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 Sujet du message: [Finie] Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 19 Déc 2009 17:25 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 25 Avr 2009 12:50
Messages: 442
Disclaimer : L'univers et les personnages d' « Highlander » ne m’appartiennent pas, je n’en tire aucun bénéfice.

BABY BLUES


Et voilà, c’était Thanksgiving, enfin la veille. Et comme beaucoup d’immortel, Méthos n’allait pas le passer en famille. Mac non plus d’ailleurs, vu que ni l’un ni l’autre n’avait plus de famille. Il restait Joe, mais celui-ci avait été invité par sa fille Amy et était parti en milieu d’après-midi. Duncan avait donc invité le plus ancien des immortels pour un déjeuner en tête à tête le lendemain. Malgré tout, Méthos décida de passer prendre l’écossais pour fêter la veille de Thanksgiving chez Joe, car même en l’absence du guetteur, le bar restait ouvert.

Arrivé au dojo, Méthos vit de la lumière au premier. Il s’engouffra dans l’immeuble et faillit buter sur un paquet par terre. Enfin, un paquet, façon de parler. Il s’agissait bel et bien d’un couffin. Il le regarda avec circonspection, puis doucement, avec le bout du pied, le fit pivoter pour voir ce qui se cachait à l’intérieur. Il entendit un petit cri et sa première pensée fut « un chat ? », mais quand il eut fini de faire pivoter le couffin… « C’était trop beau pour être vrai » pensa t-il en lâchant un soupir. A l’intérieur, un bébé, un vrai, le regardait ayant l’air presque aussi surpris que lui. Après un instant d’hésitation, l’immortel se baissa et regarda s’il ne voyait pas une lettre ou un petit mot, mais il n’y avait rien. Au pied du couffin, un petit sac contenait un biberon, un reste de lait en poudre, deux couches et des vêtements de rechanges.
- On va allez loin avec ça, dit Méthos pour lui-même. C’est Mac qui va être content !
Méthos attrapa le couffin et se dirigea vers le monte-charge. Le bébé émit un petit gazouillis et l’immortel ne put s’empêcher de sourire. Lorsqu’il souleva la grille pour entrer dans le loft, Mac ne leva même pas le nez du bouquin qu’il lisait.
- Télégramme ! lança l’ancien en entrant.
- Tu me l’as déjà faite celle-là, répondit Mac toujours sans lever la tête.
- T’as raison, j’aurai du dire « Le facteur » ou peut-être « le Père Noël », y’a aussi Fedex, mais je trouve que ça colle moins. Ah oui, en fait c’est « la cigogne » le plus approprié !
Duncan n’avait toujours pas levé le nez de son livre comme si ignorer Méthos allait le faire s’en aller. Il avait un petit coup de blues à cause de la solitude qu’avait fait remonter la fête de Thanksgiving et il ne voulait voir personne ce soir là, son ami n’étant invité que pour le lendemain. Pourtant le mot « cigogne » finit par l’interpeller. Il regarda Méthos et le paquet que celui-ci posa sur la table.
- Mais qu’est-ce que c’est que ça ? demanda l’écossais.
- Je pensais que tu allais me le dire, je l’ai trouvé dans ton sas d’entrée.
- Et qu’est-ce qu’il y a dedans ? demanda Mac en se levant enfin de son fauteuil.
- Heu… je dirais… une bombe à retardement ?
Duncan n’était pas d’humeur à goûter les plaisanteries idiotes de son ami et il se précipita pour voir par lui-même.
- Boum ! fit Méthos alors que Mac découvrait le contenu du « paquet ».
- Mais qu’est-ce que c’est que ça ?
- Je sais que tu n’as que quatre petits siècles, mais je croyais quand même qu….
- ARRETE TES CONNERIES METHOS ! s’emporta soudain le Highlander.
- HE ! J’y suis pour rien moi ! Il était en bas.
Duncan commença à farfouiller dans le couffin.
- Laisse tomber, j’ai déjà regardé. Il n’y a rien. Enfin, si on peut appeler « rien » cette petite chose qui gigote.
- Mais d’où il sort !
- Pas d’un immortel, ça c’est sûr, tu es donc hors de cause….
Mac faillit rembarrer Méthos, mais le ton de sa voix lui fit retomber toute sa colère. Regarder un enfant et se dire qu’il ne sera jamais de soi. Méthos avait-il rêvé, ou rêvait-il encore, lui aussi d’avoir un enfant qui lui ressemblerait ? Mac avait du mal à voir l’ancien pouponner, mais lui-même y pensait parfois.
- Une idée ? demanda Méthos.
- Comme ça ? Non, aucune. Pourquoi moi ?
- Pur hasard… ou quelqu’un qui te connait et qui sait qu’il peut avoir confiance.
- En attendant, on fait quoi ? demanda Mac perplexe.
- « On » n’est pas concerné. C’est ton cadeau ! se défila Méthos. Mais tu pourrais commencer par appeler les services sociaux.
- Quoi ! Tu veux le confier à je ne sais qui ?
- Mac, il a deux grenouillères, un peu de lait et deux couches. Tu ne vas pas aller loin avec ça, en tout cas ça m’étonnerait que tu ais le temps de retourner tout le pays pour retrouver ses parents, surtout si tu le trimballes partout avec toi. Au fait, tu y connais quoi en bébé ?
- Je… à peu près rien !
- Bon, je vais appeler. Surveille-le en attendant, dit Méthos.
- Pourquoi il faut le surveiller ? Tu veux qu’il aille où ?
- Je sais pas, il pourrait te piquer les clés de ta voiture et aller faire un tour en boîte ! Je voulais juste dire… oh, laisse tomber !
Mais à peine Méthos avait-il fait demi-tour en direction du téléphone, que le bébé se mit à hurler. Il se tourna et faillit éclater de rire en voyant la mine défaite, pour ne pas dire paniquée, du Highlander. Méthos prit l’enfant dans ses bras et l’appuya contre son épaule avant de le bercer doucement. Le bébé se calma, hoquetant encore un peu.
- Il doit avoir faim, je ne sais pas depuis combien de temps il était là, dit Méthos. Tu lui prépares un biberon pendant que j’essaye d’appeler. OK ?
Mac prit la boite de lait en poudre et lut le mode d’emploi.
- De l’eau, du lait et tu fais chauffer le tout, dit Méthos avec patience.
- La quantité de lait dépend de son âge ! s’exclama Duncan. Et puis je n’ai pas de chauffe-biberon, moi !
- C’est vrai qu’il n’y a jamais eu de naissance avant l’invention du chauffe-biberon ! Quand à son âge, je dirais entre quatre et cinq mois.
- Quatre ou cinq ? Parce que ce n’est pas le même dosage…
Méthos inspira un grand coup pour ne pas s’énerver. De voir un type qui avait traversé 400 ans de guerres et de batailles s’affoler à la vue d’un nourrisson aurait pu avoir quelque chose de risible. Seulement le simple fait de tenir ce petit corps contre lui faisait un drôle d’effet au plus vieux des immortels et il n’arrivait pas vraiment à démêler ses sentiments.
- Tu appelles et je m’occupe du reste, dit Méthos en prenant le biberon et le lait avant de se diriger vers la cuisine, le bébé toujours dans ses bras.
Mac ne se le fit pas dire deux fois et alla chercher le numéro des services sociaux.

