Forum - Le Monde du Slash

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 Sujet du message: [Finie] Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 08 Mar 2010 10:33 
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Inscription: 07 Juin 2009 19:41
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Me voici avec une quatrième (cinquième ?) fic sur mon fandom du moment : Sherlock Holmes.

L'inspiration m'est, cette fois, venue d'une chanson : against all odds de Phil Collins. Si les paroles en sont le point de départ, l'histoire final est bien loin du résultat que j'avais en tête au départ et donc, fort éloignée du sens profond de la chanson. J'y fais cependant référence. (Against all odds = contre toute attente, contre toute logique, etc.)

J'espère que cette histoire vous plaira. Un peu d'action aussi, un peu de violence mais rien de choquant. :)

***
Contre toute attente.


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***

How can you just walk away from me,
when all I can do is watch you leave
Cos we've shared the laughter and the pain and even shared the tears
You're the only one who really knew me at all


***


Il arrive que nos plus sûres convictions, nos certitudes les plus intimes, soient mises à mal par des évènements tout à fait exceptionnels, fortuits ou aléatoires.
Ebranlé alors que nous étions sûrs de nous comme jamais, nous sommes alors capables du pire comme du meilleur. Tirée de son confort moral, de sa routine revendiquée, la bête qui surgit hors de nous peut être dévastatrice. Cependant, elle est la manifestation de nos sentiments les plus enfouis, les plus cachés.
Sans cette violence et cette sauvagerie, nous ne pourrions probablement jamais savoir qui nous sommes vraiment, quelles sont les émotions que nous dissimulons au plus profond de nous. Notre véritable personnalité n’est pas celle que nous faisons rayonner à notre entourage, elle est bien plus secrète, celée sous notre peau loin du regard de tous. Nous la refoulons dès le plus jeune âge, pour ne pas choquer, ne pas blesser. Peut-être simplement pour nous protéger du monde extérieur. Jusqu’à ce que cette frustration accumulée devienne destructrice.

Ce que je décris ici est la réflexion que je retire d’évènements qui ont bouleversés ma vie ; Peut-être pas en surface, mais intimement : sous ma peau, sous mon toit et là seul. Sous notre toit.

***


Depuis que la date de mon mariage avait été fixée, quelque chose dans l’air du 221b Baker Street avait changé. De la tension mêlée à un certain malaise qui me tenait à distance de mon ami, Holmes. Celui-ci passait la plupart de son temps assis dans son fauteuil, tirant de courtes bouffées sur sa pipe avant de laisser s’échapper la fumée, la crachotant en petits nuages grisâtres.

Ses yeux étaient particulièrement perçants durant ces moments de méditation, au point que je craignais parfois que quelques pouvoirs surnaturels lui permettent de sonder mon esprit. Je tâchais alors tant bien que mal de me concentrer pour lire mon ouvrage scientifique ; Cependant au détour d’une page, je sentais de nouveau cette présence oppressante. Je le maudissais alors, curieux de savoir si la télépathie fonctionnait vraiment : il n’esquissait aucun rictus ni aucun sourire, je concluais donc que ces années de cohabitation m’avait rendu paranoïaque.

C’était l’une des nombreuses raisons pour lesquelles je quitterai sous peu cet appartement bien trop exigu. En effet, même le plus des appartements bourgeois n’aurait pas suffi à nous héberger tous les trois : moi, Holmes et son égo. Ce-dernier était d’ailleurs de plus en plus étouffant et irritant. Sa mégalomanie et ses excès se déversaient sans répit sur mon quotidien ordinaire tandis qu’il semblait prendre un malin plaisir à envahir mes derniers centimètres d’espace vital. La personnalité de cet homme était telle une infection, gangrenant mon quotidien. Il me fallait me séparer de l’organe infecté ou mourir.

Bien que mes mots puissent paraître durs, je les pensais. Mieux que cela, je les pesais l’un après l’autre pour m’assurer de leur justesse. J’assumais totalement mon dégoût pour cet énergumène excentrique et envahissant. Il était temps que tout cela s’achève. Comme pour une véritable amputation, celle-ci ne se ferait pas sans douleur mais je me sentais plus prêt que jamais pour affronter ces quelques désagréments.

