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 Sujet du message: [En cours] Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 17 Avr 2012 15:44 
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Le slash, kesako ?
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Voici ma première fic sur Sherlock Holmes ... je l'ai écrite en écoutant en boucle la musique " it's too late apology " durant les dernières vacances, au départ je ne voulais écrire que l'état dans lequel se trouvait Watson à la mort d'Holmes et finalement j'ai continué ... en partant du principe que, si Holmes n'était pas mort, pourquoi moriarty le serait ? :wink: je n'en dis pas plus, j'espère que ça vous plaira ... en général je n'écris pas pour être logique mais pour mon propre plaisir et pour combler le "manque" quand on veut trop savoir la suite alors dites moi si quelque chose ne va pas ... voilà ^^
Bien sur ce ne sont pas mes personnages ... ( ce n'est pas très joyeux mais je ne pense pas que ce soit vraiment trop " hard" )

Bonne lecture :)





Terrible.
Comme une tenaille à l'intérieur de son cœur, tirant, compressant ses entrailles.
Cette insoutenable douleur ravivée à chaque geste, chaque parole, chaque pas.
Etaut qui ne le lâche pas, pas même lorsqu'il reste immobile.
La nuit, c'est encore pire.
Il ne trouve plus le sommeil depuis le drame, qu'il n'a pas encore eu le courage de nommer autrement.
On se peut pas dire que ce soit moins douloureux … c'est juste un peu plus supportable.
Son souvenir l'obsède. Quoi qu'il fasse, il l'entend réagir, ses mimiques, ses remarques indécentes et si justes pourtant, le ton particulier avec lequel il prononçait son nom, de sa belle voix grave qu'il savait si parfaitement moduler.
Il se sent même derrière son épaule, comme un bouclier entre lui et le monde qu'il n'aurait jamais pu se résoudre d'écarter.
Alors il se retourne, croit l'apercevoir durant quelques irréelles secondes avant que son énigmatique sourire en coin ne se disloque une nouvelle fois parmi les ombres.
Et alors, c'est avec une violence inouïe qu'il prend soudain conscience à quel point le monde est terne, sans lui.

Cette plaie là, le docteur John Watson sait pertinemment qu'aucune aiguille, aucun fil ne pourra la recoudre.

Assis dans son fauteuil en face du lit, il lève les yeux dans un soupir, le haut du nez entre pouce et l'index.
Allongée sous les couvertures, Mary semble dormir …
Il se lève et va ouvrir le tiroir de sa table de nuit.
Là, posé en évidence sur un fouillis de paperasse et où sont rangées ses affaires les plus personnelles, un papier à dessin plié en deux, comprenant le message « si cela vous agréez, rejoignez moi » dans une élégante et sinueuse écriture.
Watson caresse les lettres du bout des doigts avant de retourner machinalement le papier, pour tomber sur une autre inscription : « si cela ne vous agréez pas, venez tout de même » qui, malgré les derniers évènements, le fait toujours sourire.
Il l'approche lentement de son visage, frôlant des lèvres l'écriture, humant timidement leur parfum.
Alors qu'il lui semble encore sentir l'odeur de son ancien partenaire, les mêmes souvenirs l'assaillent …

Le dessin plié en deux dans la poche intérieure de son veston, le médecin est tapis dans l'ombre à l'abri des balles. Là haut, l'œil du phare ne le lâche pas, promenant sa lumière crue sur les façades obscures. Il entend de la musique toute proche. Son cœur manque un battement lorsque lui parviennent les cris de Holmes ...
Une peur atroce, incontrôlable le saisi. Il lui faut pourtant garder la tête froide s'il espère sauver son ami …
Tout ce qu'il demande, c'est que les cris cessent. Ne plus entendre ces hurlements de douleur qui lui hérissent le poil et font toujours courir des frissons le long de son échine …

