Forum - Le Monde du Slash

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 Sujet du message: [Finie] Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 27 Jan 2012 20:02 
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Ouh là... ça commence à devenir grave !
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Localisation: mon coeur, lui, est toujours à Londres en tout cas
:spoilers: Cet OS suit directement le film, donc spoilers pour la fin de Sherlock Holmes 2 :wink:

Me voici déjà de retour (j'étais sûre que ce film m'inspirerait grandement :lol: ) avec un pairing particulier, j'espère que ça vous plaira tout de même^^

Bonne lecture.

ooOoo


Me concentrant sur le tic-tac entêtant de l’horloge pour tenter de calmer les battements de mon cœur, je fais du même coup les cent pas dans le salon, attendant nerveusement que ne retentisse le carillon de l’entrée. Mon épouse est partie ce matin même pour rendre visite à des amis durant deux jours. Sans trop savoir pourquoi j’ai prétexté avoir trop de travail pour l’accompagner et l’instant d’après je filais envoyer un télégramme.

Je ne comprends toujours pas pourquoi j’ai agi de la sorte, je m’étais pourtant promis lors de notre dernière rencontre que l’on ne m’y reprendrait plus. Mais voilà pourtant que je l’attends de pied ferme, comme à chaque fois. Je me déteste pour agir ainsi mais j’ai beau faire, je ne parviens à me raisonner pour autant.

La mort de Holmes m’a anéanti. Même la présence permanente de mon épouse ne m’est d’aucun secours. Jusqu’à récemment je m’enfonçais corps et bien dans la dépression, incapable de faire mon deuil. Ce jour-là, en Suisse, c’est bien plus qu’un ami que j’ai perdu. Amant, compagnon, confident… Holmes était tout cela à la fois pour moi et même si j’aime sincèrement Mary, je me sentais désormais vide à l’intérieur et rien ne semblait pouvoir combler cela. Jusqu’à ce que cet homme revienne dans ma vie…

***

Holmes s’était sacrifié dans le but de me sauver depuis huit mois déjà lorsque j’ai ressenti l’impression malsaine d’être suivi, épié, chaque fois que je sortais… Bien conscient que je n’avais que de vagues soupçons, mais pas la moindre preuve je ne me suis pas donné la peine d’en parler à Lestrade, que je revoie encore de temps en temps, et ai plutôt choisi d’agir par moi-même. J’avais été à la bonne école après tout. A l’aide de quelques déguisements malins et raccourcis dans les rues de mon quartier, j’étais finalement parvenu à mettre la main sur mon coquin. Quel désarroi éprouvé en reconnaissant, dans cette ruelle obscure et déserte, le colonel Sebastian Moran, celui-là même que je jugeais tout autant responsable que Moriarty du drame suisse. Or celui-ci je l’avais justement sous la main… Après un bref instant d’hésitation, nous nous retrouvâmes à nous menacer de nos revolvers respectifs, parfaitement conscients l’un et l’autre qu’aucun de nous ne survivrait en cas d’affrontement.

Nous sommes restés longtemps à nous observer en silence jusqu’à ce que je me décide à lui demander les raisons de sa présence ici. Et là il me servit une réponse que je n’attendais pas le moins du monde. Il m’avoua en effet dans un souffle qu’il n’en avait aucune idée. Désappointé, je remarquai seulement qu’il semblait… triste. A mon image finalement. Et certains propos de Holmes me revinrent alors à l’esprit. A Paris il m’avait affirmé que selon lui Moriarty et son bras droit entretenaient une liaison semblable à la nôtre. J’avais trouvé cette idée absurde, estimant que le criminel, pour agir comme il le faisait, était très certainement dénué de cœur et n’aurait certainement pu entretenir une relation sentimentale. Mais après tout, en dehors de moi, tous semblaient convaincu que Holmes était lui aussi dénué du moindre sentiment à l’égard d’autrui. Et pourtant, jusqu’à la fin il s’était montré parfaitement capable de m’aimer. Alors pourquoi pas Moriarty…

L’homme que j’avais à présent en face de moi ne semblait que confirmer cette théorie. A mon image il paraissait détruit, comme si on lui avait enlevé l’essence même de son existence. J’en éprouvai de la pitié ! Parce que malgré moi je ne comprenais que trop bien ce qu’il devait ressentir. Tout comme moi il était tombé amoureux de la mauvaise personne, s’était ensuite laissé entraîner dans des situations qui le dépassaient. J’avais toujours considéré Moriarty comme le pendant parfait de Holmes. Apparemment cela était tout aussi valable pour Moran et moi.

Mû par une même pulsion, nous avons tous deux baissé notre arme avant de nous mettre à parler. Rétrospectivement je ne sais toujours pas ce qui m’a poussé à agir ainsi, mais je devais reconnaître que cela m’a fait du bien. Après des mois de solitude j’avais enfin la sensation d’être compris. Et celui qui m’apparaissait jusque-là comme un ennemi s’avérait être un allié inespéré. Mary, Lestrade, Mrs. Hudson ou mes autres proches, quels qu’ils soient, étaient bien incapables de m’apaiser, cet homme y était parvenu pour sa part en l’espace de quelques minutes seulement.