Duncan se laissa tomber dans un fauteuil en face de Méthos. Celui-ci tenait le bébé dans un bras tout en lui donnant son biberon. L’ancien avait la tête penché vers l’enfant et souriait en le regardant manger. Mac était à la fois soulagé d’avoir Méthos sous la main dans ce cas précis et un peu envieux aussi de la façon dont son ami s’en sortait.
- Alors ? demanda Méthos qui sembla soudain s’apercevoir qu’il n’était plus seul.
- Thanksgiving ! Personne de disponible. Ils m’ont conseillé de l’emmener dans un poste de police.
- Mac ! Tu ne vas pas faire ça ! s’insurgea Méthos.
- Non, bien sûr ! Mais… Jusqu’à lundi, ça fait trois jours !
- Et si tu demandais à Anne. Elle pourrait s’en occuper, elle s’y connaît en bébé, elle.
Le bébé avait fini son biberon et semblait rassasier. Méthos le redressa alors pour lui faire faire son rot. Encore une fois, Mac envia la façon dont son ami s’y prenait, avec aisance et naturel, comme s’il avait fait cela toute sa vie. C’est vrai que pour avoir une vie longue, elle avait été sacrément longue et en y réfléchissant, Duncan se dit soudain qu’il n’en savait presque rien à part deux ou trois infos lâchées par l’ancien. Bien évidemment, il fit abstraction de l’épisode des Cavaliers. En dehors de cela, son meilleur ami était une énigme complète.
- Ça fait un moment que je ne l’ai pas appelé…, dit Mac pensif. Mais allons-y, tu as raison, c’est la seule qui peut nous sortir de là !
Mac prit son portable et alla s’isoler à l’autre bout du loft, au cas où la conversation prendrait un tour plus intime. Mais ce ne fut pas le cas. Le Dr Anne Lindsay avait dû changer de numéro et quand il essaya à l’hôpital, on lui apprit qu’elle n’était pas de garde pour ce week-end. Mac n’avait pas eu de contact avec le médecin depuis des années maintenant, rien ne prouvait qu’elle n’ait pas trouvé un père à sa fille, père qu’il aurait pu être… Dire que s’il avait eu une vie plus calme à l’époque, elle, le bébé qu’elle portait et lui auraient pu être une famille. Mais son mode de vie, plus que son immortalité elle-même avait effrayé le médecin.
Lorsqu’il revint vers le canapé pour annoncer la nouvelle à Méthos, celui-ci berçait un bébé endormi dans ses bras. Mac se contenta de secouer la tête pour dire qu’il avait fait chou blanc. Méthos reposa le petit être assoupi dans son couffin, et s’apprêta à s’en aller.
- Eh ! Tu fais…
- Chuuut, le coupa Méthos.
- Tu vas ne pas partir et me laisser comme ça, dit Duncan en baissant la voix.
- Il va dormir toute la nuit, demain tu lui prépares un autre biberon et tu le changes et je reviens avec les croissants !
- Le changer ? Je t’en prie, Méthos, reste…
Méthos regarda Mac dans les yeux, essayant de trouver une vanne à lui balancer, mais sans succès, d’autant plus que la situation n’avait rien de drôle, surtout pour le petit bout qui avait été abandonné.
- OK, pour cette nuit. Mais demain tu as intérêts à apprendre à te débrouiller tout seul !
- Pas de problème, juste pour cette nuit, promit Duncan.
- Bon, tu vas commencer par aller faire quelques courses.
- Maintenant ?
- Demain, c’est Thanksgiving. Il n’y aura pas grand-chose d’ouvert et on n’a presque plus de lait. Sans compter qu’avec deux couches tu ne vas pas tenir le week-end.
Méthos fit donc une petite liste à Mac de quelques produits de première nécessité. Il était à peine dix heures et pas mal de boutiques restaient ouvertes une grande partie de la nuit.
Mac regarda la liste, la glissa dans sa poche et s’éclipsa sans demander son reste avant que l’ancien ne change d’avis et décide d’y aller lui-même, le laissant seul avec le môme. Et puis, cette petite balade allait lui donner l’occasion de réfléchir à une astuce pour que Méthos passe les trois prochains jours avec lui. Il n’était pas question qu’il se retrouve ne serait-ce qu’une minute seul avec l’enfant.

