Bonjour/bonsoir à tous et à toutes. Voici mon nouvel OS qui répond à la question qui m'a été posé sur le précédent à savoir:
cybelia a écrit:
Mais je suis curieuse de savoir qui est la personne avec qui Clinton Jones a fini sa soirée...
La réponse est là.
Par contre c'est un peu différent de ce que j'ai fait jusqu'à aujourd'hui.
Merci à Glasgow dont une fic m'a donné cette idée et à Yayizaki pour sa bêta-lecture et ses suggestions.
************************************************************************************
Attention ! Les personnages utilisés dans cette fanfiction ne m'appartiennent pas, ils sont la propriété de leurs auteurs respectifs. De plus, je ne connais pas les personnages réellement existants et je n'ai aucune prétention à raconter leur vie privée : c'est de la pure fiction, rien de ceci ne doit être considéré comme vrai ! Enfin, qu'il soit bien clair qu'aucune fanfiction n'est publiée dans un but lucratif, je n'en tire aucun profit.Titre: White Collar - Singularité
Public: PG-13
Pairing: Clinton Jones / ? feat. Peter, Neal Diana et Mozzie.
Clinton Jones n'en était pas revenu. Il avait cru finir la soirée la soirée en solitaire. Quand il avait entendu SA voix lui dire :
« Clinton, ramène ton splendide postérieur si tu veux avoir une soirée inoubliable », son cœur avait bondi dans sa poitrine et il n'avait pas hésité une seconde. Il ne l'avait pas regretté. Il avait passé une excellente soirée et une nuit des plus torrides.
Le jeune agent se réveilla ce matin-là le sourire aux lèvres. Il espéra qu'il y aurait d'autres soirées et d'autres nuits comme celle-là. Il se tourna de l'autre côté et fut déçu de voir que la place était vide et froide. Dépité, il se leva et se dirigea vers la cuisine. Il vit un plateau avec une tasse, deux verres à pied : un vide et l'autre contenant une rose et un panier garni de viennoiseries. Il vit que le café était déjà dans la cafetière, il n'avait plus qu'à appuyer sur le bouton. Il vit un mot sur le frigo retenu par un aimant :
"Bonjour à toi, grand séducteur, j'ai dû partir avant que tu te réveilles mais j'ai tout préparé pour que le vaillant agent du FBI soit en grande forme. Je te téléphone dans la journée. "
Clinton ne put s'empêcher de rire
-J'espère bien que tu vas m'appeler.
Après avoir savouré son petit-déjeuner, il se rasa, se doucha non sans repenser à la douche à deux prise la veille au soir. Quand il retourna dans sa chambre, il remarqua que ses affaires avaient été soigneusement préparées pour qu'il n'ait pas à les chercher. Il ne put s'empêcher de sourire à cette charmante attention.
Il arriva dans les locaux du FBI avec les souvenirs de la veille bien présents dans sa tête et un sourire persistant. Il croisa Diana qui ne put s'empêcher de remarquer ce visage radieux :
-Salut Clinton. Je vois que ta soirée a été bonne.
-T'en as pas idée.
-À ce point ? Je peux en savoir un peu plus ?
-Sûrement pas !
Il est vrai que Clinton Jones n'avait pas pour habitude d'étaler sa vie privée comme ça. Personne ne savait vraiment ce qu'il faisait en dehors du bureau. Dans un sens, cette attitude était parfaitement compréhensible. Mais au goût de Diana, il en avait trop dit ou pas assez et elle commença à le harceler avec une attitude d'adolescente impatiente. Il eut toutes les peines du monde à la faire se calmer. Il ne dut son salut qu'à l'arrivée de Peter Burke qui lui aussi avait un sourire particulièrement expressif sur le visage. Quand il vit le manège de sa protégée, il intervint :
-Diana, tu vois bien que tu embarrasses Clinton.
