Voici une fic baséé sur le film donc, a partir de la scène de la bague j'ai brodé un avant et un après, en éspèrant que cela vous plaise.
Il y a des fautes je sais, mais je dois partir faire des courses, en revenant j'editerai
^^ Merci à Kyomine pour ce qu'elle sait^^
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Après qu'Alexandre eu remercié ceux qui lui avaient amené les présents en grand nombre, après avoir embrassé ses frères d'armes et leur amis, pour leur soutien, il profita du banquet, comme tous les autres auquel il était convié. Il remarqua que certains désaprouvaient cette unions qu'ils jugeaient barbare, lui n'y voyait qu'un moyen de rapprocher deux cultures qui s'étaient trop longtemps fait la guerre et par la même occasion le meilleur moyen d'avoir un fils qui se sentirait chez lui partout sur la Terre. Terre qu'Alexandre dominait dans toute son étendue.
La fête dura tard, très tard. Les esprits s'embrumèrent, l'alcool eut mauvais effet sur certains qui dirent tout haut ce que d'autres se forcaient de garder pour eux.
Les langues se délirents et le Roi pardonna dans une clémence infinie les insultent qui lui furent proférées, ce qui n'était pas dans ses habitudes, se contentant de les faire emprisoner autant de temps que le mariage serait célébré, 30jours et 30nuits. Plus tard, lorsqu'Alexandre annonca qu'il allait se retirer pour sublimer sa nuit de noces, et passer la plus douce des nuit en compagnie de sa toute jeune épouse. Hephaistion avait fait la jalousie de ces compagnons, en effet il acait été choisi comme étant le témoin d'Alexandre à son mariage. Il avait donc passé la soirée du banquet près de lui, ne devant se contenter que de signaler à des pages de remplir sa coupe lorsque le niveau de celle ci diminurait. Honoré mais frustré, il avait passé la soirée à se demander ce qu'il allait advenir de lui, de sa relation, de ces sentiments. il se rapellait chaque jour de sa vie cet instant passé avec Alexandre au balcon de la chambre de ce dernier et la nuit torride qui suivit ces révélations échangées par les deux hommes. "C'est toi Hephaistion ... nul autre" Ces mots, lorsqu'il regardait Alexandre rire et s'amuser en cette soirée qui était bel est bien un jour de fête, il ne put s'empécher d'y meler de l'amerthume. Ses regards virent souvent frôler le sol, il sentait lui aussi le vin faire son effet.
Il maîtrisa plusieurs fois ses pulsions qui l'auraient conduites à embrasser Alexandre. Lorsque son regard ne pût soutenir les yeux noirs de Roxanne il décida de se lever, de porter un dernier verre à son souverin avant de s'éloigner. Il entendit pendant qu'il se dirigeait vers ses appartements qu'Alexandre renouvellait son voeu d'aller célébrer son mariage dans l'intimité. Hephaistion crût un instant qu'Alexandre l'aurait suivi pour échanger avec lui quelques caresses viriles à l'abri des regards. Posté devant une fenêtre à la sortie du palais, Hephaistion vit la salle du banquet se vider de ses occupants, jusqu'a la dernière personne il pensa qu'Alexandre viendrait, lorsqu'il vit en levant la tête que de ce même balcon qui lui évoquait tant de souvenir, s'échappait une fine lumière signifiant qu'il s'apprétait à consommer la virginité de sa jeune épouse sous peu.
Une larme coula sur sa joue.
La première d'une longue série. Hephaistion passa le clair de ses nuit après ce mariage à pleurer Alexandre à l'image de cette nuit maudite, où il sût qu'il lui avait échappé, à jamais.
Il décida d'aller vider quelques amphores emplies de liqueur sacrée avant de finir sa nuit entendu sur un lit qui ne serait pas le sien, dans des bras qui ne seraient pas ceux d'Alexandre. Il rentra donc dans la salle déserte ou des pages s'activaient à tout nettoyer. Bagoas bien que favori d'Alexandre étaient de ceux là. Hephaistion lui adressa quelques regard aussi noirs de haine que significatifs que ses pulsions d'hommes pouvaient lui procurer. Bagoas se contenta de baisser la tête respectueusement en réponse à ces avances qui n'étaient pas de circonstance vu l'état très avancé du guerrier. Hephaistion constata que son corps savait contenir l'alcool âpre et épais des babyloniens mieux que le reste de ses camarades. Il passa sa main sur son ventre craignant que la douleur qui commençait à s'y installer ne pourrait durer après qu'il ait abandonné cette amphore et se soit levé. Son corps ne voulu pas répondre à ce que son esprit lui intimait de faire, se lever et aller de l'avant. Ses yeux embués de larmes ne purent les contenir davantage, il s'écroula sur le banc recouvert de coussin qui l'acceuillait, criant son mal dans des complaient indiscibles, liassant les larmes l'envahir et la passion le dévorer de l'intérieur. Un page s'approcha de lui, il passa sa main sur le front d'Hephaistion.