Nous nous séparâmes ensuite, un peu plus sereins que précédemment. Et rapidement, ce qui ne devait être qu’une rencontre fortuite et surtout unique, se transforma en rendez-vous réguliers. Les premières fois nous nous contentâmes d’un verre dans un pub quelconque, bavardant tranquillement, comparant nos expériences auprès de ces deux grands hommes qui avaient tant compté pour nous. Parler de Holmes sans restriction, de la relation tellement intense qui nous avait réunis, me faisait le plus grand bien, comme si dans ces moments-là une part de lui demeurait à mes côtés. Pourtant, à chaque séparation je me sentais minable d’avoir besoin de ce criminel patenté pour éprouver un moment de paix, minable de devoir inventer à chaque fois un mensonge à Mary pour dissimuler la vérité. Maintes fois je me fis la promesse d’aller trouver Lestrade afin qu’il arrête Moran, mais je n’ai jamais eu le courage de le faire. Comme si cet homme était le dernier lien qui m’attachait encore à mon amour perdu et que je voulais conserver envers et contre tout.

Un après-midi, au lieu du pub où nous avions convenu de nous retrouver, mon bien étrange compagnon et moi-même échouâmes dans une chambre d’hôtel sordide. Cela n’avait pas été prémédité, je ne l’avais même jamais envisagé, mais les faits étaient là. Le contact avec le corps d’un homme me manquait cruellement. Je n’avais connu que Holmes jusque-là et j’y avais pris goût plus que prévu. A l’une ou l’autre reprise depuis le drame j’avais envisagé de chercher des hommes partageant mes déviances mais n’avais guère eu le courage de me lancer dans des recherches sérieuses, ne voulant au fond pas réellement remplacer mon ancien compagnon par une relation exclusive. De même, la solution de prostitués était inenvisageable, je n’avais pas les moyens financiers pour commencer avec cela de toute façon, et par-dessus tout c’était bien trop sordide à mon goût.

Comme pour bien d’autres aspects, Moran était dans la même situation que moi de ce point de vue là. Nous offrir l’un à l’autre était la solution qui pouvait nous frustrer le moins. Pourtant en rentrant chez moi ce soir-là, je ne parvins à dormir. Plus qu’avoir été infidèle à mon épouse, c’était surtout Holmes que j’avais le sentiment d’avoir trahi. Je me détestais pour avoir de surcroît éprouvé du plaisir durant ce corps-à-corps décidément bien malsain auquel je venais de me prêter. Les jours suivants, je refusai de quitter la maison, au grand désarroi de ma femme, qui semblait ne pas comprendre les raisons de cette soudaine régression alors même que je semblais aller mieux depuis quelque temps. Mais simplement aller travailler, avoir une vie sociale, et à plus forte raison revoir cet homme était au-dessus de mes forces.

Pourtant je ne suis pas quelqu’un de lâche. Une seconde fois je suis donc parvenu à sortir la tête de l’eau. Et à accepter plus sereinement, à désirer même, la présence de Moran à mes côtés, je m’empressai donc très vite de le retrouver.
Je ne suis pas très fier de moi mais c’est ainsi. Cet homme contre lequel je devrais plutôt lutter, est pour beaucoup dans mon salut retrouvé. Il m’apaise à sa manière, me permets de gérer le mieux possible l’absence de Holmes, et pour tout cela je lui suis reconnaissant. Et parfaitement satisfait de pouvoir lui rendre la pareille.

***

Enfin, il est là, dans mes bras, faisant montre de tellement de douceur que j’oublie à chaque fois sans difficulté pour les quelques heures que dure notre rencontre l’homme qu’il est en réalité. Sa bouche dans mon cou me fait gémir piteusement tandis que mes mains tremblantes d’anticipation défont les boutons de sa chemise.

« Sebastian… »

Ma voix se meurt dans ma gorge alors que j’aimerais lui dire tout ce que j’éprouve pour notre situation, pour lui… j’aimerais tant le lui dire mais même moi je suis incapable de comprendre mes sentiments contradictoires, alors mettre des mots dessus est bien impossible. D’ailleurs mon amant s’en fiche, ne me demande rien. Il est seulement là pour nous faire du bien, autant à l’un qu’à l’autre.
Songeant une dernière fois à Holmes, que je souhaiterais avoir à mes côtés dans ces instants tourmentés, je prends la main de Moran pour l’entraîner dans ma chambre. Me perdre dans son étreinte, disparaître tout entier pour oublier autant ma culpabilité que mon désir, voilà tout ce à quoi j’aspire, voilà tout ce que je cherche en vain.

THE END.