Lorsque Duncan revint, il trouva Méthos en train de feuilleter le livre qu’il lisait précédemment.
- Tu as acheté la boutique ? demanda t-il en voyant les deux gros sacs que portaient Mac.
- Ben, juste deux ou trois bricoles en plus de la liste… et un chauffe-biberon.
- C’est bien d’y avoir pensé. Personnellement, j’aurai pu m’en passer. Mais comme ça tu pourras de débrouiller tout seul, répondit l’ancien en sourire narquois sur les lèvres.
« Et merde ! » pensa Duncan en lui retournant son sourire. Il avait aussi prit deux vêtements de rechange, plus quelques jouets.



Duncan et Méthos, qui avait dormi sur le canapé, furent réveillés en sursaut par un son auquel ils n’étaient vraiment pas habitués. En fait de son, il s’agissait d’un hurlement qui pouvait sembler incroyable quand on voyait la taille de celui qui l’émettait.
- Il est pas encore six heures, bougonna l’écossais. METHOS, FAIT-LE TAIRE !
- Inutile de crier, répliqua l’interpellé juste à côté du lit.
- Bon sang ! s’exclama Mac surprit. Mais qu’est-ce que tu fais ?
Méthos avait le bébé dans les bras et malgré ses bercements, celui-ci semblait ne pas vouloir s’arrêter de pleurer. L’ancien colla l’enfant dans les bras de Duncan alors que celui-ci était encore allongé.
- Tu le berces le temps que je lui prépare son premier repas de la journée. Ça le calmera un peu et ça évitera qu’il nous perce un tympan.
- Heu… je…, commença Mac.
- Si tu rouspètes, je me tire !
Méthos ne laissa pas à Duncan le temps de répondre et se dirigea vers la cuisine en caleçon et tee-shirt. Mac regarda l’enfant qui le regarda à son tour. Mais un écossais à peine réveillé n’avait pas l’attrait d’un bon repas et il se remit vite à crier famine. Mac tenta de le calmer en le collant contre son épaule et en lui tapotant le dos, mais le bébé pleurait de plus belle, bavant sur lui. Puis Méthos revint avec un biberon plein et prit le bébé avant de lui donner à manger au grand soulagement de Duncan. Les pleurs cessèrent immédiatement une fois qu’il eut la bouche pleine.
- Je me demande si c’est une fille ou un garçon ! s’exclama soudain Duncan.
- Quoi ? Je vous laisse un quart d’heure ensemble et tu ne lui as même pas demandé ?
- C’est drôle. C’était juste pour lui trouver un nom…
- Il a un nom, Mac, et ça suffit largement. On ne le connaît pas ? OK. On va donc continuer à l’appeler bébé ! s’emporta soudain l’ancien.
- Pourquoi tu t’énerves, demanda doucement le Highlander.
Méthos prit quelques instants pour répondre.
- Ses parents lui ont donné un nom, et quelque soit celui qui tu voudrais lui donner maintenant, les services sociaux n’en tiendront probablement pas compte et lui en donneront un autre. Il va finir par plus savoir qui il est ce gamin.
- Ce n’est pas la seule raison, n’est-ce pas ?
- Parce que lui donner un nom revient à se l’approprier comme s’il était à nous. On risque de s’attacher. Et dans trois jours, on le remettra à des gens qui le ficheront dans un orphelinat ou une famille d’accueil qui reçoit des mômes uniquement pour le fric ! lâcha Méthos amers.
- Va pour bébé, dit Mac comprenant ce que son ami voulait dire. Bon, en attendant, on fait un marché, tu t’occupes de bébé et moi du repas pour Thanksgiving !
Méthos regarda l’enfant, fit semblant d’hésiter, puis accepta. Il le laissa finir son biberon, puis lui fit faire son rot, toujours assis sur le lit de Mac, ce dernier ne semblant pas s’en plaindre. Il ne put s’empêcher de remarquer le regard du plus vieux des immortels lorsqu’il se posait sur l’enfant. Il pouvait y voir une douceur et une tendresse qu’il n’avait jamais encore vues chez son ami. Puis soudain, la magie du moment vola en éclat au moment ou bébé se remit à pleurer.
- Mais qu’est-ce qu’il a encore ? demanda Mac avec lassitude.
- En plus du chauffe-biberon, t’aurais pas prévu une table à langer ? demanda Méthos en tenant l’enfant à bout de bras.
- Tu veux dire que…
- Qu’il a pas trouvé les toilettes, apparemment, plaisanta l’ancien. C’est pas vrai Duncan, tu as quelque chose contre les enfants, ou quoi ?
- Non ! Bien sûr que non ! J’aurai bien aimé, enfin, j’aimerai bien en avoir un jour, mais pas comme ça, du jour au lendemain sans y être préparé. J’y comprends rien. Il crie, il pleure et je ne sais pourquoi ! Si un jour ça doit m’arriver, j’espère que j’aurai le temps de lire le mode d’emploi.
- Dans ce cas là, comprendre n’est pas un problème, tu suis l’odeur !

