Ah? A ce point là...? * prends son chien dans ses bras et l'éloigne de l'ordinateur...* euh, bah, dans ses conditions, je me vois obligée ( dieu quelle horrible punition! lol) de vous mettre la suite de cette pitite fic!
bonne lecture, merci pour les reviews! ( eh, Calypso: j'ai cru comprendre que tu aimait beaucoup mes deux namour... à quand la fic? bissousss!)
chapitre 2
Alexandre prit la tête de son amant et la posa sur ses genoux, lui caressant les cheveux, le visage. Il n'osait parlé, sa bouche formait un "o" parfait... Que c'était il donc passé? Héphaistion tremblait violement, n'arrivais plus à gardé les yeux ouvert... Il s'accrochait désespérement à la tunique du souverain, comme s'il avait peur que celui-ci s'en aille en le plantant là... Toute la rage et la souffrance de voir son amant aussi mal fit retrouver l'usage de la parole a Alexandre :
- Héphaistion... Mon dieu! Je suis là! Ca va aller! Tient bon!
Il cria alors au gardes qui gardais la porte d'aller cherché un medecin. Puis il prit son ami dans ses bras et le serra fort, térrifier à l'idée qu'il meure... Il ne pouvais pas mourir! Il ne le laisserais pas partir! Il s'agripèrent l'un à l'autre cherchant en chacun une force nouvelle... Bientôt le roi ne senti plus aucune pression sur son bras...: Son général venait de s'évanouir... Il senti les larmes coulées sur ses joues.
A ce moment, la porte s'ouvrit violement, laissant entré un homme entre deux âges en tunique blanche... L'homme était entouré par deux gardes. Il lança un rapide coup d'oeil à Alexandre, puis se precipita sur Héphaistion. Il lui prit le pouls, touchâ sa tête et son torse, à la recherche d'une quelconque blessure... Le silence s'était fait dans la pièce, à peine troublé par les larmes de plus en plus violentes d'Alexandre. Avec l'aide des gardes, le médecin fit emmené le général sur le lit du roi, où ils l'etendirent précautionnement. Puis le médecin demanda de l'eau chaude et des linges propres. Les soldats sortirent, et à peine eurent ils fermé la porte derrière eux, que le médecin demanda au roi:
- Qu'est ce qui c'est passé exactement?
- Je... Je ne sais pas trop... On...Parlais, Et... il... On s'est trompé de verres... Il a bu le miens!
- Le vôtre...
L'home resta un moment songueur, fixant Héphaistion sans vraiment le voir. Puis il allat prendre la dite coupe, et renifla le contenu... Il poussa un grognement et s'expliqua:
- Majesté... Je crois que vous devriez vous tenir sur vos gardes dorénavent... Vous avez un ennemis. Un ennemis prêt à tout pour vous tué.
Il laissa au roi le temps de se remettre de ses paroles et poursuivit:
- Ce verre contenait du poison. Je ne sais pas encore lequel... Une chance pour vous que votre ami l'ai bu à votre place sans quoi...
Il se tu soudain, se rendant compte qu'il venait pratiquement d'anoncer la mort du jeune général... Le roi le regarda avec une telle tristesse que le médecin en fut déboussolé...
- Est ce qu'il va vivre...?
- Je ne peut pas encore me pronnoncer mon roi... Je dirais que les prochaine vingt quatre heures seront décisives... Il n'y a plus qu'a prié les dieux pour qu'il s'en sorte...
Alexandre eu un nouveau hoquet de tristesse et vient s'agenouiller à coté de son amant. Il lui prit la main et lui caressa le visage, écartant de son front les mèche brune qui y était colé de sueur... Il lui murmura tendrement à l'oreile:
- Je suis là, Héphaistion... Je reste avec toi. Ca va aller. Tu dois t'en sortir tu m'entend? Tu n'a pas le droit de me laisser! Revient moi... Je t'en prie, tient bon!
Il posa un léger baiser sur les lèvres de son général: Elles étaient sèche. Il regarda plus attentivement son ami: Il tremblait et suait beaucoup, sous ses paupières closes, ses yeux roulaient en tout sens... Il était agité, comme en proie à un violent cauchemar... Le roi pria pour que les gardes se dépêche! Il entendit soudain un mouvement derrière lui: Les soldats venaient de pénétré dans la salle, avec l'eau et les linges.
Le roi se précipita et prit le tout. Il revint s'installer près de son amour et congédia toutes les autres personnes d'un signe de la main. Le médecin tenta de protesté mais le roi lui hurla tellement fort de s'en aller, que l'homme parti presque en courant!
Une fois débarassé des opportun, le roi prit un linge et le trempa dans l'eau. Après quoi il l'appliqua sur le front et le visage brûlant d'Héphaistion, pressé de soulagé quelque peu son ami...
Le général émit un gémissement entre peur et souffrance, faisant revenir les larmes du roi. Alexandre continua à appliqué regulièrement un linge sur le visage de son ami, durant tout le temps où il le veilla... A un moment, alors qu'Alexandre somnolais, Héphaistion ouvrit un oeil, douloureusement. La vue de l'oeil bleu réveillé totalement le souverain qui se jeta au pied du lit de son ami, prenantsa main, et la serrant fort.
- Héphaistion...? Je suis là... Tout vas bien...
Le jeune grogna, il semblait épuisé, à bout de forces. Alexandre ne put s'empeché de sourire de soulagement: Au moins, il s'était réveillé! Le jeune ouvrit la bouche pour parler mais aucun son ne voulut sortir...
- Chut! Non mon amour... Econimise tes forces!
Héphaistion, obéissant, ferma la bouche. Il leva une main tremblante vers le visage de son roi, et la plaça sur sa joue. Le roi en aurait pleuré de bonheur! Il mit sa propre main sur celle de son ami et frotta sa joue contre leur deux mains enlaçées... Le jeune dardait ses deux prunelles azur sur ceux d'Alexandre, essayant de lui faire comprendre un message. L'aîné chercha un moment le sens de ce regard puis finalement, ce fut l'ilumination, et il déclara, en embrassant le visage de son ange:
- Moi aussi je t'aime Héphaistion... Dors mon amour... Je veille sur toi...
***
* se cache la tête avec son classeur de révision* Nan! me taper pas comme ça! lol! c'était donc le deuxième chapitre de cette tite fic! le reste près la pub!
excusez encore et toujours les fautes!
***leur faire du mal parce que ça nous fait du bien...***