Forum - Le Monde du Slash

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 Sujet du message: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs PG-13 (songfic)
MessagePosté: 30 Déc 2007 02:21 
Voilà, je vais tenter ma première fic qui sera une songfic. Au passage un petit hommage à Greg Lemarchal, pour ceux qui connaissent ses chansons vous comprendrez.
sujet: NCIS
Pairing: Tony/Gibbs
Rating: G

Tony était assis sur le siège passager de la voiture de Ziva. Elle était au volant. Elle avait nettement amélioré sa conduite depuis que...que..depuis... qu'il était parti. La voiture était arrêtée, ils étaient dans les embouteillages depuis maintenant une demie heure. Tony songeait, le regard perdu et triste. Aujourd'hui cela devait être SON anniversaire, l'anniversaire de celui qu'il aimait, de l'agent spécial Leroy Jethro Gibbs. Si seulement ils n'avaient pas eu cette altercation deux mois auparavant, à cause d'une histoire de femme en plus ! Tony était jaloux que la directrice Sheppard tourne autour de Gibbs, SON Gibbs ! Ils s'étaient serieusement disputés puis Gibbs avait pris un sac, avait fourré quelques affaires dedans, avait pris ses clefs de voitures et était parti pour ne plus jamais revenir. Ziva savait tout cela, elle connaissait la détresse de Tony. Il y une semaine, alors qu'elle était repassée au bureau vers minuit car elle avait oublié son portable, elle avait apperçu Tony pleurer devant une photo de son amant. Elle qui était de nature très peu expressive, cela lui avait brisé le coeur de voir Tony dans cet état. Du coup elle était repartie sans son téléphone, complètement bouleversée. C'est pour cela qu'aujourd'hui, elle avait décidé de lui faire une surprise. Mais c'était mal parti vu les embouteillages. Elle dit doucement à Tony, le long de la joue duquel une larme avait coulé:

- Met la radio Tony, cela te changera les idées.
- Oui, j'espère que tu as raison...

Et il alluma la radio, qui était sur une station de variété internationale. Tony aimait cela, car c'était la seule chose que son patron aimait à part sa maudite country. Puis, le présentateur radio annoça :" Maintenant, voici un morceau d'un artiste français, Grégory Lemarchal". Tony et Ziva parlaient tous deux très bien le français, donc les paroles de la chansons ne seraient pas du chinois pour eux. La chanson commença:

Si t'avais attendu, Si t'avais pris le temps
Si tu n'avais pas tout voulu, maintenant
Si tu m'avais gouté, Comme un fruit défendu,
Juste avec le coeur en secret
Comme quand rien n'est dû
On aurait gravé chaque jour
Au creux des lignes de nos mains,
Plus qu'hier encore et toujours
Et bien moins que demain


Ziva regretta fortement d'avoir suggéré à Tony d'allumer la radio. Cette chanson allait lui faire du mal, elle le sentait. Elle dirigea donc sa main vers le poste de radio pour l'éteindre, mais une main l'en empêcha. Elle tourna la tête et croisa le regard de Dinozzo. Ce regard... des yeux humides et brillants, une tristesse profonde et infinie...
- Tony, commença-t-elle
- Non, laisse, répondit-il des sanglots dans la voix, je veux entendre la suite, s'il-te-plait...

Pardonne-moi
Le mal que j'ai pas fait
J'voulais pas, Que l'on s'aime à peu prés
J'voulais juste me connaître mieux, m'épanouir à tes côtés
On ne donne rien quand on donne peu,
Je voulais tout donner


- Tony, tu es sûr que...insista Ziva
- Oui, répondit-il d'une voix étranglée.
Mais Ziva voyait bien qu'il retenait ses larmes. A ce moment, elle s'en voulut plus que jamais. Qu'est-ce qu'elle avait été stupide en lui disant d'allumer la radio !