Pour dire vrai, je ne reconnaissais plus l’homme honnête et cultivé qu’il était autrefois. Bien entendu, je l’avais toujours connu victime de certaines manies aussi étranges que surprenantes. Son habitude de jouer du violon au petit jour ou celle d’emprunter mon rasoir et mon blaireau pour se tailler le tapis de poils rêches qui garnissaient ses joues était tout à fait tolérable à côté des travers de cet homme qu’il était devenu.
Celui était d’ailleurs toujours assis devant moi me fixant d’un regard froid et ahuri. Je n’osais guère le réveiller dans sa transe et reprenait le fil de mes pensées. J’essayais de dresser le portait de cet inconnu, bien loin de l’ami chaleureux mais marginal que je connaissais autrefois.

L’hygiène douteuse ou le fait qu’il prenne un malin plaisir à évoluer et vivre dans un environnement sombre et encrassé n’était pas le nœud du problème. Celui-ci était bien plus complexe et plus malsain que cela.

Mes premiers doutes émergèrent lorsque, constatant une disparition inquiétante de mes vêtements, je le pris sur le fait alors qu’il se glissait dans l’une de mes chemises de ville. Je lui signalais gentiment qu’à l’avenir, je ne tolérais plus ces emprunts sans permission préalable de ma part. Je lui proposais également de lui offrir quelques habits pour les fêtes qui approchaient à grand pas ; Il refusa. La seule justification qu’il me donna fut la suivante : « Je ne cherche pas de vêtements, je cherche votre odeur. »

Je ne m’en étais pas formalisé. Ce n’est qu’au soir, alors que je ne trouvais pas le sommeil, que mon esprit s’était soudain mis en quête du sens de cette déclaration. Craignais-t-il autant la solitude ? Cherchait-il mon parfum comme un enfant chérissait sa couverture fétiche ? Tout cela était bien trop tortueux et obscurs pour mes méninges fatiguées qui capitulèrent peu après.

Si les réponses m’émergèrent jamais, ces interrogations éveillèrent chez moi une attention décuplée. Je constatais ainsi avec effroi que cette main qui se posait sur mon épaule n’était pas innocente ; que cette habitude de se coller contre moi lors des nuits d’hiver n’avait rien à voir avec la température. Je commençais à trouver cette proximité malsaine et intrusive, lorsque je tentais de la rejeter, mon ami s’accrochait à moi avec encore plus de vigueur tel une pieuvre. J’en ressentais de la nausée.

Cet attachement ne m’avait jusqu’ici poser aucun problème : nul ne sait combien d’hommes respectables ont pu succomber à ce péché qu’on dit « grec » en dépit des lois, mais j’oserais avancer qu’ils sont bien plus nombreux qu’on ne le pense. Parmi ceux-ci se cachent d’ailleurs sûrement des personnes très respectables et respectées. Que Holmes en fassent partie m’avait déjà effleuré l’esprit lorsque j’avais pris conscience du peu de relations féminines qu’il connaissait. Cependant depuis le début de ma liaison avec Mary, je le soupçonnais de s’adonner à ce jeu pour le simple et cruel plaisir de rompre nos fiançailles. Cet homme réputé si intelligent était peut-être tombé assez bas pour recourir à ce type de stratagème écœurant. Ainsi, je ne tolérais à présent plus ces familiarités et lui faisait savoir en traînant un matelas miteux dans une autre des pièces pour y coucher le soir venu. Il ne m’en parla jamais : je supposais donc que le message était passé.

Naïf, je pensais qu’il avait enfin pris conscience que ce mariage était inévitable et mûrement réfléchi, que de me voir demeurer éternellement ici allait à l’encontre de la logique. Malheureusement pour moi, cela n’en était rien. Les contacts toujours aussi furtifs étaient entièrement volontaires et je continuais de les trouver dérangeants.

