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 Sujet du message: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 22 Jan 2008 00:08 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Disclaimers : Tous ces personnages ne m’appartiennent pas. Ils sont la propriété de MGM. Pas de Fric. Pour le fun.


légende :
en italique : les pensées



Est – ce qu’il a fait ce geste par amitié ou par……..Ses yeux brillèrent un peu plus en pensant à ce sentiment. Non ! Il ne peut pas avoir fait ça par……..Décidément ses yeux n’en fessaient qu’à leur tête. Sa vue se troubla sur le corps endormi de son coéquipier et ami. Il ne se souvenait que du geste qu’il avait fait devant lui. Il voyait et revoyait cette scène dans son esprit de toutes les manières différentes, rapide et au ralenti essentiellement.


Début du Flash back


SGA – 1 était poursuivit par des villageois assez austères et malgré la courtoisie que toute l’équipe avait mise en œuvre, rien n’avait changé et la course avait commencé. Alors que la porte était en vue, une embuscade leur tomba dessus. Ils finirent par être encerclés. Rodney prit de panique regardait les villageois. Quand son regard s’arrêta sur l’un d’eux. Il vit qu’il montait son arme et qu’il allait tirer sur John. Sans réfléchir, il se rua sur son ami et les firent plongés sur le sol. Malheureusement le villageois avait tiré et la balle atteignit le torse de Rodney. Ronon fit feu sur les villageois et Teyla alla voir les deux hommes. Elle remarqua vite l’étendu de la blessure de Rodney et aida John à se relever. Comme toujours, John cria après son ami, mais quand, il vit une tâche rouge foncé d’accroître sur la veste de son ami, il se tu immédiatement. Il aida Teyla à le relever et ordonna à cette dernière de les couvrirent pendant qu’il soutenait Rodney et partit vers le DHD. Après quelques minutes de confrontation, les villageois partirent. Ronon partit donner main forte à John et Teyla entra les coordonnées suivit du code. Ils passèrent la porte.

John, en criant : " une équipe médicale. Vite ! "

Ils posèrent Rodney sur le sol et John posa ses mains sur la plaie et appuya fortement dessus. Puis, Carson le poussa pour prendre le relais de la situation.


Fin du Flash back


Et voilà où il se trouvait, maintenant. Il était assit sur une chaise au chevet de son ami qui l’avait protégé. Qu’est – ce qui pouvait penser après ça ? Des bruits de pas feutré le tirèrent de ses réflexions.

Carson, en murmurant la voix douce : " allez vous reposer John. Je vous préviendrais dès qu’il y a du nouveau. "
John, en murmurant le regard sur le visage de Rodney : " vous savez pourquoi il a fait ça ? "

Carson ferma les yeux quelques secondes et les rouvrit. Est – ce qu’il a le droit de révéler les confidences intimes de son meilleur ami ?

Carson, toujours la voix douce et en murmurant : " il va s’en sortir. C’est un battant, vous savez. "

Un doux sourire étira ses lèvres. John le regarda et se leva avec lenteur. Il lança un dernier regard à Rodney et sortit de l’infirmerie escorté par Carson. John réussit par s’endormir, tandis que Carson après avoir jeté un dernier coup d’œil aux constantes de Rodney alla dans son bureau prendre un verre de son bon vieux whiskey natal.


Début du flash back


Il poussa John et regarda la gravité de la blessure. Il vit rapidement qu’il avait perdu énormément de sang. Il ordonna à ses infirmiers de le transporter immédiatement à l’infirmerie et de le préparer pour l’opération. Il jeta un rapide coup d’œil aux occupants de la salle de contrôle et son regard s’arrêta sur John et un autre militaire. Il les interpella et leur ordonna de les suivre à l’infirmerie.

Carson, en courant vers l’infirmerie : " vous êtes du même groupe sanguin que Rodney. Comme il a perdu pas mal de sang, j’aurais besoin du votre pour l’opérer. Une équipe d’infirmières vous prépareront et prélèveront votre sang. "

Les deux hommes hochèrent la tête. L’équipe les prit rapidement avec elle. Il se prépara pour l’opération et se rua vers la salle. Comme prévu, Rodney était prêt. Il prépara une perfusion et l’implanta dans l’un des bras de Rodney. Il relia le tube à une machine. Les infirmières arrivèrent avec les deux militaires, assis sur des chaises roulantes, une perfusion dans leur bras.

Carson, en regardant les deux hommes : " on ne vous prendra que le stricte minimum. "

Il prit le tube sortant du bras de John et l’introduisit dans la machine. Il vit le sang circuler et soupira. Le plus dur rester à faire. Sauver Rodney. Il incisa la plaie et avec une pince il chercha le projectile. Il le trouva assez rapidement. Il le jeta sur la petite table dans un récipient. Voyant qu’il n’y avait aucune hémorragie interne, il prit l’aiguille avec le fil et il commença à le recoudre délicatement.

Carson, en posant l’aiguille et en regardant les deux hommes : " vous serez libre dans une heure. "
John : " va – t – il s’en sortir ? "
Carson : " oui. Mais il lui faudra du temps avant de reprendre. "


Fin du flash back


Un nouveau sourire éclaira son visage. En revoyant l’air inquiet de John, il vit que ses soupçons étaient fondés. Malheureusement, John ne le savait pas encore et il espérait que le geste de Rodney lui ait ouvert les yeux. Il bu la dernière gorgée et posa son verre sur son bureau. Il ferma le dossier de Rodney et le laissa au centre de son bureau. Il salua l’équipe de nuit et partit vers ses quartiers. Heureusement lui, il avait eut un peu plus de chance que ses amis. Il ouvrit la porte et son regard glissa sur le corps enfoui sous les draps dans leur lit. Il l’aimait et ils se l’étaient avoués presque simultanément. Oui, il avait vraiment eut plus de chance que ces deux amis.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Les jours passèrent et se ressemblèrent pour Carson. A la même heure John entrait dans l’infirmerie, le salua et l’interrogea du regard, puis, il s’asseyat à côté de Rodney jusqu’à très tard dans la nuit. Ils ne se parlaient presque plus, rien que leur regard leur fessait comprendre ceux qu’ils ressentaient. John était devenu conciliant et partait dès que Carson était à ces côtés. Bien sûr, Teyla et Ronon passèrent au chevet de Rodney. Elizabeth avait préférait les consigner dans la cité, car elle avait vu l’état dans lequel ils étaient et surtout celui de John. Bref, toute l’équipe arpentée les couloirs de la cité attendant que leur ami se rétablisse. Elizabeth demandait par radio des nouvelles et Carson lui répondit patiemment. L’état de Rodney resta stable pendant trois jours. Puis, le quatrième jour son état remonta progressivement. Il fallut encore quelques jours pour que Rodney commence à bouger et à ouvrir les yeux.

John, en le remarquant et en criant : " Carson ! Carson ! Il se réveille. "

Il se leva et se pencha légèrement sur le visage de Rodney.

John, en murmurant : " vous nous avez fait peur, Rodney. "

Carson arriva et John s’effaça pour lui laisser place. Quand, il eut finit son examen, il se retourna vers John.

Carson, en murmurant : " il va très bien, mais pour l’instant il faut le laisser un peu seul pour qu’il reprenne ses esprits. "
Rodney, en grognant : " j’ai parfaitement repris mes esprits, Carson. "

John sourit en l’entendant à nouveau.

Carson, en se retournant vers son patient : " vous êtes dans mon infirmerie et c’est moi qui commande ici. Alors vous ferez ce que je vous ordonne ( en regardant John ) et ça vaut pour vous aussi, John. "

John avait toujours le sourire aux lèvres. Maintenant que Rodney était réveillé, il pouvait attendre pour lui parler. Oui. Il lui parlerait le moment venu. Il allait bien trouver un moment ou tout sera calme pour eux deux. Il avait pas mal réfléchi quand il était au chevet de son ami. Maintenant, il pouvait faire un portrait de son visage dans les moindres détails. Personne ne le savait, mais il était un vrai artiste dans l’âme. Il avait déjà fait un portrait de l’équipe en s’appuyant sur ses souvenirs et il était content du résultat. Alors pour Rodney c’était de la tarte. Il ne lui manquait que le matériel. Il pourrait passer commande à l’un des occupants du Dédale. Il regarda sa montre. En plus, il ne devait pas tarder à atterrir ici. Il croisa Teyla et Ronon et il les informa de l’état de Rodney.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il entra dans ses quartiers avec un paquet sous le bras. Il ouvrit le paquet sur son bureau et sourit pleinement. Il avait enfin tout le matériel pour faire son portrait. Il plaça le petit chevalet sur le bureau en le mettant au milieu, le fusain se retrouva sur le chevalet et la toile les rejoignit. Puis, le dernier objet les rejoignit sur le bureau. C’était des crayons de couleurs. Il fit une boule avec le papier et le jeta dans la poubelle. Il avait tellement attendu son paquet qu’il ressemblait à un enfant attendant les cadeaux de Noël. Il jeta un coup d’œil à sa montre et prit la décision de le commencer maintenant. Il s’asseyat sur sa chaise, enleva sa veste qu’il jeta sur le lit et prit le fusain en main. Il prépara le squelette du visage avec minutie et avec douceur. Son poignet dansait par dessus la toile aussi naturellement qu’il pouvait tirer avec son P- 90 sur un ennemi. Après près d’une heure, le portrait prenait forme. Tous les détails restants, il les ferait en couleur. Il posa le fusain, s’étira toujours le regard posé sur son œuvre d’art, sur son ami, sur l’homme qui le hantait. Son regard glissa sur son chevet et tomba sur le portrait de l’équipe. Il avait habillé Teyla avec sa tenue de combat qu’elle portait ici pour faire les séances d’entraînements, les bâtons en mains. A part ce petit changement, le reste de l’équipe était en tenue de combats. Posant devant un grand lac entouré d’une prairie verte.

Son regard se reposa sur l’ébauche du portrait de Rodney. Il réfléchit sur le fond qu’il pourrait mettre derrière ce magnifique visage. Un ciel. Un ciel aussi bleu que ces yeux. Il tira un tiroir et en sortit un bout de tissus. Il le déplia et recouvrit la toile. Il se leva et alla dans sa salle de bain pour prendre une bonne petite douche. Il regarda ses mains et alla d’abord se les laver. Alors que l’eau coulait sur son corps, il pensa à la façon dont il pourrait dire à son ami ce qu’il avait à lui dire. C’était si important et si inhabituel qu’à force d’y penser, il n’arrivait plus à savoir comment lui dire. Il soupira. Il fallait qu’il fasse vite, très vite avant de dire n’importe quoi à son ami. Comment est – ce que Rodney allait le prendre si il bégayait face à ce regard si bleue ? C’est sûr il lui rirait au nez. Mais est – ce qu’il ne lui rirait pas au nez s’il lui disait les sentiments qu’il ressentait envers lui. Il soupira et ferma les robinets. Il passa un doigt sur la paroi embué et écrit le prénom de son ami. Il se rapprocha de la paroi et allait déposer ses lèvres dessus. Puis, il s’arrêta en plein mouvement, en éclatant de rire. Il passa une main dans ses cheveux, toujours en rigolant. Qu’est – ce qu’il allait faire ? Il allait réagir comme une vraie adolescente. Il finit de se préparer et son regard se posa sur un petit calendrier. Ses yeux brillèrent de joie en voyant que le jour qu’il attendait n’était pas loin. A vrai dire c’était dans deux jours. Il reporta son regard sur son bureau et sourit. Oui il serait fini à temps. Il partit vers le Mess et constata que toute sa petite équipe était déjà présente et mangeait avec envie. Il sourit et alla les rejoindre avec son plateau. Heureusement pour lui, la chaise en face de Rodney était libre. Il s’y installa et rentra dans la discussion. Alors, que son regard glissa sur le visage de Rodney, il eut une idée. Un sourire apparut et Rodney le remarqua. Il resta immobile quelques secondes et réfléchissant si ce sourire lui était bien destiné. Quand, il remarqua que sa pensée était vrai, il rougit légèrement et plongea son regard dans son assiette, trop gêné d’avoir réagit de cette façon devant son ami. Mais, depuis qu’il l’avait protégé et qu’il s’était jeté sur lui sans réfléchir aux conséquences de son geste, John n’arrêtait pas de le regarder, de le regarder bizarrement. Genre quelque chose à changer dans son esprit. Tout d’un coup, un éclair passa dans son esprit et si Carson lui avait tout dit pendant qu’il récupéré de son opération ? Il se leva d’un coup, prit son plateau et partit à toute vitesse vers l’infirmerie. Il fallait qu’il en ait le cœur net. John le regarda et fut déçut qu’il parte aussi vite. Mais ce qui était sûr, c’est que son idée était la meilleure. Oui. Dans deux jours, Rodney allait recevoir un cadeau pour son anniversaire. Un cadeau anonyme mais pas trop. Il allait lui laisser des indices et il savait où les placer dans le cadeau. Il avait à faire à un génie, non. Alors il comprendra qui lui offre le cadeau.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Le jour J arriva. Il était déjà dans son bureau et était devant son ordi. Il avait tapé un petit mot à l’intention de Rodney. Il hésita à l’envoyer, finalement il tapa sur la touche entrée et le message s’envola vers la boîte aux lettres de Rodney. Surtout que quelques jours plus tard, il y avait la St Valentin. La fête des amoureux. Il pourrait lui envoyer un autre petit mot pour lui annoncer noir sur blanc ses vrais sentiments. Il prit un rapport et alors qu’il s’apprêté à le lire, un petit bruit provenant de son ordi le fit se concentrer sur ce dernier. Il ouvrit le message et là il n’en croyait pas ses yeux. Le Docteur Rodney McKay qui le remercier pour avoir pensé à son anniversaire. Il y avait aussi un P.S. et la suite le scia. Rodney, son Rodney voulait lui parler ce soir sur son balcon et que c’était important. Il avait écrit ce dernier mot en majuscule, en gras et souligné. Il sourit et l’archiva. Tout ce qu’il espérait, c’est que le reste de la journée, dans la cité allait bien se passer. Malheureusement, le Dr Kavanaugh marchait déjà vers son bureau. Et manifestement, il allait avoir droit à un rapport ennuyeux à mourir.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Le soir arriva. Il était épuisé. Il avait travaillé d’arrache – pied, oubliant même de se rendre au Mess pour manger une bricole. Ce fut la visite de Teyla, avec un plateau repas pour lui avertir qu’il avait une faim de loup. Il l’avait remercié. Il avait quand – même eut le temps de déposer son cadeau dans les quartiers de Rodney. Il passa une main dans ses cheveux et soupira. Il regarda sa montre et il était l’heure de se pointer au rendez – vous. Il ouvrit la porte et remarqua que Rodney était déjà là. Ils se regardèrent et Rodney rompit le silence.

