Forum - Le Monde du Slash

oui je sais ce que tu en penses mais tu sais que j'adore lire tes coms^^, la suite très bientôt

ps j'adore ta signature

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Qu'est-ce qu'un homosexuel? Un homme qui a tout compris aux femmes. Olivier de Benoît.

Hiiiii chouette !!
"Très bientôt" genre "dans 5 minutes" ? *boulet* oui, je sais, pardon ... xD C'est parce que j'ai hâte d'avoir plus de nos adorable fiancés ! Et je voulais te demander ... est-ce qu'on aura droit au mariage (la cérémonie et tout) ? Tu vas l'écrire, ça ?

Ps: c'est des chibis, j'adore ça, c'est trop chou

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"Les blagues pourries, le Nutella et le Slash." A way of life.
"La joie de vivre et le jambon !" - "Le gras, c'est la vie." (Karadoc, Kaamelott)

non je ne compte pas faire le mariage, mais autre chose ^^

ps : j'adore aussi les chibis

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Qu'est-ce qu'un homosexuel? Un homme qui a tout compris aux femmes. Olivier de Benoît.

suite ^^

Le Général O’Neill venait de faire son discours devant les atlantes et le peuple de Chimaku. Des couples heureux de cette nouvelle se montraient à la vue de tous. John en avait aussi profité pour embrasser Rodney. A ce moment là un cri de joie éclata et des voix lançaient ‘’ à nous l’argent’’, ‘’ on a gagné’’. Rodney se rappelait que Lorne lui avait parlé d’un pari sur eux. Il souriait dans les bras de son colonel.
- Tu étais au courant mon cœur ?
Le canadien le regarde en souriant
- J’en avais entendu parler, plusieurs paris ont été faits sur nous.
- On est le couple phare d’Atlantis, c’est normal
Le sourire narquois de John le fit soupirer et craquer.

Une heure plus tard, Sga1, le Général O’Neill, le Docteur Jackson, le major Lorne et le docteur Beckett, se trouvaient sur Chimaku.
Sheppard avait lui aussi une déclaration à faire. Déclaration qui donnait les larmes aux yeux à Mckay.
-Maoh, j’aimerai avant la lune sanglante
Le canadien se sentait mal, John ne voulait plus de lui ?
- Reformuler mon engagement envers Rodney
Le scientifique était confus
- Je veux qu’il soit mon fiancé pour toujours et même plus
Rodney laissa une larme glissait sur sa joue ronde
-John
Le maoh sourit
- si le docteur Mckay accepte, il doit vous gifler à son tour, ainsi vous serez uni selon les termes de la congrégation chimakienne.
John regarde Rodney et essuie sa larme
- Mon cœur, veux tu rester mon homme, mon amant, mon fiancé et me supporter jusqu’à la fin ?
Le scientifique canadien, connu pour être exécrable se met à pleurer en répondant un oui enroué.
John l’embrasse tendrement avant de tendre sa joue. Rodney le gifle.
Les cries de joies résonnaient à nouveau. Un baiser était échangé.

Le docteur Jackson se penche vers le Général O’Neill.
- Quand tu m’as dis que tu devrais me gifler, tu voulais dire ?
Jack regarde Daniel
- il serait peut être temps que tu te rendes compte de mes sentiments, tu ne penses pas ? Presque dix ans Daniel.
-Jack
Le Général se penche vers le docteur et l’embrasse tendrement. Daniel pose une main sur la joue droite du Général pour répondre au baiser.
Après son étreinte avec son ‘’mari’’, Rodney regarde son meilleur ami Carson et l’amant de ce dernier.
- Alors major, gifle ou pas gifle ?
L’écossais était rouge. Le militaire qui avait enlacé ses doigts avec ceux du médecin le regarde
- j’aimerai gifle, mais je ne suis pas le seul à juger.
L’écossais le regarde rougissant
- je veux être avec toi Evan
Rodney sourit, son ami avait trouvé un adorable amour.
Le colonel Sheppard enlacé plus fortement son scientifique. Ce dernier sourit.
- ne sois pas jaloux comme ça
- tu es mon fiancé, mon homme à moi, et même si je sais que tu ne ressens que de l’amitié pour notre bon docteur, je n’aime pas vous voir trop proche.
Rodney se tourne dans ses bras et lui prend un baiser.
- Tu es le seul que j’aime chaton.
OoOoOoOoOoOoO
Quelques heures plus tard…
En revenant sur Atlantis, après un repas digne des rois sur Chimaku, le Général O’Neill avait pris congés avec le Docteur Jackson pour se retirer dans leurs quartiers. Le docteur Beckett devait prendre la relève à l’infirmerie. Zelenka avait demandé de l’aide à Mckay car il y avait du nouveau sur un artefact. Lorne et Sheppard avaient décidé d’aller voir un match dans la salle de repos.