[Si j'avais su te dire, Que viendrait pas à pas,
Celui que je vais devenir, Et que tu ne vois pas
Si tu avais sur lire, Au travers de l'enfant,
La promesse de nos désirs, Au delà de l'instant,
On aurait compté chaque jour, Sur les doigts liés de la main,
Quand l'espoir encore et toujours, De si beaux lendemains
/i]

[i]Pardonne-moi
Le mal que j'ai pas fait
J'voulais pas, Que l'on s'aime à peu prés
J'voulais juste me connaître mieux, m'épanouir à tes côtés
On ne donne rien quand on donne peu,
Je voulais tout donner


Pardonne-moi, Le mal que j'ai pas fait
Pardonne-moi... Pardonne-moi...


Cette fois-ci, Tony éteignit la radio, il n'en pouvait plus, il aurait cru que le jeune artiste avait écrit cette chanson pour lui. Il fondit en larme, complètement anéanti, dans les bras de Ziva en s'écriant:

- Pourquoi j'ai été aussi idiot ?! Pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ? Pourquoi est-ce que j'ai été jaloux d'elle ? Pourquoi m'as tu abandonnée Gibbs ? Pourquoi ? Je ne peux pas vivre sans toi Patron .Tu m'aimais, et moi aussi je t'aime, si je venais à ne plus jamais te retrouver, je n'y survivrai pas, nan, je n'y survivrai pas... finit-il par dire, le visage trempée par les larmes.

Ziva fut si touchée par ce qu'elle venait d'entendre, qu'elle en pleura. Elle caressa lês cheveux bruns soyeux de l'homme si fragile qui se trouvait assis à côté d'elle en lui murmurant:
- Ne t'en fait pas Tony, tu le retrouvera, je te le promet, tu le retrouvera. Que je meuure si je te mens. Allez petit prince, je te jure que vous vous retrouverez. Mais n'oubli pas que j'ai une surprise pour toi, petit prince...

Ziva se demanda tout à coup d'où elle sortait ces paroles. Elle espérait que Tony ne relèverait pas, cela lui avait échappé. Mais cependant ses paroles semblaient avoir apaisées le jeune agent.

- Ziva, dit-il d'une voix faible.
- Oui Tony, je t'écoute.
- Seul Gibbs m'a un jour appelé comme tu viens de le faire. Mon petit prince, oui, seul Gibbs.
- Tony...je...je suis désolée.
- Ne t'excuse pas Ziva, c'est...
- Un signe de faiblesse, je sais petit pr... heu Tony

Tony esquissa un petit sourire discret puis s'endormit sur l'épaule d'une Ziva toujours au volant et un peu gênée.

FIN
---------------------------------------------------------------------------------------

J'espère que ça vous a plu. Je ne sais pas si je ferais de suite, j'attend d'abord vos avis.


Dernière édition par marine le 30 Déc 2007 20:28, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: NCIS-songfic- Jamais sans toi. G
MessagePosté: 30 Déc 2007 06:16 
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Pas encore atteint(e)... mais presque
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Bien sûr qu'il faut une suite! Petit prince doit retrouver son amant. Je ne connaissais pas cette chanson. Elle est à la fois très triste et très jolie. Comme ta fic! Bravo!

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 Sujet du message: Re: NCIS-songfic- Jamais sans toi. G
MessagePosté: 30 Déc 2007 10:09 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Localisation: annecy
très bien pour une premier fic! et oui une suite s'impose

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http://crea-ncis-fanfics.forumchti.com/index.htm


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs G (songfic)
MessagePosté: 30 Déc 2007 11:56 
Juste un truc, j'avais pensé à une suite en PG-13 où dois-je l'indiquer puisque le début est en catégorie G ?


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs G (songfic)
MessagePosté: 30 Déc 2007 12:45 
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Ouh là... ça commence à devenir grave !
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Localisation: dans les bras du doctor
*mode modo*

maudifie simplement le titre en mettant PG13 pour toute la fic !


