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 Sujet du message: Sleepy Hollow- "A toi pour toujours"- Cavalier/Ich
MessagePosté: 07 Sep 2006 22:13 
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Le slash, kesako ?
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Alors, le premier chapitre de ma fic Sleepy Hollow. C'est le seul et unique pour le moment, mais je pense m'y remettre tôt ou tard. J'espere qu'elle vous plaira, même un petit peu.

Je préfère vous prévenir, il y à des scènes Lemon.

Vous aller peut-être trouver que l'action démare bizarement, en plein milieux de l'histoire. C'est volontaire. C'est un partit pris, disons. Je vous éclairerais au fur et à mesure de la naration.



Disclaimer : Les personnages dont je raconte l'histoire ne sont pas à moi. Ils sont à monsieur Tim Burton. Je ne suis qu'une fileuse de compte, je ne tire aucun profit de cette histoire, sinon celui de vous faire rêver.




Le Hessois s’étendit sur sa paillasse et fit signe à Ichabod d’approcher. Le jeune homme le dévisagea craintivement, et comme le cavalier lui répondait par un regard impassible, il s’approcha enfin. Le cavalier toujours allongé tendit une main et attira Ichabod plus prés, le forçant à s’agenouiller à coté de lui. Ichabod tremblait et fixait le cavalier avec des yeux agrandis par la frayeur.

Doucement, précautionneusement le Hessois caressa le visage du jeune homme et laissa courir sa main sur sa peau si douce. Il caressa le velouté de ses joues et descendit doucement jusqu’à sa gorge soyeuse. Le cavalier maintenait toujours Ichabod d’une main. Il tira légèrement et le garçon tomba sur lui. Le Hessois huma le doux parfum de ses cheveux et plongea sa main libre dans la crinière noire comme l’aile du corbeau.

Ichabod tremblait de plus en plus. Il va me tuer, pensait-il, il va me tuer, il va me tuer quand il en aura assez de jouer avec moi. Le Hessois raffermit alors sa prise sur le jeune homme et le fit basculer sur le dos. Il se mit à califourchon sur lui, et se pencha en avant soutenant sans peine le poids de son corps sur ses genoux. Alors doucement, presque tendrement il posa ses lèvres sur celles de l’homme plus jeune. Une de ses mains descendit vers le ventre du garçon, puis, plus bas encore, traçant des lignes sinueuses et délicates. lentement il fit courir ses doigts sur la longueur de son membre.

Ichabod frissonna au contact de cette main caressante sur son intimité. Le contact se fit plus accentué encore, plus précis. Puis il cessa. Alors Ichabod sentit qu’on déboutonnait son pantalon. Il ouvrit les yeux et fixa le cavalier d’un regard empli d’effroi. Avant qu’il ait pu dire quoi que ce soit, il fut dépouillé de son vêtement qui glissa le long de ses jambes. Ensuite ce fut le tour de sa chemise. Ichabod sentait contre sa peau nue le cuir du plastron du Hessois.

La main du cavalier revint à son aine, et le jeune homme poussa un gémissement terrifié. Il tenta désespérément de repousser cette main et se débattit faiblement dans l’étreinte vigoureuse du Hessois. Ce dernier s’empara de ses deux mains et les releva au-dessus de sa tête, l’immobilisant plus étroitement encore. Ichabod ne pouvait plus bouger, le poids du cavalier pesait sur lui, lui interdisant tout échappatoire. Alors l’ancien policier ferma les yeux et se détendit, résigné, entre les bras puissants.

Le cavalier vit une unique larme couler sur sa joue. Il se passa alors quelque chose d’étrange en lui. Un sentiment qu’il n’aurait jamais cru possible, et pourtant incontestable. Le cavalier Hessois, qui avait autrefois tué et massacré sans état d’âme, avait pitié de cet homme. Le mortel avait peur de lui, quoi d’étonnant ? Le Hessois était habitué à provoquer l’effroi : n’était ce pas pour cela qu’il avait taillé ses dents en pointes acérés, justement pour épouvanter ses victimes?

Lorsqu’il avait pris possession du jeune homme, il l’avait fait dans le but de prendre du plaisir, de jouir de sa beauté. Il avait immédiatement reconnu le jeune policier qui l’avait affronté à Sleepy Hollow avec tant de courage et de détermination. La sorcière noire avait exigé qu’il tue sa bru, et le garçon s’était interposé avec vaillance et bravoure pour la protéger, se battant bec et ongle avec lui. Le Hessois avait été impressionné, sincèrement admiratif devant le courage de cet homme qui le défiait. Et pour finir, le policier lui avait rendu ce qu'on lui avait volé. Il aurait pu en profiter pour le contrôler, pour jouir de son pouvoir, mais non. Il lui avait restitué sa tête.

Le cavalier avait alors épargné sa vie et emporté la sorcière noire avec lui, pour la conduire tout droit en enfer. Il savait que le policier avait quitté Sleepy Hollow emmenant la jeune femme blonde, Katerina. Cela se terminait bien pour lui, il avait apparement gagné une épouse en venant à Sleepy Hollow.

