Citation:
:D WHOU !!! Finalement ça a du succès les délires sur cette série !!
Ben tu vois Lune !
T'as vraiment bien fait d'écrire ça, lol !!
Et moi je veux une suite, of course !!
ça m'a bien fait rire, pour la peine je crois que je vais publier mon drabble à moi sur la même connerie (à savoir Starsky en robe, huhu...
)
merciiiiiiiiiiiiiiii et merci d'avoir corrigé la suite ^^
Citation:
Comme avant de te connaitre, je ne connaissais pas la fin de cette expression, qui me fais beaucoup rire :p j'étais obligé de lire
Et j'ai bien ris aussi
pauvre petite vieille sans culotte
je suis pas sur que ce soit la fin hein enfin moi c'est la fin qui me plait lol merciiiiiiiiiii
Citation:
:suite: Ah vi, moi je veux le massage du fessier ! ^^
bon ba alors voilà une petite suite ^^
« Aller viens beau brun on rentre je vais te passer de la crème. »
« Où ? »
« Là où ça te démange ! »
Le blond se dirigea vers la voiture et discrètement David jeta un œil à son fessier qui le démangeait de plus en plus.
Mettre de la pommade ? Pas sûr que ce soit une bonne idée…
Hutch conduisait la Torino, c’était assez rare pour être souligné, à ses côtés dans sa robe à fleurs David se tortillait tentant de se gratter les fesses sur les sièges de sa précieuse voiture.
A peine entré dans son appart' Starsky fila dans sa chambre priant pour que son partenaire n’ait pas l’idée de le suivre. Mais ce ne fut pas le cas : deux secondes à peine après avoir enlevé cette stupide robe il entendit la porte d’entrée claquer :
« Hutch ? »
Personne, le courageux policier avait-il fuit ?
Cul nu et en soutien-gorge il avait l’air vraiment ridicule. C’est à ce moment là qu’il découvrit qu’il était plus doué pour enlever les porte-nichons quand il ne les portait pas lui-même. Après s’être battu à peu près un quart d’heure avec le vêtement il put enfin s’en débarrasser. C’est à ce moment là, alors qu’il tenait cette chose dans sa main et qu’il était à poils que son coéquipier choisit d’entrer dans la chambre. Avec un sourire carnassier il lui lança :
« A chaque fois je m’étonne que tu sois circoncis, pourtant je le sais. »
Aussitôt David plaqua ses deux mains sur son entrejambe en bougonnant :
« Je suis juif ! »
« Je le sais aussi ! Vas sur le lit. »
« Pardon ? »
Entendre cette phrase alors qu’il était debout, nu comme un vers devant l’homme sur lequel il lui arrivait de fantasmer mit Starsky dans un drôle d’état. Jusqu’au moment où les démangeaisons de son séant se rappelèrent à lui. De mauvaise grâce il s’installa sur le lit, se retenant de fuir quand le blond s’installa près de lui. Il sortit de sa poche un petit sac estampillé du sigle de la pharmacie :
« La bonne femme m'a dit que ça ferait très vite effet. »
C’est toi qui me fait de l’effet... mieux valait ne pas penser à ça maintenant…
David se crispa quand les doigts de son ami enduits de crème se posèrent délicatement sur ses fesses. Le rire de Hutch n’arrangea rien :
« Je tant pris ne te moque pas ! »
« Je ne me moque pas… »
Doucement Ken commença à le masser, s'il ne s’agissait pas de son beau blond mais d’une belle jeune femme, Starsky aurait pensé à des préliminaires.
Quasiment amoureusement les mains de son coéquipier soulageaient ses démangeaisons, David se détendit, profitant de ce moment scandaleusement merveilleux, il se laissa aller, poussa même un soupir de bien-être.
Il frissonna même quand les doigts du blond quittèrent son fessier pour aller caresser les quelques cicatrices qu’avaient laissé les diverses balles qui lui avaient troué la peau.
Il aurait put se retourner, demander à son collègue ce qu’il faisait ou même simplement le remercier mais il ne pouvait pas. Pas sans dévoiler que ces soins bien particuliers l’avaient émoustillé. Il aurait put s’en sortir, penser à autre chose, à Dobey par exemple…
A Dobey dans la robe à fleurs de grand-mère…
Ouais il aurait put s’en sortir si Hutch ne s’était pas penché sur lui pour embrasser l’une des marques qui s’étalait dans son dos. Les lèvres de son partenaire étaient brûlantes, il ferma les yeux, tentant de ne pas penser à ce qui venait de se passer, et puis la voix de Kenneth retentit dans la pièce :
« Excuse-moi je… »
Le blond se leva du lit un peu trop précipitamment, il s’enfuyait clairement. Voulant le retenir David se releva, plaquant un de ses oreillers sur son entrejambe :
« Tu vas où ? »
« Euh... je te laisse te rhabiller, ok ? Je vais… »
Il n’avait jamais vu les yeux de son partenaire brûler d’un tel désir. Avec un sourire coquin, il osa murmurer :
« Demande-moi pourquoi j’ai ce polochon à cet endroit ? »
« Parce que grand-mère n’a pas de culotte ? »
Ils éclatèrent tout les deux de rire, bien conscients que leur relation venait de prendre un tout autre tournant. Tout ça à cause d’une expression populaire...
Fin
lol c'est pas forcément mieux
ce qui porte le tout a 740 mots ^^