Jack et Daniel continuaient leur visite de la planète sur laquelle ils étaient pris au piège, quand une ombre passa près d’eux s’en qu’ils ne s’en rendent compte. L’ombre les suivis sans se faire voir. Mais d’un coup le bras du colonel stoppa la route du docteur Jackson.
- Daniel, stop, murmura Jack.
- Que se passe t-il ?
- Apparemment nous ne sommes pas seuls ici… derrière nous…
D’un coup sans que « l’ombre » ne comprenne se qui se passait elle se retrouva face à face avec le colonel près à tirer s’il le fallait, Daniel se retourna lui aussi pour détaillé à son tour l’homme qui se trouvé devant eux.
L’homme ne montrait aucun signe qui aurait fait pensait qu’il allait s’en prendre a l’un d’eux, mais Jack comme par habitude, pour protéger le jeune archéologue, se mit entre les deux hommes.
Puis « l’ombre » s’adressa a eux :
- Notre roi vous attendez. Si vous voulez bien me suivre.
Les deux membres de SG-1 échangèrent un regard.
- Vous croyez que c’est vraiment obligatoire de le suivre ? demanda Jack
- Avec les autres « ombres » qui nous observent, je pense que nous n’avons pas vraiment le choix, Jack.
Et sur ce Jack et Daniel se mirent en route à la suite de l’homme.
***
- Major Carter, vous devriez aller vous reposez, je ne suis pas sur que vous réussiriez à trouver une solution dans l’état dans lequel vous vous trouvez.
- Teal’c, si je vais me reposez, je perdrez du temps qui peut être précieux pour la vie de Jack et Daniel.
- Je sais Major, mais vous êtes trop fatigué pour réfléchir à votre vitesse habituelle.
- Vous avez sans doute raison.
***
- Que nous voulez vous encore ? demanda le chef
Jack s’apprêtait à répondre mais Daniel le stoppa.
- Comment ça, encore ?
- Cela fait plus de 20 ans que vous vous en prenez à nous, à nos femmes et à nos enfants, tout ce que nous demandons nous c’est de pouvoir vivre sans craindre à chaque instant une attaque ou nous verrons disparaître des personnes qui nous sont chères ! Je pense qu’il y a assez d’espace ici pour que nos deux peuples puissent vivres en paix, nous ne nous en sommes jamais pris à vous.
- Excusez moi, mais nous ne voyons pas de quoi vous voulez parler, nous ne venons pas d’ici.
- Qui êtes vous dans ce cas ?!
- Je suis le Docteur Jackson, et mon ami le colonel O’Neill, nous sommes arrivez sur votre planète il y a une semaine mais suite a quelques problème, ils nous est impossible de rentrer chez nous, lorsque votre homme nous a arrêter nous avions décider de découvrir votre planète.
- Ce qu’il dit est-il vrai ? demanda le chef en se tournant vers O’Neill.
- Oh ! Vous savez moi ça fait bien longtemps que j’ai arrêté de contre dire le docteur Jackson, à chaque fois que ça m’est arrivé de le faire ça nous a apporter des ennuis.
- Très bien… D’où venez vous ?
- De la planète Terre.
- ALERTE !!!!!!
Un homme arrivait en courant vers le groupe, apparemment une nouvelle « guerre civile » été sur le point d’éclater.
A l’annonce de cette alerte tout le monde avait l’air de savoir quoi faire, preuve que ce n’était pas la première fois qu’ils étaient attaqués.
- Comment comptez vous vous défendre, demanda Daniel, je n’ai vu aucune arme.
- Nous n’avons aucune défense, nous sommes pacifiste, notre seul moyen est de nous cachez et d’attendre en espérant ne pas constater la perte de trop de personnes, lui répondit le chef.
- Mais vous n’avez jamais pensez vous défendre avec des armes ?
- Nous n’avons aucune idée de comment en fabriquer et encore moins nous en servir. Je suis désolé mais je ne peux rester ici, pas maintenant.
- Jack !
- Hé ! Oh ! Doucement je ne suis pas sourd !
- Excusez moi, je ne savais pas que vous étiez si près… mais ils n’ont…
- J’ai entendu, Daniel.
- Et qu’est ce qu’on fait ? On ne peut pas les laissez se faire tuer, sans bougez le petit doigt
- Votre grand cœur vous perdra Daniel !
Les hommes échangèrent un sourire, avant de se mettre a l’abri, tout en ayant la possibilité de tirer, sur les assaillants.
- Dites, Daniel, vous ne vous seriez pas déjà « attacher » a ce peuple par hasard ?
- Ils n’ont pas l’air d’avoir grand-chose pour ce battre.
Mais une lance ce planta juste a leurs côté, Jack décida de répliquer, une rafale de balles se dirigea en direction du peuple « ennemi », mais ils n’avaient pas l’air d’avoir peur a cette attaque, jusqu’au moment ou l’un des leur fut touché, constatant sa forte perte de sang ils se replièrent sans demander leurs reste.
N’entendant aucun bruit le chef sorti le premier de son abri, remarquant le recul de leurs ennemis, il invita son peuple à faire de même.
Ayant entraperçu ce qui venait de se passer le chef remercia chaleureusement les deux membres de SG-1.
Alors que Jack vadrouillait dans le village, Daniel s’entretenait avec le chef.
- Depuis combien de temps dure ces attaques ?
- Plus de vingt ans, mon père était encore en vie, c’était lui le chef, mais lors d’une attaque il à été froidement tué, et c’est moi qui ai hériter le contrôle de la tribu.
- Vous n’avez jamais essayer de parlementait avec vos ennemis ?
- Si je le pouvais je le ferait avec plaisir, mais il est impossible d’essayer quoi que ce soit...
- Daniel ?
- Excusez moi.
- Que se passe t-il Jack ?
- Et vous, avec le chef ?
***
- Je ne comprends pas, on a tout essayé et malgré tout elle continue à ne donner aucun signe de « vie ». Et cela va faire bientôt 2 semaines que Jack et Daniel sont coincés là-bas !
***
Et pendant une semaine Jack et Daniel avaient oublier leur problème majeur, soit : être bloqués ici pour toujours, ils avaient fait plus ample connaissance avec le peuple qui les avaient accueilli à bras ouvert suite a la dernière attaque. Jack profitait du soleil, et se faisait un plaisir d’aller à la pêche avec les jeunes hommes du village, quant a Daniel il se faisait plaisir au milieu des enfants du village, leur journée se déroulé de cette façon, sans complication, alors qu’ils devaient partagé une hutte pour la nuit.
- Je ne savais pas que vous étiez si a l’aise avec les enfants, Daniel.
- Ils m’aident à retrouver une certaine insouciance, lorsque je suis avec eux, qui me fait du bien, avec eux la vie n’as rien de compliquer, et ils sont curieux de tout.
- Qu’ils soient curieux doit vous plaire, vous aimez tellement expliquer…
- Oui, et eux au moins ils m’écoutent.
- C’est un plus.
- Que je n’ai pas vraiment avec vous, répliqua Daniel en souriant.
- Hé ! Qui vous a dit que je ne vous écoute pas ?
- Jack…
a suivre...