Puis il prit la direction de son bureau et s'y enferma. La jeune femme regarda son patron et mentor et ne put s'empêcher d'émettre une opinion :
-Lui aussi a dû passer une excellente soirée.
La réaction de Clinton fut immédiate.
-Va donc lui demander avec qui et comment ça s'est passé.
-T'es malade ! J'ai pas envie de me retrouver aux archives.
-Ah ! Donc Peter a droit à sa vie privée et pas moi …
-Peter c'est le boss, toi t'es un collègue …
-Quelle excuse foireuse ! Bonne journée Diana.
Il retourna à son bureau et se mit immédiatement au travail. Il remarqua à peine l'arrivée de Neal Caffrey qui sifflotait ♫Fly Me To The Moon♪ et qui fila directement dans le bureau de Peter. Il esquissa un sourire et allait ouvrir un dossier quand son portable se mit à vibrer. Il regarda qui pouvait lui téléphoner, il vit l'identité de l'appelant et son visage s'illumina. Il sentit le regard de Diana braqué sur lui et décida de s'isoler afin de pouvoir parler librement. Il chercha un coin désert tandis que son portable vibrait de plus belle. Il trouva finalement un ancien local de stockage et s'y enferma.
-Clinton Jones.
-Salut, vaillant agent. Bien dormi ?-Après la nuit qu'on a passé, oui. Même si j'aurais préféré te trouver à mon réveil …
-Un imprévu, mais on peut remettre ça ce soir.Un frisson de désir parcourut la colonne vertébrale du jeune agent.
-Il me tarde d'y être.
-Et moi donc, t'as pas idée de l'effet que tu me fais.-Oh je crois bien que je sais, dit-il en jetant un regard vers le bas sans rater la bosse entrain de se former au niveau de son entrejambe.
-On dit ce soir, à l'endroit habituel ?-Ça marche pour moi … à ce soir …
-À ce soir, Clint. Il raccrocha et s'appuya contre le mur. Il dut attendre que la « tension » redescende avant de pouvoir sortir. Il ferma les yeux et essaya de chasser les pensées plus qu'explicites qui s'agitaient dans sa tête. Un agent avec une splendide érection au boulot, non décidément, ça risquait de faire tache. Quand il se fut calmé, il sortit et retrouva face à Diana.
-Qu'est-ce-que tu fichais ? Ça fait un moment qu'on te cherche. Il y a eu vol avec substitution au MET*. Le patron et Caffrey sont déjà partis. Allez secoue-toi !
Étrange affaire ! Un tableau de valeur avait été remplacé par une copie. L'un des conservateurs du musée s'en était rendu compte à cause d'un détail particulier sur le faux. Clinton eut du mal à se mettre au travail. En tournant la tête il remarqua un homme de taille moyenne, le crâne dégarni, d'épaisses lunettes qui faisait les cent pas de l'autre côté du cordon de sécurité en essayant d'attirer l'attention de Caffrey. Il crut reconnaître Mozzie quand il vit Neal faire remarquer à Peter qu'il était là. Le consultant alla le rejoindre mais il n'entendit pas ce qu'ils se disaient. Par contre le visage de Neal se ferma et quand il revint, il le vit chercher quelque chose.
-Qu'est-ce-que tu cherches ? Lui demanda Peter.
Le consultant était à genoux et il passait sa main sous les sièges qui permettaient aux visiteurs de s'asseoir afin de se reposer en admirant les œuvres. À un moment, il le vit sortir quelque chose et le montrer à Peter.
-Voilà ce que je cherchais.
Il lui montra l'objet et le visage de Peter s'assombrit. Sur le moment Clinton ne vit pas de quoi il s'agissait.
-Il faut qu'on soit sûr, dit alors Peter.
-J'ai demandé à Mozzie de mettre tout son « réseau » sur le coup. Il m'a dit qu'il aurait très vite des infos fraîches à nous donner.
-J'espère.