Rodney, en murmurant : " vous êtes le seul a m’avoir souhaité mon anniversaire. "
John, en murmurant et en s’accoudant à la rambarde : " je suis désolé que personne n’est pensé à vous le souhaiter. "
Rodney, en murmurant et en le regardant : " c’est peut – être parce que je ne l’ai jamais dis à personne et qu’il n’y ait que sur mon dossier que c’est inscrit. "
John, en souriant : " je l’avoue, j’ai lu votre dossier et voyant que votre anniversaire n’était pas loin, j’ai décidé de vous le souhaiter. Ai – je eus tort ? "
Rodney, la voix empressée : " non, non….Colonel. "
John : " John ! ( Rodney fronça les sourcils ) Appelez – moi, John. Ça fait pas mal de temps qu’on se connaît et qu’on travaille ensemble, alors on peut s’appeler par nos prénoms, non ? On est amis. "
Rodney, en souriant légèrement : " oui. "

Même si pour lui il aurait voulu que se ne soit pas que par amitié, mais bien plus. John le dévisagea et remarqua cette petite déception. Il finit par le questionner.

John : " vous allez bien ? S’il y a quelque chose qui vous tracasse vous pouvez m’en parler. Je serais ravi de vous aider. "

Rodney le regarda droit dans les yeux et s’y noya entièrement. John fit de même et s’en sans rendre contre, ils s’étaient rapprochés l’un vers l’autre. Ils finirent par ouvrir leur bouche pour respirer plus facilement. Alors qu’ils allaient s’embrasser, la radio de Rodney grésilla. Tout deux confus de leur proximité, firent un grand pas pour se séparer. John plongea son regard dans l’océan, gêné et rouge de désir. Rodney le regardait et répondait à son interlocuteur.

Rodney, en bégayant : " je…..je dois y aller. A demain. "

John le regarda et vit qu’il était dans le même état que lui. Avant qu’il ne puisse lui répondre, Rodney était déjà partit. Il partit à son tour vers ses quartiers. Il se déshabilla et se jeta sur son lit, le sourire aux lèvres. Au moins il avait la preuve que Rodney ressentait quelque chose pour lui.


à suivre........

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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 22 Jan 2008 14:21 
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heureuse du retour de l'artiste. Un très bon début qui avive ma curiosité. J'aimerai bien savoir ce qu'il y a sur le tableau et attend avec impatience l'aveu de nos deux amoureux.
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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 12 Fév 2008 07:57 
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merci pour vos comms. et voici une petite suite.

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Les jours passèrent et Rodney fessait tout pour ne pas se retrouver seul à seul avec John. Il avait raconté cette petite histoire à Carson et ce dernier lui avait suggéré que peut – être que John était attiré par lui. Il lui avait aussi raconté comment il s’était comporté quand il était en convalescence quand il avait fait preuve d’héroïsme en protégeant John. Rodney était resté sur le cul en entendant tout ceci. Mais, il ne voulait pas croire à la possibilité que John pouvait ressentir la même chose que lui pour lui. Non……..peut – être ?..........Non. Il entra dans le bureau d’Elizabeth et le briefing commença. Malheureusement pour lui, aucune expédition extérieure. Non. Elizabeth avait eut l’idée de faire une petite fête pour la Saint Valentin. Dès qu’il entendit ce mot, Rodney ferma les yeux quelques secondes. Puis, il les rouvrit et croisa le regard de John. Il était bizarre, vraiment bizarre. La Saint Valentin était dans deux jours, non, demain. Il fallait qu’il trouve une solution pour ne pas participer à tout ça. Que ce soit aux préparatifs où à la fête elle – même. Il avait trop souffert dans le passé pour continuer à souffrir dans le présent. Teyla proposa l’aide de son peuple et Elizabeth fut ravie et c’était empressée de les conviés à la fête. John eut la bonne idée de demander comment ils allaient faire sans chocolats et sans fleurs. Teyla précisa que les Athosiens étaient très performants pour faire des friandises et qu’il avait grâce à un échange avec un autre peuple une poudre qui ressemblait très fort au cacao terrien. Elizabeth laissa carte blanche aux Athosiens pour le buffet et les friandises. John se proposa d’aller sur le continent pour essayer de ramener quelques fleurs des champs. Bref, à la fin de la réunion, Rodney était obligé de partir avec John et Teyla pour le continent. Rodney lança un regard à Ronon. C’était le seul à rester dans la cité.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


John avait tout calculé. Pendant que Teyla serait dans le village. Il emmènerait Rodney dans les champs et il aura une petite conversation avec ce dernier. Il atterrit et ils sortirent du Jumper. Ils laissèrent Teyla dans le village après avoir salué tous les habitants. Puis, ils marchèrent vers les champs alentour.

John, en le regardant : " cueillez toutes les fleurs que vous trouverez. "

Rodney hocha la tête et commença à en cueillir. John fit de même et au fur et à mesure, il finit par se rapprocher de Rodney. Il ne restait plus qu’une fleur et il en profita. Leur main se tendirent et finirent par se toucher en prenant la fleur. Rodney resta immobile les yeux rivés sur leur main tenant la fleur. John se rapprocha et avec son autre main releva le corps de Rodney. Ce dernier se laissa faire, toujours hypnotisé par leur main jointes. Leur corps finirent par se frôler.

John, en murmurant : " voudrais – tu devenir mon Valentin ? "

Aucune réaction de la part de Rodney.

John, en murmurant la voix douce : " Rodney ? "

Il finit par relever son visage et se noya dans les yeux de l’homme qu’il aimait.

Rodney, en murmurant et en bégayant : " qu….quoi ? "
John, en souriant et en murmurant : " voudrais – tu devenir ( en passant sa main sur sa joue ) mon Valentin ? "

Les yeux de Rodney s’embuèrent et des larmes roulèrent sur ses joues. John continua à caresser la joue et essuya les larmes au passage. Il rapprocha son visage et ses lèvres touchèrent timidement celles de Rodney. Il bougea son visage lentement pour que ses lèvres caressent en douceur ces jumelles. Ce dernier avait fermé les yeux à ce contact si doux et si délicieux. Sa respiration était devenue trop rapide et il ouvrit légèrement ses lèvres. John prit ça pour une invitation et glissa sa langue dans l’ouverture aussi lentement et en douceur que le reste en fermant les yeux à son tour. Elle rencontra sa jumelle et la caressa très lentement. Sa main glissa sur la nuque de Rodney lui donnant des frissons sur tout son corps. La fleur fut littéralement écrasée entre leur main, leurs doigts entrelaçaient. L’autre main de Rodney se faufila sur les reins de John et remonta jusqu’ à la nuque. Le baiser fut plus profond, presque enivrant. Il fut tellement remplit de sensation que le corps de Rodney commençait à vaciller. John le remarqua et le soutint en glissant son bras dans son dos pour le coller contre lui. Le baiser fut rompu et le visage de Rodney se réfugia contre l’épaule de John. Puis, il releva son visage et s’arrêta à la hauteur de l’oreille de John.

Rodney, en murmurant : " oui. "

Ils restèrent enlacés un petit moment et se séparèrent avec regret.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Teyla était partit du village pour aller aider ses amis à cueillir les fleurs. Mais, elle s’arrêta nette en les voyant. Elle se cacha derrière un tronc d’arbre et les observa. Elle assista à la naissance du baiser et ils furent tellement doux et tellement émouvant qu’elle ne pu retenir une larme. Elle n’avait jamais vu autant de lenteur et de douceur entre deux personnes. C’était comme féerique. Elle était si heureuse pour eux deux. Ils avaient droit d’être aimé. Quand elle les vit partir, elle essuya la larme et prit un raccourci vers le village. Cela ne fessait que quelques secondes qu’elle était arrivée qu’elle allé vers leur rencontre. Elle les informa de l’évolution des préparatifs. John montra les deux paquets de fleurs avec un large sourire. Le regard brillant de leur amie glissa sur le regard de Rodney. Elle y vit des étincelles et de la chaleur. John la dévisagea et remarqua très vite qu’elle les avait peut – être vu. Teyla prit la décision de saluer son peuple et le tout nouveau couple fit de même. Ils marchèrent en silence jusqu’au Jumper. Quand ils montèrent à l’intérieur, John se retourna et regarda Teyla droit dans les yeux.

John, la voix sérieuse : " vous nous avez vu ? "

Rodney fronça les sourcils et son regard fut remplit de panique en regardant Teyla.

Teyla, la voix douce : " oui. Je suis désolée de vous avoir surpris tout à l’heure, mais….."

Rodney se laissa tomber sur la banquette arrière, les yeux très paniqués. John fit un pas, mais ce fut Teyla qui réagit avant lui. Elle s’asseyat à côté de son ami et posa une main sur celles de Rodney.

Teyla : " je comprends que vous restiez discrets et je n’aurais pas dû aller vous rejoindre sans vous prévenir. Votre secret sera bien garder avec moi. "

John s’asseyat de l’autre côté de Rodney. Ce dernier glissa son visage contre l’épaule de John.
John passa un bras dans son dos et fit de lentes caresses.

John, en murmurant et en regardant Rodney amoureusement : " merci, Teyla. Pour être honnête avec vous, c’était notre premier baiser. "
Teyla, la voix surprise et en murmurant : " oh ! "

Rodney finit par se calmer et releva son visage.

John, en les regardant tous deux : " vous êtes prêts à rentrer chez nous ? "

Tous deux acquiescèrent et après une longue caresse dans le dos de Rodney, John se leva et alla au poste de commandes. Pendant le voyage Teyla murmura des mots réconfortant à Rodney pour lui prouver qu’il pouvait avoir confiance en elle. Elle réussit à le calmer entièrement et il la remercia en lui souriant.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Elizabeth les accueillit et les informa qu’ils avaient découvert une grande salle et que Ronon avait prit les choses en mains pour la décoration. John grimaça en entendant ça.

Elizabeth, en le rassurant : " je viens tout juste de voir l’évolution de la décoration et il s’en sort pas trop mal. Je dirais même plus, il s’en sort très bien. "

John la regarda pas très rassuré, il donna les paquets à Rodney et partit voir ce qu’il en était par lui même.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Le reste de la journée se passa très vite. Mais, il réussit à donner rendez – vous à Rodney dans ses quartiers. Ce dernier accepta la voix anxieuse. Rodney se dirigea lentement vers les quartiers de John et s’arrêta devant la porte. Il passa sa main devant le détecteur et elle s’ouvrit. Il y entra lentement et la porte se referma derrière lui, le fessant sursauter. John sortit de sa salle de bain et le regarda. Il était tellement adorable qu’il ne pu que sourire en le voyant. Le regard de Rodney s’arrêta dans son inspection sur le tableau posé sur le chevet de John. Et là il comprit qui était l’auteur de son portrait qu’il avait eut le jour de son anniversaire.

Rodney, en murmurant et en s’approchant du tableau : " c’était toi, le portrait ? "

John s’approcha de lui et le prit dans ses bras en douceur. Il passa son visage par dessus l’épaule de Rodney.

John, en murmurant : " oui. Je pensais qu’avec tous les petits détails, tu aurais déjà su que j’étais l’ancien propriétaire de ton portrait. "
Rodney, en se retournant le sourire aux lèvres : " Tu es très doué et il est magnifique. "
John : " c’était mon cadeau pour ton anniversaire. "
Rodney, les yeux brillants : " merci. Quand, je l’ai vu, je fus choqué par les détails, même si je n’ai pas remarqué tes petites signatures. "

Ses yeux décrochèrent ceux de John et ils parcoururent son corps. Son corps pratiquement nu. Seule une serviette autour de ses hanches caché le plus important. Il rougit instantanément et commença à paniquer.

John, la voix douce : " calme – toi. "

Il le serra fortement contre lui. Ce fut une mauvaise idée. Rodney se figea en sentant le sexe dressé sous la serviette.

John, en murmurant à son oreille : " tu croyais que mon corps ne réagissait pas face à toi ? Je t’aime et je l’ai découvert quand tu m’as protégé face au tir qui m’était destiné. Je t’ai dis de venir dans mes quartiers pour qu’on parle de nous, de notre futur commun et non pour te sauter dessus. Si tu n’es pas prêt, on attendra. "


Il termina sa phrase en embrassant délicatement le cou de Rodney. Ce dernier se détendit. Son visage s’enfouit contre le cou de John et il huma son odeur. John les poussa jusqu’au lit et ils s’allongèrent lentement dessus, toujours enlacés. John avait aussi remarqué l’état physique de Rodney. Il sourit en sentant la boule contre son sexe. Rodney rougit en croisant le regard assombrit de John. Il avança ses lèvres face aux siennes et l’embrassa. Ce baiser fut aussi lent que le premier. Ils savouraient pleinement ce contact. Cette nouvelle découverte. Répondant aux attendes de l’autre. Le baiser ne leur suffisait plus. Rapidement leurs mains se baladèrent sur leur corps. Rodney savoura le contact de la peau nue de John sous ses doigts. John défit la veste de Rodney et il l’enleva avec son aide. Mais dès que les mains de John entreprirent d’enlever son tee – shirt, il se figea. Son regard, remplit de honte, se baissa vers le lit.

John, en relevant son visage : " je t’aime comme tu es, Rodney. Tu n’as pas à avoir honte de ton corps. "

Le regard de Rodney lui fessait pensé à un regard de chien battu. Il vit qu’il n’allait pas tarder à pleurer. Alors, il prit quand – même la décision de le dévêtir entièrement. Quitte à le consoler après. Quelques minutes plus tard, Rodney n’avait plus que son caleçon. John se releva légèrement et le regarda amoureusement. Rodney avait fermé les yeux honteux de la situation.

John, en murmurant : " tu es parfait. "

Rodney ne pu qu’ouvrir ses yeux pour les poser dans ceux de John. Ses yeux étaient remplit d’amour et de désir. Les larmes qu’il retenait finirent par tomber de ses yeux. John le prit dans ses bras et le consola.

John, en murmurant : " je suis désolé, mais je voulais te voir. "

Les bras de Rodney se serrèrent un peu plus dans son dos et les larmes moururent contre la peau brûlante de John.

Rodney, en embrassant délicatement cette peau : " tes bras me réconforte tellement que je ne pourrait m’en passer. "

Ses baisers se firent plus appuyés, donnant des frissons de passion à John.