le flash n'a duré qu'une seconde et son corps marque un léger sursaut. Le papier lui glisse des mains, échoue sur le plancher.
« -Tu ne viens pas dormir ? »
Il ferme les yeux alors qu'une larme s'échappe doucement entre ses paupières.
« -Non. »
Mary se redresse, l'observe l'air hagard.
« -Il faut faire quelque chose, John, dit-t-elle simplement au bout de quelques instants. »
sans lui prêter attention il se relève.
« -Tu ne dors plus, tu manges à peine, continue-t-elle, tu ne vis plus, John … je suis inquiète. »
Paupières toujours closes, il tangue légèrement.
« -Il faut que je sorte, Mary. Je vais aller faire un tour. »
Sur ce, il quitte la pièce et sort de la maison en attrapant son blouson au vol.
Il n'a même pas besoin de réfléchir à la destination tandis que ses pas l'entrainent d'eux mêmes vers le 221 b baker Street, le rythme lointain d'une musique gitane titillant ses oreille parmi d'autres voix où les souvenirs se mêlent …

Il ne devrait pas franchir les portes du bar.
Vous savez ce que ça donne, Watson, quand vous buvez.
Non, il ne devrait sans doute pas.
Mais tant de choses qu'il n'a jamais osé faire, jamais osé dire …
ce n'est plus sa peine à présent qu'il veut noyer dans l'alcool.
Ses pulsions qu'il a toujours refoulées, cet amour qu'il a tu à lui même dans le plus grand secret, enfoui quelque part au fond de lui même tel un trésor infâme ; dans un coffre soigneusement cadenassé, verrouillé avant même d'avoir pu être ouvert.
Un seul de ses regards pourtant … un seul, et le voilà détruit, ce coffre, inlassablement ouvert ... et inlassablement refermé.
Son regard … son regard d'ambre profond ... trop lucide ... ses cheveux noirs en bataille, cet air de fou hautain qu'il affichait tel un étendard et que quelques mots bien placés suffisaient à détruire … l'élégance étrange avec laquelle il se mouvait, avec une sorte de masculine féminité, comme si le monde entier était une scène ou une piste de danse, l'irrésistible charme dont il usait sans vergogne pour le manipuler et dont à chaque fois, il tirait une jouissance à peine dissimulée …
C'était là un jeu quelque peu indécent qu'ils jouaient l'un et l'autre, mais dont jamais ils n'auraient se passer.
Cette domination que le détective exerçait sur lui, d'un regard, d'un mot, et tandis qu'il se révoltait alors contre lui même, que donnerai-t-il, aujourd'hui, pour se voir à nouveau sous le joug de cet homme qui à l'heure encore savait si bien le posséder …

Dans un état second Watson pris place auprès du bar.
Commanda un double scotch.
Qui croirait … ?
Autour de lui, toutes ces silhouettes dont il ne distinguait pas même le visage, que diraient-t-elles, si elles savaient ?
Se doutaient-elles seulement ?
… Et que penseraient-elles de lui ?
De l'ancien médecin militaire, gagnant bien sa vie et bien vu de la haute société, marié à une jeune et jolie jeune femme dont il ne tarderait pas à avoir un héritier ?
Du beau jeune homme aux traits si lisses et si parfaits, obsédé par un visage, un corps, une voix oubliée et qui eux seuls auraient pu subtiliser contre le masque de rigueur un sourire sincère et quelque peu séducteur.
Aujourd'hui pourtant, Watson se fiche de savoir ce qu'ils penseraient du joli rupin épris de Sherlock Holmes, le détective le plus doué et le plus fou que le monde n'est jamais porté.
Une effroyable fièvre se saisi de lui lorsque, cognant la bouteille de whisky, qui avait succédée au scotch, contre le bar, il se retrouva une nouvelle fois hanté par leur dernier regard.