Aussi qu’elle ne fut pas la surprise du Hessois en retrouvant cet homme, cinq ans plus tard, réduit à l’état d’esclave, et maltraité par un homme frustre et grossier. Le Hessois ignorait ce qui avait pu se passer pour que Ichabod en arrive là, mais il n’avait pas hésité une seconde. Il était allé trouver l’homme et l’avait entraîné dans un coin discret, où il avait promis de le découper en très petits morceaux si ce dernier ne lui cédait pas immédiatement le mortel qui lui servait d’esclave. Le gros homme avait louché sur la hache que le mercenaire portait à la ceinture, puis sur son impressionnante dentition, et n’avait pas été très long à se décider.

Quelques instants plus tard, il était revenu en traînant derrière lui Ichabod. Quand le jeune mortel avait identifié l’homme vêtu de sombre, qui attendait immobile, il avait tenté de se débattre et avait tiré sur son bras pour échapper à la poigne de son maître. Ce dernier s’était retourné et l’avait giflé à toute volée avant de le pousser vers le cavalier, le jetant pour ainsi dire dans les bras du Hessois. « Voilà ton nouveau propriétaire », avait-il marmonné, avant de tourner les talons.

Le Hessois revint au présent, et regarda son jeune captif. Il était encore plus pâle qu’à l‘accoutumée, et il tremblait violament. Sur sa joue, une seconde larme avait coulé. Alors le Hessois sut qu’il ne prendrait pas le mortel ce soir. Il allait attendre. Attendre encore un peu. Il serait patient.

Pourtant il avait envie du jeune homme. Il ne le prendrait pas cette nuit soit, mais il pouvait tout de même commencer à l’habituer à son contact. Ce serait un bon début.

Relâchant les poignets de son prisonnier il le souleva légèrement dans ses bras. Ichabod ouvrit alors les yeux et vit que le cavalier lui souriait. Se méprenant sur le sens de ce sourire, il pâlit davantage, se mit à trembler encore plus fort et pleura doucement, en silence, d’un air résigné.

« Leise, mein armer kleiner Junge, weine nicht » fit le cavalier, puis il répéta en anglais :

- Chut, ne pleure pas, pauvre garçon, je ne te ferais pas de mal

Ichabod rouvrit les yeux et fixa le cavalier d’un regard incrédule où perçait une minuscule pointe d’espoir. Le Hessois avait parlé avec un lourd accent germanique. Et son anglais était plus que passable.

C’était la première fois qu’Ichabod entendait le son de sa voix. Il ne va peut-être pas me tuer, finalement, pensa-t-il. Il avait très vite compris dans quel but le cavalier l’avait pris avec lui, et il s’était attendu à être encore violenté. Mais certainement pas à ce que le Hessois lui adresse la parole de cette voix si douce.

-C’est vrai? Chuchota-t-il, sans vraiment y croire.

- Ja, habe keine Angst. « N’aie pas peur » Répondit le cavalier dans un souffle, tandis qu’il embrassait les cheveux du jeune homme. Ichabod ferma à nouveau les yeux et se détendit entre ses bras, apaisé.

Alors, doucement, avec beaucoup de délicatesse, le Hessois commença à caresser le sexe d‘Ichabod, en prenant bien soin de ne pas serrer trop fort. Il faisait aller et venir sa main, de bas en haut, et de haut en bas, en resserrant juste un peu ses doigts en bout de course. Puis il relâchait la pression et recommençait son mouvement. La respiration d’Ichabod se fit plus rapide, haletante. Il ouvrit ses beaux yeux et fixa le cavalier d’un air surpris. Ce dernier continua ses caresses et accéléra un peu sa cadence. Ichabod gémit doucement et renversa sa tête en arrière sur l’oreiller.

Accélérant encore son mouvement, le Hessois de sa main libre se mit à caresser son corps, ses hanches, son ventre, sa poitrine. « Tu es beau » souffla-t-il à l’oreille du mortel. Ichabod se mit à bouger et à onduler, en cadence avec le rythme du cavalier, poussant son érection dans sa main. Le jeune captif gémit encore, et bougea de plus en plus vite, tandis que ses mains agrippaient et tordaient la couverture de peau sous lui.

Le cavalier l’embrassa alors et Ichabod sentit la pression de ses dents effilées sur ses lèvres. Il frissonna violemment et s’arque bouta contre son ravisseur tandis qu’il jouissait dans une explosion de plaisir intense.

Le cavalier s’écarta et s’étendit près de lui. Il plongea son regard dans celui du jeune homme : il n’y lut pas de peur. Pas en cet instant. Dans les yeux sombres d’Ichabod, il ne lut que plénitude, teintée de stupéfaction.

Le cavalier était sur le point de s’assoupir quand une toute petite voix lui demanda timidement : « Quel est votre nom? » Le Hessois ouvrit les yeux et dévisagea son jeune captif. Le mortel venait de lui demander son nom. Il réfléchit en silence pendant de longues minutes. Il y avait si longtemps que son nom n’avait plus été prononcé, que lui-même l’avait presque oublié. Et sur ce continent, personne, non personne, n’avait jamais entendu son véritable nom.

Le cavalier était surpris qu’Ichabod le lui demande. Mais après tout, était-ce si étrange ? Peut-être était-ce plus facile pour lui de mettre un nom, autre que "Cavalier" ou "Hessois" sur le visage de l’homme qui venait de le toucher de manière si intime. Le cavalier resta silencieux encore quelques instants, puis enfin il parla.

- Autrefois, dans mon pays, je m’appelais Christiaan. Aujourd’hui je ne suis que le cavalier, ou le "Hessois".

Ichabod le contempla en silence, puis il ferma les yeux et s’endormit.