Méthos demanda une vieille couverture à Mac, l’installa sur la table et le bébé par-dessus. Il lui ôta sa grenouillère, puis la couche sale et le nettoya avec les produits achetés par Duncan.
- Tiens-le qu’il ne tombe pas pendant que je vais jeter ça, dit Méthos en emportant la couche.
Le bébé était nu sur la table à langer improvisée et quand Mac lui posa la main sur le ventre pour l’empêcher de tomber il émit un petit gazouillis de contentement tout en gigotant des quatre membres. Enfin quelque chose que Duncan comprenait. Il le chatouillait et l’enfant riait. Il se mit en face de lui et lui fit plein de grimace tout en lui chatouillant le ventre. Le bébé était aux anges. Il avait dormi, il avait mangé, il avait été changé et maintenant on jouait avec lui. Méthos regarda la scène avec amusement et tendresse. Finalement, ce grand bourru d’écossais avait fini par craquer devant le bébé.
- Mac ? Tu ne devrais pas faire ça ! lança soudain Méthos. Ou au moins, ne reste pas là !
- Pourquoi ? On s’amuse bien… Hein, bébé qu’on s’amuse bien tout les deux ? dit Duncan en continuant à chatouiller le petit bout.
- Je dis ça parce que….
Soudain, le bébé manifesta sa joie par jet d’urine qui atterrit juste sur le tee-shirt de Duncan.
- … c’est un garçon ! finit Méthos mais un peu tard.
Mac ne fit aucun commentaire et ce contenta de regarder Méthos de travers. Ce dernier haussa les épaules en guise « qu’est-ce que j’y peux moi ? », mais avec une folle envie de rire. Puis il revint vers le bébé, lui remis une couche propre et un nouveau vêtement et le tout avec une dextérité étonnante… pour Méthos.
- Où tu as appris tout ça sur les enfants ? demanda Duncan de plus en plus épaté.
- J’en ai élevé… Oh, une vingtaine, dont certain que j’ai mis au monde et à des époques où on n’avait ni biberon ergonomique à tétine double vitesse, ni couches anti-fuites et où le bain se faisait dans la rivière d’à côté. Et aucun de moi…, mais ils m’ont tous appelé « papa ».
Mac ne dit rien en entendant ces derniers mots et en notant le changement de ton dans la voix de son ami.



Duncan passa la matinée à préparer le repas pendant que Méthos s’occupait de l’enfant, et même s’il fut parfait, ce repas de Thanksgiving avait quelque chose d’un peu triste. Tout d’abord le fait que Méthos et Duncan se retrouvaient seul en tête à tête sans autres amis avec qui partager et ensuite cet enfant abandonné…
L’après-midi, Duncan descendit au dojo pour fouiller un peu dans ses archives, histoire de se remémorer ceux qui avaient un jour été membre de dojo et tenter de se rappeler un détail qui pourrait le conduire à la famille du bébé. Il n’arrivait pas à se faire à l’idée que cet enfant avait été déposé là par hasard. Puis soudain, il tomba sur un bulletin d’inscription. Le type, un certain Franck Lazzo, n’était pas venu s’entrainer depuis près de six mois, pourtant Mac se rappela une conversation qu’il avait eu avec lui. Un jour que Franck soulevait des poids, il avait failli se faire tomber la barre sur lui. Mac l’avait un peu secoué pour qu’il fasse attention et se concentre et l’homme lui avait parlé de ses ennuis familiaux. Une femme enceinte de huit mois, deux boulots pour s’en sortir et une menace d’expulsion. La salle de Mac était le seul endroit où il ne se sentait pas acculé. Mac avait proposé de l’aider, comme toujours, et l’homme l’avait simplement remercié et dit qu’il y penserait au cas où. Apparemment, le « cas où » avait fini par arriver, mais l’homme n’avait pas dû oser demander de l’aide, il avait préférer en arriver directement à l’extrême, abandonner son enfant.
Mac nota l’adresse qu’il y avait sur la fiche d’inscription et remonta au loft.

