Bonsoir les gens !
J'ai commencé à écrie une fanfic sur notre très beau détective et son cher aclyte, le superbe docteur et je voulais donc vous la faire partager !
Je ne sais pas si j'égale Glasgow ou Tommaso, mais j'espère que vous apprécierez ne serait-ce qu'UN PEU cette fic, coupée en plusieurs parties.
Elle n'est pas encore tout à fait finie mais je vous met déjà le début, qui est certes, un peu court... Mais à force de cotoyer les fics de Glasgow, je vais finir par devenir moi même sadique !
Bon, les personnages m'appartiennent pas, sinon, on le saurait...
Ah, et bien sûr je remercie ENOOORMEEEMEENT
Taco pour sa bêta lecture ! (C'est qu'elle me sauve parfois !
)
Voilà, j'en dis pas plus. Ah si ! J'ai arrangé quelques trucs pour que ça fasse comme je voulais donc, si ça correspond pas vraiment aux films ni aux livres... Faut pas s'inquiéter.
Sur ce, bonne lecture !
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Volonté: Partie I.« mes...lmes... Holmes ! Allez vous donc vous réveillez ! »
Sortant doucement de son sommeil réparateur, Sherlock Holmes ouvrit les yeux avec difficulté et vit alors son ami, John Watson, qui avait l'air contrarié.
« Vous m'aviez promis de venir prendre le thé.
-Et je ne suis pas venu ?
-La preuve ! Et ne jouez pas avec mes nerfs Holmes !
-Je ne joue point avec vos nerfs mon ami, mais vous, vous jouez avec ma fatigue.
-Qu.?! »
Madame Hudson entra dans la pièce, surprise. Elle s'excusa et alla ouvrir les rideaux au fond de la salle. Le docteur soupira et envoya un regard noir à son vieil ami avant de quitter la pièce. La logeuse regarda le détective et lui fit un signe de la main.
Rattrapez-le. Vous allez encore perdre à ce jeu. Sans conviction mais non sans motivation, Holmes se leva maladroitement et accéléra le pas pour rejoindre son ami qui se trouvait déjà en bas de l'escalier.
« Watson, me feriez-vous une scène ?
-Si nous étions un couple, j'appellerais cela ainsi, en effet.
-Seulement, nous ne le sommes pas.
-C'est exact. De plus, je suis déjà en couple avec une merveilleuse femme, que par malheur, j'ai dû abandonner pour venir voir un homme têtu et paresseux.
-Attention Watson, je vais me vexer. »
Le docteur s'arrêta brutalement et plongea son regard dans celui du détective. Celui-ci déglutit et observa son camarade de haut. Il se tenait sur une marche qu'il descendit vite quand Watson décida de se rediriger à nouveau vers la sortie. Holmes se faufila devant le docteur et bloqua, à l'aide de son corps, la porte.
« Je vais me faire pardonner.
-Ah oui ? Et comment je vous prie ?
-En vous invitant vous et votre... compagne au restaurant ce soir.
-Pourquoi une telle hésitation pour le mot « compagne » ?
-Pour rien. Vous acceptez ?
-Nous sommes déjà pris.
-J'insiste Watson... Disons, huit heures ?
-... »
Le silence et le soupir du docteur confirma la demande du détective. Rassuré et enchanté, celui-ci se décala et ouvrit la porte à son ami.
Eh bien, à ce soir. Watson passa la porte brutalement tout en grognant dans sa barbe jusqu'à sa carriole. Holmes sourit et ferma la porte. Il retourna dans son salon personnel, s'assit sur un vieux fauteuil et attrapa le journal du jour. Le titre de la première page alla intriguer le cerveau du grand détective:
« La banque d'Angleterre cambriolée ? ». L'idée même qu'une banque soit cambriolée était étonnante, mais la banque de Londres. Sa curiosité étant piquée, Holmes ouvrit le journal à la page concernant ce gros titre et lut attentivement.
« [...]D'après plusieurs rumeurs, la Banque d'Angleterre aurait été cambriolée par un voleur professionnel. Différentes questions ont été posées au directeur de la Banque et ont créé un malaise chez l'homme.[...]De jour en jour, la rumeur se répand vite et fait paniquer les londoniens qui se précipitent tous dans le bâtiment.[...] Seulement, un détail manque à l'appel: personne ne sait ce qui a pu être vole.[...] » Intrigué, Holmes prit son manteau et décida de sortir avant le rendez-vous du soir. Parcourant Treahdneedle Street, le détective entendit les nouvelles fuser. Il soupira et continua sa marche vers la Banque Centrale. Quand il arriva devant le bâtiment, il ne put s'empêcher de pouffer légèrement. La garde avait été au moins triplée et toute personne voulant entrer dans la banque était fouillée et questionnée. Comment comptaient-ils ne pas éveiller les soupçons ainsi ? Holmes repartit vers Baker Street tout en réfléchissant au soi-disant vol. Les heures passèrent et le détective dut se préparer pour la soirée. Bien habillé et propre, l'homme se rendit au restaurant en question. Comme toujours, il était en avance. Il alla s'installer à une table et attendit tout en regardant sa montre. Bientôt, son ami arriva fièrement tenant le bras de sa future épouse. Holmes se leva, salua Watson et baisa la main de Mary. Ils s'assirent et commencèrent à parler de tout et de rien. De temps à autre , le détective cherchait le regard du docteur qui malheureusement faisait tout pour l'éviter. Déçu, Holmes finit par laisser tomber et décida de sourire à Mary qui venait de conter une histoire des plus distrayantes. La soirée se passa sans encombre et la future femme de son ami fit comprendre au détective qu'il était pardonné. Faussement ravi, celui-ci sourit de nouveau et salua le couple pour enfin rejoindre son logement. Entrée dans sa salle favorite, Holmes se posa sur un de ces fauteuils et ferma les yeux pour échapper à la réalité. Il se rappela avec douleur sa conversation avec Watson quand celui-ci lui avait annoncé son mariage...
« Holmes, je vais me marier.
-Oh vraiment ?
-Oui mon ami. Avec Mary. Vous vous rappelez de Mary n'est-ce pas ?
-Comment pourrais-je oublier la femme qui nous séparera ?
-Holmes..!
-Oui ?
-Vous n'êtes décidément qu'un égoïste !
-Pardon ?
-Vous avez très bien entendu ! Je vous annonce une magnifique nouvelle et vous gâchez tout en disant comme prétexte qu'elle nous séparera !
-Watson.
-Juste parce que je ne pourrais plus faire partis de vos petites et dangereuses escapades que vous appelez affaires !
-Watson..!
-Quoi ?!
-Taisez-vous.
-Qu..?! »
Le Docteur se retint de crier de nouveau quand il vit le visage dépité et déprimé de son ami. Sans comprendre, Watson avait quitté la pièce en saluant brièvement son compagnon. Rouvrant les yeux comme il put, Holmes fronça les sourcils et soupira un bon coup avant de se jeter dans son lit et de s'assoupir.
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...Alors alors ? Verdict ?
Ah et au fait, me demandez pourquoi j'ai choisi ce titre, j'en ai AUCUNE idée...