Le cavalier contemplait l’homme assoupi près de lui. Il avança une main et déplaça une mèche de cheveux. Christiaan se sentait euphorique. Ichabod avait répondu à ses caresses, il avait ressenti du plaisir sous sa main, l’espace d’un court instant, il avait même oublié sa peur.

Christiaan revit le jour où il avait pris possession d’Ichabod, une semaine plutôt, lorsqu’il avait menacé le tenancier ventripotent. Le jeune homme que l’imbécile avait poussé vers lui, n’était visiblement pas au meilleur de sa forme. Il se souvint des cernes sous les yeux du petit humain, de son corps maigre, et surtout du regard de pure épouvante que sa toute nouvelle acquisition lui avait jeté, avant de s’évanouir entre ses bras.

À côté de lui, l’ancien policier, remua dans son sommeil, murmura quelque chose et se retourna. Christiaan se leva doucement et sortit de la cabane, il fit quelque pas et s’assit sur un tronc d’arbre couché. Il avait besoin de réfléchir un peu. Christiaan s’était emparé d’ Ichabod sur une impulsion, cédant à son instinct et à son désir de le posséder. Ichabod Crane était à lui à présent, il lui appartenait.

Le cavalier voulait cet homme. Mais il ne souhaitait pas disposer d’un pantin sans âme. Il voulait réveiller ce garçon,

Il se demanda ce qui avait pu se produire, dans la vie de cet homme, pour qu’il le retrouve dans cet état. Christiaan ne pouvait pas savoir, pourtant il sentait que cela avait dû être terrible pour lui. Il était manifeste qu’Ichabod avait dû affreusement souffrir, le cavalier avait l’intuition que le policier avait dû vivre un véritable enfer. Et il ne pensait pas cela uniquement à cause des cicatrices qui marquaient son dos et ses bras.

Mais comment avait-il pu tomber à ce point dans la déchéance, voilà qui était un mystere. Peut-être que lorsqu’il se serait habitué à lui, le jeune homme lui raconterait son histoire? Christiaan était sincèrement intrigué.

Ichabod, songea le cavalier. Les pensées du Hessois traversèrent le temps et l’espace et il se remémora la première fois où il l’avait vu, cinq ans auparavant. La nuit où il avait tué le dénomé Philips. Mais alors il n’avait pas vraiment eu le temps d’observer le policier, pris dans le feu de l’action, cependant il avait tout de même remarqué sa beauté, et ses grands yeux sombres qui le fixait incrédule.

Cette occasion lui fut donnée le lendemain, tandis qu’il reposait dans son repaire, durant le jour. Il avait senti la présence de deux humains dans les bois, et avait sondé la forêt. C’est alors qu’il l’avait vu. Le policier : Ichabod Crane. Le Hessois avait lu le nom de l’homme dans l’esprit de la sorcière qui le contrôlait. Elle se moquait de lui, pensant qu’il était trop stupide pour la percer à jour. Et elle jubilait en songeant à l’immense fortune qui l’attendait quand elle en aurait fini avec tous ceux qui lui faisait obstacle, tous ceux qui se dressaient entre elle et l’héritage de Baltus Van Tassel, son propre époux.

Christiaan se remémora ce qu’il avait ressenti en voyant Ichabod. Il le revit, chevauchant très maladroitement dans les Bois du Ponant, ces bois que le Hessois en était venu à considérer comme son territoire, son domaine. Il avait concentré son esprit sur l‘intrus, et l’avait observé tout à loisir. Ce qu’il avait découvert lui avait, si l’on peut dire, coupé le souffle.

Ichabod Crane était à n’en pas douter un très beau jeune homme. Sa grâce presque féminine, sa pâleur de nacre et son exquise délicatesse, avait subjugué le cavalier. Christiaan l’avait regardé tant qu’il avait pu, se délectant de ses formes fines, de ses grands yeux noirs. Il l’avait entendu parler au garçon qui l’accompagnait, et avait immédiatement aimé le son de sa voix. Christiaan l’avait observé encore un moment avant de se rendormir, emportant avec lui l’image du beau policier.

Plus tard, Madame Van Tassel l’avait à nouveau invoqué et envoyé massacrer le maréchal Ferrand et sa famille. Quelle ne fut pas la surprise du cavalier à son réveil, de découvrir que le détective avait trouvé l’emplacement de son repaire! Christiaan avait surgi de l’arbre des morts, et s’était tourné un instant vers les intrus qui était à présent au nombre de trois, le policier, le jeune garçon et une fille au cheveux blonds, qu’il identifia comme étant la fameuse Katerina Van Tassel. Puis il avait lancé sa monture vers le village. Ichabod s’était lancé à sa poursuite sans hésiter.

Il s’en était alors ensuivi un combat entre le Hessois et les deux mortels (Ichabod et un autre homme que Christiaan ne connaissait pas). Le policier l’avait combattu courageusement, seulement armé d’une faux. Tandis qu’il luttait Christiaan pouvait entendre la sorcière noire hurler dans son esprit d’en finir avec ces deux gêneurs, de leur régler leur compte et de ficher le camp.

Le cavalier, pour la première fois, avait désobéi à sa maîtresse. Il n’avait pas tué le jeune policier. Il s’était arrangé pour le blesser, assez sérieusement pour le mettre hors combat, pour le ralentir, mais pas suffisamment gravement pour le tuer. L’homme allait passer un mauvais moment, mais il n’en mourrait pas.

