Aujourd'hui, un peu plus de lecture que les semaines passées... (un peu plus de temps pour traduire )
Oui j'ai bien dis 8 chapitres... mais qui vont se transformer en 6 (peur de me faire lapidée sur place!) car la suite elle est sur un autre site auquel je n'arrive pas à accéder. Part. 2 : MethosDuncan s’endormit, après nos déclarations. Sa tête repose sur mon épaule tandis que ses bras entourent mon cou afin de se tenir près de moi. Je reste éveillé, appréciant cette sensation. D’un jour à l’autre, tout changé. Hier, nous étions amis. J'avais nourris un secret désir ardent pour le highlander depuis quelques années, mais je n’arrivais pas à trouver le courage de lui dire. Tout était trop minime avant. Un simple contact aurait brisé notre amitié et nous nous serions battu pour avoir la tête de l’autre.
Je dois remercier mes frères pour ça. Kronos, Silas, et Caspien sont bels et bien morts. Ok, quand j’y pense, j'ai peut-être espérer plusieurs fois leurs morts en seulement quelques siècles, mais je n’imaginais pas vraiment que Kronos mourrait pour de bon ! Il était trop prudent, trop futé, pour défier quelqu'un qui pourrait le battre, et il était trop bon pour que quelqu'un obtienne un avantage provisoire par rapport à lui. Caspien, lui, je m’y attendais parce qu'il n'a jamais eu beaucoup de flair. Il était trop sanguinaire. Il était capable de tuer quelqu’un juste pour montrer qu’il était brutal. Silas, sans provocation extérieure, devenait paisible. Il avait une âme profondément douce à l'intérieur. Je pense juste a été trop longtemps confronté à la corruption de Kronos, de la dépravation caspienne, et de mon côté manipulateur. Le tuer m’a profondément coûté.
Et la douleur de la mort de Silas, ainsi que celles de tous mes frères, toute cette douleur et en tout en haut, celle du highlander décidant qu'il ne m’appréciait plus tellement. Techniquement nous avons composé, mais il y avait cette tension, ce malaise insidieux toutes les fois que nous étions au même endroit ensemble. Mais, en même temps, une sorte de retour à la normale. Depuis notre double quickening, tout concoure à ça. Jamais depuis que Duncan et moi, avons pris une tête ensemble, nous n’avons eu autant de sensibilité envers l’autre. Et quand il pouvait à peine se tenir en me regardant, j'avais si peur d’être autour de lui, c'était presque c'était une véritable torture d’être à la fois tendu et à la fois si sensible, presque lié par ce constant va-et-vient.
Jusqu'à la nuit dernière... J’étais passé à la péniche pour être sociable, dire bonjour, et Duncan m'a salué avec plus d’enthousiasme que d'habitude. Il semblait véritablement heureux de me voir, depuis le temps que j’espérais ça. Nous avons parlé, rien de bien important : du temps, de la télé, de bière et de whisky. Amanda était passée une ou deux fois, et l’hilarité semblant la relier à cet ex fic changea ma perception des choses. Duncan ne paraissait pas particulièrement accablé le fait qu’elle le larguait pour un nouveau petit ami, m'étonna grandement.
Il m’observait attentivement pendant que nous parlions, mais sur le coup, je ne l’ai pas réellement relevé. Je réalise ça juste à présent. Tout hier soir, j'étais si tendu d'être près de lui, de le vouloir et d’essayer de ne pas le lui montrer. Et il était tendu lui aussi, mais là encore, c'est quelque chose que je réalise à peine. Maintenant qu'il est endormi et je suis relaxé, apaisé. C’était si limpide la nuit dernière, quand j'ai demandé à Duncan pourquoi il ne s'était pas encore occupé du nouveau petit ami d'Amanda. Il m'a dit qu'il était intéressé par quelqu'un d'autre lui aussi. Et dire que mon cœur s’était serré à l’idée d’un nouvel amour susceptible de prendre toute son attention alors que je ne la voulais que pour moi !!
Mais je ne pouvais pas. Donc, pour rester poli, je lui ai simplement demandé de qui il s’agissait.
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« Et donc, qui est cette nouvelle personne qui te fait complètement oublier Amanda ? »Duncan pris son regard le plus sexy et le plus sensuel et m’attira près de lui pour me chuchoter « toi » avant de m'embrasser plus longtemps et sûrement plus sauvagement que n'importe qui auparavant.
Surpris, même si je n’arrive pas à décrire ce que je ressens et que je le suis toujours à cet instant. Effrayé ? Non. Agréablement surpris. Absolument abasourdit et stupéfait et que mon esprit pense encore que j'ai dû rêver…
Duncan remua mes bras, et je caresse ses longs cheveux, passant mes doigts au travers.
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« Methos ? » Marmonna-t-il en somnolant.