Jusqu’au jour où, comme je le confiais au début de ce récit, je lui communiquai la date précise de mon mariage avec Mary, future Watson. Mon ami avait laissé retomber ses bras et sa tête dans une détresse mal dissimulée, me transmettant des félicitations étranglées. Il était ensuite parti plusieurs heures dans le centre de Londres pour « y faire quelques courses ». Satisfait de ma victoire, j’avais savouré ces moments de répit devant le feu de la cheminée, en seule compagnie d’un bon verre de vin et d’un livre.

Il était plus de neuf heures du soir lorsque mon ami revint enfin de sa promenade, sans aucune marchandise. Il ne manifesta pas d’appétit mais dévora les pigeons – à présent froids – que nous avait préparé Mrs Hudson. Il alla ensuite se coucher, moins d’une heure après son retour, sans un mot.

Ce rituel grotesque avait duré près de neuf jours, ce qui nous ramenait au moment angoissant abordé plus haut. Vautré dans son fauteuil de cuir, il me toisait toujours du regard, scrutant le moindre sourcillement, le moindre souffle de ma part. Quatre heure approchait, moment généralement choisi par mon ami pour le début de son escapade curieuse.

Or ma délivrance ne vint jamais : l’horloge sonna six coups et ce terrifiant personnage paressait toujours dans son fauteuil. Fermant brutalement mon livre, je lui demandai pour de bon ce qu’il attendait de moi. Il me regarda avec surprise comme si sa conduite n’avait rien eu d’étrange. Lui détaillant donc à quel point son comportement me mettait mal à l’aise, il laissa un soupir sortir de sa bouche, témoignage de compréhension. Puis, plus rien, pas un mot, pas une expression faciale pour me venir en aide. Il resta là, abruti dans son siège comme un oiseau sur son perchoir.

J’ai honte à raconter la suite. Pris de fureur, je m’attaquai en effet à mon ami en lui envoyant au visage le livre que je lisais un peu plus tôt. Il ne bougea même pas : l’objet le heurta de plein fouet. Sa lèvre devint très vite violacée, gonflée, avant de se transformer en un filet de sang.

Je m’attendais à voir dans son regard une lueur de colère ou de peur, un sentiment adapté à l’accès de rage dont je venais d’être victime. Je ne vis rien, sinon un air victorieux. Je vis rouge et ne pu réprimer la démence qui sembla frapper mon esprit. Me jetant sur lui, je parvins à le mettre au sol. Furieux, je le secouai à de nombreuses reprises, déchirant sa chemise sur plusieurs centimètres. Le col lui serrant la gorge, mon ami réussit finalement à se libérer de mon emprise. Il toussota légèrement, reprenant son souffle avant de se tourner vers moi. Cette ultime provocation qu’il proféra acheva de libérer la bête ; Je n’étais plus dirigé par ma raison mais par mes instincts, par une bestialité dévastatrice. Conséquence de la simple et très basse phrase : « Diable, battez-vous comme un homme, pas comme une bourgeoise ! »

Je n’avais jamais été un grand bagarreur. Même avant ma blessure, je n’osais pas trop jouer des poings avec mes camarades d’école ou de rue. J’étais le petit peureux du groupe, pas celui qui, comme ce jour là, décochait un crochet du droit d’une maladresse risible.

Tout de même sonné, Holmes mit un temps avant de répondre par une force redoutable. Je me retrouvais bientôt impuissant, à terre, et surmonté de mon ami qui avait eu l’audace de s’asseoir sur mon torse, m’entourant les poignets et me bloquant les bras au-dessus de la tête. Remuant et vociférant pour l’obliger à me laisser, il du se pencher pour me maintenir immobile. Il s’approcha ainsi de moi, de près, de très près. Cette proximité était si forte que mes narines frémissaient sous une odeur de masculinité : tabac, eau de Cologne et sueur.

Nos visages suspendus à quelques centimètres l’un de l’autre, le sang battait à mes tympans. Le menton maculé du sang de sa lèvre blessée qu’il essuya d’un geste habile de la langue, le souffle court et les cheveux défaits, sa chemise déchirée sur une coudée au moins, je le voyais plus humain que jamais alors que moi, je m’étais transformé en un animal agressif.

