Hey, je voudrais vous présenter un petit OS qui m'est venu par une inspiration divine, sous la douche.
J'espère que vous prendrez plaisir à lire, tout autant que j'en ai eu à l'écrire!
J'ai bien rigolé et j'espère que ça vous donnera le sourire! 
Place au texte! Azyline
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Sam et la pire de toutes les idées que Dean ait jamais eu
Dans les chasses, une des choses que Sam préférait, en dehors de fureter dans les bibliothèques pour obtenir des informations, ou de critiquer Dean sur son alimentation saine et équilibrée, était de porter des déguisements.
Se présenter comme un agent du FBI, ou comme un marshall, pouvait changer en une fraction de seconde le regard des gens. Ils passaient des mecs un peu bizarre, des étrangers venus pour on ne savait quelle raison à deux mecs hyper séduisants, en mission spéciale pour le gouvernement.
Et il fallait bien l’avouer, c’était cool!
Donc Sam aimait vraiment réfléchir aux fringues que Dean et lui allaient porter pour mener leurs enquêtes.
Mais là...
Il avait touché le fond.
— Dean, tu ne me feras
JAMAIS porter ça, tu m’entends?
— Allons Sammy, ça t’ira à merveille, je t’assure!
— Te fous pas de ma gueule! Et pourquoi tu ne le ferais pas toi?
— Tu as très bien remarqué, tout comme moi, que Mlle Fringels me dévorait littéralement du regard lorsque nous l’avons vue hier. Et elle a bien insisté pour que je revienne la voir «si jamais j’avais ne serait-ce qu’une seule question». Or nous avons justement quelque chose à lui demander. Mais, il faut bien que les recherches sur place avancent aussi! Donc tu vas le faire.
— Dean... grogna Sam, menaçant. C’est pas ça le problème, tu le sais très bien.
Les yeux de Sam lançaient des éclairs, et si ceux-ci avaient pu tuer, Dean aurait déjà péri depuis bien longtemps. L’ainé des Winchester quant à lui, regardait son cadet, un énorme sourire sur les lèvres, complètement goguenard.
Bon puisque la méthode «je-te-jure-que-si-tu-oses-me-faire-ça-je-te-tuerais-à-petit-feu-avec-ton-cher-beretta» ne fonctionnait pas, il fallait qu’il passe aux choses sérieuses.
Dean le cherchait, et il allait le trouver! Il ne s’appelait pas Winchester pour rien, non mais oh!
— Non, tu ne m’auras pas Samantha, pas la peine de me sortir ce regard de chien battu!
Sam persévéra tout de même.
En l’espace de 20 ans, Dean n’avait jamais résisté à sa spécialité, les fameux puppy eyes. Et Sam comptait bien lui démontrer que «jamais» s’appliquait aussi maintenant.
— Ne cherche pas, je te jure que cette fois ça ne marchera pas. J’ai tellement envie de te voir porter ce costume ridicule que je vendrais mon âme au diable!
Allez, encore un petit effort, tu peux le faire Sammy!
— Ah ah, allez, enfile cette salopette, met cette perruque sur ta tête, et ces savates à tes pieds. Et comme je suis un merveilleux grand-frère, je te ferai le plus immonde de tous les maquillages de clown!
Sam le regarda droit dans les yeux, plus meurtrier que jamais.
— Je te HAIS!
FIN
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