John, la voix rauque : " je ne pourrais plus tenir longtemps si tu continue comme ça. "
Rodney, en relevant son visage face au sien : " je veux que tu me redonne confiance en moi, en mon corps. Grâce à ton amour, je me sentirai plus fort. "

John conclu sa phrase par un baiser passionnant.

John, en rompant le baiser : " je préfère faire l’amour avec toi demain, le jour des amoureux. "
Rodney, la voix souriante : " tu es si romantique que je ne peux que t’aimer un peu plus, si c’est encore possible dans mon état. "
John, en murmurant : " dormons, maintenant. Reposons – nous pour demain. Car se sera une longue, très longue journée. "

Rodney prit une dernière fois les lèvres de John dans les sienne et enfouit son visage contre la poitrine de John.


à suivre............

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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 13 Fév 2008 06:51 
C'est trop beau et si romantique... :wouah:


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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 16 Fév 2008 16:19 
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Slash ou non, telle est la question...
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C'est vraiment beau et très romantique :wouah:

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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 17 Fév 2008 13:58 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Ils sont très beaux tous les deux. A très bientôt la suite j'espère....
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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 19 Fév 2008 11:32 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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P.S. : désolée pour l'attende, mais cette fic est encore en cours d'écriture. Il y a un passage que je trouve un peu trop osé pour cette classification. Alors si quelqu'un peut me dire c'est c'est vraiment trop osé où pas, j'en serais contente.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


John fut réveillé par une douce musique qui ressemblait fortement à un Slow. Quelques secondes plus tard, son esprit réalisa que c’était vraiment un Slow qui passé dans la cité. Il sourit et l’une de ses mains caressa les cheveux de Rodney. Il n’avait jamais pensé se réveiller avec un homme dans ses bras. Son regard se posa sur le visage de Rodney. Mais cet homme en valait la peine. Le corps de Rodney bougea et se colla un peu plus contre lui. Il le serra et enfouit son visage contre le sien. Il rêvassa sur les moments qu’il avait passés avec Rodney depuis le début de l’expédition. Ses rêveries furent stoppées par un appel micro. Elizabeth les appelait immédiatement dans son bureau, Rodney et lui. Il se redressa entraînant le corps endormit de Rodney avec lui.

John, en murmurant et en le secouant légèrement : " Rodney ! Rodney ! Elizabeth nous demande dans son bureau. "

Rodney grogna quelques morceaux de phrases et se colla un peu plus contre lui.

John, en souriant : " Rodney ! Allez debout ! "

Rodney grogna encore. John ne trouva qu’une seule solution. Il approcha ses lèvres et les déposa sur celles de Rodney. Ce dernier ouvrit les yeux entièrement et le baiser prit vie.

John, en rompant le baiser : " il faut qu’on se prépare. Elizabeth nous attend. "

Rodney se leva et attrapa ses habits. Il fonça dans la salle de bain et en ressortit quelques minutes plus tard.

John, en se levant : " j’espère que tu ne réagit pas comme ça à cause de moi ? "

Rodney sourit et s’approcha de lui.

Rodney, en le prenant dans ses bras et à son oreille : " je te rappelle qu’Elizabeth nous attends dans son bureau. "

Puis, il le poussa jusqu’ à la douche. John se prépara et rejoignit Rodney dans sa chambre. Ils partirent directement vers le bureau d’Elizabeth. La petite réunion du matin ne dura pas plus de dix minutes. Elizabeth les informa qu’ils devait aller chercher les Athosiens et tout le matériel sur le continent avec l’aide de Teyla, Ronon et Carson. Ils leur faudrait au moins trois Jumpers pour faire les aller – retour. Elle les avertit que tout le monde les attendait au hangar. Ils prirent en coup de vent un café et rejoignirent leur amis. Ils passèrent la journée à finir d’aménager la salle et d’amener les Athosiens dans la cité. L’heure de la fête arriva. Ils eurent juste le temps de prendre une douche et de s’habiller en civil pour participer à la fête. Malheureusement, ils ne purent se prouver leur amour en public. John attendit le moment propice et entraîna Rodney sur la baie la plus proche. Il bloqua la porte et ils purent se prendre dans les bras. John commença à bouger lentement dansant un Slow imaginaire. Chacun avait le nez contre la peau de l’autre. Ils s’enivraient de l’odeur de l’homme qu’ils aimaient. Leurs envies se firent sentir. Rodney releva son visage et regarda John. Ce dernier pouvait y lire le désir. Sans attendre, il l’emmena dans ses quartiers. Ils se déshabillèrent à toute vitesse et John le poussa sur son lit et le plaqua avec son corps tremblant de désir. Il prit avec passion les lèvres de son amant.


John, en brisant le baiser : " tu veux vraiment……."


Rodney hocha la tête avec un petit sourire malicieux sur ses lèvres. John ne comprit pas tout de suite ce sourire, mais quand il sentit une douce et lente caresse remonter entre ses jambes pour finir par emprisonner son sexe en érection, il lâcha un grognement de plaisir. Elle fut accompagnée par un lent va et vient. John ferma les yeux et Rodney en profita pour capturer le lobe de l’oreille de l’homme qu’il aimait. Il le mordilla et le lécha goulûment.


Rodney, en murmurant : " oui. Je le veux vraiment, John. "


Le visage de John se posa sur l’épaule de Rodney et quelques larmes coulèrent pour finir par s’écraser sur la peau douce de Rodney. Rodney le serra dans ses bras sans savoir pourquoi John réagissait de cette façon. Il ne pensait pas que ces quelques mots qu’il avait prononcé pourrait faire réagir John de cette façon. Pourtant c’est ce qu’ils attendaient. Alors pourquoi ?
Ils les fis basculer et caressa en douceur les cheveux indomptables de John. Il le berça légèrement et attendit. Dans l’esprit de John tout était confus. Non pas pour les sentiments qu’il ressentait, mais plutôt pour la vitesse de leur agissement.

John, entre deux sanglots : " je suis…..désolé. "
Rodney, en murmurant la voix douce : " tu n’a pas à l’être. "
John, en relevant son visage face à celui de Rodney : " je viens tout juste de réaliser la chance que j’ai d’être avec toi, de t’aimer et que tu ressente le même sentiment que moi. "
Rodney, en souriant : " on a toute la nuit devant nous et même plus. "

Les yeux de John s’embrumèrent un peu plus et des larmes coulèrent de nouveau. Une de ses mains passa sur la joue de Rodney.

John, en murmurant : " je t’aime. "

Rodney posa délicatement ses lèvres sur le front de John. Ce baiser était très délicat et très sensuel. John ferma les yeux et sentit dans les moindres détails les lèvres et la pointe de la langue de son amant. Il soupira de bien – être. Puis, les lèvres de Rodney se baladèrent sur son visage aussi délicatement que le premier baiser qu’il avait reçu. Elles arrivèrent devant les siennes et ils s’embrassèrent en douceur. Petit à petit, leurs mains caressèrent leurs peaux. De fil en aiguille, les préliminaires commencèrent pour finir par l’acte en lui même.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Ils se réveillèrent en douceur. Le regard de John se posa sur le visage à demi – réveillé de son amant et il sourit. C’est le plus beau réveil qu’il est eut dans sa vie. Une main passa dans ses cheveux et leurs lèvres se rencontrèrent pour le baiser du matin. John se leva et emporta Rodney avec lui. Ils marchèrent jusqu’à la salle de bain et entrèrent dans le bac à douche. A peine étaient – ils entrés que John captura les lèvres de Rodney avec passion. Il le plaqua contre le mur et se serra fortement contre son amant. Rodney réussit, tant bien que mal, à se libérer des lèvres de son amant.

Rodney, en murmurant la voix rauque : " je veux te donner du plaisir comme celui que tu m’a donné hier soir. "



( passage un peu trop explicite pour ma part. Donnez - moi votre avis )


John ouvrit sa bouche, mais seulement un grognement de plaisir s’échappa. Rodney avait déjà prit les choses en main. Ses mains se baladèrent sur le dos de John et ses lèvres se posèrent sur son cou. Il fut littéralement dévoré. Les baisers descendirent de plus en plus bas. Il lâcha un grognement un peu plus fort quand ses lèvres capturèrent son petit John. Les mains de Rodney agrippèrent les fesses musclées et contractées de son amant. John ne pu résisté à poser ses mains sur le mur et à donner des coups de reins au même rythme que son amant. Il se demanda si son amant ne le prenait pas pour une friandise. Cette pensée lui plaisait, car il s’y prenait vraiment très bien pour lui donner du plaisir. Une vague de plaisir passa dans le creux de ses reins pour finir jusqu’au bout de son sexe qui buta sur le palais de son amant.

John, la voix rauque : " mmmmmhhhhh !!!!! Je ne vais pas tarder à jouir. "
A peine avait – il fini de dire ses pensées que Rodney était remonté.
Rodney, au creux de l’oreille la voix rauque : " prends – moi, mon sucre d’orge. "

John ouvrit les yeux, sourit et captura les lèvres de son amant. Puis, il le retourna et le pénétra en douceur. Le grognement de Rodney lui fit comprendre qu’il n’attendait que ça. Ses mains glissèrent et s’arrêtèrent sur ses hanches. La danse commença. Il sentit d’un coup de l’eau coulée sur leurs corps. Il captura le lobe de l’oreille qui le nargué et fit de même avec sa main en capturant sa jumelle. Il ralentit le rythme.

John, en murmurant : " bonne idée. "

Puis, il mordit la peau de l’épaule, en accélérant la danse. Quelques secondes plus tard, ils se figèrent et se crispèrent pour apprécier ce moment. L’eau froide les réveilla. John rigola légèrement à la réaction de Rodney. Il les tourna pour que le dos de Rodney ne soit plus en contact direct avec l’eau. Puis, il ouvrit un peu l’eau chaude.
John, en murmurant : " maintenant ça sera mieux pour se doucher. "
Il déposa délicatement ses lèvres sur le front mouillé face à lui. Il délaissa le corps de son amant, prit son gel douche et après s’en être mit une dose dans la paume de sa main le tendit à son amant.


( ALORS ? )



Quelques minutes plus tard, ils s’habillèrent dans la chambre.

John, en mettant sa veste : " j’ai plein d’idées qui pourrait faire un excellant tableau nous représentant. "
Rodney, en s’approchant de lui : " j’espère qu’il n’y aura pas de position osée dans ce tableau et qu’il restera ici. "
John : " je ne te promets pas qu’il soit catholique, mais je peux te promettre que les seuls yeux qui se poseront dessus seront les nôtres. "
Rodney, en passant une main sur sa joue : " je veux voir ton tableau finit et pas avant. "

John hocha la tête en guise de consentement. Il rapprocha son visage de celui de son amant et y déposa ses lèvres avec lenteur et douceur. Tout deux fermèrent les yeux à ce contact. Rodney passa sa langue sur les lèvres de John et le baiser fut plus intense. Ils se séparèrent et partirent l’un après l’autre, avec beaucoup de précaution, vers leurs lieux de travail.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Ils couraient vers le jumper pour fuir cette planète. Cela ne fessait que quelques minutes qu’ils étaient là et déjà les habitants les chasser à grand jet de pierres. Rodney en avait reçu une belle dans son genou gauche et courait désespérément pour sauver sa peau. John fut le premier a arriver dans la clairière suivit de très près par Ronon. Il sortit la télécommande et matérialisa le vaisseau. Il jeta un regard derrière lui et fonça vers le poste de commandes. Ronon empoigna le bras de Rodney et il le tira à l’intérieur du jumper sans ménagement et le jeta sur la banquette. Rodney ne fit aucune remarque, le regard dans le vague. Il était trop occupé à reprendre son souffle pour dire quoi que se soit. En fait, il était crevé. Il avait traînédans son labo, terminant une expérience avant de partir en mission et Rodney ne pensait pas que cette mission serait aussi sportive. Il prit enfin l’initiative de voir l’état de son genou. Mais, il fut interrompu par leur arrivée dans la cité.


De son côté, John n’attendait que cette nuit pour pouvoir monter à Rodney son nouveau chef – œuvre. Il l’avait enfin fini. Rien que le fait d’y penser lui donner des frissons. Il était sûr que Rodney allait littéralement fondre devant sa toile. Mais pour l’instant, il devait savoir comment se sentait son amant. Il se leva et alla directement vers lui. Rodney, en l’entendant s’approcher, leva son regard vers John. Ce dernier fit vite une description du visage pâle face à lui. Le début de cernes d’un bleu profond, les yeux brillants de fatigue et la blancheur de sa peau disaient qu’il devait tout d’abord passer quelques heures dans les bras de Morphée et il ferait bien son oreiller de fortune. Il l’aida à se lever et prêta son épaule pour le soutenir. Bien sûr il profita de cette aide gratuite pour passer son autre bras autour de la taille de son amant. Il l’amena directement à l’infirmerie.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Quelques minutes plus tard ou plutôt une heure plus tard, SGA – 1 sortit du bureau d’Elizabeth. Rodney bailla à s’en décrocher la mâchoire et il marchait du mieux qu’il pouvait. Carson lui avait ordonné d’utiliser un fauteuil roulant pour se déplacer, mais leur chef scientifique ne l’entendait pas de cette oreille. John le rattrapa assez facilement avec entre ses mains le fauteuil. Il s’arrêta derrière lui et appuya légèrement sur ses jambes. Rodney sursauta et fini pas se retourner.

John, l’air méchant : " Beckett t’a ordonné de bouger en fauteuil roulant. "
Rodney, en étouffant un bayement : " je suis assez grand pour me déplacer tout seul. "

John mit le frein et se mit face à lui.

John, en murmurant à son oreille : " si tu ne suis pas l’ordre de Beckett, tu n’auras pas de petit massage. "
Rodney, la voix très fatiguée : " et quel genre de massage ? "
John, toujours en murmurant : " genre relaxant. Comme ça tu pourras bien dormir après. "

Ils restèrent silencieux quelques secondes et Rodney fini par acquiescer. John les conduisit jusqu’à la porte des quartiers de Rodney.

John, en ouvrant la porte : " j’ai fini le tableau. "
Rodney : " ah ! "
John : " je te le montrerai demain. Ce soir tu n’es pas en état de voir quoi que ce soit. "
Rodney, en rigolant légèrement : " je dois reconnaître que cette fois – ci tu as raison. "

John l’aida à aller jusqu’à son lit et Rodney s’allongea directement. John le regarda. Il avait fermé les yeux et ne bougé plus. Pensant qu’il s’était endormit, il entreprit de le déshabiller. Mais Rodney se redressa quand les mains de John touchèrent ses chaussures.