Alors que derrière lui la porte de la terrasse du château se referme lentement, le médecin à à peine le temps de lever les yeux pour découvrir la scène. Le dos contre le balcon de pierre, agrippé à la veste de son rival, Holmes plonge son regard dans le sien avant de fermer les paupières et de s'abandonner aux chutes de Reichenback, entrainant Moriarty dans les eaux glacés de la suisse.
Un regard qui ne dure qu'une seconde et qui hante Watson nuit et jour.
Il ne se souvient pas avoir jamais vu une telle expression chez Holmes, dénuée de toute stratégie, tout désir de manipulation et d'intérêt à la lisière de la mort.
Un regard qui a fini d'espérer et ne cherche plus à fouiller en lui les réponses tant attendues, mais qui le considère seulement dans toute son évidence, dans toute la sincérité tragique des sentiments qui les anime.
Un regard qui pour la première fois pénètre profondément son cœur mais sans déranger quoi que ce soit, comme des pas discrets qui se retirent de la chambre à la nuit tombée ou la main mourante qui caresse la joue de l'être aimée pour un dernier adieu.
Délicat. Sage. Discret.
Un simple regard qui ne laisse pas de trace, aucune tâche, juste un immense vide immaculé, trop pur, trop paisible.
Un regard qui le met simplement devant le fait accompli et l'invite tristement à se rendre compte par lui même des dommages causés.
Saisi d'un épouvantable effroi, Watson n'a pas le temps de comprendre ni de réagir.
Juste de constater.
De rester là. Interdit.
Blême.
Avec cet affreux refus qui envahit tout son être, ce manque qui déjà entame son cœur et le ronge petit à petit.
Poison nocif que l'alcool même ne suffit à dissoudre.
Peut être parce que ce mal est la seule chose qui lui reste de lui, et certainement l'unique hommage qu'il puisse lui rendre …

Watson dépose quelques pièces sur le comptoir, reprend son blouson et quitte les lieux en titubant.
Dehors, la nuit froide s'engouffre sous ses vêtements et la pluie baigne ses yeux, à moins que ce ne soit des larmes.
Quelques derniers pas le séparent du 221 b, qu'il marche lentement, comme si c'était les derniers, examinant les façades noyées par l'obscurité, se souvenant …
Comme le souffle ravive les braises, chaque inspiration creuse un peu plus ses remords.

Combien de fois ?
Combien de fois le soumis, le serviable, l'aimable docteur Watson a-t-il blessé l'ignoble Sherlock Holmes ?
Combien de fois a-t-il lu dans ses yeux la vulnérabilité avec laquelle il encaissait en silence chacun des refus qu'il lui lançait avec froideur ?
L'importance avec laquelle il considérait, sans en avoir l'air, chacune de ses réponses, chacun de ses gestes ?
A la recherche vaine d'une attention d'un signe.
Watson se souvient de tout cela. Il sait parfaitement lequel des deux s'est montré ignoble avec l'autre. Qui malgré les apparences a joué le rôle du bourreau et celui de la victime.
Seulement il est trop tard pour les excuses.

Il pousse doucement la porte de l'appartement – leur appartement – yeux baissés, comme si tout n'avait été qu'un mauvais rêve, qu'il allait lever la tête et le découvrir là, comme avant, un pistolet à la main ou suspendu au plafond.
Il le gourmanderait alors un peu, pour le principe, comme on reprend un adolescent mal élevé, prierait madame Hudson de bien vouloir leur apporter le thé, le forcerait à manger un peu, l'examinerait méticuleusement à la recherche des plaies que son ami ne manquait pas de renouveler régulièrement, abandonnant au passage quelques caresses affectueuses, comme pour s'excuser de son absence, remettrait un peu d'ordre à l'endroit.
Holmes lui parlerait alors de la dernière enquête en cours et il en profiterait pour l'entrainer dehors, histoire de lui faire respirer l'air frais.