Méthos était endormi sur le canapé, l’enfant sur son ventre dormant lui aussi. Le bébé était à plat ventre, la tête sur le côté et l’immortel avait une main posée sur son dos pour l’empêcher de glisser. Même dans son sommeil, Méthos protégeait et veillait sur le petit être.
Il s’accroupit près d’eux et les regarda un instant avec tendresse, puis son regard se focalisa sur le visage de son aîné. Mac eut un coup au cœur semblant soudain découvrir la finesse de ce visage, l’attrait de ces lèvres. Il ne put s’empêcher de replacer une mèche de cheveux, effleurant la peau de son ami endormi et dans un geste incontrôlé, il déposa un baiser léger sur sa tempe. Méthos sembla pousser un soupir et Mac se figea, mais il ne se réveilla pas. L’écossais resta encore quelques minutes à le contempler, puis se leva pour aller prendre un verre. Il en avait soudain terriblement besoin.
Méthos avait joué un temps avec le bébé puis celui-ci avait doucement glissé dans les bras de Morphée. Il avait hésité à le remettre dans son couffin et finalement l’avait laissé là, sur son torse, le berçant au rythme de sa respiration. Il avait fermé les yeux, mais l’idée que l’enfant puisse tomber l’empêcha de s’endormir. Il entendit Mac entrer dans le loft. Il aurait dû ouvrir les yeux et lui demander si ses recherches avaient été fructueuses, mais il se sentait bien et ne voulait pas perdre ce moment de détente. Pourtant quand il sentit la présence de Mac tout proche, il pensa que son ami allait le réveiller. Au lieu de cela, il sentit la main de Mac sur son front et son cœur manqua un battement, puis ses lèvres sur sa tempe et là il ne put retenir un léger soupir de contentement. Il sentit Mac bouger et s’éloigner de lui. Il aurait voulu lui crier de rester, mais il n’en fit rien, se contentant de garder ce moment à l’esprit et dans son cœur, tant qu’il n’en connaissait pas la signification exacte.
Il entendit Duncan ressortir de l’appart une dizaine de minutes plus tard et se décida seulement à ouvrir les yeux. Doucement, il mit l’enfant dans son couffin et trouva un mot de Mac sur la table lui indiquant qu’il s’absentait, ayant peut-être une idée pour retrouver le père. L’ancien regretta soudain de ne pas s’être « réveillé » plus tôt, pensant qu’il aurait pu retenir Duncan, ou l’accompagner, tout au moins ne pas se retrouver seul, ne pas se retrouver sans lui.

Mac ne revint qu’en toute fin d’après-midi. Les deux hommes échangèrent un long regard incertain, puis Duncan rompit le silence en racontant sa recherche.
- J’ai pas trop mis de temps à le retrouver, son ancienne logeuse avait son adresse, pour le courrier. Un foyer. Un mois après la naissance de Steve, Eh oui, il a un nom, sa femme l’a plaquée et a disparu de la circulation. Quand il s’est finalement fait expulser de chez lui, il a mis le bébé chez des amis. Et quand ceux-ci n’ont plus pu le garder, il me l’a refilé !
- Et ? insista Méthos.
- Et j’ai proposé de l’aider à trouver un nouvel appart en me portant garant et une crèche pour le petit. Peut-être aussi voir pour lui trouver un boulot à plein temps au lieu des deux à mi-temps qu’il fait, ce qu’il lui laisserait plus de temps pour son fils.
- Saint Duncan MacLeod ! s’exclama Méthos. Mais où ai-je donc mis cette foutue auréole !
- Qu’est-ce que tu voulais que je fasse d’autre ! s’énerva Duncan devant la remarque de son ami.
- Ni plus ni moins que ce que tu viens de faire, répondit l’ancien doucement. Je suis incapable de m’investir comme tu le fais, d’où mes vannes idiotes. Je croyais que tu étais rodé depuis le temps !
- Incapable de t’investir ? En ayant élevé une vingtaine d’enfant et si je me rappelle bien, marié 68 fois ? Qu’est-ce que tu me racontes là ?
- En tout cas, aujourd’hui, je n’en suis plus capable ! répliqua Méthos en se tournant vers la fenêtre pour ne pas avoir à croiser le regard de Duncan.
Mac s’approcha de lui et lui posa une main sur l’épaule. Ce simple contact, même à travers l’épaisseur du pull, fit frissonner le plus vieux des immortels.
- Je vais y aller, dit soudain Méthos.
- Eh ! tu vas pas me laisser avec… Steve ?
- Mac, il ne mord pas.
- Je sais, et je devrais même arriver à le nourrir et à le changer sans toi. Mais question conversation, c’est pas le top quand même ! J’ai pas vraiment envie de passer les deux jours restant à le regarder babiller ou brailler.
- Je vais juste aller chercher quelques affaires… pour les deux jours restant, concéda Méthos.