*mode modo off*

et si tu as des questions ou autre je suis a ta dispotition ^^


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs G (songfic)
MessagePosté: 30 Déc 2007 13:47 
Merci ^^


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs G (songfic)
MessagePosté: 30 Déc 2007 17:15 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Localisation: Entrain de cueillir des pâquerettes avec Tony et Gibbs
J'aime beaucoup même si c'est super triste< :verysad:
J'espère qu'il y aura une suite, en tout cas bravo :bravo:


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs PG-13 (songfic)
MessagePosté: 30 Déc 2007 22:09 
Allez, je me lance pour la suite. Mais c'est pas fini !.

Ziva était toujours au volant avec Tony endormi sur son épaule. Il était maintenant 19 heures quand les embouitellages se débouchèrent. Il fallait qu'elle se dépêche, ils s'étaient tous donné rendez-vous au "piccolo principe", un restaurant italien avec toute l'équipe du NCIS à 19h30. C'était la surprise de Tony. Ziva avait aussi fait quelques recherches et avait invité 2 amis d'enfance du jeune agent: un flic de Baltimore (quelle coincidence!) nommé Lorenzo et un agent immobilier nommé Sergio. Elle espérait vraiment que cela lui remontrait le moral et qu'il pourrait peut-être oublier son amant l'espace d'une soirée. Profitant que Tony soit endormi, elle donna un grand coup d'accelérateur et finalement arriva à l'heure au point de rendez-vous. Ziva se gara sur le parking et observa les personnes qui attendaient devant le restaurant. Il y avait Abby, la directrice Sheppard, McGee, Ducky, et deux hommes qu'elle avait seulement vu en photo, Lorenzo et Sergio. Visiblement on attendait plus qu'eux. Ziva passa une dernière fois sa main dans les cheveux de Tony et le secoua doucement, comme si elle réveillait un enfant.

- Tony, Tony on est arrivé...
- Hum ?
- Tu te souviens ? Je t'ai parlé d'une surprise.
- Ah oui, "certamente", murmura-t'il.
- Quoi ?
- Je disais, oui bien sûr. Excuse moi, ces mots en italien m'ont échappé.
- Cela arrive à tout le monde, répondit Ziva, se remémorant leur conversation de tout à l'heure. Elle rougit en repensant à cela.
- Qu'y-a-t'il, demanda Tony.
- Rien, excuse moi.
- Ne t'excuse pas Ziva, c'est un signe...
- De faiblesse, je sais Tony.*Décidément, Gibbs a vraiment déteint sur lui*, pensa-t-elle.
- On y va, demanda le jeune italien.
- Oui, suis moi, nous sommes attendu.

Ils descendirent tous les deux de la voiture. Tony sourit à Ziva en voyant qu'ils étaient devant un restaurant et surtout en voyant les gens qui attendaient. Tony fut heureux de voir que l'équipe du NCIS au complet était là. Au complet, non...il manquait quelqu'un. Puis soudain, son regard se posa sur deux hommes vêtus de costumes d'un grand couturier italien. Tony les reconnut de suite, c'étaient ses deux amis, ses deux seuls amis, les seuls qui l'avait accepté tel qu'il était, malgré ses préférences sexuelles, mis à part ceux du NCIS qu'il considérait comme une famille.

-------------------- FLASH BACK------------------------------------------------------

Tony était en première année de lycée, il était un élève discret, c'est à peine si on s'apercevait de sa présence. Il n'avait jamais eu d'ennuis, bref, une scolarité tranquille. Mais Tony avait un secret, il entretenait une relation bien plus qu'amicale ou fraternelle avec un élève du campus du lycée voisin. D'ailleurs Tony gardait précieusement dans un de ses cahiers, la carte de St Valentin que lui avait un jour écrit Lucas, l'élève en question.
Une de ces journées, où le soleil brille de tous ses éclats et où les nuages ont décidé de s'exiler, Tony mangeait tranquillement son sandwich, sur une des tables de pic-nic devant le lycée, où beaucoup d'élève mangeaient à cette heure-ci. Tout à coup, Tony vit Tom et sa bande, maltraiter un élève de sa classe. Alors que Tom allait donner un coup de poing dans la figure au jeune lycéen sans défense, Tony s'interposa:

- Je ne te conseille pas de faire ça Tom, dit-il.
- D'où tu me conseilles toi maintenant ?
- Je fais ce que je veux, répliqua Tony.

