelques minutes. Juste après qu’elle soit morte, il attendit le cri d’un monstre. Il se précipita pour voir, le cadavre de sa mère dans les bras, et le vit, énorme en train de manger quelque chose. Il regardait et vit qu’il s’agissait du bras de son père qui tenait encore son sabre à la main. Le sabre tomba sur le sol. Le gamin lâcha alors tout et se précipita sur le monstre et le tua avec l’arme de son père. Il tua aussi tous les monstres qui se trouvaient dans les alentours. Il en devint presque fou. Il avait échoué, il n’avait pas pu protéger ceux à qui il tenait le plus. En fin de compte, il fut sauver et recueillit par le pays voisin où il offrit ses services mais il ne réussit pas à se défaire de son passé.

Je te vois baisser les yeux. C’est la première fois que je te vois aussi vulnérable. Je pose ma main sur celle que tu as posé sur mon épaule. Nos regards se croisent à nouveau.

- Un jour, il est parti en voyage. On l’a en quelque sorte obligée à partir très loin de son pays. Lui avait qu’une seule envie : se venger et retourner chez lui au plus vite. Il n’avait pas tenu compte quelque chose allait changer sa vie. Il rencontra une personne qui lui fit comprendre plein de chose sur lui et sur la vie. Surtout qu’il n’était pas le pauvre raté qu’il croyait être, qu’il pouvait encore aimer et protéger la personne qui lui était devenue chère. Tu m’as ouvert les yeux…

Ne dit pas ça, je t’en pris. Je ne suis pas cette personne. Je n’ai su que t’apporter du malheur.

Je ne te regarde plus. Je me lève pour partir, retourner dans ma chambre et enfin t’oublier. Étonnement, tu me laisses faire jusqu’à ce que ma main se pose sur la poignée

- Ne pars pas…

Je fige, à nouveau paralysé par les émotions.

- Si je m’en vais, c’est pour ne plus te faire de mal…

Un étrange silence s’abattit entre nous. J’ai l’impression que cela fait une éternité qu’elle dure. Je ne trouve pas de mots. Tu n’en trouve pas non plus. S’il te plaît, empêche-moi de faire ou de dire une connerie.

Je sursaute soudainement. Tes bras m’entourent une nouvelle fois, ta tête se pose sur mon épaule. Je sens ton souffle sur mon oreille. Je ne bouge plus, même si je veux me défaire de ton étreinte.

- Tu ne m’as jamais fait de mal. Ça ne sert à rien de culpabiliser sur des choses qui ne sont pas de ta faute.

- NON ! À cause de tout ce qui est arrivé, je t’ai privé de ta liberté et tu perdu ton bras. Je ne veux pas que tu finisses par mourir à cause de moi, c’est pour ça que je dois m’éloigner de toi… Je ne mérite pas tout ce que je ressens…

Je ne peux retenir ces larmes, cette douleur de mon cœur. Tu me serres encore plus contre toi.

- Ferme-là ! Ce sont mes propres décisions ! Je préfère tout perdre que de te perdre, toi…

- Quand vas-tu comprendre que je n’en vaux pas la peine ?

- Si t’en valais pas la peine, il y aurait longtemps que tu serais mort.

Tu me lâches et je me retourne. Je ne sais plus quoi penser, quoi faire. Tout est si mélangé dans ma tête que je n’ose plus parler pour l’instant.

- Moi aussi, j’ai cru pendant longtemps que je ne méritais pas de ressentir ça. Après la mort de mes parents, j’ai cru que ma vie était finie, qu’elle n’avait plus aucun sens. J’ai tué tellement de gens que j’ai arrêté de les compter. Je répétais sans cesse que je les tuais pour devenir plus fort, mais je crois qu’en vrai, je cherchais quelqu’un d’assez puissant qui aurait fini par me tuer. Ne crois pas que tu es le seul à avoir eu une vie difficile.

Je sens une vague de colère monter en moi. Je ne peux la réprimer. Je sais que tu vas payer.

- Tu ne sais pas tout ce que j’ai pu endurer depuis que je suis né ! Moi qui ne suis qu’un aimant à malédiction, qui a vu les personnes qui les personnes qui m’étaient chères mourir ou me trahir à cause de ça ! Je ne fais qu’attirer le malheur autour de moi. C’est pour ça que je n’ai pas le droit de ressentir ça ! De toute façon tu ne sais même pas ce que je ressens !