Était-ce moi ou la bête qui succomba à son charme provocant et provocateur ? Je ne le su jamais. A vrai dire, je n’étais pas en état de me poser la question ce jour-là. Me cambrant pour me donner un peu plus de manœuvre, je vins écraser mes lèvres contre celles meurtries de mon ami. Saisi, il se laissa déborder : j’en profitai pour le plaquer au sol, m’allongeant sur lui pour le maintenir dans cette position. Grognant entre deux baisers voraces, il luttait pour reprendre les rennes. Narquois, je lui répondis à peu près ce qu’il m’avait dit plus tôt : « Défendez-vous comme un homme, pas comme une bourgeoise, mon cher ! »

Entre nous, tout n’était plus que domination et soumission. La loi du plus fort dictait nos embrassades, nos échanges emportés. Ce serait à celui qui aurait l’ascendant sur l’autre, à celui qui pourrait imposer son rythme et l’intensité.

J’arrachai les derniers lambeaux de chemise de mon ami, me pencha sur ce torse que je marquai avidement de mes dents, dévorant cette peau salée. La main qui se posa sur mon épaule fut comme un réveil brutal, je repris conscience de mes moindres gestes et les suspendit aussitôt. Je paniquai en pensant à ce dans quoi je m’étais engagé.

Ce fut une erreur stratégique : Holmes se contrefichait bien que j’ai l’air si préoccupé et m’emprisonna de ses bras, faisant peser tout son poids sur mon corps frêle. Le baiser qui s’en suivit fut ma perte : sa sensualité dénota avec la férocité que j’avais mise jusqu’ici dans les miens. S’arrêtant le long de ma mâchoire dans le seul but de me suçoter le lobe de l’oreille, avant de me confier cette devise bien étrange mais vraie : « Battez-vous comme un homme, aimez comme une femme. »

La féminité ne devait pas faire partie du panel de mes qualités. J’étais tout bonnement incapable de faire preuve de tendresse ou de romantisme dans ce moment : je ne voulais que de la passion, de l’impatience et des résistances farouches. Il ne m’en offrit guère, se laissant volontiers faire. Ce qui advint de nous dans les heures qui suivirent cet échange emporté ne peut être imprimé entre les pages d’un cahier : l’encre ne suffira jamais pour transmettre la chaleur, le crime, la luxure et le plaisir coupable. Ce mélange de sentiments contradictoires, conséquences de la bête qui avait quitté son refuge pour batailler avec ma conscience. Si celle-ci condamnait cet écart, je ne pouvais qu’apprécier ce ravissement charnel, ce tableau parfaitement esthétique : le visage tordu par la douleur puis par la jouissance, je voyais pour la première fois mon ami aussi primaire que n’importe lequel des mortels.

***


Un ouragan semblait avoir dérangé toute la pièce : des meubles étaient renversés, résultat de la lutte acharnée et du chemin enfiévré jusqu’au lit, les draps froissés ne tenaient plus au lit que par un coin du matelas, les oreillers avaient atterris sur le parquet. Celui dans lequel Holmes avait enfouit sa tête portait un étrange dessin rouge sombre qui dessinait une bouche entrouverte, à la manière d’un rouge à lèvres.

Les bras en croix, je me sentais étrangement calme. Épuisé, aussi. Une étrange fatigue qui m’empêchait d’articuler le moindre mot ou de faire un seul geste. Le calme après la tempête, le silence d’or après les hostilités. Je jetais un coup d’œil à mon ami, étendu à mes côtés. Il semblait aussi affaibli que moi. Je me souviens que sa main trouva néanmoins le chemin de la mienne : je ne la retirai pas, curieux de savoir ce qui se passerait. Il ouvrit sa bouche pour parler : le son en sortit après une interminable et terrible pause. Ce qu’il me dit restera gravé à vie dans ma mémoire : « Vous voir revenir vers moi était improbable, impossible. Cela allait à l’encontre de toutes logiques. Et contre toute attente, vous voilà. A mes côtés. Sauvage, brisé, transformé… Comme elle ne vous verra jamais. »