Ce fut une phrase de trop. Tom frappa Tony à l'arcade, et il se mit à seigner abondemmment. Tony se mit dans une colère monstrueuse mais avant qu'il n'ai pu réagir, toute la bande, c'est-à-dire une dizaine de gars super costaud, se jetta sur lui et ils le frappèrent dans les côtes, dans le ventre, il sentit même un pied lui atteindre le crane. Ils continuèrent ainsi jusqu'à ce que Dinozzo perde connaissance. Quand Tony reprit ses esprits, ses affaires étaient étendues sur le sol, et Tom, l'air content de lui tenait fermement une carte rose dans sa main droite et avait monoplisé l'attention de tous les élèves présents, c'est-à-dire plus de la moitié du lycée. Le silence s'était fait autour d'eux. Quand Tony s'écria :

- Nooooooooooooooooooooooooooooooooon !!

Mais trop tard, Tom avait commencé à lire et toute l'assistance écoutait avec attention.

"Mon cher Tony,
Cela fait maintenant 6 mois que nous sommes ensemble, et tu as fait de moi un homme comblé. La nuit d'hier a été fabuleuse, et crois moi, je m'en souviendrai jusqu'à la fin de mes jours.
Merci Tony, merci pour tout.
Je t'aime
Lucas.


Toute l'assemblée riait aux éclats et Tony s'enfuit en courant, ses larmes se mélangeant avec le sang qui continuait de couler de son arcade. Mais, arrivé au niveau du terrain de basket, il s'effondra. Il était bien trop faible pour continuer de courir. quand il se réveilla, il était dans une pièce d'apparence froide, et tout une panoplie d'engins médicaux autour de lui. Un hopital, en déduit-il. Puis, Tony s'apperçu de la présence de deux jeunes garçons de sa classe, Lorenzo et Sergio. Pensant q'ils allaient revenir sur les évènements qui venaient de se passer, Tony voulut les chasser mais un des deux prit la parole en premier :
- Chuut, ne dit rien Tony, nous n'avaons pas à te juger, tu es comme tu es, c'est tout. Tu n'as aucune crainte à avoir, car nous même, nous sommes gay.
Comme pour lui prouver, ils s'embrassèrent devant lui. Tony fut rassuré, et il sympatisa vite avec ses nouveaux amis. Maintenant, il passait le plus clair de son temps avec Lorenzo et Sergio. Mais un soir, alors qu'il s'apprètait à quitter le lycée, l'entraineur de l'équipe de football le rattrapa:
- Non Tony, tu restes avec nous ce soir, ton père t'a inscrit dans l'équipe.
Tony adorait le football, et son père le savait, mais là il fut complètement destabilisé que son père l'ait inscrit sans lui en parler. Tony avait peur, peur du regard des autres et peur du moment où dans les vestiaires, il devrait prendre sa douche. Après un entrainement très difficile pour lui, où il n'avait cessé de subir des remarques telles que "Hou la pédale", il se dirigea un noeud à l'estomac vers les douches. Et là, le pire arriva: alors qu'il faisait couler doucement de l'eau chaude sur son corps crispé, la bande de Tom qui comme par hasard était dans l'équipe, arriva. Ils le coincèrent dans un coin de la douche et lui firent subirent des choses plus abominables les unes que les autres, et cela recommençait, chaque mardi soir.
Tony en avait seulement parlé à Lorenzo et Sergio. Lorenzo avait tout de suite réagi. Il était allé dénoncer la bande de Tom et Tony fut heureux d'apprendre, deux jours après, qu'ils avaient été exclus. Tony ne pourait jamais assez remercier son ami. Puis, la fin de sa scolarité s'était plutôt bien passée, car grâce à ses deux amis, Tony avait appris à ne plus s'occuper du regard des autres.