- TA GUEULE !

Tu m’attrapes par les épaules et me plaque durement contre le mur.

- Je ne peux pas savoir ce que tu ressens, c’est vrai ! Je ne suis pas toi ! Mais je peux le voir à chaque fois que tu me regardes. Et je vois que tu en as peur ! On est peut-être différents sur bien des choses mais là-dessus, on est pareil !

Ton regard était dur, tes mots cinglants. Mais qu’est-ce qui prends ? Je suis un véritable imbécile…

- Pardon…

Tu me lâches. Ton regard pèse sur moi, plus lourd que jamais. Je relève la tête et te regarde, sincère.

- J’aimerais juste pouvoir tout démêler et comprendre ce que je ressens…

- Tu le sais déjà, alors accepte-le…

Comment tu fais pour lire aussi facilement en moi alors que je fais tout ce que je peux pour me dissimuler. Je suis figé. Je voudrais penser mais j’en suis incapable. Tout comme je suis incapable de te repousser lorsque tu te penches vers moi pour m’embrasser. Depuis notre premier baiser à Yama, tu as su allumer ce feu en moi. Cependant, je crois que je t’aime depuis plus longtemps que cela, sûrement même depuis le premier jour où je t’ai vu.

Après un moment, tu mets fin à ce doux baiser. Je garde les yeux fermés, j’ai l’impression d’être dans un rêve, je me mets à parler avec mon cœur.

- Je t’aime… Je t’aime tellement… La dernière chose que je veux, c’est te faire du tort et te rendre malheureux…

- Je sais…

Ta main vient caresser ma joue. J’ouvre les yeux. La noirceur s’est installée ; je ne m’en étais même aperçu.

- … mais si tu veux mon bonheur, sois toi-même heureux.

Je retourne contre toi et dépose ma tête contre ton épaule tout en glissant mes bras autour de ton cou. J’ai l’impression que je pourrai rester ainsi pour l’éternité.

- Est-ce que je peux dormir avec toi cette nuit ?

Tu ne peux voir à quel mon visage est devenu rouge de gêne mais j’ai tellement envie de dormir près de toi que je ne peux attendre plus longtemps. Pour toute réponse, tu me soulèves comme si j’étais une jeune fille et m’amène vers le lit.

Tu m’y dépose avant de t’asseoir à ma droite. On se regarde un moment, avant de s’embrasser et de se rapprocher. Je frissonne quand tes mains se mettent à me caresser. Au bout d’un moment, essoufflé, je sépare mes lèvres des tiennes et je t’observe encore, tremblant. Je me doute de la suite des choses.

- Est-ce que tu as déjà eu un amant dans ton monde ?

Malgré la noirceur qui règne dans la pièce, je remarque tu as fortement rougis sans compter que c’est la toute première fois que je te vois ainsi. Je souris. Tu ne devrais pas t’inquiéter pour la réponse.

- Non. Je n’en ai jamais eu et tu es le seul avec qui je veux le faire.

C’est à mon tour de prendre une teinte cramoisie. Plusieurs questions défilent dans ma tête. Avec un physique attirant comme le tien, les femmes devaient te faire de l’œil. Ce n’est pas du tout comme moi. Il est relativement évident de deviner que c’est plutôt les hommes qui ont tendance à me courir après.

- Pourquoi est-ce que tu me demandes ça ?

- Parce que c’est moi aussi la première fois et que je ne veux pas gaffer. Je veux que se soit un moment inoubliable.

- Ne t’en fais pas. Moi, je suis certain que ça va être un moment merveilleux.

Je viens alors m’asseoir sur tes genoux et déposer un baiser réconfortant sur ton front. Je ne perds pas de temps et je commence à t’embrasser passionnément, jusqu’à en perdre la raison. Tu me renverse sur le lit et position sont inversée : toi au-dessus et moi en dessous. Tes lèvres descendent tranquillement sur mon cou. Quelques gémissements s’échappent de ma bouche entrouverte alors qu’une chaleur se répand au niveau de mon bas-ventre. Ta main remonte alors vers ma nuque et je sens tes doigts détacher la lanière qui retient mes cheveux.

Tu te diriges ensuite vers le nœud qui retient mon bandeau et tu fais y fait la même chose en me regardant avec des yeux brillants. Je suis si gêné que tu me vois sans ça. Je trouve mon visage si horrible depuis la perte de mon œil.