Déstabilisé, j’échappais à son contact. Pour ne pas paraître trop distant, je me rendis dans mon cabinet et revint avec ma trousse de médecine. Je la posai au pied du lit, tandis que mon ami se redressa pour s’asseoir. Je fouillais le contenu de mon bardas médical et en extirpa du désinfectant ainsi qu’un morceau de coton. Je m’approchais de lui alors qu’il me fixait d’un sourire entier et rayonnant. D’une voix dure, je lui affirmai qu’il avait risqué gros dans son entreprise. Il me répondit qu’il ne lui restait plus qu’une chance ; Il n’avait pu faire autrement que la saisir. Lorsque je lui confiai qu’il avait remporté une première bataille, pas la guerre, il m’acheva d’une autre réponse désarmante : « J’ai gagné la plus incertaine et la plus importante. »

Contraint, je du admettre qu’il avait totalement raison. Je ne souhaitais cependant pas lui dire, redoutant de l’encourager dans son dessein. Lorsque je posai le tissu imbibé d’alcool sur sa lèvre coupée, il laissa échapper un cri de douleur. Je terminais de nettoyer la plaie et, me retournant pour jeter le tampon, me vengea une dernière fois : « Subissez comme un homme ; pas comme une bourgeoise, mon vieux. »

***


But to wait for you, is all I can do and that's what I've got to face
Just take a look at me now, cos I'll still be standing here
And you coming back to me is against all odds
It's a chance I've got to take.

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Dernière édition par Tommaso le 27 Oct 2010 07:26, édité 2 fois.

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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 08 Mar 2010 10:58 
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C'est cool de pas bosser aujourd'hui et de tomber sur ta fic ! ^^

J'adore la façon dont Holmes provoque Watson par son comportement et la réponse qu'il obtient.

Comme toujours, j'adore tes fics, toujours aussi bien écrites !

:bravo: :bravo: :bravo: :bravo:

Cybelia.


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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 08 Mar 2010 11:05 
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C'est cool de recevoir un commentaire aussitôt qu'elle est postée ! :D

Je te remercie pour ton message, cela me fait vraiment plaisir de voir que tu suis aussi fidèlement ce que j'écris ! ;)

Merci ! :heart:

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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 08 Mar 2010 13:26 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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c'est toujours un plaisir de te lire


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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 08 Mar 2010 13:37 
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Le slash, kesako ?
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J'aime cette fic. Tu as superbement bien réussi l'écriture "à la Watson", la façon dont il raconterais les choses, c'est superbe.
Bravo en tout cas, c'est un réel plaisir de te lire :bravo:


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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 08 Mar 2010 13:39 
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ouah c'est cool de rentrer du Taf et de tomber sur cette fics qui est si bavante .. j'adore Holmes et la facon qu il a de provoquer Watson mais la reponse et tout aussi bonne .Merci :slashvaincra:

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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 08 Mar 2010 15:38 
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Merci beaucoup à vous trois, ça fait vraiment plaisir de voir que cette fic plait... :oops:

Vous êtes adorables, merci ! :D :bravo:

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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 08 Mar 2010 16:54 
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Dieu du slash ! Prosternez-vous !
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Inscription: 06 Mai 2006 18:50
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Waouh ! Franchement très très sympa comme fic sur ce pairing, j'aime cette violence qui les pousse à tous les excès ^^

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Co-fondatrice de l'Alliance des Sadiques
La torture des pouffes c'est bien, celle des doudous c'est encore meilleur !

ALEPICFICS, forum uniquement consacré aux picfics


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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 08 Mar 2010 17:13 
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Inscription: 07 Juin 2009 19:41
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Merci beaucoup MAPI... contente que ce peu de violence passe bien ! ;)

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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 09 Mar 2010 01:14 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 11 Déc 2006 19:32
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Yeah !! Quelle originalité !! Tu as trouvé une très bonne nouvelle approche de ce couple... Au début j'ai été un peu effrayée par le côté malsain de Holmes que décrit Watson (côté peut-être un peu exagéré d'ailleurs, mais ça passe finalement) mais quand j'ai compris à quoi cela devait servir, je me suis inclinée. Remarque, j'aurais dû deviner que tu avais un but précis : impossible d'écrire sur Holmes sans avoir une longueur d'avance sur la pensée des lecteurs (c'est bien là qu'on voit que tu as lu et relu Conan Doyle).