Mais lorsque Watson referme la porte, c'est une pièce morte qui l'accueille.
La pénombre n'a plus cet aura de folie effervescente peuplée de mystères et de curiosité en tout genre, comme si on n'en distinguait pas tout à fait les contours et qu'à tout moment une bizarrerie quelconque pouvait jaillir tel un diable de sa boite.
Non, cet ombre là n'est plus que le fantôme de ce qu'elle fut jadis.
Watson esquisse un léger sourire en traversant la pièce, marchant précautionneusement entre les cadavres d'expériences inachevées et les amas d'objets emmêles par le désordre.
Par habitude, il ouvre en grand rideaux et fenêtre, laissant l'air glacial s'engouffrer dans la pièce.
C'est une nuit sans lune.
Dans un soupire il ferme les paupières, puis lentement il se laisse glisser le long de mur, choir sur le plancher sale. Recroquevillé sur lui même comme un enfant, il laisse échapper un sanglot dans le silence froid de cet appartement qui a été le leur. Puis un second.
Il finit par succomber aux pleurs. Des spasmes le secouent tandis qu'il empoigne sa nuque tendue, ses ongles s'enfonçant dans sa peau, lacérant ses épaules.
Ce sont presque des cris de rage.
je suis désolé !!! explose-t-il dans un hurlement, la voix déformée par les larmes, je suis désolé !! Holmes, pardonnez-moi pardonnez-moi … je … je vous aime … Pardonnez-moi …

Un instant on n'entend plus que l'hystérie de son désespoir, jusqu'à ce qu'une voix grave, basse légèrement enrouée, ne souffle :
fallait-il mourir pour vous l'entendre dire ?

Watson sursaute mais ne lèvent pas les yeux. S'agrippant les tempes, il s'écrie :
cessez de me hanter, Holmes ! Ne souffrais-je pas déjà suffisamment ?

Tant de fois il a entendu sa voix, pourquoi cette fois là aurait-elle été plus qu'une illusion ?
Hum … je dois dire que votre douleur m'est assez … satisfaisante, en effet, Mon cher John …
Un tressaillement court le long de l'échine du docteur lorsqu'il entend la voix prononcer ces derniers mots.
Holmes l'avait toujours appelé Watson et son esprit n'aurait pas contourné l'habitude.
Dans un hoquet de stupeur il redresse la tête, fouillant des yeux le désordre de la pièce, le cœur battant à tout rompre.
Holmes ??!
Qu'il est idiot d'espérer une telle cause perdue ! Comme si c'était possible, un miracle pareil ! Ses yeux courent prestement d'un coin à l'autre de l'appartement pourtant, mais les murs lui paraissent plus vides qu'auparavant, et l'espoir s'éteint complètement au fond de son cœur.
Il se relève, chancèle jusqu'au lit où une chemise toute chiffonnée de son ami repose encore et s'effondre sur les couvertures en la pressant contre son visage.
La crise de larme cesse, laissant la place à un profond abattement, auquel seul le sommeil semble pouvoir pallier. L'odeur d'Holmes imprégnée dans le tissus se mêlant à son propre souffle, il s'endort presque. Dans un demi sommeil, il croit percevoir une double respiration à la sienne, ce qui lui paraît tout à fait normal, jusqu'à ce que la raison, reprenant le dessus, ne le sorte d'un sursaut de sa torpeur.
Une fois de plus il examine les lieux.
Holmes, vous êtes là ?
Bien sur que c'est complètement fou. Totalement improbable et insensé.
Il se relève, ses pas craquants sur le vieux plancher, et va s'adosser au montant du lit qu'il agrippe d'une main.
La respiration a cessé.
Il se prend la tête entre les mains.
vous allez me rendre fou …
j'espère bien !
D'une brusque impulsion Watson heurte une bouteille vide qui se brise sur le sol. Cette fois ce ne peut être que le fruit de son imagination. Du moins l'espère-t-il secrètement, de toute son âme, de toutes ses forces.
Son cerveau tourmentée tente d'assimiler ce que cela signifierait …
Holmes ? Est-ce que vous êtes là ?
La respiration reprend.
Alors qu'il se tourne pour inspecter un autre mur, quelque chose percute son épaule.
Il fait volte face.
Son regard tombe alors sur un petit objet tombée à terre, un ustensile qui lui rappelle étrangement quelque chose …
Alors qu'il se baisse pour le ramasser, il entend la voix de Mycroft dans la tête.
C'est ma réserve d'oxygène personnelle, repose ça tout de suite.
Depuis quand Holmes obéirait-il à qui que ce soit ?
Et dans une exclamation de surprise, Watson comprend … Évidemment, à l'aide de ce modeste outil, Holmes aurait pu survivre aux chutes, avec de l'habileté, de la chance, et quelques lésions en prime …
Son esprit alors tente de remonter l'improbable fil de ses souvenirs …