Rodney, en soupirant : " j’avais oublié que je devais me laver et refaire le bandage avant de m’endormir. "

Il commença à se déchausser et s’arrêta net.

Rodney, en relevant sa tête vers le visage de John : " tu peux rester chez moi, si tu veux. "
John : " pour la nuit entière ? "

Rodney hocha la tête positivement. Alors le visage de John se colora et ses lèvres s’étirèrent pour former un sourire radieux.

Rodney, en continuant de se déshabiller : " on va se doucher ? "

Il sauta de son lit et empoigna la main de John et l’entraîna jusque dans la salle de bain. John fut trop surpris pour dire quoique se soit. Et il fut encore plus surpris quand Rodney entreprit de le déshabiller sans son accord. Mais, quand il se retrouva en caleçon, Rodney s’arrêta, le visage rouge et les mains légèrement tremblantes. John captura ses mains dans les siennes et les serra légèrement. Puis, une de ses mains alla se poser sur la joue de Rodney et elle releva son visage.

John, en caressant la joue : " tu a encore peur de me voir tout nu ? "
Rodney, la voix un peu honteuse : " à chaque fois que je te vois presque nu, je crois toujours que je rêve et que je vais me réveiller d’une seconde à l’autre. "
John, en posant les deux mains de Rodney sur l’élastique de son caleçon : " fini et tu verras. "

Rodney s’exécuta et enleva lentement, très lentement le dernier vêtement sur le corps de John. Il se retrouva à genoux devant John. Il releva son visage et son regard remonta en une douce et chaude caresse sur le corps de John. Il s’arrêta un court moment sur le sexe dressé et continua pour s’accrocher aux yeux verts foncés de désir.

John, en mettant ses mains dans les cheveux de Rodney : " alors ? "
Rodney, en embrassant délicatement le bout du sexe dansant : " on est vraiment ensemble ? Tu m’aimes vraiment ? "

John s’agenouilla et ses lèvres cherchèrent au ralentit leurs sœurs.

John, en murmurant : " je t’aime et on est vraiment ensemble depuis quinze jours, depuis ton anniversaire……je t’aime. "

Il l’embrassa délicatement. Il sentit les deux bras de son amant le serrer contre son corps et un soupir de soulagement. John en profita pour commencer à le dévêtir à son tour.


Quelques minutes plus tard, ils sortirent de la douche, s’enveloppèrent dans deux grandes serviettes. John prêta main forte à son amant et ils se retrouvèrent allongés sur le lit. Il le laissa pour prendre tout ce dont il avait besoin pour refaire le bandage et son massage. Il ramassa l’attelle qui était parmi leurs vêtements. Il s’asseyat au rebord du lit et commença à masser le genou avec la pommade et le banda. Puis, il fini avec l’attelle. Il fit retourner Rodney et se mit à califourchon sur les fesses de son amant. Il ouvrit une petite fiole et déposa quelques gouttes. Il la referma, la posa sur le chevet et en passa sur ses deux mains. Il posa à plats ses mains et commença le massage. Il était à la fois sensuel et relaxant. Alors qu’il commençait à glisser lentement dans les bras de Morphée, il sentit le sexe de John buter au milieu de ses fesses. Il prit une profonde inspiration et grogna en sentant les mains emporter la serviette sur ses jambes. Il réfléchit et conclu que cela fessait une semaine tout rond qu’il n’avait pas fait l’amour. Connaissant John, il savait qu’il attendait son consentement avant d’aller plus loin. Il posa une main sur le genou de John et le caressa doucement. John se pencha et s’appuya contre le dos de Rodney. Son autre main se réfugia dans la chevelure indomptable.

Rodney, en murmurant : " tu en a envie. "

John grogna en bougeant son visage positivement.

Rodney, toujours en murmurant : " moi aussi……mais je suis beaucoup trop fatiguer pour le faire. "
John, en murmurant : " c’est pas grave, Rodney. "

Rodney se retourna et John se mit sur le dos accueillant Rodney contre son torse.

Rodney, en regardant son réveil : " on pourra le faire demain. On n’a pas de briefing de bonne heure. "

John sourit et caressa la nuque de son amant d’une main et de l’autre il commençait à défaire le lit. Ils glissèrent sous les draps et après s’être embrasser une dernière fois, fermèrent les yeux pour s’endormir.


à suivre...........

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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 11 Mar 2008 19:54 
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¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Ils reprenaient leurs souffles l’un dans les bras de l’autre. En fait, ils étaient avachis l’un sur l’autre. John n’en revenait pas de l’énergie que pouvait avoir Rodney au saut du lit. Son regard se posa sur le réveil. C’est vrai qu’il avait dormit de tout son saoul. Mais il n’avait jamais pensé en l’entendant dire : " on pourra le faire demain. " que ce serait aussi fatiguant. Il se mit à compter mentalement. Pourtant, il ne l’avait fait que deux fois. Deux longues fois et d’affilées, offrant et donnant. Bref, il était épuisé. Il ouvrit les yeux et les posa dans ceux de son amant. Une de ses mains se faufila entre leurs corps et arriva à son but, fessant arquer le corps de John vers le sien.

Rodney, en murmurant la voix rauque : " On recommence ? "

Sa main commença à se mouvoir en douceur, lui tirant des gémissements de plaisir.

John, en un murmure : " tu n’es pas crevé ? "
Rodney : " non. Je suis juste au paradis. Pas toi ? "

John fit un oui avec ses lèvres, mais aucun son n’en sorti.
Rodney libéra son sexe et il l’encercla de ses bras.

Rodney, en déposant un baiser sur son front : " je t’aime, John. "

Ces quelques mots avait rendu John fou d’amour. Son énergie lui était revenue aussitôt. Il fit basculé Rodney sous lui et l’embrassa à pleine bouche.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


John, en reprenant son souffle : " alors ? "
Rodney, en haletant : " génial, comme toujours. "

John le prit dans ses bras et l’embrassa avec passion.

John, après le baiser : " viens dans mes quartiers. Ma toile est finit. "

Rodney lui sourit amoureusement. Il avait une folle envie de lui demander ce qu’il y avait sur le tableau, mais se retint. John l’emporta dans son élan et ils se préparèrent.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


John ouvrit la porte de ses quartiers et ils entrèrent avec précaution. Il alla vers son tableau qui était recouvert d’un drap. Comparais au premier tableau qu’il avait fait, celui – là était beaucoup plus grand. John le découvrit et Rodney resta sans voix. C’était une véritable merveille. Les tons étaient de couleurs sombres. Ils y étaient tous les deux représentés dans une position assez intime sans pour être torride. Il était allongé sur le dos, un bras relevé et l’autre posé sur les cheveux de John qui était à moitié allongeait sur lui. Tout deux avaient les yeux tournés vers le spectateur. John enlaça Rodney qui était devant lui.

John, en murmurant à son oreille : " quand dis – tu ? "
Rodney, la voix émerveillée : " il est magnifique, John. ( en se retournant ) Superbe. "
John, en posant ses mains sur les joues de Rodney : " tu m’inspire énormément. Tu es ma muse. "

Il l’embrassa pour lui dire que c’était la vérité. Il était devenu, son ami, son amant, sa muse. Bref, il était son essence, sa vie. Voilà ce que représentait Rodney pour lui et il espérait que se soit la même chose pour Rodney. Ce dernier rompit le baiser et se retourna face au tableau. John le laissa et partit dans sa salle de bains. Il ouvrit les robinets de la douche et se déshabilla. Quand, il fut nu, il sentit une main se faufiler sur l’une de ses hanches. Il se retourna, lui prit la main et l’entraîna sous la douche avec lui.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


La voix d’Elizabeth les tira de leur rêve. Ils devaient déjà être dans son bureau. Au son de sa voix, elle n’était pas à prendre avec des pincettes ce matin. Ils se regardèrent et soupirèrent. Leur moment d’intimité était fini. La vie dans la cité allé commencer et ils devaient redevenir que de simple ami. Ils s’embrassèrent une dernière fois et partir rejoindre le reste de l’équipe dans le bureau d’Elizabeth. Elle leur lança un regard meurtrier et le briefing pu commencer.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Elle les regarda partir et s’étonna qu’ils ne réagissent pas plus vivement à cette mission. C’était quand – même une planète sous l’emprise des Géniis et qu’ils passaient régulièrement dans le village pour prendre leur esclave. Et c’était ça le problème. Cette nation avait d’autre loi, d’autre meurs et celle – là était inacceptable. Elle leur avait demandé de n’être que des observateurs, mais si ça tourné mal…..Elle soupira. Encore une mission casse pipe.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


A peine avaient – ils posés les pieds sur la planète, qu’ils furent accueillit par des tirs ennemis. Ils les reconnurent. C’était leur ami les Géniis. John lança un regard inquiet à Rodney. Il ne voulait pas avoir encore à faire à Kolya. Leur dernière rencontre était toujours dans ses pensées quand il regardait son amant dormir. Il se jurai de le tuer une bonne fois pour toute. Malheureusement, ils furent vite encerclés et Kolya fit son apparition. Il avait un large sourire. Il tenait enfin sa vengeance. Il fit signe à l’un de ses hommes et ils reçurent une injection dans leur cou. Ils tombèrent inconscients.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Ils se réveillèrent et constatèrent qu’ils étaient encore ensemble, mains attachées dans le dos et……
John et Rodney se regardèrent. Leurs pantalons avaient disparus. Ils étaient en sous – vêtements assis à même le sol. Leurs regards s’arrêtèrent sur Teyla. Elle n’était pas dans la même position qu’eux, loin de là. Elle était attachée à un mur bras et chevilles liés et elle était nue. John refit le tour de la pièce. Il manquait quelqu’un. Pas la moindre trace de Ronon. Il réussit à se relever, tant bien que mal et aida son amant. Ils s’approchèrent de Teyla et elle immergea. Un voile de panique passa dans son regard. Qu’est – ce que ce Kolya avait en tête ? Avait – il déjà commencer à s’amuser avec eux pendant qu’ils étaient inconscients ? La réponse fut vite trouvée. Non. Aucunes sévisses de ce côté là.

Teyla, en murmurant : " où est Ronon ? "

La porte s’ouvrit avec fracas laissant entrer Kolya.

Kolya : " je lui réserve un autre traitement, Teyla. "

Il fit signe et une lumière s’alluma. Ils purent voir un miroir sans teint et derrière Ronon. Il était lui aussi nu. Mais il reposait par terre, le cou attaché avec un collier de chien qui était lui aussi attaché au mur par une grosse et lourde chaîne.

Kolya : " il va être mon esclave sexuel. "

John se rua droit vers lui, mais quatre soldats bien armés arrivèrent. Ils le maîtrisèrent et trois autres soldats s’occupèrent de Rodney.

Kolya, en allant vers Teyla : " quand – à – toi, tu seras mon deuxième esclave sexuel. "

Il prit son menton dans sa main, tourna le visage de Teyla face au sien et l’embrassa avec autorité et force. Teyla se débattait et John et Rodney crièrent pour qu’il la relâche.
Quand il entendit la voix de Rodney dire : " prenez – moi à sa place. " Il se désintéressa d’elle et vint près, tout près de lui.

Kolya : " le grand Dr Rodney McKay veut sauver son amie Teyla. Comme c’est touchant. "
John, la voix remplit de haine : " ne le touchez pas. "
Kolya : " mais c’est trop tard, Sheppard. Je vous ai fais passer un examen personnellement et j’ai pu voir qu’il n’était plus vierge de ce côté là. "

Les soldats immobilisèrent un peu mieux Rodney et Kolya passa une main sur les fesses de Rodney passant sous le caleçon. Rodney pâlit et John ne pu que crier des insultes à leur tortionnaire.

Kolya, en allant vers la porte : " qu’il en soit ainsi. J’accepte votre marché, Dr McKay. Vous allez remplacer Teyla et devenir mon esclave. "

Il fit signe à d’autre soldat. Ils entrèrent et détachèrent Teyla. Puis, Rodney fut poussé à ça place et fut attaché. John le regarda, les yeux remplis de larmes. Mais il ne pouvait pas lui crié qu’il l’aimait et qu’il ferait tout pour ne pas que cet ordure ne le touche et ne lui fasse du mal. Il ne pu que le regarder dans les yeux. Teyla et John furent emmenés dans une autre pièce. Rodney regarda droit devant lui et regarda le corps de Ronon. L’obscurité envahit l’autre pièce. Il avait eut une très bonne idée là. Il avait encore ouvert sa grande gueule pour sauver son amie, une femme des mains de Kolya, comme pour Elizabeth et il allait payer le prix de son audace. Mais il avait eut raison. Il ne voulait pas qu’elle soit son esclave. Il préférait l’être à sa place. Elle ne méritait pas ça. Mais lui est – ce qu’il le mérité ? Non. Pas plus que Ronon. La porte s’ouvrit une nouvelle fois. Kolya entra et la porte se referma. Il déglutit face à la peur qui l’envahissait. Kolya se colla légèrement à lui et ses mains prirent le caleçon. D’un coup sec, il le déchira dévoilant son sexe.

Kolya, l’air intéressait : " mmmhhh !!!! Très intéressant tout ça. Avec vous deux je n’aurais pas à me plaindre de vos attributs. "

Il emprisonna son sexe dans sa main et le serra légèrement. Rodney ferma les yeux et prit une grande et profonde inspiration. L’autre main de son tortionnaire passa sous son Tee – Shirt et s’arrêta sur un téton. Il le prit entre ses doigts et le pinça avec force. Rodney ne pu retenir un gémissement.

Kolya : " est – ce que ton amant est aussi adepte de ça ? "

Il planta son regard sur les paupières fermées qui s’ouvrirent aussitôt.

Kolya : " pas la peine de me le cacher, je sais que vous êtes l’amant de Sheppard. ( une lueur de panique passa dans le regard bleu ) Je l’ai vu aussitôt. Je l’ai vu paniqué quand ma main est passée sur vos fesses tout à l’heure. "

Pour finir cette discussion, il lécha le téton et repartit. Il revint dix minutes plus tard avec John nu lui aussi les mains toujours attachées dans son dos. Les soldats le poussèrent à l’intérieur et Kolya le suivit avec un pas assuré.

Kolya : " maintenant que vous êtes de nouveau réuni, ( en regardant John ) je voudrais que vous me montriez comment est – ce que vous vous y prenez pour le faire jouir. "

Un duel de regard commença et Kolya le brisa en éclatant de rire.