-------------------FIN DU FLASH BACK------------------------------------------------

Tony et Ziva saluèrent toute l'équipe du NCIS puis resta quelques instants à bavarder avec ceux qui l'avait si bien protégé. Personne n'avait jamais été aussi protecteur envers lui, mis à part... Jethro Gibbs, son Jay, qui n'était pas là aujourd'hui. Ziva tourna la tête et aperçu de nouveau ce regard brillant, perdu, triste, qu'était celui de Tony. Bouleversée, elle lui dit doucement :
- Viens Tony, les autres sont déjà rentrés.
Effectivement, à force de rêver il était là, tout seule, devant le restaurant.

.......................................... FIN............................................................................

La suyite prochainement ^^ Alors, réactions ?
.


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs PG-13 (songfic)
MessagePosté: 30 Déc 2007 22:53 
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en faite c'est assez triste cette fic et en général je lis pas les fic triste lol pour sa que tu n'a pas eu d'avis personel sur la première partit puisque je n'en ai lu que le débu

la j'ai tout lu et je suis toute déprimer !

ensuite euuh ce n'est qu'un avis personel mais Ziva sa passe pas avec elle mais alors vraiment pas donc que tony pleure dans ses bras j'ai du mal ! mais c'est vraiment par ce que ziva voilà quoi lol


ensuite j'adore que tony parle italien qu'il laisse échapper des mot comme sa je le dit souvent il ne parle a pas assez italien dans la série ! donc sa sa ma beaucoup plus

et j'ai pas comprit c'est la fin ou c'est pas la fin ? si c'est pas la fin j'espère vraiment que Gibbs est dans les resto je l'ai dit j'ai horreur des fics triste !

voilà ^^


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs PG-13 (songfic)
MessagePosté: 30 Déc 2007 23:02 
Merci beaucoup de ton avis. Quelque chose me dit que des mots italiens apparaîtront pplus souvent dans mes fics :wink: Sinon, non ce n'est pas la fin, ça ira en s'arrangeant promis. Je vais aussi essayer que Ziva soit moins présente, mais c'est un perso que j'aime bien donc... En tout cas, merci de ton avis.


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs PG-13 (songfic)
MessagePosté: 30 Déc 2007 23:18 
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non non mais je disais pas sa pour sa attention si tu aime ziva va si je tant prit met la dans dans fic !

c'est toi qui écrit y faut que sa te fasse plaisir a toi ! c'est le plus important ! faut pas écouter les raleurs dans mon genre lol


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs PG-13 (songfic)
MessagePosté: 31 Déc 2007 00:26 
ok lol :D


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs PG-13 (songfic)
MessagePosté: 31 Déc 2007 00:45 
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C'est très bien pour une première fic. Un peu triste toutefois, avec un Tony totallement déprimé. L'idée du resto est bien si ce n'est que j'ai bien envie de régler mes comptes avec une certaine Jenny. :twisted:
Après tout c'est à cause d'elle si mes chouchous sont fachés :pouf1:
è buono, continuo come quello. Cerca disperatamente gibbs !
Soul.

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I'm only a woman looking for his dream and the only thing to expect is the unexpected.....


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs PG-13 (songfic)
MessagePosté: 31 Déc 2007 00:57 
Merci d'avoir laissé ton avis. Je te donne l'autorisation de t'occuper de Jenny après tout, tu pouura te venger dans une fic lol. Sinon, je suis une adepte des fics tristes mais pour te mettre sur la piste du dénouement de celle-ci : un amore vero e profondo può sopravvivere a tutte le prove

Voila
arrivederci


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 Sujet du message: Re: Jamais sans toi NCIS Tony/Gibbs PG-13 (songfic)
MessagePosté: 31 Déc 2007 02:51 
la suite !!!! et fin. Je reprend la chanson du début, vous allez très vite comprendre pourquoi.