Mac n’avait rien rajouté et laissé partir son ami, avec la hantise que celui-ci ne revienne pas. Comme il l’avait dit, il pourrait très bien s’occuper de Steve tout seul, seulement il n’en avait pas envie. Il attendit plus de deux heures avec angoisse quand son ami fit enfin sentir sa présence. Il débarqua avec un sac contenant quelques affaires et sans un mot s’occupa du biberon de Steve.



Cette deuxième nuit sur le canapé de Duncan fut moins sereine que la précédente. Si le bébé dormait comme… heu… un bébé, Méthos était un peu insomniaque, et ce qu’il ne pouvait pas voir, c’est que Duncan l’était lui aussi. Chacun des hommes essayait d’analyser ce qu’il ressentait pour l’autre. Si leurs pensées les plus profondes avaient pu être projetées sous forme de film sur un écran, on aurait pu croire à un remake l’un de l’autre, tellement leurs sentiments étaient proches.
Le réveil fut aussi tonitruant que la veille. Méthos essaya d’émerger d’un sommeil plus qu’agité et se dirigea vers le couffin à moitié réveillé. Là il se heurta à Duncan qui avait eu la même idée. Les deux hommes, en caleçon et tee-shirt se tenaient à quelques centimètres l’un de l’autre et aucun n’osa bouger alors même que Steve réclamait son dû à corps et à cri, surtout à cri d’ailleurs. Mais les deux immortels semblaient ne plus rien entendre lorsque leurs bouches se soudèrent. Ils s’étaient rapprochés sans même sans rendre compte, sans rien faire pour l’éviter et ce baiser était l’apaisement d’un feu qui brulait en chacun d’eux. Il dura, dura, dura… le temps qu’ils entendent le monte-charge de l’appartement. Les deux hommes se séparèrent un peu essoufflés et aussi étonnés de ce qui venait de se passer.
Lorsque la grille se souleva, Joe Dawson vit les deux immortels en petites tenues, les yeux dans les yeux, ne faisant même pas cas des hurlements du bébé. « Un bébé ? » pensa subitement le guetteur.
- Je peux savoir ce que c’est que ça ? dit Joe assez fort pour couvrir les cris.
Les deux immortels le regardèrent comme s’ils découvraient son existence, puis Mac réagit le premier.
- Ben tu vois, Méthos ! Je suis pas le seul à poser la question, comme quoi au premier abord, c’est pas si évident que ça !
- MAC ! Je sais ce que c’est qu’un bébé ! s’exclama Joe.
Méthos prit l’enfant dans ses bras et se dirigea vers la cuisine en essayant de le calmer, puis il lui prépara son premier biberon de la journée.
- Au fait, qu’est-ce que tu fais là Joe ? Tu n’es pas avec Amy ? demanda Duncan.
- Elle a un petit ami et je crois que j’étais de trop. Je viens de descendre d’avion et j’ai pensé venir me faire payer le café, pour une fois. J’ai même prévu les croissants !
- Va pour le café ! s’exclama Duncan avant de se diriger vers le coin cuisine à son tour.
- Vous allez m’expliquer à la fin, s’impatienta le guetteur.
- C’est simple, répondit Méthos, après dix ans de vie semi commune, Mac et moi avons décidé d’adopter.
Joe se rattrapa de justesse au comptoir, étant soudain sur le point de perdre l’équilibre. Les blagues vaseuses de Méthos, il connaissait, mais là l’ancien avait quand même fait fort. Pourtant, lorsqu’il regarda Duncan pour avoir une explication un peu plus plausible, celui-ci, extrêmement sérieux, lui rendit son regard sans broncher ni le contredire. Puis Méthos revint sur le canapé et donna son biberon à Steve, sous le regard ébahi de Joe.
Mac finit par avoir pitié de son guetteur et lui raconta toute l’histoire.
- Pourquoi vous ne l’avez pas emmené dans un commissariat ? fut la première réaction de Joe.
- JOE ! s’exclamèrent les deux immortels outrés.
- OK, j’ai rien dit, mais… vous êtes sûr de savoir vous y prendre avec un bébé ?
- Pourquoi ? Tu trouves qu’il a l’air d’agoniser ? lâcha Méthos.
Réplique qui eut au moins le mérite de faire cesser les questions.