Kolya, en poussant John vers Rodney : " de toute façon, vous n’avez pas le choix. Je vous laisse le prendre une dernière fois avant qu’il ne m’appartienne. Une sorte d’au revoir. "

John et Rodney se regardèrent sans bouger.

Kolya, en se collant contre le dos de John : " ah c’est vrai. ( il sortit son couteau et le passa sur les liens de John ) comme ça se seras plus facile, n’est – ce pas ? "
John, en prenant enfin la parole : " si vous voulez vraiment qu’on fasse l’amour une toute dernière fois, il faudrait aussi le libérer. "

Kolya resta silencieux détaillant le dos de John. Il finit par accepter. Mais il remplaça les attaches par une centrale autour de son cou comme celle Ronon. Puis, il se cala contre un mur et les regarda.
Rodney se jeta dans les bras de John, le corps secoué par de violents tremblements. John le caressa en douceur et lentement.

John, en murmurant à son oreille : " je sais que tu ne veux pas le faire, mais on n’a pas le choix. Si on n’obéit pas à son ordre, j’ai peur….."

Il ne pu finir sa phrase, les lèvres de Rodney capturèrent les siennes. John comprit. John le comprit.

Rodney, en brisant le baiser : " fais – moi jouir comme jamais, John. "

John passa ses mains sur ses joues avec une infinie douceur. Son visage s’éclaira d’un léger sourire triste et il l’embrassa à son tour. Ils savourèrent ce baiser. John délaissa ses lèvres et une pluie de baisers tomba sur la peau de son amant. Rodney avait les yeux fermés et il savourait cet acte comme si c’était leur première fois. Il imprima dans sa mémoire cette scène faîtes que de sensations. John les poussa jusqu’au mur et se colla contre Rodney. Il descendit toujours plus bas pour finir à genoux devant le sexe durcit par l’excitation. Il titilla avec sa langue le gland et finit par le prendre entièrement en bouche, jouant toujours avec sa langue sur le bout du sexe. Rodney trembla de tous ses membres et s’agrippa à la chevelure de John avec force. Petit à petit, John l’amena vers le sol tout en continuant de lui donner du plaisir avec sa bouche. Il l’allongea du mieux qu’il pu et remonta se mettant face à lui. Ils s’embrassèrent et les doigts de John se faufilèrent entre ses fesses. Il le prépara et finit par le prendre.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Kolya se délecta du spectacle. La douceur de Sheppard et la façon dont McKay la recevait lui donné du désir. Il passa sa main sur son sexe. Il était dur comme jamais. Il pensa aussitôt à Ronon. Juste après qu’ils aient jouis, il les laisserai et irai auprès de son nouvel esclave.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Leurs corps s’arquèrent d’un seul mouvement et ils haletèrent l’un sur l’autre. Kolya se releva sans bruit, marcha jusqu’à la porte et après leur avoir jeté un dernier coup d’œil, il partit voir Ronon.


à suivre................

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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 12 Mar 2008 13:08 
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:bravo:

bonjour, brrr elle fait froid dans le dos ta fic.

bon je t'accorde un bon point parce que c'est une john / rodney un de mes couples préférer.

en croisant les doigts pour que tout s'arrange je passe par la case radotage

:suite: :suite: :suite:

haty74

:hola: :hola:

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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 19 Mar 2008 21:45 
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P.S. : J'ai écrit pire que cette fic et je trouve qu'elle est plutôt gentillette comparait à " La vengeance des trois roi mages " par exemple.

¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Carson arriva et vit son ami inconscient sur le sol de la salle d’embarquement.

Carson, en jetant des coup d’œil à John : " que s’est – il passé ? "
John, la voix légèrement paniqué : " il a reçu un tir paralysant, comme celui de l’arme de Ronon et il est restait inconscient. "
Carson : " depuis combien de temps ? "

John réfléchit et resta silencieux ce fut Teyla qui répondit.

Teyla : " environ 20 minutes, Dr Beckett. "
Carson, en murmurant et en fessant signe à son personnel : " okay. "


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Quelques minutes plus tard, SGA – 1 vint aux nouvelles. Mais malheureusement rien n’avait changé. Carson l’avait examiné et avait constaté que le tir qu’avait reçu Rodney était un peu spécial. En fait, Rodney était entre le sommeil et le coma. Il laissa le reste de l’équipe aller au chevet de leur ami. Peut – être qu’avec leur présence à ces côtés, il y aurait du changement. Il avait vu la panique dans le regard du colonel et il commençait à comprendre le lien qu’il y avait entre eux. Au moins, ils n’avaient pas perdu leur chance comparait à lui. Il soupira et s’enferma dans son bureau.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il se réveilla et contempla le visage rosit de son amant. Il ne pu pas faire d’autre mouvements. Trois soldats entrèrent et le poussèrent vers la sortie, laissant Rodney dans l’obscurité, dans le froid derrière lui. Rodney se réveilla sous les cris de douleur venant de Ronon. Il l’avait reconnu aussitôt. Il se redressa et paniqua. Il regarda autour de lui et passa ses mains sur le sol. Rien. Personne. On lui avait enlevé. On lui avait arraché son seul refuge pour qu’il tienne cette épreuve.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Teyla, Elizabeth, Ronon et Radek étaient partis le laissant enfin seul avec son amant. Il entendit l’arrivé de Beckett.

Carson, en murmurant : " j’ai demandé à un infirmier de vous apporter un plateau repas et ( il montra ses bras ) je vous apporte une couverture avec un oreiller. "
John, en le regardant : " merci, Carson. "
Carson : " je vais vous aider à vous installer auprès de Rodney. "

John se leva et ils poussèrent le lit d’à côté contre celui qu’occupé Rodney. Ils mirent la couverture et l’oreiller à leur place et ils finirent par se regarder.

Carson, en murmurant la voix douce : " il s’en sortira. Avec vous et les autres, il arrivera à s’en sortir. "

John le remercia d’un hochement de tête. L’infirmier arriva et déposa le plateau sur la table à roulette près de John et repartit.

Carson, en prenant un pan du rideau : " à demain, John. "

Puis, il les sépara en tirant le rideau entièrement autour d’eux. Il s’installa sur le lit en position assise, prit la main de Rodney dans la sienne et commença à manger.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Rodney ouvrit les yeux. Il chercha du regard, mais ne vit rien pourtant cette sensation qu’il avait à la main ne le quittait pas. Comme si quelqu’un lui tenait la main. Il la leva et la regarda longuement. Pourquoi est – ce qu’il sentait cette présence contre lui ? Un murmure lui vint à l’oreille et il sursauta. C’était la voix de John. Comment est – ce que c’était possible ? Malheureusement, il ne comprit pas les mots que murmurait la voix douce de son amant.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il venait tout juste de finir de lui parler que le rythme cardiaque de Rodney s’affola. Quelques minutes plus tard, Carson arrivait.

Carson, en examinant Rodney : " que s’est – il passé ? "
John, en paniquant : " je lui ai juste prit la main et je lui ai parlé à l’oreille. C’est tout. "
Carson, en le calmant : " ne vous en faîtes pas, John. Il commence à réagir. Il a pu vous entendre et peut – être vous sentir près de lui. Alors je vous demande de continuer à être près de lui et à lui parler. "

John soupira de soulagement et accepta l’ordre médical de son ami.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il sentit de nouveau cette présence. Il pensa que c’était John, car il aurait pu reconnaître cette étreinte entre milles. Il le sentit le serrer contre lui et une chaleur l’envahit avec tendresse. Alors qu’il sombrait petit à petit dans le sommeil, Kolya fit son entrée. Rodney se releva d’un coup et se colla le plus possible au mur, comme s’il pouvait lui échapper de cette façon. Ce dernier sourit et entra. Rodney ne remarqua pas sa tenue légère trop occuper à contenir sa peur. Kolya s’avança vers lui avec une démarche de félin. Sa proie était mûre à souhait. Il se colla avec empressement sur son corps le fessant frissonner de peur. Ses mains partirent à l’exploration de son corps. Il se sentait salit. Il se sentait désemparé. Tout d’un coup, la voix de son amant se fit de nouveau entendre.

John, en murmurant à son oreille :" calme – toi ! Calme – toi Rodney ! Tu es sur Atlantis. Tu es à l’infirmerie et je suis là près de toi, tout près de toi. Je t’en prie réveille – toi. Reviens – moi. "

Rodney fronça les sourcils. Ces propos étaient incohérents. Comment pouvait – il se réveiller alors qu’il était déjà réveillé ? Il ne comprenait plus rien et cet ordure qui le caresser de plus en plus avec passion. Il soupira, ferma les yeux et balança sa tête en arrière.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il était en pleurs serrant le corps de Rodney dans ses bras.

John, en sanglotant : " comment veux – tu que je dessine si tu n’es plus auprès de moi pour voir mes toiles ? Pourquoi a – tu voulu protéger cette femme ? Je t’aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime……"

Carson entra dans l’infirmerie et entendit la litanie de John. Il fit circuler son personnel qui s’était arrêté pour l’entendre et il le rejoignit.

John, en le voyant : " pourquoi est – ce qu’il ne se réveille pas, Carson ? Ça fait plus de 2 jours qu’il est dans cet état. "
Carson, la voix douce : " ce tir provoque un rêve pour la personne qui le reçoit. Il lui faut le temps de comprendre se qui se passe. Car il a beau entendre votre voix, ( John le regarda surpris ) Je sui persuadé qu’il vous entend et sens votre présence, il vit une histoire pas comme quand on est dans le coma. "

John resta silencieux. Il devait redoubler d’effort pour le faire revenir et pour qu’ils vivent enfin leur amour au grand jour. Il avait déjà dit deux mots à Elizabeth et elle avait accepté leur relation, ainsi que Teyla, Radek et Ronon. Il ne manquait plus qu’il se réveille pour qu’il lui demande son accord pour le dire à la cité entière. Il sentit Carson l’ausculter et le regarda en haussant les sourcils.

Carson, en continuant de faire son travail : " il faut bien que je fasse voir que vous êtes malade à mon personnel et aux autres malades. Déjà qu’ils me posent des questions sur le fait que je vous isole avec Rodney du reste de l’infirmerie, alors……"

John lui sourit et le laissa finir son examen.

Carson, en partant : " il faudrait qu’on est une petite conversation, John. Je ne veux pas que Rodney souffre par votre faute. "

John resta immobile resserrant Rodney contre lui. Comment a – t – il pu le savoir ? Son regard se posa sur le visage pâle de son amant.

John, en parlant à lui même : " qu’est – ce que tu peux bien vivre dans ton rêve ? Tu es si pâle. "


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il sentit l’étreinte imaginaire se resserrer et les pleurs continuèrent contre son oreille. Etait – il possible qu’il rêve tout ceci ? Mais c’est si réel. Kolya l’avait allongé et commençait à titiller son sexe avec sa langue. Rodney soupira sentant son sexe réagir à ces caresses. Mais d’autres caresses s’additionnèrent à celles de Kolya. Elles étaient très douces et très reconnaissables pour lui. Il se concentra sur celles – ci et réalisa que depuis le début tout ceci n’avait aucun sens. Comment est – ce que Ronon pouvait – il ne pas réagir ? Et comment Kolya pouvait – il avoir envie de lui alors qu’il le détestait, qu’il le haïssait ouvertement depuis le début de leur rencontre alors pourquoi ?


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


John fut poussé par Carson qui vu l’état des battements de cœur de Rodney voyait que le rêve dans lequel il était plongé n’était pas que du plaisir.

Carson, en appelant John à ces côtés : " continuez de lui parler. Il commence à faire la distinction entre le rêve et la réalité. "
John, en murmurant : " je ne sais plus quoi lui dire ? "
Carson : " vous l’aimez et il vous aime, alors racontez lui votre première fois n’importe quoi, mais parlez – lui. Il ne faut pas qu’il abandonne, il est tout proche du réveil. "

John prit une profonde inspiration et se lança. Il raconta comment il était tombé amoureux de lui et comment il a eut le courage de lui faire sa déclaration le jour de la saint valentin. Il était tellement prit dans son récit qu’il ne vit pas Rodney ouvrir les yeux et se jeter sur lui en le serrant très fort.

Rodney, en murmurant à son oreille : " c’était l’un des plus beau jour de ma vie, John. "
John, en réalisant : " Rodney ? "
Rodney, en l’embrassant à pleine bouche : " oui. "

Carson sourit comme jamais. Il était si heureux de les voir ainsi que son passé amoureux lui revint comme un boomerang. Il se mit à pleurer et s’asseyat sur un lit. Il ne pouvait plus faire le moindre geste, c’était trop dur. Il pensait quand acceptant ce poste, loin d’elle il réussirait à l’oublier mais non. Elle était bel et bien là avec lui 24 h / 24 comme avant. John et Rodney le regardèrent et finirent par se séparer. John pensa tout de suite que Carson avait des sentiments pour Rodney alors que ce dernier savait la raison de ces pleurs. Il s’asseyat à ces côtés et il le prit tendrement dans ses bras. John commença à bouillonner de colère.

Carson, en hoquetant : " elle me manques tellement. "
John releva le " elle " et soupira de soulagement. Il avait eut tord. Carson pleurait pour une femme.

Rodney, en le calmant : " ce n’est pas de votre faute, Carson. Vous ne pouviez rien faire d’autre que rester à ces côtés et à l’aimer jusqu’à la fin. "
Carson, en s’énervant : " non, Rodney. J’aurais pu continuer de chercher, j’aurais pu la sauver. "
Rodney, toujours calme : " et est – ce que vous auriez pu être là quand elle est morte. Elle serait peut – être morte seule. Alors qu’en restant auprès d’elle, vous lui avait fait le plus beau des au revoir. Il y a plein de belles femmes ici qui voudraient vous rendre heureux avec leur amour pour vous. "
Carson, releva la tête et se sépara de lui avec intérêt : " et qui à votre avis ? "
Rodney, sourit intérieurement : " comme par exemple la jeune infirmière qui vous suit presque partout ou bien Teyla qui a un léger penchant pour vous et bien d’autre. "

Carson le prit par les bras et le secoua comme un prunier.

