Erf... Double post... Mais c'est pour la bonne cause (ouais, 5000 dollars pour la bonne cause ^^)
Parce que voilà, vous m'avez tellement bourrer le mou avec vos
et vos
que j'ai pas arrêté d'y penser...
J'espère que vous ne serez pas déçu...
Voici ce qui s'est passé après la vente aux enchères
**********
Ils avaient quitté la vente aux enchères sous les sifflets amusés et les encouragements, un peu bruyants et extrêmement gênants, de leurs amis.
Une fois devant la Camaro, Steve avait attrapé Danny par le bras, l'enveloppant dans une étreinte serrée mais réconfortante, avant de poser sur ses lèvres un baiser timide, pour tester la température. Ensuite, ils étaient restés là, pendant plusieurs minutes, les yeux fermés, front contre front, sans trop savoir quoi faire.
— Un dernier verre, Danno ? murmura Steve contre les cheveux du blond.
— Avec plaisir, babe !
Le silence dans la voiture était étrange, mais pas inquiétant. Chacun des hommes étant perdu dans ses pensées. Danny se demandait comment il avait pu laisser les choses lui échapper, pas qu'il s'en plaignait... Mais quand même, devant tout ce monde ! Et Steve semblait sur un nuage, encore trop sonné pour prendre toute la mesure de ce que cela impliquait, pour lui, pour Danny, pour le 5-0...
Ils échangeaient des regards heureux et des sourires timides, comme deux adolescents le soir de leur bal de promo. De temps en temps, Danny posait la main sur celle de Steve, quelques secondes, pas plus, pour être certain d'être dans la bonne réalité.
Une fois arrivés chez Steve, ils se mirent à l'aise, enlevant chaussures et vestes et dénouant leurs nœuds papillon. Danny se laissa tomber sur le canapé en se passant les mains sur le visage pendant que Steve s'affairait dans la cuisine.
Le brun revint en portant un seau à champagne et deux flutes, et Danny haussa un sourcil.
— Champagne, Steven ? Vraiment ?
— Et bien... Disons que c'est pour éviter de faire des mélanges. Je ne voudrais pas que tu aies une gueule de bois le lendemain de notre premier rendez-vous.
— Premier rendez-vous ? Tu oublies toutes les fois où j'ai fini ici après une enquête pour boire une bière, ou notre randonnée malheureuse aux Pétroglyphes, ou notre charmante croisière pour aller récupérer Wo-Fat sur son bateau, ou...
— Si on pouvait éviter de parler de Wo-Fat ! Et puis bon, ok, disons que c'est notre premier rendez-vous officiel ! fit Steve en lui tendant une coupe.
Danny attrapa le verre et sembla réfléchir un moment.
— Ok, babe... A notre premier rendez-vous officiel alors !
Ils firent tinter les coupes l'une contre l'autre et burent une gorgée. Steve s'assit près de Danny et passa son bras sur le dossier du canapé juste derrière la tête du blond. Danny lui sourit, rougit un peu et se concentra à nouveau sur son champagne.
Williams avait toujours pensé, connaissant l'animal près de lui, que leur premier baiser aurait eu lieu au milieu d'une fusillade, ou d'une prise d'otages, enfin, au milieu de n'importe quelle enquête qui aurait fait exploser leur taux d'adrénaline. Mais finalement, c'était mieux ainsi. Ils étaient détendus, bien qu'un peu nerveux, et pleinement consentant l'un comme l'autre.
Il ouvrit les yeux, qu'il ne se souvenait pas avoir fermé, et tourna la tête, rencontra le regard mi-inquiet, mi-tendre de Steve. Ils échangèrent un sourire, rougirent, puis éclatèrent de rire en même temps.
— Regarde-nous, Danny. D'habitude, on a aucun problème pour se parler, se chambrer, voir se toucher... Et puis maintenant...
— Je sais babe, je sais... Ne crois pas pourtant que je veuille revenir sur ma décision. C'est un truc dont j'ai envie depuis un moment...
— J'en ai envie aussi, Danno, murmura le grand brun en lui prenant la main.
— Mais c'est pas une raison pour précipiter les choses, non ? Enfin, je sais pas... Je suis prêt. Je sais que je suis prêt... Mais... Je sais pas... Ca doit être les circonstances...
Danny était à court de mots, et c'était bien la première fois que ça lui arrivait. Steve sourit et se pencha, posant un baiser sur la joue du blond.
— On va y aller doucement, Danny. On a le temps tu sais. Je ne veux pas foirer ça. Pas avec toi.
— Ok, fit Danny.