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 17 Avr 2012 19:39 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Localisation: from limouzi ;)
tu sais que c'est terrible de s'arrêter là?!!! :lol: (même si j'ai déjà pu lire la suite...) je suis frustrée!! :) mais je suis super contente que tu l'ai posté celle là :D

Loufoka a écrit:
Alors il se retourne, croit l'apercevoir durant quelques irréelles secondes avant que son énigmatique sourire en coin ne se disloque une nouvelle fois parmi les ombres.

ahh :bave: son enigmatique sourire en coin!

Loufoka a écrit:
Un regard qui a fini d'espérer et ne cherche plus à fouiller en lui les réponses tant attendues, mais qui le considère seulement dans toute son évidence, dans toute la sincérité tragique des sentiments qui les anime.

c'est fou la façon dont je peux revoir leurs expression, son regard à ce moment là, simplement en te lisant ^^

Loufoka a écrit:
Un regard qui pour la première fois pénètre profondément son cœur mais sans déranger quoi que ce soit

et la suite aussi :wouah:

Loufoka a écrit:
Qui malgré les apparences a joué le rôle du bourreau et celui de la victime.

pour une fois c'est à Watson de désespérer... après se qu'il lui a fait subir lui aussi...

Loufoka a écrit:
fallait-il mourir pour vous l'entendre dire ?

:D tu sais ce que j'en pense, alors je ne peux que sourire bêtement (en plus c'est pas drole, enfin tu comprends)

Loufoka a écrit:
vous allez me rendre fou …j'espère bien !

moi aussi :ange:

et puis je citerais bien toute ta fic en fait, mais euh, je crois que ça se fait pas XD
mais stp :suite: :heart:

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 18 Avr 2012 23:55 
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Localisation: Dans son lit entre 3 tonnes de mangas.
:shock: OMFG J'étais juste suspendue à tes mots ! Y'a rien de plus à dire, j'me suis laisser prendre dans les filets des sentiments de Watson et j'en suis heureuse :P

Juste un truc à revoir... Pour les dialogues... hum pourrait-on avoir des tirets ? Ou guillemets ? J'me perd sans ça moi xD

:suite: :suite: :suite:

Aaaah Sherlock et Watson la :pde: !

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Leçon de Français. Changer le verbe par Prendre ou Prit pour savoir si il est en ER ou É :
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Depuis j'aime le français.


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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 19 Avr 2012 10:22 
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Merci beaucoup alia-Kira !! :oops:
le temps de taper la suite à l'ordi ( je l'ai mais sur papier ... ) et je la poste !! je suis vraiment contente que ça te plaise ! j'aime bien torturer un peu John, renverser un peu les rôles un peu nah ! :D Watson pris en flagrant déli XD
Pour les tirets, et bien merci de me le faire remarquer, j'avais tapé mon texte sur open office et j'ai fais un copier collé, apparemment ça n'a pas marché sur les tirets ... je vais essayer de rectifier ça, en tout cas je le saurais pour les prochaines fois, merci !!

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 19 Avr 2012 18:29 
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Ouh là... ça commence à devenir grave !
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Inscription: 24 Nov 2010 05:39
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Wouaaah! Super!

:bravo:

:suite: :suite: :suite:

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 19 Avr 2012 19:59 
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merci beaucoup :D je suis vraiment très heureuse que ça vous plaise ... promis dès que j'ai la suite je la poste.

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 20 Avr 2012 19:00 
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aaah moi aussi je veux la suite, j'adore VRAIMENT ton style !
le début m'a emporté, et la j'ai qu'une envie, lire la suite !
curieuse de savoir ce qu'il va advenir de Moriarty, en plus ...


