Forum - Le Monde du Slash

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 Sujet du message: Re: L'un après l'autre - Sherlock/Lestrade - G
MessagePosté: 11 Fév 2017 21:28 
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Slash ou non, telle est la question...
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Trop hâte d'avoir la suite :)

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 Sujet du message: Re: L'un après l'autre - Sherlock/Lestrade - G
MessagePosté: 17 Fév 2017 00:49 
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Citation:
Mon esprit réclame un peu de tranquillité après les événements de cette semaine.

Ah, Sherlock et ses manifestations affectueuses si gauches... :^^:

Image
(bon, c'est avec John ici, mais ça résume bien)

Citation:
Lestrade éclata de rire, amusé par une plaisanterie qui échappait naturellement au détective.
- Tu ressembles plus à ton frère que tu l'admettras jamais.

Touché. :mrgreen:

Citation:
- Par exemple, demander à l'une de mes collègues féminines de se servir dans mon tiroir à sous-vêtements.
- Je suis sûr que ça ne l'a pas dérangé du tout.

Oh, Sherlock, c'est bas cette façon de retrouver un peu de contenance ! :lol:

Citation:
- Merci pour les frites. C'était une excellente idée.

"We had chips..." Oops, trauma de saison 4. :roll:

Citation:
La nuit ne fut finalement pas des plus reposantes pour Sherlock. Attentif au moindre bruit émanant de la chambre voisine, le détective somnolait vaguement, pianotant de temps à autres sur son téléphone.

C'est-y pas meugnon tant de dévotion pour son cher DI ?

Citation:
Ce bruit sec et franc émanait de la septième latte située dans le couloir, à proximité de la porte de la chambre de John.

Héhé, c'est si Sherlock ce genre de détail. J'aime qu'on voit qu'il reste lui, quoiqu'il pourrait ressentir (autant que Sherlock Holmes puisse ressentir).

Citation:
- Elle a commis une grave erreur.

GnahaHA ! :twisted:

Citation:
Sherlock sacrifia l'attention qu'il portait aux bruits de douche

Non mais. On va quand même s'arrêter sur le fait que Sherlock se concentre sur le fait que Lestrade est en train de se doucher, MERCI. :mrgreen:

Citation:
- Tu ne frappes jamais avant d'entrer ?
- J'oublie souvent, reconnut Sherlock

Eh béh, j'en connais un qui a dû vivre des moments sympas à l'époque de sa collocation avec Holmes... :P

Citation:
Lestrade avait toujours une mine des plus effroyables lorsqu'il était persuadé que personne ne le regardait.

"You look sad when you think he can't see you." Thank you, Miss Hooper.

Citation:
L'idée de ne pas avoir l'Inspecteur à vue d'œil et à portée de main lui fit ressentir une angoisse inattendue.

Bon, je ne ferais que répéter mes couinements peu appropriés pour la trentenaire que je suis, mais tu vois l'idée quant à mon appréciation de ce genre de passage... :lol:

La fin du dernier chapitre augure de sympathiques développements ! :^^: J'espère qu'on ne sera pas frappés d'un élan de sadisme ! :P

:suite: :suite: :suite:

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 Sujet du message: Re: L'un après l'autre - Sherlock/Lestrade - G
MessagePosté: 12 Mar 2017 23:00 
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Pas encore atteint(e)... mais presque
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Rho làlà, Lostie, je suis désolée ! Comme je l'explique sur l'autre site où je poste, j'ai perdu les chapitres (et un paquet d'autres fichiers) dans un crash d'ordinateur. J'étais un peu découragée à l'idée de tout ré-écrire mais je m'y suis finalement remise. J'ai lu ta review ce matin, ça m'a encouragé à boucler la suite pour ce soir! Un grand merci à toi. :) J'ai changé deux ou trois trucs dans la trame, ça m'a redonné un peu de motivation. J'espère que tu seras contente de lire la suite et que tu ne m'en voudras pas trop.

11 février 2017 – 221B Baker Street

Aucun tremblement ne troubla la trajectoire de la seringue qui plongea, incisive, dans le creux du coude de Lestrade. Livide comme un mort, l'inspecteur avoua honteusement sa phobie des aiguilles.

John, amusé, recueillait paisiblement les deux tubes de sang nécessaires aux expertises réclamées par Scotland Yard. Lestrade ne réintégrerait pas leurs services sans montrer patte blanche : l'abstinence totale lui était imposée.

Les yeux sévères de Sherlock étudièrent le liquide carmin qui s'échappait de la veine de son acolyte. Il ressentait une angoisse indescriptible, accentuée par l'attente qui s'annonçait.

- Nous aurons les résultats quand ?, interrogea Sherlock, impatient.