Rodney n’en pouvait plus, il avait hâte de retrouver son homme. Il pouvait avant passer la nuit dans son labo, mais à présent, rien qu’une heure seul sans son colonel, il était malheureux. L’amour ne lui allait pas. Si, il aimait ce sentiment. C’est donc tout sourire et extatique qu’il entrait dans leur quartier.
Tout sourire disparu de son visage. Cette journée si bien commençait finissait dans la peine et la déchirure.
John était là, en boxer, torse nu, avec cette maudite ancienne sous lui.

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Qu'est-ce qu'un homosexuel? Un homme qui a tout compris aux femmes. Olivier de Benoît.

J'vais te répéter la même chose: Pourquoooiiii ?? qu'est-ce qui se paaaaasse !!??
Mais John, franchement ... Oh et puis crotte, Shep prends ça:

Alors, ton "autre chose", me dis pas que c'est une séparation ? Tu veux un suicide collectif après ton meurtre ?
Oooh pitié, dis moi que ça va pas se passer comme ça! Cet abruti est complètement bourré ou possédé ou je sais pas ...

La suite vite, pleeeaaase ! J'vais m'arracher les cheveux en attendant ! Regarde ce que t'as fais de moi, déjà:

Mdr ! Non, sérieusement: je trépigne, j'ai hâte d'avoir la suite !
Bravo pour le rebondissement, en tout cas, tu m'as prise au dépourvu

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et voilà ^^

Le militaire se lève précipitamment
- ce n’est pas ce que tu crois mon cœur
Le sarcastique docteur Mackay était de retour et un rire amer sort de sa bouche.
- oh vraiment ? Colonel vous avez perdu votre pari. Je regagne à présent mes quartiers, cette mascarade est terminée.
- Rodney !
Mais le canadien était partit.
Dépité, le cœur en miette, Rodney s’est dirigé vers ses anciens quartiers. Il n’avait pas le courage d’aller se confier à Carson. Ce dernier était heureux et il ne voulait pas gâcher sa joie avec sa peine.
Il était là dans ses vieux quartiers froids de célibataire, et encore seul, il éclatait en larmes son amour trahit.

De son côté le militaire fulminait, il criait contre cette ancêtre.
- de quel droit venez-vous détruire ma vie comme ça
- mais John
- Non Chaya ! Je n’ai plus de vos nouvelles depuis presque deux ans ! Et là quand je suis enfin heureux, vous venez tout gâcher ! Si je le perds par votre faute…
Le militaire ne trouver pas de menaces assez fortes contre un être inexistant de corps.

Une heure plus tôt
N’arrivant pas à se concentrer sur l’action des passes, Sheppard quittait Lorne pour ses quartiers et se préparait à passer une bonne nuit dans les bras de son aimé. Il était passé au mess prendre une part de gâteau au chocolat que son homme adoré ainsi qu’une bouteille d’alcool athosien. Il avait demandé à Atlantis de baisser les lumières, donnant ainsi une ambiance tamisée. Il avait pris une douche, et attendait son amant sur leur lit, en petite tenue. Mais l’ambiance douce le faisait sommeillée, ainsi que l’odeur de son homme sur l’oreiller.
En sentant un effleurement sur son épaule il avait sourit. Mais quand il sentit des doigts manucurés, il avait ouvert les yeux pour voir cette femme. Elle avait voulu l’embrasser, il s’était éloigné et il l’avait retenu pour qu’elle ne s’approche plus de lui. C’est à ce moment là que son homme était entré.

A présent…
John s’était rhabillé et il cherchait Rodney. Il ne voulait pas le perdre. Il l’aimait plus que tout. Il avait eut du mal à se l’avouer mais maintenant qu’il assumait être amoureux, il ne voulait, à aucun prix le perdre. Il n’imaginait plus sa vie sans lui. Cette après midi il était sincère, son alliance voulait dire quelque chose. Il était uni au scientifique canadien.
Quand il entre dans les anciens quartiers de son fiancé et le trouve en boule sur le lit, et qu’il entend ses larmes, une profonde rage contre l’ancienne le prend et surtout, il lui en veut de faire du mal à cet homme merveilleux. Il s’approche et s’assoit à ses côtés. Puis lentement, il le prend dans ses bras.
Si au départ, le canadien le repousse, l’odeur musqué mais doux de son amant l’apaisé.
- je te jure mon cœur ce n’est pas ce que tu crois. Je t’aime. Plutôt mourir que te tromper.
- mais, elle… tu
John le serre fort contre lui et lui explique la situation.
- tu as su que ce n’était pas mes doigts ? demanda en se calmant le canadien
- je connais tout ton corps et je ne veux plus qu’une autre personne ne me touche.
Le scientifique esquisse un petit sourire.
- j’ai cru que tout n’était que mascarade, qu’un jeu.
Le militaire l’embrasse amoureusement.
- Au départ oui, mais voir qui tu es réellement m’a fait t’aimé. Je suis fou de toi.
Les quartiers froids se réchauffèrent lentement sous l’ambiance sulfureuse qu’en dégageaient les deux hommes.
John avait allongé Rodney sur le lit tout en l’embrassant, ses mains sous son tee shirt.
Rodney ne doutait plus de John, il était sûr de lui. Sa voix, son regard, tout prouvé qu’il disait vrai. Et c’est avec amour qu’il s’est donné à lui.