-Maitre ... voulez vous que je vous aide ?
-Va t-en....hors de ma vue... cousin de cette maudite chienne ....
-Que dites vous ? L'alcool vous déchaine ...
Hephaistion sentait la violence monter en lui et l'alcool faire bouillir son sang plus que de raison. Aussi manquant de frapper le page, il se leva tant bien que mal, s'appuyant sur les braseros déjà étains pour trouver l'air frais de la nuit qui lui apporterai la plénitude et chasserait sa colère hors de son coeur.
Il passa sa main sur son front et y rencontra le diadème qu'Alexandre lui avait offert pour ce jour si spécial, et le rôle qu'il devrait y tenir. Il entreprit de l'enlever puis y rennonca finalement. Lorsque sa route croisa celle d'un jeune éphèbe madédonien qui devait être un assistant aux tirs d'armes massives au vu de sa carrure et de sa tenue. Ce jeune homme paraissait plus jeune que lui, et bien que ces cheuveux étaient chatins, le reflet de la lune lui donnait des reflets d'or. Ses yeux étaient clairs et ses bras aussi musclés que ses cuisses. Il l'interpela.
-Macédonien !
L' homme qui se dirigait vers un groupe de gardes babyloniens regarda autour de lui, y vit Hephaistion et se reconnu étant le seul de cette caste visiblement présent dans les parages. Il s'avanca vers l'homme aux yeux humides. Hephaistion tenta de se contenir.
-Général ? Que se passe t-il ?
-Quel est ton nom ?
-Selvion fils d'Antarios seigneur de la contrée de ...
-Selvion. l'intérrompit Hephaistion. Suis moi.
-Général, pardonnez moi mais je ... on m'attends.
-Oserais tu refuser un ordre de tes supérieurs quelqu'en soit la raison ou le motif ?
-Non, jamais c'est juste que ...
Les yeux d'Hephaistion se posèrent sur les cuisses nues de son interlocuteur, les compara instantanément à celles d'Alexandre, puis s'imagina dans une couche chaude en train d'y darder sa langue. Il se reprit, mettant plus de ton dans sa voix bien que le coeur n'y était pas.
-Alors ?
-Je vous suis ...
Hephaistion réajusta les fourures dans lesquelles ses épaules et son cou étaient envelloppées puis emboîta le pas vers de sombres jardins où de grands palmiers poussaient à loisir. Il tenta un début de conversation, mais il était clair que l'autre était bien moins atteint par le vin qu'il ne l'était lui même, et si sa constitution lui permettait de sauver les apparences, elle ne lui permettrait pas de suivre une conversation aussi dévellopée sur les tirs lourds comme celle que Selvion semblait entamer; aussi il se retourna sur son interlocuteur, le plaqua contre un mur de craie fraîche puis fondit sur lui apposant ses lèvres contre les siennes, le forcant par les mains a lui rendre sa furie. Selvion tenta de se défaire de cette étrainte forcée, et même si Hephaistion détestait l'homme qu'il était à cet instant il tenta d'aller plus loin passant une de ses mains sur les cuisses du jeune homme. Le fait d'avoir oté une main qui maintenait son visage laissa au jeune macédonien l'éspace de flaquer à son général un coup de coude dont il avait lui aussi le secret. Hephaistion eut une réminescence et se rapella se jour dans les vestiaires avec Cassandre où comme prit au piège, un coup de coude bien placé l'eut sauvé des réprimandes de son camarade. Hephaistion se rappella la détrésse qui l'avait poussé a faire ce geste et bien qu'encore sur pied, il s'écarta pour laisser s'enfuir celui qui aurait pu être un amant formidable. Celui ci se décolla du mur, eut un gémissement de frayeur croyant que son acte allait lui couter la vie. hephaistion senti le sang s'infiltrer dans sa bouche, il en cracha un peu par terre puis essuya sa lèvre. Hephaistion posa un genou à terre, boulversé tout de même par ce coup bien placé. Selvion s'approcha.
-Pardon je ... si c'ets ce que vous voulez nous pouvons très bien nous retirer et ...
-Non. Va t-en.
-Général je ...
-Va t-en.
-Je ne révélerai jamais ceci.
-Contente toi de t'en aller.