Lestrade sourcilla. Nous ? Ce pronom s'imposait de plus en plus naturellement dans leurs conversations. Il s'abstint néanmoins de tous commentaires.

John emballa précautionneusement les deux ampoules.

- Deux jours. La décision est attendue-
- Jeudi prochain, l'interrompit Sherlock, incapable de quitter Lestrade des yeux. Ce n'est qu'une formalité, n'est-ce pas ?

Greg, faussement distrait, appuyait fortement sur le pansement qui garnissait le pli de son bras. L'insistance de Sherlock commençait à le rendre mal à l'aise.

- Greg ?

John l'avait interpellé, conscient que quelque chose se tramait.

- Je n'ai rien bu. Rien du tout.
- Quel est le problème, alors ?, l'interrogea le détective, suspicieux.

Doué d'obscurs talents de prémonitions – ou d'une meilleure connaissance du genre humain que son ex-colocataire -, John leva les yeux au ciel. Il venait de comprendre la source de l'embarras.

- Greg. Tu n'as pas à reprendre le travail si tu ne te sens pas prêt.
- Evidemment que si !, commenta Sherlock, exaspéré par la situation.

Lestrade souffla bruyamment, mécontent d'avoir à expliciter sa pensée.

- Je ne sais pas… Je ne sais pas quoi penser.
- Dans ce cas, c'est que tu n'es peut-être pas prêt à reprendre, lui conseilla John, bienveillant.
- C'est faux. Il doit juste s'y remettre une bonne fois pour toutes.

Le silence coupable de l'inspecteur acheva de sortir Sherlock de ses gonds. Empoignant sa veste, il balaya la pièce du regard.

- J'ai quelques affaires à régler. Que l'un de vous ferme la porte en partant. Vous savez l'un comme l'autre où sont les doubles des clés.

Lestrade paraissait misérable, ratatiné de fatigue et de gêne dans son fauteuil. John le regarda, désolé pour lui :

- Je sais ce que c'est. Il est très doué pour vous ruiner le moral en quelques secondes.
- Et me faire sentir comme un moins que rien, oui, compléta Greg en se débarrassant rageusement de son pansement.

John sourit tristement. Oui, j'ai connu ça.

Consignant quelques informations sur une feuille, le médecin releva la tête et formula quelques conseils d'un ton des plus professionnels.

- Ta tension est particulièrement haute. Tu devrais surveiller ça.

Lestrade éclata de rire, dévisageant John d'un regard désabusé :

- Evidemment que ma tension crève le plafond. La faute à qui, d'après toi ?

--------------

11 février 2017 – Scotland Yard, bureau de Sally Donovan

- Il ne semble pas décidé à reprendre le boulot.

Sally écouta le récit plaintif de Sherlock, contrariée de l'irruption inopinée du détective. Nerveuse, elle songea un instant qu'elle avait besoin de quelques semaines de vacances. Ou, du moins, d'un peu moins de rebondissements dans l'affaire Gregory Lestrade et ses dommages collatéraux.

- Nous ne pouvons pas aller contre sa volonté. Je l'apprécie énormément et je regrette-

Sherlock grimaçait, vexé de quelqu'un puisse prétendre entretenir une relation privilégiée avec l'inspecteur. Surtout elle.

Sally perçut son agacement, réagissant avec un commentaire sarcastique de son cru.

- Oh, c'est bon. Je ne suis pas celle qui partage des petits repas en tête à tête trois fois par semaine avec lui. Pas besoin de faire une crise de jalousie.
- Je ne vois pas où vous souhaitez en venir.
- Moi non plus. Je ne préfère pas y songer, en tout cas.
- Je m'occupe de lui, se défendit Sherlock, supportant difficilement les insinuations du Sergent.
- J'essaie, également. Raison pour laquelle je renonce à l'idée de lui imposer quoique ce soit. Le contraindre à reprendre, c'est le jeter dans la gueule du loup. Autant lui tendre une bouteille de scotch tout de suite.

Refusant l'idée d'accorder davantage d'attention à son insupportable visiteur, Sally baissa la tête sur de la paperasse. Paraphant quelques documents, elle poursuivit son explication d'un ton distrait.

- Vous le voulez ici, pour retrouver vos vieilles petites habitudes et magouilles sur lesquelles il fermait les yeux ? D'accord. Si vous insistez un peu, il le fera. Mais soyez prêt à en assumer les conséquences.

Sherlock se mordit les lèvres, écoutant attentivement mais avec une distance hautaine.
- Merci pour vos précieux conseils.

Il fit son deuil : ni John ni Donovan ne l'aideraient à convaincre Lestrade de reprendre. Avant qu'il ne quitte son bureau, Sally le gratifia d'un autre commentaire.