En revanche Christiaan n’avait pas épargné l’autre humain, et l’avait proprement coupé en deux. Il avait jeté un dernier regard à Ichabod et avait alors été pris de l’envie subite de marcher sur lui, pour l’enlever et l’emporter avec lui, dans l’arbre, dans son monde. Le Hessois avait fait un pas vers le policier et à ce moment la voie de l’horripilante sorcière s’était élevée dans sa tête « Qu’est-ce que tu fais! Ça suffit! Va-t’en maintenant! Laisse-le, tu m’entends, va-t’en !! »

A cet instant, Christiaan s’était juré qu’à la première occasion, il étriperait cette maudite harpie, qui le contrôlait comme un pantin. Le cavalier avait toujours été maître de son destin et ne supportait pas qu’on lui donne des ordres. Jamais personne ne l’avait possédé, ni manipulé de la sorte. Encore moins une femme. Une femelle.

Les pensées du Hessois furent brusquement interrompues lorsqu’un cri déchirant monta de la cabane. Le cavalier bondit sur ses pieds. Il trouva Ichabod blotti sur la paillasse, roulé en boule sur la couverture. Le jeune homme avait fait un cauchemar. Christiaan avança doucement vers la couche sommaire et s’agenouilla près de lui. Hésitant il tendit une main, avant de la retirer puis de la tendre à nouveau.

Ichabod leva les yeux vers lui, et le Hessois vit qu’ils étaient embués de larmes contenues. Alors il caressa doucement ses cheveux et son dos et murmura d’une voix apaisante « Leise, mein klein, dies war nur ein entsetzlicher Alptraum, alles geht gut, es wird jetzt beendet. 1».Christiaan s’était exprimé dans sa langue maternelle. Il savait que le jeune homme ne la comprenait pas, mais qu’il réagirait à la douceur apaisante de sa voix et de ses caresses. Ichabod ferma ses beaux yeux et quelques instants plus tard, il se rendormit. Christiaan le réinstalla avec douceur sur le lit et s’étendit à ses côtés. Il avait l’habitude de calmer son cheval de cette manière lorsque celui-ci était angoissé ou inquiet. Apparemment cela fonctionnait aussi sur les humains.

****************************

Six mois avaient passé depuis que Christiaan le Hessois avait prit Ichabod Crane avec lui. Il lui semblait que la peur du garçon s‘était estompé, au fil du temps. Il s’était redressé et semblait moins craindre les coups. Le jeune homme était toujours aussi silencieux, mais il ne se dérobait plus quand le cavalier tentait de le toucher. Il ne rentrait plus la tête dans ses épaules et ne le regardait plus avec effroi.

Ichabod avait encore peur de lui, Christiaan le savait, mais il ne le terrorisait plus. La preuve en était que le jeune homme fragile, ne s’évanouissait plus dès que le cavalier pénétrait dans son champ de vision, chose qui lui arrivait remarquablement souvent il y a encore quelques mois. En fait il semblait au Hessois que la terreur du garçon avait été remplacé par de la méfiance. Lorsque le hessois s’approchait de lui, Ichabod levait vers lui ses beau yeux sombres, et le dévisageait, calme mais avec de la défiance au fond de ses prunelles.

Alors Christiaan avait continué à faire preuve d’une grande douceur. Il mesurait ses gestes quand il était près du jeune homme, il n’élevait jamais la voix, non plus. Il ne faisait rien qui aurait pu effaroucher le petit mortel d’une façon ou d’une autre.

Donc Ichabod Crane commençait à s’accoutumer à son nouveau maître.

Encouragé, le Hessois avait tenté une nouvelle approche, quatre mois après la nuit où il l’avait touché pour la première fois. Il avait pris le beau jeune homme dans ses bras et l’avait allongé sur la paillasse. Ichabod l’avait regardé de ses grands yeux noirs, mais il n’avait pas protesté. Avec douceur, Christiaan avait fait glisser le pantalon de son serviteur. Puis il avait ouvert sa chemise.

Pendant ce temps, Ichabod l’avait fixé sans bouger. Comme tétanisé. Alors encore plus doucement, tendrement, Christiaan avait laissé courir ses doigts sur son corps. Caressant sa poitrine, son ventre ses hanches. Ichabod avait fermé les yeux et s’était laissé aller entre ses bras, s’offrant à la caresse. Puis Christiaan avait étendu sa caresse jusqu’à son aine effleurant seulement la verge. Ichabod avait gémi et s’était arqué vers le haut, tandis que le cavalier continuait à tourner autour de son sexe, se contentant de le frôler. S’il ne se trompait pas, Ichabod devait ressentir une certaine frustration en ce moment même.

Souriant intérieurement, il avait alors tout à coup fait mine de se relever. Ichabod ouvrit instantanément les yeux et poussa un grognement de déception. Il s’empara de la main de Christiaan, et la replaça sur son ventre, avec un air si déterminé que Christiaan eut envie de rire. Extérieurement le cavalier était impassible mais intérieurement il jubilait.

Il se replaça à côté du jeune homme et reprit ses caresses, n’évitant plus cette fois le pénis d’Ichabod : il le prit en main et le frotta et le massa y mettant juste la bonne pression, juste le bon rythme. Les gémissements d’Ichabod se firent plus rapprochés, plus forts au fur et à mesure que le plaisir montait, de sorte que Christiaan pouvait suivre la progression de son orgasme. Ichabod bougeait et ondulait sous son contact gémissant sans aucune retenue, tandis que ses mains étreignaient l’oreiller sous sa tête. Enfin avec un cri de plaisir, Ichabod avait joui dans la main du cavalier.