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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 21 Avr 2012 15:39 
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hihi !! merci beaucoup :) bon promis je m'y met ... ( c'est embêtant de tout recopier mais c'est pour la bonne cause ) j'attendais de savoir si ça plairait, sinon c'était pas la peine ...
enfin je suis super contente que ça vous plaise !
( et en fait, c'est pas ce qu'il va advenir de moriarty, c'est ce qu'il advient XD )
grosse sadique :lol:
et encore merci ... :D

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 21 Avr 2012 16:49 
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Localisation: Dans son lit entre 3 tonnes de mangas.
Héhé voilà la raison pour laquelle j'écris toujours sur ordi xD Recopier qu'est ce que c'est chiant hein ?

:suite: :suite: *mode encouragement POWA*

Torture les autant que tu veux... du moment que le mélodramatique bisounoursien ne vient pas dans l'histoire :P

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 21 Avr 2012 21:58 
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Inscription: 16 Avr 2012 18:44
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oui hein je suis d'accord c'est extrêmement chiant ... et long en plus !
Ca dépend ce que tu entends par "mélodramatique bisounoursien" ... xD ( enfin, si jamais tu entrevois ce curieux personnage entre mes lignes, préviens moi :lol: je demanderai à Tiamayu qui a le privilège d'avoir lu la suite de me dire ce qu'elle pense de ça ... ) voici un bout de suite ...
et :reviews:

Si Holmes avait volé cet objet à son frère, c'est qu'il savait qu'il risquait de mourir …
A cette réflexion, un souvenir s'impose comme une évidence …

Watson pousse la porte du 221 b. Assailli par la jungle de verdure qui a envahi l'endroit, il esquisse un sourire, rodé par les extravagances de son fantasque ami. En pénétrant la pièce, il entend la voix d'Holmes souffler dans un râle d'outre tombe
« - ou suis je ? »
Il l'aperçoit devant la fenêtre, rétorque par une réplique acerbe lorsqu'une fléchette, s'enfonçant sur son épaule dans le tissus de sa veste, ne le coupe. Alors il attrape un journal et va s'asseoir en soupirant sur un fauteuil, mais une nouvelle fléchette perce le papier et va se planter sur son manteau.
« -Vous ne me voyez toujours pas ? »
Il rabat le journal déchiré, scrutant la pièce, jusqu'à ce qu'Holmes, affublé d'une parfaite tenue de camouflage, ne se détache du mur …