Joe était reparti, laissant les deux immortels à leur pouponnage. Quelque part le départ du guetteur jeta un froid entre les deux hommes. Aucun d’eux n’avait envie d’aborder le sujet de ce qui s’était passé précédemment de peur d’entendre l’autre dire qu’il s’agissait d’une erreur.
La journée promettait d’être longue.
Ils n’échangèrent que le strict minimum en parole et au milieu de l’après-midi, alors que Steve dormait, chacun des deux hommes étaient dans un fauteuil essayant de se concentrer sur le livre qu’il tenait. Méthos trouvait la situation de plus en plus intenable et décida qu’il ferait mieux de rentrer chez lui. Mac était parfaitement apte à s’occuper de l’enfant. Mais ses réflexions furent interrompues par l’arrivée d’un homme, Franck Lazzo, le père de Steve.
L’homme sembla hésiter puis se dirigea vers son fils mais n’osa pas le prendre et le réveiller.
- Je vais l’emmener Mac, dit l’homme.
- Tu sais, Franck, ça ne me dérange pas de le garder encore un peu, si tu veux t’organiser, dit Mac surpris.
- Je… Je suis finalement allé voir ma sœur. Après cinq ans de brouille, je ne m’attendais pas à un tel accueil. Elle va m’héberger le temps qu’il faut. Elle est tellement ravie d’avoir un petit neveu.
- OK, mais si tu as besoin, n’hésite pas OK ?
- Je te promets que je ne ferai plus de bêtise Mac.
Franck s’apprêta à prendre le couffin et les affaires qu’avaient achetées Duncan, quand Méthos s’approcha du bébé. Il n’avait pas dit un mot pendant tout ce temps surtout parce qu’une énorme boule au fond de sa gorge l’empêchait de prononcer une parole. Il se pencha sur l’enfant et l’embrassa doucement sous le regard surpris de son père, puis il se détourna et alla contempler la rue par la fenêtre.
Méthos entendit les derniers mots échangés entre Duncan et Franck, la porte du loft se refermer et les pas de Duncan. Puis il sentit la présence de celui-ci juste derrière lui. Les deux hommes regardèrent Franck monter dans une voiture conduite par une femme, sa sœur sans doute, et disparaître.
- Je vais rentrer, dit Méthos après quelques instants à contempler le vide.
- Tu n’es pas obligé, dit Mac en posant une main sur son épaule.
- Tu n’as plus besoin de moi maintenant.
Duncan laissa glisser sa main le long du bras de Méthos, puis sur sa hanche pour finir par enserrer la taille de l’immortel de son bras. L’ancien de broncha pas et quand il sentit le corps de Mac plaqué contre le sien et bascula sa tête en arrière pour qu’elle vienne reposer sur son épaule. Mac passa son autre bras autour de son ami et vint coller sa joue contre celle de Méthos.
- J’ai terriblement besoin de toi, lui murmura l’écossais en lui déposant un baiser dans le cou.
Méthos se tourna et regarda Mac dans les yeux avant de dire :
- Je crois qu’il me manque !
- A moi aussi. En tout les cas, je suis sûr d’une chose, c’est que tu as dû être un papa fabuleux, répondit Duncan en lui caressant la joue.
- Je t’ai dis qu’ils m’avaient tous appeler « papa », mais certain ont fini par revenir sur cet affirmation, dit l’ancien d’un air triste. Vive l’adolescence… et dire que le 20ème siècle pense avoir inventé le « conflit des générations ».
Mac ne répondit pas et se contenta d’embrasser Méthos. Celui-ci sentit les lèvres chaudes de Duncan sur les siennes et se laissa aller dans un soupir, passant ses bras autour de son cou, et laissant leurs langues se chercher et se trouver avec délice. Lorsqu’ils se séparèrent enfin, Duncan dit tout bas :
- La prochaine fois qu’il y a un bébé devant la porte, on ne dit rien et on le garde !
- Et si c’est des triplés ? demanda Méthos.
- On aura juste à transformer le dojo en nurserie !
- Je vois que tu n’es pas à cours d’idée.
- Oh non, et j’en ai encore plus te concernant.
- Comme quoi ?
- Comme te faire migrer du canapé au lit, te séquestrer dans le lit en question jusqu’à ce que tu cries « stop », te faire mourir de plaisir pour que tu ne puisses pas crier « stop »…
- Il va quand même falloir que j’offre un peu de résistance, répondit Méthos à l’oreille de Mac.
- Mais j’y compte bien… je vais te montrer ce que c’est qu’un combat au corps à corps !