-Général ... quand tout est fini, seul importe ce que nous avons fait. dit-il en s'éloignant comme ordonné.
L'homme bléssé prit en considération ce que le jeune éphèbe vennait de lui enseigner et porta la main à sa poche intérieure comme pour vérifier quelque chose. L' expression sur son visage traduisit la satisfaction que cette vérification lui apportait. Il se releva dignement, essuya encore le peu de sang qui coulait de sa lèvre et rentra dans le palais, évitant les gardeset les pages cherchant avidement du regard malgré son désespoir et son état les appartements d'Alexandre. Il vit au bout d'un immense couloir vidé de toute assistance personifée cette même lumière tamisée fuser à travers les portes royalement sculptées. Arrivé devant cette lumière il constata qu'elle ne provenait pas de la chambre directe mais de l'antichambre qui menait à celle ci. Il poussa donc les portes sculptées et se tennant devant la lourde porte finement dorée frappa quelques coups peu assurés.
Puis posa sa main sur la poignée, et n'attendant auccune réponse comme à l'accoutumée, pénétra dans cette chambre qui lui était si familière et qui ne l'acceuillerai plus jamais comme avant. La lumière était bel et bien celle des braséro de l'anti chambre car dans cette grande pièce l'ombre régnait, seul le balcon, qu'il avait apercu, majestueusement mis en valeur reflétait une lumière acceuillante.
Hephaistion referma la porte derrière lui, chercha Alexandre du regard jusqu'a ce que celui ci vienne à sa rencontre. Il vit l'etonnement et la tristesse dans les yeux de son amant, puis comme pour lui demander de ne rien dire, posa un doigt sur sa bouche. Hepahistion regarda tout autour de lui s'ils étaient bien seuls, Alexandre ejtta un furtif coup d'oeil également, c'était apprement le cas. Hephaistion ne dit mot, baissa la tête, puis ouvrit la main devant Alexandre, il y tennait un bout de cuir tanné blanc cassé envollopant visiblement quelque chose. Il croisa le regard géné d'Alexandre. Il dévoila une bague finement ciselée, un anneau d'ore sur lequel était surmontée en ovale une pierre pr"cieuse travaillée, couleur sanguine aux milles reflet de miel et d'étoiles. Le regard à nouveau empli de larmes, il se retint et déclara à Alexandre ses dernières pensées.
-Je l'ai trouvée en Egypte ... l'homme qui me l'a vendue, m'a dit qu'elle vient d'un époque où l'homme adorait le soleil et les étoiles ...
Il prit la bague dans sa main et naturellement trouva celle d'Alexandre, tout en continuant ses explication il tenta de passer l'anneau au doigt de son aimé, toujours ému et contemplatif.
-Je t'ai toujours immaginé comme le soleil ... Alexandre. dit-il au moment où l'anneau fut placé. Et je prie pour que tes rêves illuminent tout les hommes ...
Il se recula pour mieux l'observer, puis sa lèvre sanguinolante lui rappella la pensée de Salvion. Il alla se loger dans les bras d'Alexandre, ensserant celui ci des siens, lui procurant en cette etreinte plus d'amour que Roxanne n'aurait jamais pu lui en donner. Puis touchant ses cheveux comme pour le garder encore un peu, il s'ouvrit un peu plus à lui.
-Je te souhaite un fils ...
Alexandre visiblement au bord des larmes aussi, mis son nez dans les cheveux de son amant et y huma la douce odeur si particulière qu'il chérissait tant. En épousant Roxanne il savait quoi y gagner, mais il semblait se rendre compte en cet instant de ce qu'il allait perdre.
-Que comme toi, il soit un grand homme ...
Alexandre se desserra et considéra Hephaistion un moment s'appretant à l'embrasser.
-Je t'aime Alexandre, d'un amour si pur ... fit-il a demi mots.
Des bruits de pas les firent redescendre sur Terre. Ils se détachèrent instanténément l'un de l'autre lorsqu'ils virent Roxanne, revennant de son bain, affublée de deux servantes qu'elle congédia d'un violant geste de la main en arrière. Hephaistion ne sut plus où se mettre, Alexandre détacha à Roxanne un regard navré, celle ci semblait entrée dans un état de haine sans précédant. Hephaistion salua Alexandre d'un discret signe de tête puis sortit. Lorsqu'il était dans l'antichambre il entendit Roxanne proférer à Alexandre
-Alors comme ça c'est lui que tu aime hein ?
Il aurait voulu entendre la réponse d'Alexandre mais le coeur n'y était pas, il se douta que celui ci mentirait pour garder un semblant de joug sur elle.
