Aloha chère lecteurs et lectrices !
Je viens vous faire part de ma première Songfic ( et première fic tout court xD) avec la chanson
Si tu Pars de Matt Pokora.
Fiction pondu fraichement hier soir tardivement ^^' voilà je ne vais pas faire de blabla bien longtemps et je vais vous laisser lire, espérant des commentaires positifs et négatifs (il en faut bien), si vous en avez.
Bref, à votre lecture
Et merci a Lulu pour son premier avis
<3
Attention ! Les personnages utilisés dans cette fanfiction ne m'appartiennent pas, ils sont la propriété de leurs auteurs respectifs. De plus, je ne connais pas les personnages réellement existants et je n'ai aucune prétention à raconter leur vie privée : c'est de la pure fiction, rien de ceci ne doit être considéré comme vrai ! Enfin, qu'il soit bien clair qu'aucune fanfiction n'est publiée dans un but lucratif, je n'en tire aucun profit.
Voilà la chanson
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http://www.youtube.com/watch?v=VsBYWm7ENhE~~~
L’obscurité m’envahissait presque entièrement, seule la lumière de la télé allumée m’éclairait. Visage triste dont les joues laissait apercevoir le trajet de mes larmes. Je venais de m’asseoir dans mon canapé, la chaîne des clips « déprimes » étaient en marche. Je savais que ça ne servait à rien de me morfondre, il avait fait un choix, mon brun était parti voir un autre. Il avait fait son choix : lui et pas moi. Il avait rompu et je ne pouvais faire marche arrière, c’était bel et bien terminé. McGarrett était parti.
Les premières notes de la musique retentirent, je savais que j’aurais dû changer de chaîne, je devrais changer de chaîne, mais c’était plus fort que moi. Je savais que cette chanson française collait avec mon histoire mais pourtant, je décidai de ne rien faire mise a part boire ma bière que je tenais entre mes mains.
« Fini le voyage
Passer cette porte et c’est un naufrage
Ferme est ton visage
Je n’étais en sorte qu’un ange de passage »
C’est exactement ça Matt. Il avait disparu derrière ma porte, lui ce grand Seal. Mon ancre, ma bouée m’avait lâché et je divaguais dans le naufrage de mes sentiments. Moi, simple petite aventure de passage comparé à l’idylle qu’il vivait avec cet homme.
« Comme laissé pour mort
Seul dans ce décor
Le corps en otage
Et par dessus bord
Il faudrait encore trouver du courage »Je ne trouvai rien à dire, rien à penser, je continue mon écoute, essuyant les dernières larmes qui perlaient au coin de mes prunelles.
« Si tu pars
Regarde moi dans les yeux avant
Si tu pars
Jure moi si tu pars
Jure que c’est ce que tu veux vraiment
Si tu pars . »Oh. Il ne l’avait pas juré concrètement mais ses yeux avaient parlé. Ses yeux océans, si envoûtant que je m’y perdais à chaque fois que je les contemplais ! Il avait franchi ma porte de maison avec un dernier regard, un regard d’adieu, je le sais mais je continue à espérer son retour.
« Voler en poussière
Les mots que j’implore le geste que j’espère
Ouvrir les paupières
Voir que c’est encore lui que tu préfères
Après tout qu’importe puisque tu m’enterres
Je me croyais fort
Je n’étais alors qu’un ange éphémère »Combien de fois je suis restée allongée dans mon lit, les prunelles closes, priant que ce n’était qu’un cauchemar ? Qu’en ouvrant les yeux je te retrouverais de nouveau contre moi, tes lèvres dévorant les miennes, parcourant ma peau. Mais à chaque fois que je regardais dans la pièce, cette vérité cruelle s’imposait à moi. Tu le préfères à moi. Ton meilleur ami, celui avec qui tu partages tout dorénavant. Je ne pouvais rivaliser avec cet homme. Un ange.
Ton ange.
« Si tu pars
Regarde moi dans les yeux avant
Si tu pars
Jure moi si tu pars
Jure que c’est ce que tu veux vraiment
Si tu pars
Si tu pars
Si tu pars
Si tu pars
Regarde moi dans les yeux avant
Jure moi si tu pars
Jure que c’est ce que tu veux vraiment
Si tu pars »
Le clip s’achevait sur le refrain, je me mis sur mes pieds, me dirigeant vers mon bureau où un dossier de demande de mutation trônait, je l’ouvris et attrapa un stylo.
Si je faisais cette demande, c’était dans le but de m’éloigner de tout ça, que je l’oublie, il était heureux maintenant avec Danny et malgré la douleur et la tristesse, j’étais heureuse que ce sois avec lui qu’il décide de passer le reste de sa vie.
Je regardai la feuille blanche et complétai les cases destinées à être rempli :
« Lieutenant Catherine Rollins » - pour ce qui concernait mon identité- . Je remplis rapidement le reste du formulaire, demain matin, je le déposerais dans le bureau de mon supérieur, espérant qu’il accepte ma requête.
Sentant la fatigue tomber sur les épaules je montai mes escaliers et me glissais sous les draps, sachant qu’à quelques kilomètres, le brun et le blond faisaient de même.
Et j’avais raison…Voilà,
Des avis ?