FIN

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Dernière édition par Atalante le 24 Oct 2010 17:02, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 19 Déc 2009 18:14 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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:bravo: :bravo: :bravo:

un peu de douceur dans un monde de fou. et ce qui ne gache rien Methos et Duncan :bave:

encore bravo

:bye:
haty74

ps : voilà un comentaire tres constructif n'est ce pas ? lol

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 19 Déc 2009 21:51 
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trop mignon.
j'adore ce moment de tendresse
et les blagues vaseuse de Methos :bravo:

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 20 Déc 2009 09:36 
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:sourire: voilà mon visage tout le long de la lecture de cette histoire, elle est magnifique :heart: :heart: :wouah:

BRAVO :bravo: :bravo: :bravo:

valbone :ange:

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 20 Déc 2009 16:02 
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En fait sans le côté slash, cette fic aurait très bien pu convenir au défi écriture : Methos avec un bébé ! Perso je trouve l’histoire trop mimi avec ce bébé. Mais du coup, il prend trop de place et en laisse très peu pour le slash.
Sinon, moments cocasses avec Duncan totalement hors du coup. Pourtant, dans l’épisode avec Charlie quand ils s’enfuient dans la forêt pour échapper à leurs ravisseurs, on voit bien qu’il sait s’en occuper des bébés. Bon à la fois, si les 2 immi savaient s’occuper d’un bébé, il n’y aurait pas eu d’histoire !


Citation:
Ah oui, en fait c’est « la cigogne » le plus approprié !
Si avec ça, il ne pige pas de suite !!!
Citation:
- Je dis ça parce que….
Soudain, le bébé manifesta sa joie par jet d’urine qui atterrit juste sur le tee-shirt de Duncan.
- … c’est un garçon ! finit Méthos mais un peu tard.
LOL, il parait que ça arrive souvnet avec les garçons, toujours en train de te faire pipi dessus quand tu le change. Genre il n’a pas eu le temps quand il avait sa couche !!!
Citation:
- C’est simple, répondit Méthos, après dix ans de vie semi commune, Mac et moi avons décidé d’adopter.
LOL !!!! Trop fort comme réplique ^^
Citation:
jusqu’à ce que tu cries « stop », te faire mourir de plaisir pour que tu ne puisses pas crier « stop »…
Humhmu j’aime bien cette idée là ^^

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 20 Déc 2009 16:47 
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C'est vrai que c'est plus une fic comico-romantique que vraiment slash, mais je suis contente qu'elle vous ait plu !
Pitchoune : autant je connais par coeur les épisodes avec Méthos, autant celui dont tu parles avec Charlie, j'ai un peu zappé ! Mais bon, il fallait bien un novice en matière de pouponnage dans mon histoire et hop... c'est tombé sur Duncan, question d'âge je pense. Après tout, c'est vraiment un gamin à côté de Méthos :wink:

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 21 Déc 2009 14:14 
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Oh ils sont carrément trop mignons tous les deux à s'occuper d'un bébé ! C'est vrai que je ne serais pas contre un peu de MPREG dans ce fandom... :mrgreen: :bravo:

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 23 Déc 2009 09:44 
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C'est vrai que je ne serais pas contre un peu de MPREG dans ce fandom...
MPREG ???? késako ?

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 23 Déc 2009 10:32 
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MPREG ???? késako ?

"Mpreg ?? O_o ... Ben oui c'est quand l'homme découvre les "joies" de la grossesse avec les nausées, les contractions, la prise de poid et tout le reste."

D'ailleurs Mapi, je t'en veux ! Je m'étais promis de ne plus rien commencer avant d'avoir fini ce que j'ai en cours, et voilà que tu me donnes des idées ! C'est comme si la fic était écrite... dans ma tête. :wink:

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 23 Déc 2009 10:48 
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Atalante a écrit:
D'ailleurs Mapi, je t'en veux ! Je m'étais promis de ne plus rien commencer avant d'avoir fini ce que j'ai en cours, et voilà que tu me donnes des idées ! C'est comme si la fic était écrite... dans ma tête. :wink:
Ah mais je veux bien que tu m'en veuilles si la conséquence c'est que tu écris de jolies fics avec Methos et Duncan en papas gâteau ! :mrgreen:

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 23 Déc 2009 12:24 
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"Mpreg ?? O_o ...
Et sans les abréviation, ça donne quoi ?

Citation:
Ben oui c'est quand l'homme découvre les "joies" de la grossesse avec les nausées, les contractions, la prise de poid et tout le reste."
Ben... mon homme est un extraterrestre alors car il est carrément aux anges ^^

Citation:
Ah mais je veux bien que tu m'en veuilles si la conséquence c'est que tu écris de jolies fics avec Methos et Duncan en papas gâteau ! :mrgreen:
+1 ^^ Mais heu.. ils ne sont pas comme Jack Harkness, ils ne peuvent pas tombé enceints eux !!!!

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 23 Déc 2009 12:28 
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Pitchoune a écrit:
Citation:
"Mpreg ?? O_o ...
Et sans les abréviation, ça donne quoi ?
Men PREGnant.

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 19 Jan 2010 17:43 
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Tiens en cherchant un peu j'ai trouvé l'illustration de mes propos... mais je pense que tu l'as déjà vu ^^

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 05 Mar 2011 12:12 
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Trop mignons tous les deux avec un bébé, ça me donne envie de les voir pour de bon avec un bébé. :heart: Méthos était très attendrissant :heart: :bravo: :bravo:

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 Sujet du message: Re: Baby blues -Highlander – Duncan/Méthos – G
MessagePosté: 24 Mar 2011 22:06 
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:bravo: :bravo: :bravo: trop bien ! bravo!!!!!

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