- Tu sais que tu es beau…

Ta voix est lente, grave, à la fois rassurante et sensuelle. Ton regard trahi tes sentiments et ton désir. Je souris encore. Je sens que je ne dormirai pas vraiment cette nuit…

Je t’aime tellement Kurogane, plus jamais je te quitterai…


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 Sujet du message: Re: Cette nuit d'aveux - TRC - Kurogane/Fye - PG-13 (T)
MessagePosté: 05 Avr 2010 17:28 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 26 Juil 2007 13:58
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Je dois t'avouer que je ne viens que de débuter cette série, mais cela est amplement suffisant pour connaître les protagonistes et comprendre l'histoire C'est une très belle histoire, très émouvante et très bien écrite. Je ne peux donc que te féliciter. :bravo:

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L'Homme ne peut pas toucher les nuages, mais il a des jambes pour les rattraper.


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 Sujet du message: Re: Cette nuit d'aveux - TRC - Kurogane/Fye - PG-13 (T)
MessagePosté: 05 Avr 2010 17:58 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 15 Juin 2009 19:41
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merci bcp

Tsubasa, c'est une vraie drogue pour moi et je suis une Kurofye addict qui se respecte LOL. C'est le plus beau couple qui existe. Je considère d'ailleurs Fye comme mon alter-ego fictif mais moi, je n,ai toujours pas trouver mon Kuro-chan :lol:

contente que cela t'ai fait plaisir^^


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 Sujet du message: Re: Cette nuit d'aveux - TRC - Kurogane/Fye - PG-13 (T)
MessagePosté: 24 Mai 2010 10:50 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 26 Juil 2007 13:58
Messages: 350
Eh ben, Tsubasa n'est pas qu'une drogue, je dirai que c'est ta Bible ! (lol)
T'inquiète, tu le trouveras ton Kuro, un jour...
De rien, si tu en écris d'autre, je serai là pour les lires.

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L'Homme ne peut pas toucher les nuages, mais il a des jambes pour les rattraper.


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 Sujet du message: Re: Cette nuit d'aveux - TRC - Kurogane/Fye - PG-13 (T)
MessagePosté: 31 Aoû 2010 16:21 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 30 Aoû 2010 12:47
Messages: 79
Localisation: Quelque part entre le ciel et les nuages
C'était émouvant ^^ :bravo:
Moi aussi j'adore TRC et le couple Kurogane/Fye il vont bien ensemble et je trouve que tu décris bien leurs tourments intérieur ^^

Bravo ^^

J'ai vraiment adoré

Originellement

(=^_^=)


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 Sujet du message: Re: Cette nuit d'aveux - TRC - Kurogane/Fye - PG-13 (T)
MessagePosté: 18 Nov 2010 21:19 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 12 Mai 2009 13:02
Messages: 133
Localisation: sous la lune
:bravo: :bravo: :bravo:

J'aime beaucoup ce couple

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Les enfants peuvent nous apprendre à profiter du temps qui passe plutôt qu'a regretter le temps qu'il fait. Christiane Collange.
Ce sont les plaisirs simples et non les vaines possessions qui menent au bonheur. Michel de Montaigne.
Le FAIRE est révélateur de l'ÊTRE. Jean-Paul Sartre.
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 Sujet du message: Re: Cette nuit d'aveux - TRC - Kurogane/Fye - PG-13 (T)
MessagePosté: 21 Nov 2011 09:29 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 19 Aoû 2011 16:19
Messages: 148
Localisation: En enfer. (Traduction, au taff)
J'ai adoré!

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 Sujet du message: Re: Cette nuit d'aveux - TRC - Kurogane/Fye - PG-13 (T)
MessagePosté: 25 Juil 2012 11:22 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 22 Juil 2012 16:04
Messages: 11
Fan de TRC! J'adore cette petite fanfiction!


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 Sujet du message: Re: Cette nuit d'aveux - TRC - Kurogane/Fye - PG-13 (T)
MessagePosté: 20 Sep 2019 22:19 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 09 Sep 2019 00:03
Messages: 21
Localisation: Dans une autre Galaxie
J'adore ce couple :wouah:

Une très belle histoire ou l'on ressent bien les sentiments de ces deux personnages.

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