Carson, tout excité : " Teyla vous en êtes sûr ? C’est pas des blagues ? "
Rodney, en l’arrêtant : " non, Carson. Ce n’est pas une blague que je vous fais. C’est la vérité. Elles attendent toutes que vous vous décidiez à faire le premier pas. Certes quand vous aurez choisit la femme de votre vie, il y auras quelques tensions, mais je suis sûr que vous pourrez remettre tout ça en ordre. "
Carson, en murmurant : " Teyla ????? Mais je croyais qu’elle en pinçait pour Ronon. "
Rodney, en rigolant : " si elle pouvait un peu plus se blesser pour être sous vos mains expertes, elle le ferait. Elle n’attend plus que vous vous décidiez à aller la voir. "
Carson, en se levant : " et j’y vais de ce pas. "

Il se leva passa sa manche sur son visage, marcha et arrêta un infirmier et sortit de l’infirmerie décidé à ne pas laisser passer sa chance avec cette magnifique Athosienne.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Quelques jours plus tard, John et Rodney avaient révélé leur relation à tous les habitants de la cité. Ils pouvaient montrer leur amour au grand jour et en étaient soulagé. John avait eut le temps de faire une petite toile pour le tout nouveau couple de la cité et il était devant la porte des quartiers de son amie. Il frappa trois coups et attendit. Un visage rayonnant lui ouvrit. Il entra et posa la toile sur la table.

Teyla, en murmurant : " qu’est – ce que c’est ? "
John, en regardant dans le lit : " c’est un petit cadeau pour Carson et vous. Je l’ai peins pour vous deux. J’espère qu’il vous plaira. "

Il découvrit la toile et Teyla resta bouche – bée. Sur la toile était représentait deux personnes. Carson et elle. Ils étaient enlacés tendrement, leurs lèvres jointes, les yeux fermés sous un soleil couchant, donnant un aspect féerique à ce moment. Son regard glissa et s’arrêta dans un coin. Elle lu le petit mot qu’avait écrit John et sourit.

Teyla, en murmurant : " merci, John et remerciez Rodney pour avoir donner du courage à Carson. "
John, en la prenant dans ses bras délicatement : " de rien. Vous étiez fait pour vivre ensemble. "

Il se détacha de son amie et sortit.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il était accoudé au balcon et son regard brillait face à l’océan. Il n’avait pas encore parlé de son rêve à John et à personne d’autre d’ailleurs et ça commencé à lui peser long sur le cœur. Il contacta son amant par radio et lui donna rendez – vous sur le balcon. Quelques minutes plus tard, il arriva.

Rodney, en murmurant : " il faut que je te parle de mon rêve ou plutôt de mon cauchemar. "
John, en murmurant : " tu veux en parler ici ? "
Rodney, en le regardant : " non. Je t’ai fais venir ici pour ça. "

Il combla l’espace entre eux et l’embrassa avec passion. Leurs bras se refermèrent sur le dos de l’autre et ils se serrèrent appréciant ce moment. Une légère bise les fit réagir. Ils se séparèrent et allèrent dans les quartiers de Rodney. John resta debout et Rodney commença à faire les cents pas en se triturant les doigts. Il finit par raconter tout ce qu’il avait entre guillemet vécu.

Rodney, en s’arrêtant et en le regardant droit dans les yeux : " j’ai cru que c’était la fin. J’ai cru qu’on ne pourrait plus jamais être ensemble que Kolya allait te tuer et qu’il me violerai jusqu’à ce que je meurs. "

John le prit tendrement dans ses bras et le berça en douceur.

John, en murmurant : " tout est fini maintenant. Essayons d’oublier tout ça. "

Il l’embrassa et ses mains dérivèrent sur ses fesses. Rodney sursauta et se dégagea de l’étreinte pour finir par lui tourner le dos. Depuis son réveil, ils ne fessaient que s’embrasser. Il refusait d’aller plus loin et refusait aussi qu’ils se douchent ensemble. Il ne voulait qu’être prit dans les bras offrant ses lèvres et interdisant la moindre caresse sur son corps. Et maintenant qu’il savait, il le comprenait.

John, en le reprenant dans ses bras avec timidité : " je suis désolé. "
Rodney, en le suppliant : " promets – moi de le tuer. Promets – moi de le tuer sans te poser de questions. "

John lui souffla sa réponse aux creux de son oreille et reprit la berceuse. Ils finirent par s’allonger sur le lit et Rodney s’endormit aussitôt. Malgré les deux jours et demi qu’il avait passé à dormir, il était le premier à s’endormir et le dernier à se réveiller.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Cela fessait un mois jours pour jours que tout ceci c’était passé et aucun changement venant de Rodney. John désespérait. Il était devant le bureau de Carson et frappa trois coups. Ce dernier l’autorisa à entrée. Il le suivit du regard jusqu’à ce qu’il s’assoit lourdement sur la chaise face à son bureau.

John, en murmurant : " Teyla m’a annoncé la bonne nouvelle. Toutes mes félicitations, Carson. "
Carson, en rougissant légèrement : " merci, John. Ça c’est passé si vite que je n’en reviens pas. "
John, en le regardant : " vous allez être père Carson et ce n’est pas donné à tout le monde ici. "
Carson, en s’effondrant dans son fauteuil : " oui. Et pour Vous, ça se passe comment ? "

Face au silence qui lui répondait, il comprit.

Carson, en murmurant : " il faut le confronter, John. Si vous ne faîtes rien, il continuera à vous repousser. Faîtes lui comprendre que ce n’était qu’un cauchemar et que vous êtes là pour le lui faire oublier. "

Il ouvrit un tiroir et en sortit une boîte de préservatifs et un tube de lubrifiant.

Carson, en les tendant à John : " montrez lui ceci et il comprendra. "

John accepta les présents de Carson et se releva.

Carson, la voix douce : " faîtes – le, le plus vite possible. Ça que trop duré. "

John le remercie en hochant la tête et il partit rejoindre son amant dans ses quartiers. Il était encore dans le lit fessant semblant de dormir. Il s’allongea contre lui et commença à le caresser avec lenteur et douceur. Rodney ouvrit les yeux en grand et se figea. John vit qu’il ne le repoussait pas. Il en fut ravi et continua. Un gémissement sortit des lèvres de son amant. Il le regarda et vit un visage rosit par le plaisir, les lèvres entre – ouvertes et le souffle court. Il l’embrassa et Rodney se retourna complètement face à lui. Il sentit le sexe de John contre lui et s’immobilisa.

John, en le remarquant : " Je t’aime, Rodney et je n’en peux plus de te voir comme ça. Je n’en peux plus de ne plus pouvoir te caresser, t’embrasser sur tout ton corps. J’ai envie que tu redevienne comme avant. Tu avais tant de passion et d’amour. Tu me manques. "

Rodney avait les larmes aux yeux. C’était vrai tout ce qu’il disait. Cela fessait un mois qu’ils n’avaient pas fait l’amour tout les deux et il savait que John ne pouvait plus tenir aussi longtemps avec lui dans ses bras.

Rodney, en caressant la joue de John : " tu me manques toi aussi, mais….. "

John mit un doigt sur ses lèvres et lui fit signe de se taire. Il déposa ses lèvres sur son cou et continua à l’embrasser croisant les doigts pour que Rodney finisse par accepter ce qui lui proposait.
Sa radio grésilla. John pesta et se releva pour prendre la communication. Son regard s’illumina au fur et à mesure qu’il écoutait Elizabeth.

John, en se retournant vers Rodney : " SGA – 3 a capturé Kolya. Elizabeth les autorise à le ramener ici. "

Rodney se redressa et embrassa à pleine bouche son amant. Le moment de sa délivrance était arrivé.

Rodney, en se levant et en courant dans la salle de bain : " attends – moi. "

Il se prépara à la vitesse de la lumière.



à suivre..........

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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 20 Mar 2008 11:21 
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ouf un rêve ! un mauvais rêve !

tu es un peu sadique qu'en même, obliger John à attendre comme ça. enfin je ne peux dire qu'une chose

:bravo: :bravo: :bravo: :bravo:

et pour "la vengeance des trois rois mages" tu sais ce que j'en pense je l'ai posté à la suite de la fic.

un dernier mot pour finir

:suite: :suite: :suite:

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:hola: :hola:

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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 27 Mar 2008 23:53 
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P.S. : voilà une petite suite.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Il était enfermé dans la cellule et attendait debout, bras croisait sur sa poitrine que quelqu’un vienne le voir. Sheppard et McKay, juste derrière lui, arrivèrent. Il remarqua que le scientifique se cachait derrière le colonel. Sa curiosité fut piquée par cette attitude. Il n’avait jamais vu McKay aussi apeuré en sa présence.

John, en s’approchant de la cage : " j’espère que vous avez appréciez le voyage et que notre chambre d’hôte vous plaît. ( Kolya commençait à s’énerver. ) Bien ! J’ai promis à quelqu’un qui mets très cher de vous tuer et je compte bien tenir ma promesse. "

Il prit son arme qui était dans son pantalon contre ses reins et l’enclencha. Rodney finit par se montrer et se plaça face à John, tournant le dos à leur ennemi.

Rodney, en murmurant : " tu sais que si tu le tue dans ses conditions tu ne pourras pas échapper à la cour martiale. "
John, en le regardant droit dans les yeux : " si c’est la seule solution pour que tu redevienne comme avant, je suis prêt à risquer ma carrière. "
Rodney, en passant une main sur la joue de John : " j’ai peut – être une idée. "

Il partit vers la porte et démonta le boîtier. Il bloqua l’ouverture et il déconnecta les caméras. Il passa un appel radio, disant qu’il ne fallait pas que quelqu’un vienne par ici et qu’il se chargerai d’arranger tout ça. Elizabeth accepta avec un pincement au cœur. Elle savait très bien que si elle accepté cette demande, elle risquait de revoir Kolya bel et bien mort. Rodney se remit face à John.

Rodney, en lui murmurant à l’oreille : " fais – moi l’amour devant lui. Prends – moi, John ! "

John lui lança un regard paniqué.

Rodney, en montrant le boîtier de la cellule : " il y a plusieur fonctions dans la sécurité de la cellule. "

Il alla vers le boîtier avec John à ces côtés. Il appuya sur un bouton et se retourna le sourire aux lèvres.

Rodney, en murmurant : " et voilà. "

John le regarda surpris.

Rodney, en regardant Kolya : " on ne peut plus l’entendre. Il peut nous voir et nous entendre, mais nous, on ne peut ni l’entendre et ( en regardant John ) ni le voir si tu veux. "
John, la voix remplit de panique : " mais si il nous voit, il pourra jouer sur notre relation pour avoir tout se qu’il veut. "
Rodney, en déposant ses lèvres sur les siennes : " chaque chose en son temps. "

Il jeta un regard noir et remplit de haine à Kolya et appuya sur un autre bouton. La cellule fut entourée d’un manteau noir, comme si des rideaux avaient été tirés. Rodney prit l’arme de John, mit le cran de sécurité et la posa sur le sol. John resta immobile. Rodney défit sa veste et la fit glisser sur le sol avec lenteur et continua à déshabiller son amant toujours ses yeux noyés dans les siens. Puis, il fit de même avec ses vêtements. John déglutit. Son regard partit sur la peau de son amant. Rodney se colla à lui et il l’embrassa avec passion et envie. John réagit aussitôt. Il l’encercla avec ses bras et le serra fortement contre lui pressant leurs sexes l’un contre l’autre.

John, en brisant le baiser : " tu veux vraiment ? "
Rodney, en murmurant : " j’ai beaucoup trop attendu. Tu as été tellement patient envers moi que je t’aime encore plus. Je veux que les derniers moments qu’il vive soi notre acte. "

John refoula la question qui lui brûlait les lèvres et passa à l’acte.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Kolya n’en revenait pas. Sheppard et McKay ? Ensemble ? Il cria le nom de John, mais n’obtint aucune réponse et aucun regard vers lui. Il recommença et le résultat fut le même. Il ne pu que les regarder. Il détailla le corps musclé de Sheppard et celui de McKay qui n’était pas si rond que ce qu’il avait pensé, bien au contraire. Leurs mains s’activèrent sur leurs peaux. Il les entendit gémir et il déglutit avec difficulté. Quand Sheppard porta le corps de McKay et que ce dernier noua ses jambes sur les hanches de son amant, il ne pu que gémir.


¤¤¤¤¤¤¤¤


John titilla l’intimité de Rodney ainsi que l’un des tétons avec sa bouche. Il pénétra deux doigts à l’intérieur de lui et fit un léger va et vient. Il fut surpris de voir qu’il était déjà détendu et prêt à l’accueillir. Il plaça son sexe à l’entrée et le pénétra avec lenteur, appréciant cet instant. Rodney grogna et s’agrippa fortement à la nuque de John. Quand, il fut en lui, il bougea son bassin d’avant en arrière et John le fit bouger sur son sexe en prenant ses fesses à pleine mains. Rodney n’en pouvait plus. Il grognait de plus en plus.

Rodney, en murmurant à son oreille : " changeons de position. "

John s’arrêta et Rodney posa ses pieds sur le sol. Il se retourna, écarta légèrement ses jambes et prit appuie avec ses mains sur ses genoux. John se délecta du spectacle qu’il avait en face de lui et le pénétra d’un seul coup. Il reprit ses va et vient et toucha la prostate de son amant. Il emprisonna son sexe et ils finirent par jouir criant à l’unisson leurs prénoms. Ils s’allongèrent à même le sol et somnolèrent quelques instants.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


John le regardait et il s’inquiétait de son état. Certes, il avait accepté qu’il le touche, mais son regard glissa sur la cellule. Il les fit rouler et cacha le corps dénudé de son amant aux yeux de leur ennemi. Ce dernier s’était assis et les regardait. Il n’avait jamais pensé qu’ils soient tout les deux ensemble. Surtout qu’ils étaient de métier différent. Un militaire et un scientifique. Un corps musclé et un corps rondouillard. Deux passionnés. Ses pensées s’arrêtèrent. McKay se réveilla. Son regard bleu foncé assombrit par le plaisir se noya dans celui de son amant. Il pu y lire le même sentiment. Il lui sourit et passa une main sur sa nuque.

Rodney, en murmurant : " merci. Merci d’avoir était si patient avec moi. "
John, en murmurant lui aussi : " je suis heureux que tu ne mets pas jeté à la place de m’interdire de te toucher. ( en lui caressant la joue ) Je ne l’aurais pas supporté. "
Rodney, en s’asseyat : " allons nous occuper de notre prisonnier. "

John se leva et récupéra leurs vêtements. Ils s’habillèrent et John le couvrit à la vue de Kolya.

John, en le regardant : " que comptes – tu faire de lui ? "
Rodney, en allant vers le boîtier de commandes de la cellule : " je vais lui donné ce qu’il mérite. "

Il remit la cellule en mode basique. Il reprit l’arme de John et lui tendit.

Rodney, en le regardant droit dans les yeux et la voix sûre : " tu as une promesse à tenir. "

John prit l’arme et enleva la sécurité.