- Très bien. Si vous en voulez un autre, écoutez : laissez le temps faire son œuvre.

---------------

11 février 2017 – 221B Baker Street, tard dans la soirée

Affalé dans le sofa, avec la solitude pour seule compagnie, Sherlock ruminait les évènements décevants de la journée. Son plan connaissait quelques accrocs dernièrement et mettait en péril l'entièreté son dessein.

Agacé par l'attitude de poule mouillée de Lestrade, la compassion ennuyeuse de John et l'immobilisme imbécile de Donovan, Sherlock s'avouait dépourvu d'atouts dans cette nouvelle bataille.

Posé sur la table basse à quelques centimètres de lui, son téléphone s'illumina. Jetant un coup d'œil suspicieux sur l'écran, il ne fut guère étonné de l'identité du trouble-fête.

- John ?

La voix du médecin grésillait légèrement.

- Je me suis dit qu'un petit coup de fil s'imposait.
- A quel sujet ? Rosie va bien, n'est-ce pas ?
- Très bien. Elle dort à poings fermés. Sérieusement, tu n'as pas la moindre idée de la raison pour laquelle je t'appelle ?
- Lestrade, forcément.

Le silence à l'autre bout du téléphone lui fit comprendre qu'il avait raison. Une fois de plus.

- Ecoute, après la scène de ce matin… Je pense qu'une petite discussion est nécessaire.
- C'est ce que nous faisons, non ?, commenta Sherlock, exaspéré devant tant de manières.
- Entre toi et lui. Je n'ai rien, ou quasi rien, à voir avec vos affaires personnelles.

Sherlock s'étrangla presque. Personnelles ? Depuis quand sa relation avec Lestrade était devenue suffisamment intime pour que même John Watson, son meilleur ami, n'ose y fourrer son nez ?
- Misère. Donovan et toi vous faites beaucoup d'idées sur nos fameuses affaires, justement.
- Tu as demandé l'avis de Donovan ?
- Qui a exactement la même irritante opinion que toi.

John expira. Sherlock interpréta le soupir aussitôt : une longue interrogation et leçon de morale l'attendait dans les minutes à venir.

- Pourquoi souhaites-tu autant le voir retourner à son ancien poste ?
- Pour travailler avec lui. C'est évident.
- Il est sur le fil. Il a besoin de ta bienveillance, pas que tu lui colles la pression. Ce n'est de toute façon plus ton unique passe-droit à Scotland Yard, je ne comprends pas.
- J'aime travailler avec lui, reformula Sherlock, crispé de se répéter.

Le sourire de John se devina à travers la communication.

- Voilà, on touche le problème du doigt. S'il ne s'agit que de passer du temps avec lui, il existe de nombreux autres prétextes.
- Et au-delà de ça, ce serait l'issue logique de l'abandon des poursuites qui pesaient sur lui-
- Cette affaire est clôturée.
- Pas tant qu'il n'aura pas réintégré la place qui lui est due.
- Et s'il n'en voulait plus ?, envisagea le médecin. Tu vois, Sherlock, la plus belle victoire qu'on peut retirer de cette lutte, c'est de le voir épanoui et en bonne santé. Le reste, c'est futile.

Sherlock s'avouait peu à peu vaincu. John s'en voulut d'être aussi sec à l'égard de son précieux ami.
- Allez, qui sait… Il a peut-être juste besoin de temps. Il reprendra peut-être dans quelques semaines.
- Peut-être.

John s'apprêtait à interrompre cette conversation tardive. Sherlock ressentit une légère nostalgie de l'époque où il lui aurait possible de continuer leur discussion entre quatre yeux, dans le salon où il se trouvait présentement.

- Sherlock- Si je peux me permettre. Envoie-lui un message. J'ignore dans quel état d'esprit il peut être, ce soir, mais- Ce n'est jamais vain de lui montrer que tu penses à lui.

Je ne fais que ça, pesta Sherlock, réalisant que sa journée avait tourné autour de l'inspecteur.

Inspecteur qui ne voulait plus en être un.

-------------------

11 février 2017 – domicile de Lestrade

Debout au milieu de sa cuisine, Lestrade étudiait d'un œil venimeux la canette qu'il tenait entre les mains. Une vodka aromatisée, achetée à la supérette du coin. Un poison comme un autre, avec de jolies couleurs sur l'étiquette.

A quoi bon ?, s'interrogea-t-il en la faisant tourner, lisant les avertissements présents sur l'étiquette quant à la consommation de boissons alcoolisées.

Il refusait de reprendre le boulot. Il ne s'en sentait pas capable. Il en ignorait les raisons exactes. Il traînerait sûrement une réputation peu glorieuse pendant quelques temps dans les couloirs, il s'en doutait. Il s'en fichait néanmoins.