- « Oui ? Je suis là. » Les yeux de Duncan s'ouvrirent, et je sais que je ne rêve pas, parce que si je rêvais j'exploserais. Il y a tellement de sentiment, tellement d’affection et d'inquiétude et, oserai-je le dire ? Tellement d’amour…
Part. 3: JoeJe m’installais, étant prêt pour le premier jour de ré-ouverture quand ils entrèrent. Mac, comme prévu, aimait se montrer de bonne heure avant la cohue générale. Ce que je n’avais pas anticipé c’est que Methos serait exact derrière lui. Le vieil homme n’était pas en très bons termes en ce moment avec Macleod, depuis les cavaliers pour être plus exact. Je veux dire qu’ils étaient toujours très tendu, toujours en retenu comme deux immortels qui se rencontraient et attendraient le combat. Ils se fixent toujours l'un l'autre, ce qui n’a pas beaucoup changé et je ne pense pas que ça change, mais ils on l’air... à l’aise!
Aujourd'hui, je pense que tout a changé. Ils se sourirent, riant l'un l'autre, causant tranquillement. Je n’ai jamais vu Duncan aussi insouciant avec personne… Ah si, avec Tessa! Il était comme ça avec Tessa... Est-ce que ça signifie pour autant qu’ils ont finalement couché ensemble ? Je l'espère. Leurs petits regards secrets l'un sur l'autre, totalement inconscient, le fait que Macleod bondit quand Methos survint dans la conversation, et réciproquement. J’espère qu’ils penseront à rester discret. Mais de toute façon, c’est ce qu’ils sont.
J’ai toujours pensé, essayé de trancher s'ils allaient finir par coucher ensemble ou si des aliens les enlèveraient et les enverraient remplacés. Si c’est le cas, je dois découvrir ces extraterrestres et les remercier.
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« Hé Mac, vieux ! » En les saluant. « Quoi de neuf ? »Methos regarda Mac et se sourirent à peine cachés… je le savais! Ils ont dormi ensemble... Les seules personnes à faire des jeux de mot à cet instant là sont celles qui viennent juste de finir leur tango horizontal. « Merci mon Dieu! » Ils ont passé tellement de temps à se courir après que ça commençait à rendre fou un certain observateur.
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« Rien de plus » Répondit Macleod, avec des oreilles légèrement rosées. C’est flagrant chez Methos pour les rires étouffés essayant de feindre que non.
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« On est juste entrés pour être poli. » Ajouta Methos avachit sur le comptoir.
- « Et pour boire un bon nombre de bière. » Fini-je pour lui.
- « Un jour, je vais t’obliger à me payer l’addition, vieux. »
- Methos jeta sa main contre son front mimant l’horreur de la scène. « Pas ça ! Pas l'addition ! Comment peux-tu être si cruel ? »
- Mac et moi rions. « Je suis un observateur. » Dis-je.
- « Hum… Ok excuse… mais que diable y a-t-il sur mon poignet ? » Methos en tendant son poignet avec son tatouage d'observateur. « Je ne suis pas cruel. » Il se tourne vers le Mac. « Suis-je si cruel, Macleod ? »
- « Non, tu n’es pas cruel… à aucun moment je ne parlerais de ça en présence de mon guetteur. » Macleod en répliquant avec une grimace.
- « Hé ! » Grognais-je. « Mac, c’est pas loyal! Dis-moi ce qu’il y a, je suis complètement à l'ouest là. Si t’es en train de me cacher des trucs, nous allons te surveiller comme ton ombre comme chaque autre immortel sur cette planète. »En fait, j'ai une assez bonne idée de ce dont ils parlent, et ce n’est pas quelque chose qui m’intéresse en tant qu’observateur. Je ne suis pas super intrusif comme d’autres observateurs peuvent l’être. La chronique du Highlander devient beaucoup plus détaillée au sujet de certaines facettes de sa vie qui m’intéresse à savoir. Il y a une différence entre un observateur et un voyeur, après tout !
Macleod me regarda, et je peux le dire qu’il sait que je ne le poursuivrais pas. Pour une seule raison, c’est que c’est dur de faire ça et c’est vraiment pénible. La plupart des observateurs qui peuvent le faire sont des jeunes assez ordinaires, les gens qu’on ne remarque pas. Pas un bluesman de 50 ans sans jambes.
Ils étaient assit tous les deux au bar. « Est-ce mon imagination, ou le tabouret de Mac a migré plus près de Methos que la normale ? Et Methos ne se pencherait-il pas plus près de l’écossais ? » Je les observe tous les deux pendant un long moment. Je m’installe en prenant soin des premiers clients, et… ! Non seulement ils dorment ensemble mais maintenant ils vont devoir se retenir de s’enlacer essentiellement en public. « Ma vie d'observateur va devenir beaucoup plus intéressante. » Pensai-je.