Le regard fixé sur l'objet, Watson se fige, ne parvenant à esquisser le moindre geste.
Si Holmes est bel et bien vivant, s'il a réussi à le berner une fois encore, s'il se trouve actuellement dans la pièce, à quelques pas seulement de lui …
cela signifie également qu'il se doutait depuis le début du dénouement tragique et inévitable qu'engendrerai un combat contre Moriarty. Qu'il voulait tester la fiabilité de son invention …
le médecin avale sa salive.
« -Holmes, vous êtes un abjecte personnage, un bourreau cruel, répugnant et dénué de tout sentiment humain. »
Il a lâché ces quelques mot d'une voix froide où rancœur, soulagement, honte et excitation se mêlent.
« - je ne suis pas sur d'accepter vos excuses, Watson, voyez-vous. »
le cœur battant ce dernier relève finalement la tête, observant attentivement les murs, comme la première fois.
« -Où êtes vous ? »
Il s'avance un peu plus dans la pièce, essaye de déterminer l'origine de la respiration …
c'est alors qu'il marche sur quelque chose et fait un bond en arrière … il baisse les yeux …
Là, vautré dans un coin sombre, jambes écartées, bras ballants, l'éclat sombre de son regard errant dans la pénombre …
« -Holmes !! »
Chancelant Watson recule de quelques pas incertain, heurte une des colonnes qui ornent le décor, se laisse glisser vers le sol.
« -Holmes .. vous êtes … vivant ! »
Il ne peut le quitter du regard un seul instant. Alors, emporté par la rage, il bondit sur ses pieds, explose :
« -est-ce que vous vous rendez compte un seul instant des conséquences de vos actes ?! Tout le monde vous croit mort, Holmes ! Moi le premier ! Mettre en scène votre propre mort ! Vous servir ainsi des sentiments des autres pour mieux les manipuler, cela est juste … immonde, inhumain ! Comment ai-je pu me laisser berner un seul instant, comment … comment avez vous pu faire ça ? Me faire ça, Holmes ? Comment … »
les mots moururent dans sa gorge. Il déglutit avant de reprendre :
« -J'aurais dû comprendre, depuis le temps ! Comprendre qu'aucune émotion un tant soit peu humaine ne puisse émerger d'un esprit tel le votre !
Et je sais que … vous faites peu cas de ce que je suis en train de m'échiner à vous faire comprendre à cet instant, que de toute façon le monde qui vous entoure à si peu d'importance à vos yeux, alors pourquoi en aurais-je plus que les autres ? Vous vous fichez totalement de ce que vos plans morbides peuvent me faire, n'est ce pas ? Je vais vous dire : les autres aussi s'en moquent, parce que personne ne peut aimer l'être odieux que vous êtes ! »
Se massant les tempes, le médecin laisse échapper un soupir de soulagement.
Silence. Aucune objection pour le contredire ou le remettre à sa place.
Etonné, il redresse la tête, l'examine dans un froncement de sourcil.
Aucune flasque d'alcool, pas un souspçon de bière autour de lui.
Rien.
Rien que lui, éteint, prostré dans le silence.
Son visage n'exprime pas l'ombre d'une réaction. Rien qui ne témoigne qu'il ai même écouté sa tirade.
« -Vous allez bien, Holmes ? »
A présent calmé Watson s'approche et s'agenouille précautionneusement face à lui.
Scrutant anxieusement le visage de son ancien colocataire, il pose doucement les doigts sur sa gorge pour vérifier le pou, palpe son front tout en lui adressant, dans un papillonnement troublé des paupières, un demi sourire complice. Il lui palpe le front, l'examine à la recherche de plaies éventuelles.
« -Holmes ? susurre-t-il »
il effleure le poignet du détective, sa saisi de sa main qu'il presse avec force. Puis il se place à ses côtés, glisse un bras autour de ses épaules et fait doucement basculer son visage contre sa poitrine, caressant sa nuque du bout des doigts.
A ce constact Holmes entrouvre légèrement les lèvres, un frisson tant douloureux qu'agréable traversant son corps, cligne des yeux, se laisse finalement aller sur l'épaule du médecin, paupières clauses.
« -Vous m'avez manqué, Holmes, murmure Watson d'un ton particulièrement tendre, très bas, comme pour ne pas briser la fragilité improbable de l'instant.
Le détective avale sa salive.
« -Partez, Watson. »
ce dernier lève un sourcil interrogateur.
« -Partir ? Que … je viens à peine de …
- partez.
Dans un effort surhumain Holmes s'arrache alors de son étreinte et se lève pour aller en boitant se poster devant les battants de la fenêtre ouverte.
Watson surpris s'avance à son tour, observant la silhouette presque fantomatique qui lui tourne le dos, tournée vers les tourments de la nuit, inaccessible.
C'est à lui d'avoir peur.
Cet homme là n'est plus celui auprès duquel il a affronté tant de danger, résolu tant de mystères.
En fronçant les sourcils il examine la jambe gauche de son compagnon, légèrement repliée, tordue.
« -Voulez vous que je jette un oeil à votre jambe ? »
Le regard absorbé par le ciel sombre, Holmes marmonne un « non » entre ses dents puis se tourne d'un trait dans sa direction, raide.
« -Partez ! Ordonne-t-il d'une voix froide, absente, sans appel, qui se répercute contre les murs. »
mais le médecin ne bouge toujours pas d'un pouce.
Les yeux plissés, un pli soucieux lui fendant les sourcils, il le dévisage, essayant en vain de lire derrière le masque inanimé du détective.
Les deux hommes s'observent.
« -Holmes … j'ai cru que vous étiez mort … aujourd'hui vous me prouvez une fois de plus que j'avais tort, mais … »
Il fait quelques pas dans sa direction. Les mains derrière le dos, sourcils haussés, Holmes le regarde s'approcher.
« - … je retrouve un fantôme plus mort que vif, termine Watson d'un ton interrogateur. »
Holmes détourne le visage, ferme les yeux alors qu'un frisson le fait tressaillir.
« - partez, répète-t-il dans un souffle nerveux, presque inaudible entre ses mâchoires serrées. »
Puis soudain il rouvre les yeux, le poussant violemment vers la sortie en hurlant :
« - ne comprenez vous pas quand on vous parle, Watson ? Partez !!! »
Il le plaque contre la porte fermée, se saisi furieusement d'un vase qu'il lance juste à côté de son visage.
Pétrifié, Watson sonde le regard dévasté de cet homme qu'il ne reconnaît plus alors qu'il abat son point contre la porte.
Et même alors, le médecin réalise qu'il ne parvint pas à le craindre. Il regarde ses lèvres bien dessinées prononcer sans un bruit des mots inaccessibles, ses yeux noirs agrandis, humides, fixes, son visage dévoré par la fatigue.
Seule ses paupières, battant frénétiquement, trahissent le trouble qui l'habite.
Watson le voit déglutir avant de retourner à son poste près de la fenêtre.
Alors, il ne peut faire autrement : il obéit.