— Ok, fit Steve.
Le blond se rapprocha un peu plus et posa sa tête sur l'épaule tatouée. Steve resserra son bras autour de lui, et les deux hommes restèrent silencieux pendant un moment.
— Qu'est-ce qui s'est passé avec Millicent Rogers ? demanda soudain le marin.
Danny éclata de rire, renversa un peu de champagne sur sa chemise et jura.
— Oh putain, Millicent Rogers. Intelligente... Jolie... Mais flippante à souhait. Elle a passé l'année scolaire à me harceler.
— Harceler ? Tu y vas un peu fort quand même, dit Steve en riant.
— Non, pas du tout. Du harcèlement. Elle m'attendait à la fin des cours, à la fin de l'entrainement de baseball. Elle avait réussit à faire chanter une de mes sœurs pour avoir mon emploi du temps. Du harcèlement je te dis. Quand elle a eut connaissance de la vente aux enchères pour le voyage, elle s'est mise à faire toute une série de petits boulots pour mettre de l'argent de coté.
— Combien ?
— 1000 dollars. J'ai rapporté 1000 dollars à l'équipe.
Steve laissa échapper un long sifflement d'appréciation.
— Effectivement... Et comment s'est passé le rendez-vous ?
— Une horreur, elle m'a trainé dans tous les endroits qu'elle fréquentait pour me montrer, et se montrer par la même occasion. Flippante je te dis. Quand enfin, le rendez-vous s'est terminé, et qu'elle a voulu que je l'embrasse, j'étais tellement fatigué, et stressé par cette journée pourrie que j'ai vomi sur ses chaussures...
McGarrett s'étouffa sur une gorgée de champagne et se redressa pour mieux tousser.
— Hey, hey... Doucement, babe... Respire doucement ! murmura Danny en lui frottant le dos. Voyons le bon côté des choses, elle m'a lâché la grappe après ça.
Steve retrouva son souffle et se tourna vers Danny. Les yeux du brun, ce soir, avaient une étonnante couleur noisette et le blond se perdit dedans.
Steve se mordit la lèvre inférieure un instant puis se rapprocha un peu.
— Danno... Si j'essaie de t'embrasser maintenant... Tu ne vas pas me vomir dessus, hein ? murmura le marin dans un feulement.
— Non... Aucun risque, répondit Danny en se rapprochant à son tour.
Leurs lèvres s'effleurèrent tout d'abord. Légèrement, délicatement. Puis Steve passa une main dans la chevelure blonde et ses lèvres appuyèrent un peu plus sur celle de Danny. Le blond soupira, entrouvrit la bouche pour en permettre l'accès et posa une main sur la joue du brun.
La langue de Steve s'enroula lascivement autour de celle de Danny, effectuant un tendre massage, capturant le gout du blond. McGarrett se pencha un peu plus et Danny glissa le long du dossier en laissant échapper un gémissement de surprise.
— Désolé... Ca va trop vite ? Tu veux qu'on s'arrête ? demanda Steve en haletant.
— Je te promets que si tu t'arrêtes maintenant, je te descends, répondit Danny en tirant sur la chemise du brun à deux mains.
Steve ricana, et Danny s'allongea sur le canapé en entrainant le brun avec lui. Ils échangèrent de lents et profonds baisers pendant quelques instants, puis McGarrett rompit le baiser pour promener ses lèvres sur la mâchoire de Danny avant de poursuivre le long de son cou. Le blondinet se sentit parcourut de frissons qui éveillèrent sa virilité.
— S-S-Steve..., haleta-il en tirant frénétiquement sur la chemise du brun pour la sortir du pantalon.
— Je croyais... Qu'on devait... Y aller... Doucement..., parvint à dire le marin.
— Si on y va... plus doucement... Je crois que... Je vais exploser...
— Alors arrête de parler... On parlera demain matin... Je te ferai des pancakes...
— Hum ! Soupira Danny contre la clavicule de Steve.
Le reste de la conversation se perdit dans des soupirs et le crissement des coussins du canapé qui grinçait sous eux. Les vêtements furent sommairement écartés, et les dernières craintes s'envolèrent par la fenêtre, en même temps que leurs gémissements d'extase quand ils atteignirent le Nirvana.
FIN
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bon je me calme, je bosse cet aprême sinon je risque de faire et de dire des choses que je regretterais
je t'ai eue miss ! Tout le monde demande la suite. 
C'est ... *soupirs* ... j'en perds mes mots. Je suis heureuse d'avoir insisté pour avoir la suite.
j'adore ils sont trop chous et si gauches. Deux vrais ados 