À part l'objet mystérieux, les indices étaient minces et les agents se perdaient en conjectures. Peter était parfaitement conscient que son équipe n'arriverait à rien face à ce manque cruel d'éléments pour identifier le voleur. Il espérait que Mozzie apporterait bien vite les informations manquantes. Il accorda leur soirée aux agents présents tandis que Neal et lui resteraient au bureau en attendant des nouvelles. Clinton fut l'un des premiers à partir, à la surprise générale.
-Qu'est-ce-qu'il lui prend ? Demanda Neal.
-Il a un rencard, répondit Diana.
-Clinton ? Un rencard ? J'ai toujours pensé qu'il menait une vie de moine. Tu sais avec qui ?
-Non, il n'a rien voulu dire. Enfin, je vais rentrer aussi, je verrais peut-être Christie avant qu'elle aille bosser. Soyez sages !
-Bonne soirée Diana, dit alors Peter.
Quand elle fut partie :
-Remontre moi ce que tu as trouvé, s'il te plaît. T'es sûr que ça vient de lui ?
-J'en suis quasi certain. Ça lui ressemble trop. Mais je me demande ce qu'il a voulu laisser comme message.
Clinton était passé chez lui se doucher et se changer. Il était en retard et il espérait vraiment que son rendez-vous avait attendu. Il marchait d'un pas rapide mais il comprit vite que cela irait plus vite avec un moyen de locomotion. Il héla un taxi pour arriver plus vite. Son portable vibra.
-Clinton Jones
-Tu es en retard, brave soldat.-Désolé, une affaire délicate, j'arrive, attends-moi.
-Pas de souci. Je t'attends. Le taxi le déposa devant l'entrée du restaurant. Il paya et entra un peu précipitamment. Il balaya la salle du regard. Son cœur battait la chamade. Il poussa un soupir de soulagement quand il l'aperçut qui lui faisait un signe de la main.
-Salut, désolé pour le retard.
-Salut, je t'ai attendu comme tu vois mais tu vas devoir te faire pardonner pour le retard.
-Si tu veux, je peux me mettre à genoux ici et te demander pardon
-Ils vont croire que tu me demandes en mariage. Mais ne crois pas t'en tirer comme ça, vaillant agent … tu te mettras à genoux mais plus tard dans la soirée.
Clinton ne put rater le sourire quasi carnassier de son rendez-vous et il ne put s'empêcher de sourire à son tour.
Ils commandèrent et le dîner put enfin commencer.
-Je peux te poser une question ? Demanda Clinton.
-Qui la pose ? L'homme ou l'agent du FBI ?
-L'homme.
-Vas-y. Mais je me réserve le droit de pas répondre.
-OK. Pourquoi moi ?
-Pourquoi toi ? Clarifie ta question s'il te plaît.
-Qu'est-ce-qui t'a plu chez moi ?
-Mais … absolument tout … ton visage … tes mains … surtout quand elles se posent sur moi …
La dernière partie de la phrase avait été prononcé avec une intonation des plus explicites.
-Arrête, on va se faire jeter du restaurant, dit Clinton en regardant la salle d'un air un peu gêné.
-Et alors ? On arrivera plus vite à ce grand moment où tu me demanderas pardon à genoux … avec tout ce qui s'en suit.
Sa main se posa sur celle de Clinton. Un frisson de désir les parcourut. L'agent du FBI paya l'addition avant la fin du repas car il savait qu'un dessert des plus exquis l'attendait.
En quittant le restaurant, le jeune agent se posait des questions entrecoupées de pensées très coupables. Pourquoi lui ? Il le pouvait s'empêcher de regarder son rencard. Si on lui avait dit qu'il craquerait à ce point, il n'y aurait jamais crû, surtout pour … un autre homme. Mais ils se plaisaient et c'était tout ce qui lui importait. Il se moquait bien que ça finisse par se savoir. Tout ce qui lui importait, c'était de se retrouver en sa présence et d'oublier le FBI et d'être Clint pour leurs moments intimes. Ils arrivèrent enfin. Clinton eut à peine le temps d'ouvrir la porte de son appartement qu'il se retrouva plaqué contre le mur en face, les lèvres de son amant collées aux siennes. Il ne résista pas il le laissa faire. Il sentit ses mains caresser sa nuque, ses épaules, le bas de son dos avant de s'aventurer sur son postérieur.