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Dernière édition par Loufoka le 22 Avr 2012 15:41, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 21 Avr 2012 22:04 
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Le slash, kesako ?
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J'ai été tenté de faire faire autre chose à Holmes quand il le plaque contre la porte, mais enfin, j'ai fait taire mes envies pour le bon déroulement de la fic ... :lol:
( ne me dites pas que vous n'y avez pas pensé ???) lol

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 22 Avr 2012 11:10 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Localisation: from limouzi ;)
t'inquiète ma tite Loufoka, jamais vu le "mélodramatique bisounoursien" s'infiltrer sournoisement entre tes lignes. :lol: je crois que celui-là, il va faire parler de lui XD
et ben tu sais quoi? même en ayant le privilège d'avoir déjà lu la suite... bouh je veux la relire!! (je sais je me comporte comme une gamine capricieuse, et c'est juste par rapport aux autres)
sniff ... et oui, j'aurais bien imagnié Holmes faire autre chose contre cette porte :lol: mais bon, on peut pas tout avoir, et puis ils ont eu quelques mini secondes de répis, quand watson entraine holmes contre lui... j'imagine trop la scène...
:D
bon je suis désolée, je peux pas m'en empêcher:
:suite:
:heart:

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 22 Avr 2012 13:29 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Inscription: 12 Fév 2012 20:43
Messages: 169
Localisation: derrière son ordi, en train de baver sur son clavier devant une bonne fic RDjude
Tu ecrit tellement bien!! C'est vraiment impressionant.
:suite:

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 22 Avr 2012 13:52 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 16 Avr 2012 18:44
Messages: 74
... merci beaucoup solania-chan ... j'espère écrire bien en effet, et m'améliorer encore, j'ai intérêt si je veux publier les romans que j'écris et espérer un jour en faire mon métier ... ( parce qu'actuellement, vu que je passe plus de temps à écrire qu'à réviser mon bac et à copier les cours, c'est pas gagné pour les études xD ) mais j'aime beaucoup écrire cette fic, elle n'est pas terminée sur papier mais il m'en reste un bout à recopier quand même :) patience patience :wink:

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 Sujet du message: Re: Apologies-SherlockHolmes-Holmes/Waton-G
MessagePosté: 22 Avr 2012 14:04 
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Le slash, kesako ?
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Inscription: 16 Avr 2012 18:44
Messages: 74
au fait je sais pas comment on corrige ni si c'est possible mais j'aimerais mettre
" -Vous m'avez manqué, Holmes, murmure Watson d'un ton particulièrement tendre, très bas, ..."
au lieu de affectueux, que je réserve à Mary parce que plus lourd à mon sens, moins franche ... tendre est léger, naturel. je préfère. x)

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