La prise de sang effectuée ce matin se chargerait de rétablir la vérité. Il était sobre.

Les choses seraient peut-être différentes d'ici quelques secondes, songea-t-il en ouvrant la boisson.

Quelques gorgées suffiraient à compromettre son prochain examen. Il serait alors naturellement écarté des fonctions pour une durée indéterminée. Peut-être définitivement si sa direction était dotée d'un minimum d'intelligence.

Il sursauta soudain. Dans sa poche, son téléphone venait de vibrer à trois reprises.

« Baker Street, demain, Sept heure. »

Sherlock Holmes. Un deuxième message.

« Sept heure. Précise. »

Un dernier.

« Bonne nuit. »

Greg sourit, amusé par l'autoritarisme non-dénué de tendresse du détective. D'une main, il renversa la vodka fruitée dans l'évier, laissant le poison filer vers les égouts. De l'autre main, il composa un message simple mais lourd de sens.

« Merci Sherlock. »

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Kami 2.0 || «Il ne faut jamais faire de littérature, il faut écrire et ce n'est pas pareil.» C. Bobin

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 Sujet du message: Re: L'un après l'autre - Sherlock/Lestrade - G
MessagePosté: 29 Mar 2017 00:13 
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Heyyy Tommaso ! :)
Non, je n'ai pas oublié cette fic, et ne peux que compatir à tes soucis informatiques (ohhh voui...). :?

Citation:
J'ai changé deux ou trois trucs dans la trame

J'ai relu, certes en diagonale, les chapitres précédents et n'ai même pas vu de différence... :lol: :oops:

En tous les cas, bravo pour avoir trouvé la motivation à poursuivre après ça !!

Review... :arrow:

Héhé, John serait-il désormais médecin rattaché à l'équivalent britannique de l'IGS ? :mrgreen:

Boutade à part, l'inversion des rôles est intéressantes à observer : Sherlock plus ou moins sévère (mais on sait bien que c'est sa façon à lui de témoigner de son affection :^^:) face à Lestrade addict que tout le monde surveille avant de le laisser travailler.

Citation:
Lestrade sourcilla. Nous ? Ce pronom s'imposait de plus en plus naturellement dans leurs conversations. Il s'abstint néanmoins de tous commentaires.

:mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Bon sang ce Sherlock, quel bulldozer... Heureusement que John est là pour apaiser les choses... (note to self: se trouver un Jawny-boy pour faire office de guide en société...)

Citation:
Sherlock grimaçait, vexé de quelqu'un puisse prétendre entretenir une relation privilégiée avec l'inspecteur. Surtout elle.

:mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
("que" quelqu'un, plutôt)

Elle en sait des choses Sally ! Elle voudrait pas nous faire des petits comptes-rendus, à l'occasion ? :roll:
Mais indépendamment de son animosité (bien réciproque) à l'égard de Sherlock, elle n'a pas tort quant à l'attitude à adopter avec Greg...

Citation:
- Pourquoi souhaites-tu autant le voir retourner à son ancien poste ?
- Pour travailler avec lui. C'est évident.
- Il est sur le fil. Il a besoin de ta bienveillance, pas que tu lui colles la pression. Ce n'est de toute façon plus ton unique passe-droit à Scotland Yard, je ne comprends pas.
- J'aime travailler avec lui, reformula Sherlock, crispé de se répéter.

Ouille aïe aïe, ça m'a ramené à ma fic "All that matters to me is the work", en suspend depuis des lustres... :P :oops: :oops:

Citation:
Ce n'est jamais vain de lui montrer que tu penses à lui.

Je ne fais que ça, pesta Sherlock, réalisant que sa journée avait tourné autour de l'inspecteur.

Ah, mon petit Sherlock Holmes, à jamais un de mes plus forts alter ego fictionnels...

Citation:
Une vodka aromatisée

Déjà que ce type de boisson est un peu traître (de toute façon, quitte à boire de la vodka, autant se faire un bon bloody Mary !) dans un contexte "sain" (d'où moins je trouve... *lointain souvenir de soirée*), alors dans un cas de sevrage je trouve ce choix fort à propos. :?

Citation:
Quelques gorgées suffiraient à compromettre son prochain examen. Il serait alors naturellement écarté des fonctions pour une durée indéterminée. Peut-être définitivement si sa direction était dotée d'un minimum d'intelligence.

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YOU'RE A BLOODY IDIOT LESTRADE!

Citation:
Greg sourit, amusé par l'autoritarisme non-dénué de tendresse du détective.

Hihi, quelle princesse ce Lestrade, son homme il l'aime viril et tendre à la fois.
:mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Merci pour ce chapitre ! :D :D

Mais où est :suite: :suite: :suite:

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