-Hum … ces fesses musclées … dit son amant.
Il lui enleva sa veste. Clinton fit de même. Ils se retrouvèrent assez vite dans la chambre du jeune agent. Son amant glissa ses main sous sa chemise et commença à caresser la peau douce de Clinton qui ferma les yeux en émettant de légers soupirs. Puis il déboutonna la chemise et la lui enleva avant de la jeter à l'autre bout de la pièce. Puis il enleva la sienne. Ils étaient tous deux torse nu.
-Bien, il est temps que tu me demandes pardon en y mettant les formes.
Clinton sourit avant de jeter un regard à l'entrejambe de son amant.
-En parlant de formes …
-Coquin ! Allez, à genoux … je suis presque sûr que c'est moi qui vais te demander pardon au final.
Clinton s'agenouilla commença à déboucler la ceinture de son partenaire. Puis il s'attarda sur la bosse du pantalon qu'il caressa un instant avant de défaire le bouton et de descendre doucement la fermeture éclair …
Tôt ce matin-là, alors que Neal et Peter s'étaient endormis au bureau, le téléphone du consultant sonna. Ils se réveillèrent et le jeune homme répondit.
-C'est Mozzie … oui Peter est là … on est au bureau … garde tes commentaires et dis-nous ce que tu sais … t'en es sûr ? … Merci Mozzie.
Il raccrocha.
-Qu'est-ce-qu'il a dit ?
-J'avais raison.
Il prit l'objet trouvé au musée. Il s'agissait d'une pièce d'un jeu d'échecs, un cavalier pour être exact.
-C'est bien sa signature. Mozzie a parlé à Izee. Il l'a vu en ville hier soir. Il n'était pas seul. Il était en compagnie d'un jeune afro-américain.
-Un afro-américain ? Bizarre … un nouveau complice ?
-Je sais pas. Mozzie dit que Izee les a pris en photo. Il nous l'envoie.
-Parfait.
Le portable de Neal sonna pour annoncer l'arrivée de la photo. Quand elle se forma sur l'écran, l'agent et le consultant se regardèrent. Ils ne pouvaient y croire.
-Bon sang ! Hurla Peter. Mais à quoi il joue ?
-Le cavalier représenterait Clinton … je comprends pas.
-Ce que je comprends c'est que Clinton s'est fourré dans un drôle de merdier.
Il prit son portable.
-Il répond pas. Il faut y aller.
-Je viens. Je suis sûr qu'il essaie de m'atteindre en faisant ça.
Clinton se réveilla. Son amant n'était plus à côté de lui. Il se redressa et il le chercha du regard dans la pièce mais il n'était pas là. Il se leva.
-Matt ? Matt tu es là ?
Pas de réponse. Il commença à croire qu'une fois de plus il était parti comme un voleur. En arrivant dans le salon, il le vit de dos près de la fenêtre. Il sourit.
-Tu veux que les voisins profitent du spectacle de ton physique avantageux ?
-Ils dorment à cette heure. Qu'est-ce-que tu fais debout ? Tu aurais dû rester coucher.
-Ta présence me manquait. J'ai cru que tu étais parti.
-J'allais le faire. Mais j'avais espéré que j'aurais pas à faire ce que je m'apprête à faire.
-Matt ? De quoi tu parles ? Je comprends pas …
Jones se retourna l'espace d'un instant quand une intense douleur le fit sombrer dans l’inconscience. Il tomba sur le sol de son appartement.