Donc un grand bravo (encore... :roll: pfffff !! non, blagounette ! :mrgreen:... :sors: ). J'aime particulièrement la fin, lorsque tu décris l'état de la chambre et des deux hommes. Je sais pas pourquoi, mais j'ai trouvé que c'était très bien dessiné, je m'y serais crue.
Par contre, prends garde à certaines fautes. Ca ne gêne pas la lecture, mais au niveau de la conjugaison, c'est parfois un peu choquant. (désolée de jouer les enquiquineuses...)

Citation:
Je le maudissais alors, curieux de savoir si la télépathie fonctionnait vraiment : il n’esquissait aucun rictus ni aucun sourire, je concluais donc que ces années de cohabitation m’avait rendu paranoïaque.


C'est tellement vrai comme remarque... Si Holmes n'expliquait pas ses déductions à son ami, il n'aurait de cesse de passer pour un truc de ce genre.

Citation:
Je terminais de nettoyer la plaie et, me retournant pour jeter le tampon, me vengea une dernière fois : « Subissez comme un homme ; pas comme une bourgeoise, mon vieux. »


MDR !!! :lol: :lol: Le coup de grâce, la revanche ultime !! Jouer sur le côté chochotte !! :lol:

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On voudrait revenir à la page où l'on aime
Et la page où l'on meurt est déjà sous nos doigts.


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"La jeunesse n'est pas une période de la vie, elle est un état d'esprit"


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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 09 Mar 2010 21:28 
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Inscription: 07 Juin 2009 19:41
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Tout d'abord, merci pour ce gigantesque commentaire... Cela me fait vraiment plaisir ! :oops:

Pour le côté malsain de Holmes, j'ai très probablement exagéré... Mais comme je ne pouvais m'éterniser dessus, autant mettre la sauce. Etrangement, c'était sans but, puisque je suis partie de cette description et que, un peu par hasard, j'ai abouti à la suite. :wink: J'ai effectivement lu et relu Conan Doyle ! :lol: Merci pour ces compliments, en tout cas ;)

Pour les quelques fautes, j'ai peut-être trop peu relu mon texte... :oops: Je suis souvent pressée de le partager. Je corrigerais et je serais plus attentive à l'avenir, promis ! :D

Merci encore en tout cas. :)

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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 14 Aoû 2010 23:14 
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Waww j'ai bcp aimé! La 'bataille' avant l'amour ! Tres bien écrit en tt cas :bravo:

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Obviously, I'm in ♥ with Sherlock of the bbc!!
Most people blunder around this city and all they see are streets and shops and cars;
walk with Sherlock Holmes, you see the battlefield . .


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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 15 Aoû 2010 09:37 
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Oh merci beaucoup ! Je suis surprise de voir cette fic surgir du bas du forum. ^^
(Et je suis raide dingue de la citation de Perceval dans ta signature !)

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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 15 Aoû 2010 12:08 
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Kami a écrit:
Oh merci beaucoup ! Je suis surprise de voir cette fic surgir du bas du forum. ^^
(Et je suis raide dingue de la citation de Perceval dans ta signature !)


Mais de rien! J'aime bcp cette idée de l'amour qui ne s'obtient pas de suite.. ^^
Et pi j'adore la facon dont ils se cherchent, dont il se lancent des pics!
Bref :bravo:

Oui c'est une belle citation de Perceval, je suis trop :wouah: qd je la lis ! ; )

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 Sujet du message: Re: Contre toute attente. Holmes/Watson. PG-13 (OS)
MessagePosté: 15 Aoû 2010 22:21 
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Cela fait un moment que je viens lire ce qui s'écrit par ici et bien figure-toi que je me suis décidée à m'inscrire juste pour commenter ta fic. Non seulement elle est très bien écrite, mais elle témoigne d'une forte capacité à écrire dans le style de l'original. L'écriture est fluide, l'histoire convaincante et le travail psychologique des personnages est parfaitement rendu, bref, que demander de plus ? :bravo:

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* On peut résister à tout, sauf à la tentation. Oscar Wilde *


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