John : " et pour la caméra de sécurité ? "
Rodney, en prenant son ordinateur : " je m’en occupe. Dès que je serai prêt, tu pourras passer à l’acte. "

Il se mit à pianoter nerveusement sur le clavier et quelques minutes plus tard, il avait terminé. Il relia son ordi à la caméra et fit signe à John que c’était bon. John désactiva le champ électrique et pointa son arme. Rodney ouvrit la porte de la cellule et John le fit sortir en le menaçant de son arme. Kolya obéit sagement. Son regard était toujours accroché à Rodney.

John, en le regardant : " Si vous tentez quoi que se soit……"

Il n’eut pas à finir sa phrase. Kolya se rua sur Rodney et John lui tira en plein cœur. Rodney resta immobile son regard noyé dans celui de Kolya. Ce dernier tomba et s’écroula sur le sol. John se précipita sur Rodney, le prit dans ses bras et le retourna. Suite au coup de feu, une équipe de quatre soldats accoururent, armes aux points. Ils s’immobilisèrent en voyant le corps inerte de Kolya effondré sur le sol. John ne se préoccupa pas de lui et encore moins de ses soldats. Il partit, mit le sac de Rodney sur son épaule et l’amena à l’infirmerie. Il cria le prénom de Carson. Ce dernier sortit en trombe de son bureau et accourut près d’eux.

John, en installant Rodney sur un lit : " Kolya a tenté de s’échapper et de prendre Rodney en otage. Je n’ai pas eus d’autre choix que de le tuer. Il était face à lui. "
Carson, en murmurant : " Okay. Vous pouvez nous laisser seuls. Je dois l’ausculter. "

John obtempéra et alla s’asseoir sur un tabouret à proximité. Les derniers événements lui revinrent en mémoire. Il n’avait jamais pensé faire l’amour avec un spectateur tel que Kolya. Il frissonna en pensa à son regard. Il fut rejoint par Carson.

Carson, la voix douce : " il va bien. Il est juste un peu choqué par l’acte de Kolya, mais à par ça. Tout va bien. ( John soupira ) Et vous ? Comment vous sentez – vous ? "
John : " vous savez un mort de plus ou de moins à mon actif, alors……Et puis, avec tout le mal qui nous a fait, il l’a bien mérité. "
Carson, en posant une main sur son épaule : " bien. Vous pouvez partir avec Rodney. Il faut que je me prépare à recevoir le corps de Kolya. "


à suivre..............

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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 28 Mar 2008 18:45 
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Slash ou non, telle est la question...
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Je suis devenue totalement accros à cette histoire, j'avais déjà lu les chapitres qui suivaient mon premier message, mais comme je suis plutôt tête en l'air, j'ai complétement oublié de dire à quelle point cette histoire est magnifique :heart: :heart:
Cette fois c'est fait, alors BRAVO :bravo: :bravo:

Vivement :suite: :suite:

valbone :ange:

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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 31 Mar 2008 00:01 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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P.S. : je vous mets une toute petite suite. Espérant que l'inspiration me revienne........


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il avait changé. Oui. Maintenant, il avait changé. Il était plus comme avant et plus comme après son cauchemar. Il était devenu un autre Rodney McKay. Il était devenu une véritable bête de sexe. Non pas que ça lui déplaisait, mais il était crevé. Tous les soirs et maintenant de temps en temps en mission quand ils le pouvaient ils baisaient. C’était le mot. Ils ne fessaient même plus l’amour comme il l’entendait. C’était devenu une question de survie pour Rodney. Justement, il entrait dans ses quartiers. Alors qu’il allait lui dire deux mots sur son comportement, Rodney s’effondra sur le lit, le regard triste. Il se leva et le prit dans ses bras en douceur.

Rodney, en un murmure : " je crois que j’ai un problème. ( le visage de John s’illumina, mais il ne dit rien. On ne savait jamais avec lui ) Je pense qu’il faut qu’on arrête de se voir. ( John le resserra un peu plus ) jusqu’à se que ma libido redevienne comme avant. Ça m’enchante pas, mais à chaque fois que je me retrouve seul avec toi, je craque. "
John sourit faiblement. Il le fit se retourner et déposa délicatement ses lèvres sur les siennes. Leur yeux se noyèrent et Rodney repartit.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Comme il l’avait prévu, son sevrage fut long et fastidieux. Dès qu’il se retrouvé seul, il pleurait et au début se masturber pour se libérer de cette tension quotidienne. Mais quand, il dépassa ce stade, il fut heureux. Ses pleurs lui permettaient de réaliser qu’il était éperdument amoureux de John. Le plus dur fut de ne pas replonger en sa présence. Bref, cela fessait un mois qu’ils ne s’étaient pas retrouvés seuls dans l’un de leurs quartiers.

Il était devant la porte des quartiers de John. Il attendait d’avoir un peu plus de courage pour frapper à cette porte. Il savait que durant une mission, il avait craqué pour une aliène. Mais qui pouvait lui en vouloir, peut – être lui. Oui, il s’en voulait et il lui en voulait. Il prit une profonde inspiration, ses épaules tombèrent et il fit demi – tour. Il heurta quelqu’un. Cette personne n’était autre que John. Ce dernier l’avait vu. Il poussa son ami, sa muse, son amant jusqu’à la porte de ses quartiers. Il l’ouvrit et la referma derrière eux. Le visage de Rodney se réfugia contre sa poitrine et John le serra dans ses bras. Il les poussa jusqu’au lit et ils s’allongèrent en douceur. Rodney releva son visage lentement et leurs lèvres s’unirent. Après le baiser, les mains de John se posèrent sur les joues rosit de Rodney.

John, en murmurant : " tu m’a manqué, tu sais. "

Rodney ferma les yeux, soupira et entre ouvrit ses lèvres.

Rodney, en un murmure : " je t’aime. "
Ses mains prirent vie et caressèrent les bras et le dos de son amant.

Rodney, en le regardant dans les yeux : " fais – moi l’amour. "
John, en l’embrassant : oui, mais qu’une seule fois pour aujourd’hui. "

Ils se sourirent et commencèrent à se dévêtir l’un l’autre.


à suivre..................

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 Sujet du message: Re: Artiste, SGA, John&Rodney, PG - 13
MessagePosté: 25 Mai 2008 10:24 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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P.S. : j'espère que la suite de cette fic vous plaira autant que le début. Elle va devenir un peu plus noire.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Oui. Ils l’avaient fait qu’une seule et unique fois et cette fois – là fut longue et épuisante. Mais il avait vraiment eut besoin de le faire. Un mois. Cela fessait un mois qu’ils ne l’avaient pas fait ensemble. Et oui, car lui il avait craqué sur une aliène et il avait fait la totale.
Du baiser jusqu’au lit. Tout ça parce qu’il pensait qu’il ne le reverrait plus de toute sa vie. Il aurait du penser que Rodney ferait tout pour le retrouver et c’est ce qu’il avait fait. La lueur qu’il avait vue dans son regard lui avait fait mal, très mal au fond de lui. Il se leva lentement en le regardant. Il réussit à se lever sans même le réveiller. Il soupira et se dirigea d’un pas lourd vers la salle de bain. Il se passa plusieurs fois de l’eau tiède sur le visage et revint dans sa chambre. Tout en le regardant, ses pas le menèrent vers une toile qu’il avait commencée, le soir même où Rodney lui avait dit qu’ils devaient prendre un peu de recul. Il avait fait l’esquisse du corps de son amant et maintenant, il ne lui restait plus qu’à le mettre en couleurs. Il dévoila le tableau. Il le souleva et le mit devant son lit en réfléchissant sur l’effet d’ombres et de lumières. Il détailla son amant. Il était pratiquement nu, allongé sur le ventre ses deux bras relevés au dessus de sa tête. Son visage était tourné vers la fenêtre, les cheveux en bataille. Le drap avait été rejeté à l’intérieur du lit ne laissant que la partie inférieure de l’une de jambe recouverte par le drap. Ces jambes étaient légèrement ouvertes laissant entrevoir un morceau de son sexe, plus précisément ses testicules. Il avait remarqué qu’il avait perdu du poids, mais en voyant ses deux petites fesse rondes et les cuisses bien dessinées, il fut choqué de voir qu’effectivement, il avait du faire du sport pour oublier son idée première, l’envie de sexe. Il finit par se pencher et prendre une valise qui se trouvée sous son lit. Il l’a posa sur ses genoux et l’ouvrit. Il prit sa palette, un premier pinceau et commença le plus gros du travail. Il sourit en pensant que son amant dormait toujours dans la même position. Au moins, il avait son model nu personnel. Il avait fait tout de même les traits du squelette en demi – teinte. Il passa son index sur la partie recouverte du drap. L’effet fut d’un léger gris clair. Malheureusement, les couleurs du ciel de nuit étaient toujours de la même teinte. Ça le rendait morose. Donc, il préféra opter pour une nuance de vert. De toutes façons, il ferait toutes les nuances possibles et inimaginables, tant que c’était sur le corps de son amant. Justement ce dernier commençait à bouger. Il avait eut l’idée de tout remettre comme avant, mais il se résigna. Il voulait vraiment le finir. Il quitta son premier pinceau et en prit un second. Il regarda sa palette et après avoir fait un petit mélange, recommença à peintre. Rodney finit par s’étirer en grognant et le drap le découvrit entièrement. Il roula sur le lit et se retrouva allonger sur le dos, les yeux toujours fermés. Mais, il les ouvrit quelques secondes plus tard. Il fronça les sourcils et son regard se planta devant lui. Il vit un tableau et derrière les prémices de John.

Rodney, en soupirant et en murmurant : " hey ! Ça fait longtemps que t’es debout ? "
John, en montrant son visage : " à peu près une heure. Je voulais terminer ce tableau au plus vite. "

Rodney resta silencieux. Il regarda vers la fenêtre et referma les yeux. L’une de ses mains chercha le drap et il se recouvrit avec en se remettant dans sa position première. John ne l’avait pas quitté des yeux. Il en profiter un maximum, car dès qu’ils sortiraient de ses quartiers, ils redeviendraient de simples amis. Il y a des jours où il en avait marre de se comporter de la sorte, même si certaines personnes avaient deviné leur lien. Combien de fois a – t – il voulu le prendre dans ses bras et humer son odeur après une dure bataille ou après qu’ils aient trouvés une source d’énergie ? Combien de fois a – t – il laisser son imagination prendre le dessus sur la réalité ? Faute de ne pas le faire réellement. Il soupira et reposa son regard brillant sur la toile. Quelques minutes plus tard, il l’a finissait. Il rangea tout son matériel, plaça le tableau un peu plus loin que le lit et rejoignit son amant sous le drap. Rodney se retourna et se blottit contre lui, sagement attendant que la chaleur de son corps le réchauffe en douceur. Il l’encercla et le serra contre lui.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il se réveilla et jeta un coup d’œil au réveil. Il coupa l’alarme et se redressa sans réveiller son amant. Il regarda la chambre et ses yeux se plantèrent sur le tableau. Il s’en rapprocha en se mettant au pied du lit et il le regarda admiratif et amoureusement. John finit par se réveiller sous l’absence du corps de Rodney dans ses bras et le chercha. Il le trouva assit au pied du lit. Il se redressa et s’approcha de lui en l’encerclant de ses bras. Rodney posa l’une de ses mains sur celles de John et appuya sa tête sur l’épaule de John.

Rodney, en murmurant : " tu as beaucoup de talent. C’est magnifique. "
John, à son oreille : " il faudra t’habituer à en voir de plus en plus. Dès que j’ai eus le courage de t’avouer se que je ressentais pour toi, je me suis remis à peintre. Et je ne m’arrêterai plus jamais. "
Rodney, la voix souriante : " et je serai toujours le model principal ? "
John, en se mettant face à lui : " plus que jamais. "
Rodney, le regard triste : " je voudrais que tu fasse un tableau pour moi. Un tableau qui représente mon pays. Il me manque. "

John le serra contre lui, restant silencieux.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il fessait les cents pas dans le bureau d’Elizabeth attendant des nouvelles de Ronon et Rodney. Ils avaient été fait prisonnier par les géniis. Encore ce Kolya de malheur. Comment en étaient – ils arrivés là ? Il se remémora cette mission ou il avait perdu son amant de vue. Que quelques secondes. Mais ça à suffit pour que les soldats de Kolya fassent leur mission. Ils s’étaient fait prendre comme des enfants. Lui et Teyla avaient reçut un grand coup de crosse sur leurs nuques. Il passa sa main sur sa nuque en fermant les yeux et quand ils se réveillèrent, ils se retrouvèrent attachés à la va vite et aucunes traces de Ronon et Rodney. Bien sûr, ils étaient rentrés tout de suite. Ils repartirent avec Radek et il examina le DHD. Il trouva l’adresse, mais quand ils s’y rendirent, malheureusement, ils trouvèrent une ville en ruine et déserte. Ils firent la même chose et toujours le même résultat. Rien. Il s’arrêta contre la grande baie vitrée, posa son front dessus et ferma les yeux. Il était à bout. Toute son énergie était tournée vers la mission de recherche, vers son amant. Il se raidit en entendant le bruit de l’ouverture de la porte.

Elizabeth, en murmurant et en soupirant : " toujours rien. Je suis désolée, John. Les localisateurs de Ronon et Rodney ont été désactivé. Sûrement par Kolya. "
John, en se retournant : " il est très fort ce mec. Ce que je me demande c’est pourquoi a – t – il enlevé Ronon avec Rodney ? Il n’a pas besoin d’un simple combattant. ( il planta son regard dans celui de son amie ) Non pas qu’il ne soit pas important, mais il en a après moi et Rodney. Il veut……."

Il ne finit pas sa phrase, car une tornade entra dans le bureau avec rapidité.

Radek, en reprenant son souffle : " on a une communication vidéo avec Kolya. "
Elizabeth : " comment est – ce possible ? La porte n’a pas été activée. "
John, en parlant en premier : " il doit être à bord d’un vaisseau spacial et à proximité de la citée. "

Il quitta le bureau et alla directement dans la salle de contrôle.

Elizabeth, en s’arrêtant derrière lui : " ouvrez le canal, sergent. "

Une fenêtre s’ouvrit sur le grand écran et ils virent le visage souriant et machiavélique de leur ennemi.

Kolya, en s’écartant de la caméra : " ah enfin ! Je commençais à me lasser d’attendre. J’étais à deux doigts de repartir avec mon offre. "

John sera ses poings avec une telle force qu’on voyait ses phalanges blanchirent. Il bouillait de rage. Il ouvrit la bouche, mais Elizabeth se plaça devant lui et prit la parole.