Depuis, le Hessois n’avait pas été plus loin, il s’en était tenu à ces caresses, attendant patiemment, sachant que le garçon serait bientôt prêt. Alors il serait enfin sien, totalement sien. À tout jamais.

Ichabod assis par terre dans la cahute, polissait la selle du cheval de son nouveau maître. Le cuir brillait depuis longtemps, mais le jeune homme continuait de frotter machinalement. Il était perdu dans ses pensées.

Il se remémorait ce que le Hessois lui avait fait . Le cavalier s’était montré extraordinairement prévenant. Il ne l’avait pas brutalisé, et avait fait preuve d’une douceur surprenante, à laquelle Ichabod ne se serait jamais attendu. Il était persuadé que le Hessois allait le tuer, après l’avoir torturé. Il ne se serait jamais attendu à ce qui s’était passé. Non jamais.

Comment un homme si redoutable sur le champ de bataille pouvait il se montrer si doux et délicat?

Ichabod se souvint de sa peur et de son effroi quand il avait réalisé qui allait devenir son nouveau maître, quand il avait vu qui se tenait debout devant la taverne, immobile dans sa sombre armure. Le Hessois, le redoutable cavalier sans tête. Enfin, non, en fait, cette dénomination était erronée à présent : le fantôme avait retrouvé son chef. C’était Ichabod lui-même qui le lui avait rendu, après qu’il se soit battu pour sauver la vie de Katrina.

Katrina. En pensant à la jeune femme, Ichabod sentit une terrible souffrance le transpercer. De grosses larmes se mirent à couler sur ses joues. Il les essuya machinalement, d’un revers de la main.

Comment pouvait-on encore verser des larmes, après qu’on ait eu le cœur brisé? Se demanda-t-il. Katrina. Katrina qu’il avait tant aimé. La femme qui l’avait attiré dans sa lumière, qui l’avait rendu heureux, lui qui était si seul. La femme qui avait fait entrer la magie dans sa vie.

Ichabod se souvint de ce qu’elle lui avait dit, la dernière fois qu’il l’avait vue. "Ne t’en fais pas mon amour, tout va s’arranger, je vais te faire sortir d’ici, bientôt, je te le promet". Elle l’avait embrassé et serré très fort contre elle, puis le garde les avait séparés, poussant sans douceur Ichabod vers la porte. « Je t’aime Ichabod », avait-elle crié tandis que le gardien le reconduisait dans son cachot.

Ichabod n’avait pas eu le temps de lui répondre. Son geôlier l’avait entraîné dans le couloir, sans aucune pitié. Tandis qu’il marchait dans le sombre dédale de la prison, l’homme s’était penché vers lui, et avait chuchoté avec un air répugnant, « Elle est bien jolie, ta petite femme, un sacré morceau, pour sûr ! Je me demande bien ce qu’elle fait avec un pauvre type comme toi. Je pourrais peut-être lui rendre une petite visite, qui sait? Je suis sûre qu’on passerait un bon moment tous les deux. » avait-il ricané.

Ichabod s’était jeté sur lui, fou de colère, mais le geôlier l’avait repoussé sans difficulté, et l’avait violemment projeté à terre. Il avait décroché sa matraque « Tu oses lever la main sur moi! », avait-il crié avant de le rouer de coup, puis de le traîner dans son cachot. « Au pain sec et à l’eau, ça te fera le plus grand bien! » avait-il hurlé avant de le précipiter dans l’infecte cellule. Ichabod s’était roulé en boule sur le sol glacial, se réfugiant dans le souvenir de son épouse, priant Dieu, que cet affreux cauchemar s’achève enfin.

Il ne devait jamais la revoir. Trois jours plus tard, un gardien entra dans sa geôle et lui tendit une lettre. La missive avait été ouverte, comme c’était la règle en prison. Le gardien paraissait étrangement gêné, évitant de le regarder. Après qu’il fut parti Ichabod baissa les yeux sur le pli. Il ne reconnaissait pas l’écriture. Qui pouvait-ce bien être?

Cinq minutes plus tard, les gardiens entendirent un cri déchirant, où perçait une souffrance immense. Ils ne s’inquiétèrent pas, il n’était pas rare d’entendre certains détenus hurler de la sorte, en prison. Pourtant l’un des geôliers, moins inhumain que les autres, alla voir. Il découvrit Ichabod Crane gisant inconscient sur le sol, une lettre froissée serrée dans la main.


A présent les larmes coulaient abondamment sur ses joues. Ichabod ne se donna pas la peine de les essuyer. Il renifla et continua de frotter inutilement la selle. Soudain, il fut tiré de ses sombres pensés par un son, derrière lui. L’ancien policier se retourna et vit le cavalier qui l’observait, sur le seuil de la porte. Ichabod s’empressa d’essuyer son visage, en passant comme un enfant, son bras devant ses yeux. Il contempla le cavalier qui le contemplait sans rien dire, une expression indéchiffrable dans son regard.

« Ich denke, daß er ziemlich sauber ist, jetzt. » Déclara finalement ce dernier, en entrant dans la petite pièce. Ichabod ne bougea pas, étreignant toujours sa brosse, comme s’il ne devait plus jamais la lacher. Le Hessois se rappela que son serviteur ne comprenait pas l’allemand. Il répéta donc en anglais : « Je pense qu’elle est propre, maintenant ».