-Désolé, vaillant agent, mais je dois mettre fin à notre relation.
Il attrapa l'arme de service de Clinton et la pointa vers le jeune agent toujours inconscient. Sa main commença à trembler …
La voiture de Peter et Neal s'arrêta au bas de l'immeuble où habitait Clinton.
-Il répond toujours pas !
-Tu crois qu'il lui a fait du mal ?
-Je sais pas et je veux pas y penser !
L'agent Burke était inquiet. Le consultant comprenait car il ne connaissait que trop bien le « partenaire » de Clinton. Ils virent arriver le véhicule de l'équipe d'intervention. Peter briefa les agents :
-Un agent est en danger. Le suspect est dangereux et probablement armé. Il n'hésitera pas. Je compte sur vous.
L'équipe entra dans le bâtiment, suivi par Peter et Neal. L'agent Burke s'approcha de la porte et frappa :
-Clinton ? Clinton ?
Pas de réponse. Il fit signe aux agents d'enfoncer la porte qui ne résista pas. Les agents se ruèrent dans l'appartement tandis que Neal et Peter se penchèrent sur Clinton, toujours inconscient. Les « R.A.S. » fusèrent de tous les coins de l'appartement. À part le jeune agent, il n'y avait plus personne.
-Il est parti avant qu'on arrive. Clinton ? Clinton ? Appela Peter en le secouant légèrement.
Il commença à émerger.
-Tout doux, lui dit Neal. T'as pris un vilain coup sur la tête.
-Il … s'est passé quoi ? Il … où il est ? Où est Matt ?
-Matt ?? tu veux dire Matthew Keller ? Dit alors Peter.
-Oui … enfin … pour moi ça a toujours été Matt …
-Attends mais tu sais qui c'est pourtant, lui dit Neal. Je comprends pas …
-Y'a rien à comprendre, dit Clinton en tentant de se redresser pour s'asseoir avant de prendre appui contre le mur. La première fois que je l'ai vu, je l'ai pas reconnu de suite mais y'a eu un truc entre nous et j'ai senti que c'était partagé …
-Keller n'a jamais rien partagé, dit alors Peter avec une expression sévère sur le visage. Tu réalises que tu t'es foutu dans un beau pétrin. Il aurait pu te tuer.
-Bizarre qu'il ne l'ait pas fait, dit Neal en lançant un regard vers Peter.
Clinton les regarda tous les deux.
-Je suis peut-être dans le pétrin mais il m'a pas tué. Ça veut peut-être dire que quelque part il tenait à moi … Les gens peuvent changer vous croyez pas, Peter ?
Sur ce coup, il avait fait mouche. Peter et Neal se regardèrent. Ils l'aidèrent à se relever tandis que l'équipe médicale arrivait sur les lieux pour l'examiner.
-Neal ?
-Oui, Clinton.
-Tu crois qu'il était sincère ?
-Franchement, je sais pas. Le Matthew Keller que je connais est la pire des ordures. Il n'a pas hésité à faire enlever Peter pour me forcer la main. La description que tu fais de lui est très éloignée de celle que j'ai en tête.
-C'est peut-être Matt qui a empêché Keller de me tuer.
-Peut-être … on le saura sûrement jamais.
Pas très loin de là, Matt cessait définitivement d'exister et Matthew Keller reprenait possession de lui-même. Pourquoi n'avait-il pas pu tirer ? Qu'est-ce-qui avait pu l'en empêcher ? Il n'était pas du genre à se laisser attendrir ? Il secoua la tête. Cela ne lui ressemblait pas. Quelque part au fond de lui, il entendit un écho de Matt. Il avait eu des sentiments pour Clinton. Il ne l'aurait jamais cru. Il finit d'enterrer Matt. Plus question qu'il se manifeste ! S'il revoyait l'agent Jones, cette fois, il n'hésiterait plus.
_____________________________________
*MET : Metropolitan Museum de New-York
_____________________________________