Tony et Ziva allèrent donc rejoindre les autres qui étaient assis autour d'un grande table ovale. Le jeune italien détailla le restaurant et il s'aperçu que celui-ci disposait d'une scène. Un serveur, qui visiblement avait remarqué le regard intrigué de Tony, lui souffla à l'oreille en passant :
- Ce soir on organise une soirée karaokée, plutôt original dans un restaurant italien non ? On est les seuls de tout Washington à avoir adopté le concept.
Puis, le serveur repartit à la table d'à côté de la leur pour prendre les commandes. A ce moment, il ne sut dire pourquoi ni comment, Tony se remémora les paroles de la chanson qu'il avait entendu un moment plus tôt dans la voiture, c'est comme si il les avaient toujours sues. De ce fait, il n'avait pas entendu Abby lui parler:
- Tony, Tony, houhou, allo la terre !
- Hein ?
- Je te demandais la signification du nom de ce restaurant.
Tony qui n'avait pas fait attention au nom du restaurant demanda:
- Et c'est quoi le nom du restaurant ?
- Le piccolo principe
Le coeur de Tony manqua un battement, sa gorge se serra et il partit au toilettes n'arrivant pas à contenir ses larmes, mais avant de franchir la porte, il lança d'une voix complètement étranglée par les larmes:
- Abby, demande à Lorenzo, il t'expliquera.
Tout le monde se regardait, personne sauf les deux amis de Tony ne comprenait. Au lieu de Lorenzo, ce fut Sergio qui prit la parole en premier:
- Ben, c'est-à-dire que "piccolo principe", veut dire...il hésita puis finallement finit sa phrase. Cela veut dire "petit prince".
Ziva se frappa derrière la tête. Comment pouvait-on avoir la poisse à ce point ?
- Vous fatiguez pas, je vais vous expliquer, commença Ziva. Puis elle leur raconta les évènements de la voiture. Tous furent bouleversés. Ducky versa même une petite larme. Quant à Sheppard, elle se fit la plus discrète possible, car elle savait que tout cela était de sa faute. Elle ne pouvait plus regarder Tony en face depuis que cela s'était passé. Puis, Ducky prit une décision, celle d'aller voir Dinozzo. Quand il entra, il vit Tony, appuyé le long des lavabos, les yeux rouges.
- Mon garçon, commença Ducky...
- Non Ducky, c'est pas le moment.
- Jeune, vous allez m'écouter jusqu'au bout, reprit-il le ton plus menaçant cette fois. Tony, Gibbs t'aime, et t'as toujours aimé, il est fou de toi. J'avoue qu'il n'est pas très doué pour exprimer ses sentiments par les mots, mais il le fait mieux par les gestes. Et cette absence prolongée, c'est un moyen de ne pas te faire souffrir, il sait qu'il t'as fait du mal, et il veut te préserver Anthony Dinozzo.
- Mais c'est encore pire, il me manque tellement, je ne peux pas vivre sans lui, tu comprends Ducky, je ne peux pas !!! Je suis prêt à tout pardonner si seulement il revenait !!! explosa Tony. Jethro, c'est l'homme de ma vie, celui aux côtés duquel je veux vieillir, je l'aime plus que ma propre vie, je l'aime...
Tony eut du mal à articuler les derniers mots. Le dernier "Je l'aime" était à peine inaudible. Dinozzo jeta un rapide coup d'oeil au miroir à sa gauche et ce qu'il vit le pétrifia. Il resta là, les yeux équarquillées, impossible de sortir le moindre son de sa gorge. IL était là, Gibbs était là, et il avait tout entendu car lui aussi pleurait, Tony n'en revenait toujours pas, IL était là ! Ducky s'éclipsa le plus discrètement possible, laissant les deux hommes seuls. Ce fut Gibbs qui prit la parole le premier:
- Tony, c'est la plus belle que j'ai jamais entendu, sanglota-t'il, Tony je t'aime moi aussi plus que ma propre vie. Comme Ducky te l'a si bien dit, si je suis partit, c'est parce-que je t'avais fait du mal, mon "petit prince". Et ça je ne le supportait pas, je ne voulais pas te voir malheureux à cause de moi, mais maintenant je m'aperçoit des dégats que j'ai fait, et je le regrette sincèrement. J'ai agit comme un lâche plutôt que d'affronter le conflit, je ne voulais pas te perdre, alors je suis parti.
- Jethro...
Mais Gibbs l'empêcha de continuer. Il posa délicatement ses mains sur les hanches de Dinozzo, et rapprocha ses lèvres des siennes. Bientôt, leurs langues rentrèrent en contact. Cela leur fit à tous les deux l'effet d'un électrochoc. Tony passa ses mains sous la chemise de Gibbs et éprouva un plaisir intense à pouvoir de nouveau le toucher. Tony qui était maintenant prêt à tout pour garder celui qu'il aimait, lui fit le baiser le plus doux, sensuel, passionné et langoureux qu'il put. Quand ils relachèrent l'étreinte, Gibbs eut un étourdissement tellement ce baiser lui avait fait de l'effet. Puis, ils se décidèrent à rejoindre les autres, qui applaudirent quand ils les virent arriver ensemble.
- La voila ta surprise, piccolo principe, dit Ziva.
Le reste du diner se passa dans une atmosphère de joie sans précédent. Tous les rires cessèrent quand ils entendirent une voix qui résonnait dans toute la salle dire:
-Place au karaoké.
Tout de suite, Tony se porta volontaire. Il monta sur scène et déclara:
- J'espère que tu me pardonnera mio amore.
Et il commença à chanter:

Si t'avais attendu, Si t'avais pris le temps
Si tu n'avais pas tout voulu, maintenant
Si tu m'avais gouté, Comme un fruit défendu,
Juste avec le coeur en secret
Comme quand rien n'est dû
On aurait gravé chaque jour
Au creux des lignes de nos mains,
Plus qu'hier encore et toujours
Et bien moins que demain


Très vite il fut rejoins par Gibbs, tous deux les yeux rougis par les larmes, main et doigts liés.

Pardonne-moi
Le mal que j'ai pas fait
J'voulais pas, Que l'on s'aime à peu prés
J'voulais juste me connaître mieux, m'épanouir à tes côtés
On ne donne rien quand on donne peu,
Je voulais tout donner

Si j'avais su te dire, Que viendrait pas à pas,
Celui que je vais devenir, Et que tu ne vois pas
Si tu avais sur lire, Au travers de l'enfant,
La promesse de nos désirs, Au delà de l'instant,
On aurait compté chaque jour, Sur les doigts liés de la main,
Quand l'espoir encore et toujours, De si beaux lendemains


Pardonne-moi
Le mal que j'ai pas fait
J'voulais pas, Que l'on s'aime à peu prés
J'voulais juste me connaître mieux, m'épanouir à tes côtés
On ne donne rien quand on donne peu,
Je voulais tout donner


Pardonne-moi, Le mal que j'ai pas fait
Pardonne-moi... Pardonne-moi...


Pardonne-moi
Le mal que j'ai pas fait
J'voulais pas, Que l'on s'aime à peu prés
J'voulais juste me connaître mieux, m'épanouir à tes côtés
On ne donne rien quand on donne peu,
Je voulais tout donner


A peine eurent-ils pronocés les derniers mots que tout le restaurant se mit à applaudir. Tony en profita pour glisser à Jethro:
-Tu connaissais la chanson ?
- Oui, mio amore, répondit Gibbs, et je te pardonne tout, tout.
- Tu parles italien ?
- Je ne connais que les mots d'amour, mi baci Tony.
Et sur ce ils s'embrassèrent fougueusement, sans aucune pudeur devant un public heureux.
- Ti amo patron.
- Moi aussi je t'aime piccolo principe.

-------------------------------------fin------------------------------------------------
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