Pus il ajouta « Tu peux laisser tomber ta brosse » Il accompagna cet ordre d’un sourire censé être rassurant, mais qui visiblement fit l’effet inverse au garçon.

Obéissant dans la seconde, Ichabod laissa bel et bien tomber la brosse qui heurta le plancher avec un bruit mat. Christiaan se baissa machinalement pour la ramasser, retenant à grand peine une envie de rire : il s’était évidement attendu à ce que sa demande soit prise au pied de la lettre. Il se releva, trop rapidement, car Ichabod recula en levant un bras, dans un geste de protection.

Il a peur que je le frappe, pensa Christiaan. Il s’habitue à moi, mais il a toujours peur d’être battu. « Viens avec moi » fit le cavalier en tâchant de ne pas mettre trop de brusquerie dans sa voix.

Christiaan rejoignit Daredevil, son cheval, et lui caressa doucement la tête, puis tout en continuant de flatter son encolure, il fit signe à Ichabod d’approcher. Le cavalier prit alors la main du jeune homme et la plaça sous les naseaux du cheval. celui-ci la flaira un instant, puis Ichabod sentit une douce chaleur contre sa paume, alors que Daredevil soufflait doucement. Le Hessois glissa quelque chose dans son autre main.

Une pomme toute rouge, à la peau lisse et brillante «Donne la lui, fit Chritiaan, ce sont ses préférées. Pose la bien à plat sur ta main et approche la de sa bouche, tu vas voir » ajouta-t-il en mimant le geste. Ichabod s’exécuta, un peu inquiet en voyant les grandes dents de l’animal. Daredevil pencha la tête et flaira la pomme, avant de la croquer d’un seul coup. Le cheval mâcha tranquillement puis poussa un doux hennissement en hochant la tête. Il se mit à flairer le visage du jeune homme et Ichabod rit doucement en sentant la douceur des naseaux contre sa figure. Le cavalier s’était mis légèrement en retrait pendant toute la scène et il eut une expression de satisfaction lorsqu’il entendit rire le garçon.

C’était un rire étrange, timide et presque imperceptible, cela produisait un son rauque. Ichabod riait comme quelqu’un qui n’avait pas dû faire cela depuis une éternité. Et comme quelqu’un qui craint d’être entendu. Christiaan s’approcha et plaça une étrille dans la main d’Ichabod. « Il t’a accepté, tu va pouvoir le brosser, maintenant. » Il prit la main du jeune homme dans la sienne et la posa contre le flanc du cheval, puis il guida la main qui tenait la brosse le long de l’encolure de Daredevil, et sur son dos, lui montrant les bons gestes.

Au bout d’un moment, Christiaan s’écarta et laissa faire Ichabod. Pour un moment, la tristesse du mortel semblait s’être envolée. Il continuait de brosser soigneusement la robe de l’étalon, avec un air appliqué qui fit sourire le mercenaire. Au moment où Ichabod allait contourner le cheval, Christiaan lui prit le poignet et le retint un instant « Quand tu passes derrière un cheval, tu dois toujours le toucher pour qu’il ne s’effraye pas et éviter qu’il te donne un coup de pied » expliqua-t-il en joignant le geste à la parole.

Ichabod reprit sa tâche et lorsqu’il eut terminé, il passa derrière Daredevilesans oublier de lui donner une petite tape sur la croupe. Il apprend vite, aprécia le Hessois.

Après avoir brossé le cheval du cavalier, Ichabod avait également apprit à seller une monture. Le Hessois lui avait montré une fois, puis avait retiré le harnachement, avant de demander au jeune homme de le faire tout seul. Ichabod s’était exécuté et avait réussis l’examen du premier coup, hésitant seulement un peu au moment de mettre le mors dans la bouche de l’étalon. Il était toujours impressionné par la dentition imposante de Daredevil.

Mais il avait réussi, malgré tout et s’était tourné vers le cavalier attendant son appréciation. Christiaan tourna autour du cheval, vérifiant la sangle, le licol, les étriers et le mors. Puis il se tourna vers Ichabod qui attendait, timidement. -Parfait, tu apprends vraiment vite- déclara-t-il avec un hochement de tête satisfait. C’est à ce moment qu’il compris qu’il venait de faire un grand pas en avant vers la « guérison » du petit mortel.

Car Ichabod rosit de plaisir et un sourire de fierté apparut et s'épanouit sur son visage.
Il réagit au compliment. Très bien nota le Hessois. Car Christiaan savait que c’était de cela que le garçon avait besoin. Il devait retrouver confiance en lui." À partir de maintenant c’est toi qui te chargeras de seller mon cheval."

1 Leise, mein klein, dies war nur ein entsetzlicher Alptraum, alles geht gut, es wird jetzt beendet : Chut, mon petit, c’était un mauvais rêve, tout va bien, c’est fini à présent.

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Moi ? Je suis Azemaria la faiseuse de miracles! Jeteuse de sors de la caste des mages, gardienne des secrets et fileuse de contes! Mais surtout je suis l' épouse de Davy jones, Impératrice des océans et maitresse des eaux!
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MessagePosté: 27 Sep 2006 23:00 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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:shock: Comment ?! Pas encore de review pour une aussi bonne fic ?! Mais enfin, quelle horreur !