Elizabeth : " Quelle offre au juste ? "
Kolya, en s’asseyant sur son fauteuil : " HOU ! Mais qu’est – ce que c’est que ce ton là, Dr Weir. Ne me dîtes pas que le Dr McKay et Ronon Dex vous ont manqués ? "

Sans fut trop pour John. Il passa devant Elizabeth et se planta devant l’écran.

John, la voix dure : " on veut les voir. On veut savoir s’ils sont toujours en vie. "
Kolya, en se relevant : " mais vous allez bientôt les voir, Sheppard. Mais je ne sais pas si vous allez être content de mon offre. "

Toutes les personnes présentent en salle de contrôle pensèrent qu’il allait leur demander de faire un choix entre Rodney et Ronon, mais Kolya avait autre chose en tête.

John, en s’impatientant : " au lieu de parler inutilement dîtes nous une bonne fois pour toute votre offre, si s’en est vraiment une. "

Kolya fit quelques pas en rigolant à gorge déployée. Puis, il redevint sérieux.

Kolya : " c’est pas la peine d’essayer de nous localiser, votre cher Dr McKay s’est occupé de tout pour qu’on soit indétectable. Vous vous demandez pourquoi a – t – il fait ça pour moi ? Et bien c’est très simple, je le contrôle. "

Il se rassit sur son fauteuil et referma sa main sur une sorte de chaîne. Il tira vers lui et Rodney entra dans le champ de la caméra. Il était vêtu d’une simple tunique longue tombant sur ses chevilles. Un gros collier était accroché à son cou et attaché lui – même à la chaîne que tenait Kolya. John se raidit et retint sa respiration. Il détailla le regard de son amant et vit qu’il était vide. Aucun signe de vie. Kolya le tira un peu plus vers lui et quand Rodney fut à portait de son autre main, il la passa autour de sa taille et l’asseyat sur ses genoux dans un mouvement rapide et fluide.

Kolya, en passant sa seconde main sur la nuque de Rodney et en murmurant : " embrasse – moi. "

Rodney approcha son visage et obéit à l’ordre de son maître.

Kolya, en brisant le baiser : " alors, Sheppard. Le spectacle vous plaît ? Le Dr McKay m’est entièrement dévoué ainsi que Ronon. "

Il claqua des doigts et Ronon arriva vêtu des habits militaires géniis. Contrairement au regard de Rodney le sien était remplit de haine. Il le planta droit devant lui.

Kolya, en claqua une seconde fois ses doigts : " maintenant que mes deux nouveaux esclaves sont là ( Ronon s’agenouilla contre le fauteuil et Rodney fit de même de l’autre côté, leurs visages inclinés vers le bas ) on va pouvoir parler de mon offre……."

John était à deux doigts de tout casser autour de lui.

Kolya, en s’en apercevant : " que vous arrive – t – il, Sheppard ? Je croyais que le Dr McKay n’était qu’un boulet pour vous. A part si je me trompe sur votre compte ? "
John, en plaçant sa main sur un bouton sur le panneau de contrôle : " si vous continuer à parler inutilement, je coupe la communication. "
Kolya : " je ne crois pas que la dirigeante soit d’accord avec votre idée. Bon assez joué. Voici mon offre : rendez – vous ou je vous tue tous. "
John, en criant : " ce n’est pas une offre, Kolya. "
Kolya : " ah bon ??? C’est vrai que vous appelez ça autrement sur votre planète natale. Mais ( il posa ses mains sur les têtes de Ronon et Rodney ) je ne peux pas me passer d’eux à mes côtés. Je vous laisse 48 H pour vous rendre. Et pas la peine de monter votre bouclier ou de faire un plan de sauvetage pour vos deux anciens amis. Le Dr McKay se chargera de tout faire capoter. "

Il fit un signe de la tête et la communication se coupa. John se dirigea vers le couloir. Elizabeth l’appela pour l’arrêter sans grand succès. Il entra dans un téléporteur et l’immobilisa avec son gène. Il se fit glisser contre le mur et se lâcha. Après l’épreuve du cauchemar, maintenant il avait la réalité de ce dernier au fond de son esprit. Le baiser entre Koyla et Rodney passa en boucle et il eut un haut le cœur. Il remit le téléporteur en route et en sortit en un éclair. Il s’enferma dans ses quartiers et courut dans la salle de bains, les mains sur sa bouche. Il vomit aussitôt qu’il fut au dessus du lavabo. Il reprit sa respiration et noya son regard dans son reflet. Il fallait qu’il se reprenne. Il fallait qu’il le sauve et qu’il fasse payer à Kolya tout ce qu’il fessait vivre à son amant.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Durant les 48 heures que leur avait donné Kolya, ils n’avaient pas chaumé. Surtout, Radek, John, Elizabeth et Carson. Ils étaient sur tous les fronts. Radek avait eut quelques idées, mais souvent elles étaient trop longues à mettre en œuvres ou trop risquée pour leurs amis emprisonnés dans le vaisseau ennemis. John trancha.

John, en se levant : " je vais y aller avec un Jumper et je vais les ramener. ( en se tournant vers Carson ) Et vous, vous serez prêt à envoyer quelques drones sur le vaisseau. "

Carson ne dit rien, mais son regard disait tout. L’expérience qu’il avait eut avec le siège des anciens sur l’avant – poste, lui avait suffit. Et depuis, il évitait soigneusement de s’approcher de trop près d’une machine ancienne. Mais là, il y avait des milliers de vies à sauver en plus de la sienne. Il hocha la tête et se donna du courage.

Radek : " Mais Rodney va pouvoir vous détecter. Même si vous vous mettez en mode camouflage. Et comment allez – vous le repérer ? "
John, en se tournant vers Elizabeth : " il faut qu’on arrive à le localiser. Il faut qu’on active la porte et qu’on fasse une évacuation du personnel. "
Elizabeth, la voix sérieuse : " il peut très bien nous bombarder sans pour autant qu’on arrive à le localiser. "
John, en se retournant vers Radek : " les vaisseaux Géniis ont une faille, non ? "
Radek, la voix excitée : " mais oui. Les boucliers diminuent à chaque tir. Mais Rodney a pu très bien réparer cette faille. "
John, la voix désespérée : " personne ne veut me laisser une chance ? "
Carson, en le coupant : " je vous suis, Colonel. J’attendrai vos ordres sur le siège des anciens. "

John noya son regard dans celui de son ami et le remercia d’un hochement de tête.

Carson, en reprenant : " c’est notre seule chance, Elizabeth. Tous les autres plans sont trop longs à mettre sur pied. Il ne nous reste que 12 heures. "
Elizabeth, en soupirant : " très bien. Appliquons le plan de John. "

Elle se leva et alla en salle de contrôle. Elle passa un message et enclencha l’alarme. Le sergent à ces côtés activa la porte. Les habitants arrivèrent et quand la porte fut ouverte, ils portèrent tous leurs regards vers Elizabeth.

Elizabeth, la voix forte : " si on arrive à mettre hors d’état de nuire Kolya, on vous recontactera dans 13 heures. "

Elle ne dit plus rien. A quoi ça servait ? Les habitants passèrent par petit groupe la porte.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Rodney détecta l’activation de la porte et mit sur grand écran la citée avec les signes de vies pour que Kolya puisse voir l’avancée.

Kolya, en murmurant : " très bien. ( la voix normale et en regardant Rodney ) désactive la porte. "

Ce dernier hocha la tête et se mit à pianoter comme un fou sur le clavier en face de lui.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Alors qu’un groupe aller passer le vortex, la porte se désactiva.

John, en partant vers le hangar : " que la fête commence. "

Carson partit lui aussi en courant vers le siège des anciens. Radek mit sur grand écran l’espace et ils virent le jumper apparaître pour finir par disparaître.

John, par radio : " contactez – moi dès que vous avez repéré le vaisseau. "
Radek, en répondant : " on vous enverra les coordonnées. "


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Rodney avait vu le jumper sortir de la citée et aussi disparaître du radar, mais il ne dit rien. Il ne savait pas pourquoi, mais tout ce qu’il savait c’est qu’il avait une haine envers son maître. L’image de cet homme ne le laissait pas indifférent. Il ressentait un sentiment fort et chaleureux pour lui.

Kolya : " bombardez Atlantis ! "

Les soldats acquiescèrent et la première rafale partit.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Radek, en pianotant : " ils tirent. "

Sur l’écran apparut le vaisseau et quelques secondes plus tard, les boules de feux remplacèrent l’image du vaisseau.

Radek, toujours en pianotant et en activant sa radio : " je vous envoie les coordonnées, colonel. "


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


John lit les coordonnées et remercia Radek. Puis, il fonça vers le vaisseau.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Rodney pianotait toujours sur son clavier. Il réussit à ouvrir une autre fenêtre de communication et entra dans le système du jumper.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


John reçut un texte dans une nouvelle fenêtre. Il lut et reconnu l’auteur. Même si c’était différent des autres fois, il savait que c’était son amant. Il lui disait par où entrer en lui donnant les plans du vaisseau et toutes les modifications qu’il avait apporté.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Rodney referma la fenêtre et se concentra sur les ordres que lui donné son maître. Il paramétra les boucliers et croisa les doigts pour que le jumper puisse passer à temps. De toutes façons, il le saura bientôt. Il termina les paramètres du bouclier et ferma les yeux en appuyant sur la touche pour les mettre en action.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il passa juste à temps sous le bouclier. Il soupira et continua son avancé vers le hangar secondaire. Rodney lui avait dit qu’il le laisserai ouvert et qu’il protégerai son entrée. Il savait que si Kolya le découvrait, Rodney ne ferait pas long feu. Il vit le hangar. Il s’y engouffra et resta en mode camouflage. Il afficha les plans et activa " le mode vie " pour pouvoir se déplacer aisément. Il atterrit près de la porte et prit son détecteur de vie.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il suivit son action et soupira en voyant que personne ne l’avait remarqué. Maintenant, il pouvait se mêler au personnel du vaisseau. En plus de ce sentiment chaleureux qu’il avait pour lui, il lui fessait confiance. Il jeta un coup d’œil à son maître et soupira. Malheureusement son soupir fut entendu par son maître. Il fut tiré avec force vers lui et il obéit comme l’esclave qu’il était.

Kolya, en prenant son visage avec force : " pourquoi soupire – tu comme ça depuis le début de l’attaque ? "

Rodney noya son regard dans celui de Kolya et resta silencieux. Ce dernier vit une lueur de vie dans le regard océan de son esclave. Il l’envoya vers le sol d’un mouvement brusque.

Kolya, en s’énervant : " si tu m’énerves encore une fois, tu auras une punition aussi forte que mon énervement. ( en écrasant son visage avec son pied sur le sol ) Tu as compris ? "

Rodney murmura la réponse et Kolya, après un mouvement vers le sol, retira son pied pour le reposer sur le socle de son fauteuil. Il claqua des doigts. Ronon arriva et il lui montra de l’index Rodney. Ronon hocha la tête et alla relever Rodney. Tout deux avait créé des liens amicaux.

Ronon, en le relevant et à son oreille : " ça va aller ? "
Rodney, en murmurant : " oui. J’ai vécu pire. "

Ronon lui adressa un sourire triste, comprenant se que sous – entendait Rodney. Lui aussi il y avait eut droit.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


John, en activant sa radio : " Beckett, maintenant. "

Il entendit la réponse et courut vers la salle des commandes. Les drones frappèrent le bouclier de plein fouet. Rodney se précipita sur son clavier et ouvrit une fenêtre.

Rodney, en criant : " le boucliers est à 70 % de leur capacité. ( un autre bombardement arriva ) 50 %. "

un grognement se fit entendre.

Kolya, en se levant et en s’approchant de Rodney : " fais quelques choses. Il ne faut pas que le pourcentage du bouclier baisse encore. "

Rodney pianota sur son clavier et ouvrit plusieurs fenêtres.

Rodney, en fessant un rapport des dégâts : " le pont inférieur a été touché. La passerelle Est a été détruite. On ne peut plus accéder aux vaisseaux de survie. On n’a plus que 15 % de l’armement. "

Kolya abattit sa main sur l’épaule de Rodney, le fessant sursauter.

Rodney, en reprenant : " je peux transférer une partie de la puissance des moteurs et de l’armement sur le bouclier. "


Kolya serra un peu plus sa prise et Rodney obéit.


¤¤¤¤¤¤¤¤¤


Il n’était plus qu’à cinquante mètres de la salle de commandes. Il s’arrêta devant la porte et arma son P – 90 et l’arme à trois canons. Il ouvrit la porte et mit en joue toutes personnes susceptibles de bouger.

John, en criant : " quel plaisir de vous revoir en chair et en os, Kolya. "

Kolya se retourna et s’immobilisa. Son regard devint noir de colère. Rodney s’était lui aussi immobilisé en entendant la voix de John. Kolya claqua des doigts et Ronon s’approcha de lui. Kolya claqua une seconde fois les doigts et Ronon hocha la tête. Il dégaina son arme et la pointa sur John. Ce dernier grimaça et tira dans la cuisse de Ronon pour le neutraliser. Dans sa chute, il laissa échapper son arme. John en profita pour la prendre et la mettre en mode paralysant. Il tira sur tous les géniis présents, tout en se rapprochant de Kolya.


Mais ce dernier anticipa. Il tira sur la chaîne et Rodney fut obligé de se lever. Kolya passa un bras sur le cou de Rodney et il le plaqua devant lui pour qu’il lui serve de bouclier humain.

Kolya, avec un sourire mauvais : " vous n’oserez pas tirer sur lui. "
John, la voix dure : " ah oui ? Vous croyez ? "

Puis sans rien rajouter il tira sur Rodney avec l’arme de Ronon et tira sur Kolya avec son arme suivit de celle des géniis. Il se précipita vers son amant et souleva un peu sa tête du sol.

John, en activant sa radio : " Zelenka ! Vous pouvez téléporter Rodney et Ronon ? Je leur ai placé des détecteurs. Moi, je repars avec le jumper. "

Il désactiva sa radio et attendit qu’ils soient téléportés pour partit en courant vers son vaisseau. Il décolla et sortit par le hangar. Il activa encore une fois sa radio et ordonna à Carson de bombarder le vaisseau jusqu’à se qu’il soit entièrement détruit. Voilà ce qu’on récoltait quand on s’en prenait à son amant. Seule la mort était sa vengeance, son pardon. L’explosion engloba le jumper et il ferma les yeux, le temps que les flammes meurent.


à suivre...............

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