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Yeessssssssss !

Tu le sais, ça c'est moi :

Soulagée ! Pfiou ... La vache, la trouille que j'ai eu, quand même !
Merci !

C'est vrai que ça aurait été dommage, ils sont tellement mignons

PS: Je me remettrai jamais de la mouille de John dans la deuxième vignette de ta bannière ... La tête de cocker triste, quoi, hihi trop mimi

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C'est tellement attendrissant!

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by Christie
L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-même de ce qu'on a fait de nous (JP Sartre)
Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles (O. Wilde)
Un artiste n'est jamais morbide. L'artiste peut tout exprimer (O. Wilde)

Les soleils se levaient, leurs rayons illuminaient les corps d’amants enlacés aux quatre coins de la cité d’Atlantis.
Le colonel Sheppard effleurait du bout des doigts l’épaule ronde de son homme. Il voyait son alliance brillait sur la peau laiteuse, douce, tendre…
- bonjour chaton
John sourit
- bonjour mon cœur
- tu es réveillé depuis longtemps ?
- pas assez pour profiter de toi dans ton sommeil
Rodney sourit et s’approche pour embrasser tendrement son homme.
- idiot… il ne fait pas chaud ici
John le serre dans ses bras
- même si j’ai envie d’un autre câlin, si on allait avant dans nos quartiers
Un baiser sur la joue
- notre lit
Un baiser dans le cou
- allons-y vite
John sourit. Rodney était autant doux qu’impulsif en tant qu’amant, mais il était même sur le terrain, très impatient.
En moins de temps qu’il en faut pour le dire, ils s’étaient habillés et couraient presque vers leur quartier, qui était heureusement pour eux pas très loin.

Un peu plus tard, le couple phare, se dirigeait main dans la main vers le mess quand une voix cinglante se faisait entendre
- je peux savoir ce que vous faites colonel Sheppard ? Vous exhibez ainsi avec un autre homme.
John allait répondre quand une voix encore plus méprisante se faisait entendre
- Colonel Caldwell, en quoi le fait de voir un homme amoureux est il une honte ?
- Général O’Neill mais deux hommes !
Jack venaient vers eux en tenant la main de Daniel, Caldwell palissait
- vous connaissez mon compagnon ?
Le colonel le salut et pars presque en courant
- il n’a jamais pu me voir dit simplement Sheppard
- ce sont tes cheveux, il en est jaloux répond en souriant Mackay
John l’enlace
- tu te moques de moi, et en plus devant mon supérieur
O’Neill sourit
- nos scientifiques aiment nous faire tourner en bourrique colonel
Daniel se colle un peu plus à lui
- tu ne t’en avais jamais plain
Sourire, baiser, rire égayait le couloir de la cité d’Atlantis.

Un an.
Un an qu’ils étaient ‘’marié’’ selon les termes de Chimaku.
Un an de douceur, de peur, de tendresse, de stress, de promesse, mais surtout d’amour. Et ce n’était que le début…


FIN

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Gniii hihi
Va te rhabiller, Caldwell, t'es off, là ! La tristesse du gars, tocard, va ! Merci Jack, tu déboîte !

Superbe cette fic, j'ai adoré du début à la fin ! La gifle et le pari qui suit, ça reste culte, quand même

Et puis ils sont troooop MIGNONS !

Merci d'avoir partagé cette histoire avec nous ! Si tu penses en faire d'autres dans le genre, fais péter !

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Merci de m'avoir suivi jusqu'au bout

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Mais...mais...c'est finiiiii
bien fais pour caldwell faut pas chercher la petite bete "fin petite "

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Raaaaaahhhhhh lalalalalalalala, ça n'est pas la 1ère fois que je lis cette fic mais qu'est-ce que je l'adore. Voir les deux hommes pris au piège et l'évolution de leurs sentiments. J'A-DORE !!!!!

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merci c'est tres gentil , ça me fait tres plaisir.

Une nouvelle version plus approfondi se fera mais pas ici

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