En parlant de fic... :bravo: :bravo: :bravo: !!!! C'est une vraie petite merveille, un véritable bijou, un délice ! Du grand art, sincèrement, je n'exagère en aucun cas ! :D :D :D
J'ai adoré cette première partie, vraiment ^^ Tu décris magnifiquement bien les ambiances, les comportements, pas besoin de faire le moindre effort, on a le "film" qui se déroule devant soi ^^
J'aime aussi beaucoup, je ne sais pas pourquoi, le fait que le Cavalier soit Allemand, je trouve que lui une donne un certain charme ^^
Je ne peux que t'applaudir de tous mes tentacules et te réclamer :suite: :suite: !!!!

(juste un truc à la rien n'avoir, comme ça : qu'est-ce que tu fabrique sur le bateau d'Hendrick van der Decken (véritable Capitaine du Hollandais Volant) si tu es l'épouse de ce cher monsieur Jones ?)

Poutoux tentaculaires à toi, et vivement la suite :D !!

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"Tout homme devrait avoir droit à minimum 24 heures de Liberté par jour..." (R.Magritte)


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MessagePosté: 28 Sep 2006 13:08 
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Pas encore atteint(e)... mais presque
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Tata Gabby a écrit:
En parlant de fic... :bravo: :bravo: :bravo: !!!! C'est une vraie petite merveille, un véritable bijou, un délice ! Du grand art, sincèrement, je n'exagère en aucun cas ! :D :D :D
J'ai adoré cette première partie, vraiment ^^ Tu décris magnifiquement bien les ambiances, les comportements, pas besoin de faire le moindre effort, on a le "film" qui se déroule devant soi ^^
J'aime aussi beaucoup, je ne sais pas pourquoi, le fait que le Cavalier soit Allemand, je trouve que lui une donne un certain charme ^^


Franchement je n'aurais pas dit mieux !!:D
Je rajouterais que le faite qui soit Allemand me séduit beaucoup ! :wouah:

Je réclame une suite please
:sourire:

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MessagePosté: 03 Oct 2006 17:36 
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Le slash, kesako ?
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Hooo :oops: :cry: Merci du fond du coeur à vous deux! Vos appréciations me font trés plaisir! en relisant ce que j'ai écrit je trouvais que ça n'était pas bon, mais vos commentaire me touchent beaucoup.

J'ai commencé cette fic, il y à un moment, et depuis je suis passée à autre chose (Pirates des Caraïbes) mais puisque cela vous a plu, je pourai m'y remettre... 8)

Encore merci, vraiment!

Edit> Ha oui, j'oubliais :

Citation:
Tu décris magnifiquement bien les ambiances, les comportements, pas besoin de faire le moindre effort, on a le "film" qui se déroule devant soi ^^


Encore merci. En fait cela viens peut-être du fait que lorsque j'écris justement le "film" se déroule dans mon petit cinéma personnel entre mes oreilles^^. A tel point que souvent quand je commence à écrire, je m'évade complètement dans mon récit, je vois vraiment ce que je décris, s'en est presque magique!

Donc j'imagine que si je "voie" mon histoire en l'écrivant, mes lectrices doivent, elles aussi, la voir en la lisant...

Pour ce qui est de la nationalité Allemande du cavalier, il est hessois, donc de hesse qui est un état allemand, sans être en allemagne.
Moi aussi je trouve séduisante l'idée que le cavalier soit originaire des pays de l'est. Le charme des plaines de Hesse sans doute... :mrgreen:

En tout cas j'ai adoré le faire parler Allemand à Ichabod, lorsqu'il tente de l'apaiser! Car c'est dans cette langue que le Hessois parle à son cheval quand il cherche à le calmer (Je ne sais pas si vous avez noté le parallèle avec les chevaux et le dressage?) Il se trouve que j'aime beaucoup moi- même les chevaux, rien ne me plait plus que lorsque je monte. J'ai donc inclu ce trait de caractère dans la personalité du Cavalier.

Dans le film on le voit caresser son cheval, à la fin, et j'ai trouvé ce plan trés touchant. Je m'en suis servie pour approfondir le caractère de Christiaan. Il m'a fallu tout imaginer vu qu'on ne le vois que trés peu de temps dans le film...Mais ce regard mon dieu!! Et ce visage!! Franchement Tim Burton est un dieu : il à réussi à le rendre sexy ce cavalier!

Donc voila, je me tais, je suis heureuse que cela vous ais plu!

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MessagePosté: 03 Oct 2006 22:37 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 16 Aoû 2006 23:05
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Localisation: A la cour de Louis XV (ben quoi, on peut rêver, nan ?)...
Et nous, comme je te l'ai dis par MP, on est est heureuses que tu nous ai pondu un début pareil !!! :D
On attend la suite avec moultes et moultes impatiences !!! :suite: :suite: Pitié Arcane, pitié, pitié, pitiiiiiiiiiiiiiiiééééééééééé !!!! Remets-y-toi ! Pleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaseeeeee !!!

Gros poutoux tentaculaires, que Dlul te garde ^^

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MessagePosté: 04 Oct 2006 20:47 
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Pas encore atteint(e)... mais presque
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Localisation: Dans les bras de mon Shannon!! Sur la planète Mars!
Waaaaaaaa! là t'as touché !!
:toutecontente:
Je veux que tu écrive la suite, je veux la lire BIENTOT !!
tu dois continuer comme je te l'ai dis, baisse pas les bras fait le!!
:calin:
Alors dans pas longtemps hein ?????
Poutoux

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MessagePosté: 21 Déc 2006 22:26 
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Le slash, kesako ?