Hephaistion, dévasté, traversa le couloir nonchalement comme à la recherche de quelque chose qu'invisible. Il déambula jusqu'a ce qu'une nourice le prenne par le bras et l'acompagne dehors. Une fois à l'extérieur, il inspira l'air frais de la nuit. Cette étreinte fut salvatrice, alors qu'il avait pensé avoir perdu Alexandre dévinitivement, il se rendit compte qu'il s' appartenaient plus que jamais mais qu'ils devraient faire preuve de patience, de discrétion, et qu' Hephaistion devrait accepter de devoir le partager, ce qu'il avait déjà fait à regrets avec Bagoas. Hephaistion une bonne partie de la nuit dehors, à marcher dans les jardins, seul avec ses états d'âme. Il laissa les larmes couler sans tenter de les retenir lorsque sur le chemin de ses appartements, il vit, fusant à travers le balcon d' Alexandre et ses tentures, les ombres de deux personnes qui s'unissaient. A cet instant Il attrappa un poignard dans sa veste et fit une entaille à l'intérieur de son bras et tandis qu'il regardait le sang couler, il décida qu'il en serait ainsi à chaque fois qu'il aurait une pensée jalouse envers Roxanne. Car si elle était mariée à Alexandre, il le possédait d'une manière qui lui serait toujours inconnue. Lorsqu'il fut arrivé dans ses appartements, Hephaistion s'étendit sur le lit qui avait acceuilli tant de fois celui qui faisait battre sonc coeur. Il se délesta de ses fourrures, de son arme et s'appreta à dormir de la sorte. Il entendit tout à coup des clapotis d'eau. Il se leva sans grande conviction.
-Qui est là ?
Lorsqu'il vit Bagoas, plongeant une éponge improvisée dans une bassine de cuivre chauffée, dérrière les paravents il s'offusqua de voir que quelqu'un avait pu pénétrer sa chambre.
-Bonsoir, Maitre ...
-Je ne suis pas ton maitre, Bagoas ... va t-en.
-Je souhaite rester près de vous cette nuit.
-Depuis quand est tu en mesure de souhaiter quoi que ce soit d'une personne de mon rang. De plus je ne souhaite pas disposer de tes services. Si Alexandre s'en contente jamais je ne te toucherais pour savoir ce qu'il ne ressent pas avec moi.
-Laissez moi juste vous mettre au lit et vous placer cette serviette chaude sur le visage, vos yeux trahissent votre désespoir ..
Hephaistion se rendit compte qu'un peu d'aide et de chaleur serait les bienvennues mais de tous les babyloniens au services des hommes dans ce palais, pourquoi fallait-il que ce soit celui ci qui se soit dévoué.
Bagoas s'approcha, craintif, recupéra les fourrures qui étaient sur le lit, les posa autre aprt puis entreprit de deshabiller Hephaistion. Ce dernier se laissa faire, mais repoussa l'enuque lorsqu'il allait oter les derniers vêtements qu'il restait avant d'être nu.
-Merci je ... cela suffit ..
-Votre serviette ...
Bagoas lui appliqua soigneusement, délicatement la serviette sur le visage, passant doucement sur la lèvre ouverte, apposant de doux baisers sur le front et sur les yeux d' Hephaistion, à nouveau prit de larmes, de gémissements sourds et de complaintes silencieuses. Ils parlèrent quelques temps, puis Bagoas, constatant qu'il ne consolerai jamais lui explica qu'il allait le laisser seul. Il le salua, lui fit quelques recommendations puis sortit, laissant le général seul. hephaistion ne put s'empecher de penser à Alexandre de façon perverse, le vin avait vraiment un effet devastateur sur sa conscience. Une fois seul Hephaistion se prit la tête dans les mains et pleura jusqu'a s'endormir de fatigue. Au reveil, il sentit quelque chose lui peser sur la tête et ce fut la première chose qu'il constata. Il y porta sa main, et y sentit le diadème, qu'il retira et posa sur un meuble. Il se leva, la tête lourde et l'esprit embrumé. C'était le petit jour, il n'avais dormi que peu d'heures mais il avait été habitué à cela, et c'etait suffisant. Son métabolisme mit du temps à se remettre et lorsqu'il fut totallement sur pied, une femme vint violament ouvrir la porte principale de sa chambre ....
-Hephaistion .... Hephaistion ... seigneur ... dit t-elle avec affolement
-Oui ?
-C'est Alexandre ... on a essayé de l'empoisonner !
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Fondatrice du CQOPC
Dernière édition par thoseyes le 27 Aoû 2005 12:40, édité 1 fois.
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