Rien n'est a moi a part l'histoire et je ne fais rien avec ce que j'ai écrit.
Ce petit bout d'histoire pour avoir un apercu des pensées de Nasir pendant la disparation de son amant.
Mon coeur se meurt
J'avais pris la place d'Agron en tant que commandant.
Ça m'évitait de penser qu'il n'était plus à mes côtés.
Mon altercation avec le silicien m'avait fais réfléchir et permis de sortir ce que je gardais en moi. Depuis que Naevia m'avait apprit que mon amant était passé dans l'au delà au même titre que Crixus.
J’espérais cependant que sa fin aie été plus glorieuse que celle du gaulois. Mais la pensée que j'aurais du être à ses côtés me hantait. Jamais je n'aurais du le laisser partir sans moi.
Spartacus m'avait pris en aparté avant de me proposer le poste de mon amour, il se doutait de ce que je pensais.
Il eu bon insisté sur le fait que ce qui s'était passé n'était en rien de mon erreur.
Mais malgré ses paroles, je ne pouvais empêcher les remords de me dévorer chaque instants un peu plus.
Quoi qu'on puisse dire, j'aurais du être avec lui et assurer ses arrières.
Nous avions toujours fonctionné ainsi, s'assurer de la vie de l'autre avec assez de confiance pour confier sa vie à celui qui détenez son âme.
Il disait souvent que j'étais son gardien, qu'il tuerait quiconque tenterais de me prendre de ses bras, que cela puisse être Jupiter lui même n'aurais rien changé à sa promesse.
Sa fougue avait toujours avivé le feu de mes reins.
J'avais compris ses paroles quand il m'avait demandé de rester avec notre leadeur. Je savais qu'il aurait tous fais pour me protéger du joug romains.
Mais maintenant il n'était plus là et je devais me faire une raison.
J'avais pus déverser ma rage dans les jeux que le Thrace avait organisé pour célébré ceux tomber dans la bataille du gaulois invaincus qui n'en avais plus maintenant que le nom.
Et j'avais été plus que surpris quand ma sœur de douleur laisse la vie à celui qui avait pris celle de son cœur.
Ce n'avait été qu'après, lorsque notre chef nous réunis pour une urgente réunion, que j'apprenais que ce traite de César avait été envoyé avec un marché de la part de l'imperator romain.
500 des notre contre la vie du gosse.
Nous ne pouvions pas refuser, personnes ne méritait de périr sous une main romaine.
Cela avait pourtant été en passe de s'effondrer quand une femme avait ôté la vie à la progéniture de Crasusse.
Cependant l'échange eu tout de même lieu quand, d'elle même, elle se proposa en compensation en plus du corps du rejeton.
Et c'est sans espoirs que j'assistais avec Naevia au retour de ceux relâcher.
Le cœur lourd sachant que je n'avais personne à attendre, à aimer.
-Si celui à qui je tenais était parmi eux...
Mes pensées moroses furent cependant interrompues par celui qui cherchait mes faveurs depuis son arrivée.
Il attira mon attention sur quelqu'un qui prenait appuis sur l'épaule de Spartacus pour pouvoir avancer.
Mon cœur mort recommença à battre quand je reconnus celui qui était tout pour moi.
Ces putains de romains ne l'avaient pas épargné et c'est dans un piteux état que je retrouvais ma vie.
En posant ma main contre sa joue je réussis a articuler:
-Les dieux te font revenir dans mes bras.
-J'ai été idiot de les laisser.
L'émotion menaçait de me submerger à tout instant. Je ne pouvais pas croire qu'il était en vie.
Pourtant son corps contre le miens, sa chaleur, son souffle était autant de preuve que je puisse avoir.
Il m'avait été rendus, je pouvais enfin recommencer a vivre.
FIN