Inscription: 26 Mai 2006 08:45
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Mais...mais....mais....ou est la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!! :(
Tu px pas nous laisser comme ca!!!!
C est trop cruel!!
Bref en tout cac j adore ta fic ( lol comme si ca se voyait pas ) et j attend impatiament la suite
bisous


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MessagePosté: 21 Déc 2006 23:18 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 08 Sep 2006 02:52
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Jsuis d'accord avec Gwenn! Je réclame la suite! J'aime beaucoup, c'est touchant et très bien écrit, continue s'il te plaît!


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 Sujet du message: Sleepy Hollow- "A toi pour toujours"- Cavalier/Ich
MessagePosté: 26 Déc 2006 11:52 
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Ouh là... ça commence à devenir grave !
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Inscription: 21 Sep 2006 15:15
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Localisation: vaste question...
Bonjour !

Je me joins à mes camarades pour demander :suite: C'est très agréable à lire, et on se demande vraiment ce qui a bien pu arriver à Ichabod Crane !

Polymnia

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alias Etoilia sur ff.net

Puisse Polymnia, Muse grecque de la pantomime et de l'art d'écrire, m'inspirer pour toutes les histoires que je conterai.


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MessagePosté: 20 Jan 2007 17:17 
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Le slash, kesako ?

Inscription: 31 Déc 2006 16:31
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Localisation: France
j'adore! comme tous le monde,vivement la suite!j'aurais perso jamais imaginé une histoire slash dans ce film!
je trouve que tu as eut une excellente idée!de plus c'est trés agréale à lire!on attend la suite! :chaud:


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MessagePosté: 07 Fév 2007 15:54 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 31 Jan 2007 15:28
Messages: 33
Kiko

Voilà je vais faire le pourquoi du fait que je me suis inscrite sur ce forum... *rolalala, je parle de moins en moins bien français; enfin je m'embrouille de plus en plus dans mes explications, enfin je crois que je vais arrêter là et passer a la suite*

J'adore cette fic, je me suis inscrite sur ce fo exprès pour dire qu'elle est trop excellente et que j'espère qu'il y aura une suite?

J'aime beaucoup comment elle est écrite, et le sujet est très original, j'avoue que c'est un couple auquel je n'aurais jamais pensé et même si quand j'ai apperçu dans le sujet le couple, je me posait encore des question et finalement elle est tournée de façon logique, elle est très bien écrite, et j'aime beaucoup comment l'action avance.

Donc voilà, j'espère ne pas avoir été trop pompeuse, même si je n'ai pas été des plus claire, je ne suis pas quelqu'un de claire XD

Donc voilà, un résumé court : J'adore, c'est excellent, a quand la suite?

Je rend la paorle aux autres, a vous les studios XD

Kisu


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MessagePosté: 07 Fév 2007 20:29 
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Le slash, kesako ?

Inscription: 30 Jan 2007 22:01
Messages: 34
la vache quelle inspiration oO!
t'as du mettre une éternité à réaliser cette merveille!
moi qui aodre sleepy hollow (et tout ce que fait monsieur burton ou monsieur depp en général) franchement l'histoire est super bien tournée,agréable à lire,et tout se tient!
pas grand chose à dire quoi ^^ ah si,la suite!!


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 Sujet du message: Re: Sleepy Hollow- "A toi pour toujours"- Cavalier/Ich
MessagePosté: 13 Juin 2008 00:02 
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Slash ou non, telle est la question...
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Inscription: 08 Juin 2008 22:18
Messages: 784
Localisation: Charente... malheureusement.
Hep !! J'adore trop cette fic, ça fait 3 fois que je la lis, je t'ai déjà laissé un mot sur fanfiction. net ^^ Mais là j'en profite pour me joindre au choeur, car ça fait trop longtemps que j'attends... :suite:

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Laisse la grosse mouche taper au carreau pour sortir, ça fait vacances dans le sud...
¤¤¤
Tu aimes éplucher des patates qui parlent ? Tu aimes crier sur les petits nouveaux parce qu'ils sont nuls en calcul mental ?
Alors...
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Comme on a deux bras, deux jambes, deux yeux on a besoin des deux sinon ça marche pas.
Laurène B, Silia Valentine, Kamiel, E. Métayer
Le Slash vaincra.
L'ARMY y veille.


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 Sujet du message: Re: Sleepy Hollow- "A toi pour toujours"- Cavalier/Ich
MessagePosté: 27 Juin 2008 16:19 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 23 Fév 2007 13:39
Messages: 469
Localisation: Dans les bras d'un ange
j'ai pas tout compris...
le Hessois/cavalier c'est bien le grand méchant pas beau avec les dents pointues? O_O


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 Sujet du message: Re: Sleepy Hollow- "A toi pour toujours"- Cavalier/Ich
MessagePosté: 24 Juil 2009 14:52 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 17 Juil 2009 15:14
Messages: 210
Localisation: chez derek, tentant de lui faire comprendre que jackson est fait pour lui.
:bravo: :bravo: :bravo: que dire d'autre qui n'a pas ete deja dit c'etait vraiment magique on arrive tres bien a voire la scene ce derouler juste sous nos yeux j'esper qu'il y'aura tres vite :suite: :suite: :suite: :suite: :D

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L’espoir fait vivre mais il peut aussi tuer.


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