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Dernière édition par Glasgow le 12 Fév 2012 23:50, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 27 Jan 2012 21:36 
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Wouaaah! Moi qui aime les pairingd étranges et insolites, je suis servie! Cette fiction est magnifique et tu as su bien décrire le désarroi de Moran et de Watson, après la mort de leurs amants respectifs!

C'est une idée de génie! J'applaudis!

Bravo! Continue!

:bravo: :bravo: :bravo:

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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 29 Jan 2012 15:34 
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Dieu du slash ! Prosternez-vous !
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Pairing pour le moins insolite en effet mais pas dépourvu de crédibilité, loin de là. Une façon comme une autre de tourner la page pour arriver à continuer à vivre sans celui qu'on aime...

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Co-fondatrice de l'Alliance des Sadiques
La torture des pouffes c'est bien, celle des doudous c'est encore meilleur !

ALEPICFICS, forum uniquement consacré aux picfics


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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 30 Jan 2012 10:55 
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Localisation: mon coeur, lui, est toujours à Londres en tout cas
Contente que vous ayez aimé. C'est clair que c'est innatendu, mais j'ai beaucoup aimé Moran dans le film, et je leur trouvais un potentiel à tous les deux :wink:
Merci les filles :D

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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 03 Fév 2012 22:23 
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Le slash, kesako ?

Inscription: 10 Jan 2012 16:22
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Glasgow, toujours aussi douée! C'est toujours du pur plaisir que de te lire, ton style est impeccable et les idées de scénarios qui te frappent sont toujours chouettes. As-tu déjà réellement songé à écrire un livre? Tu nous régalerais!

Pour en revenir à notre histoire, je me demande comment réagirait Holmes qui n'est pas mort s'il découvrait que non seulement son Watson a trouvé un autre partenaire de jeu mais qu'en plus ledit partenaire n'est autre que son pire ennemi (enfin le deuxième mais comme le premier est mort..)! Cela ne te donne pas d'idée de suite?!.. :idea: :?:


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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 04 Fév 2012 12:48 
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Localisation: mon coeur, lui, est toujours à Londres en tout cas
Merci beaucoup :oops:

zyla a écrit:
As-tu déjà réellement songé à écrire un livre? Tu nous régalerais!

C'est un fantasme que je nourris depuis des années, mais ça reste bien un fantasme :mrgreen:


Une suite avec le retour de Holmes? C'est vrai que ça peut être une idée à creuser, qui a le mérite d'être intéressante. Je vais donc me pencher sérieusement sur la question :wink:

Je te remercie pour ton commentaire!

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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 05 Fév 2012 15:21 
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Le slash, kesako ?

Inscription: 10 Jan 2012 16:22
Messages: 18
Glasgow a écrit:
Merci beaucoup :oops:

zyla a écrit:
As-tu déjà réellement songé à écrire un livre? Tu nous régalerais!

C'est un fantasme que je nourris depuis des années, mais ça reste bien un fantasme :mrgreen:


Une suite avec le retour de Holmes? C'est vrai que ça peut être une idée à creuser, qui a le mérite d'être intéressante. Je vais donc me pencher sérieusement sur la question :wink:

Je te remercie pour ton commentaire!


Les fantasmes sont faits pour être assouvis!!!!
Bien contente d'avoir pu te soumettre une idée, c'est vrai que ça pourrait être pas mal, j'adore quand Holmes est possessif.. :wink:


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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 08 Fév 2012 22:04 
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Pas encore atteint(e)... mais presque
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J'ai trouvé un certain charme à l'acteur qui incarnait Moran. :oops: Imagine donc mon bonheur de découvrir cette fic ! Le pairing n'est pas particulier : je dirais plutôt inattendu ! En effet, la fiction fait le couple plutôt que l'inverse et la tienne est particulièrement réussie ! C'est également très touchant de prendre conscience du terreau dans lequel naît cette relation surprenante : la perte, pour chacun, de leur moitié, de leur âme-sœur. Aussi ennemi qu'ils soient et opposés, ils ont ce point commun qui, dans leur tristesse infinie, devrait forcément finir par les rapprocher. L'atmosphère qui se dégage est noire mais réaliste, le tout donne vraiment du cachet à ce couple.

Virtuose, va ! :D

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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 09 Fév 2012 19:34 
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Inscription: 06 Mai 2010 12:45
Messages: 3655
Localisation: mon coeur, lui, est toujours à Londres en tout cas
Tommaso a écrit:
J'ai trouvé un certain charme à l'acteur qui incarnait Moran.

+1 :mrgreen:

Pendant tout le film je n'ai pas cessé de comparer Holmes et Watson à Moriarty et Moran, du coup aucun mal à imaginer ensuite que les évènements de la fin toucherait autant les deux "survivants". D'où cette fic. Ravie que tu aies aimé en tout cas et merci pour les compliments :oops:

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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 09 Fév 2012 20:35 
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Inscription: 07 Juin 2009 19:41
Messages: 1257
Localisation: Dårlig Ulv Stranden
Glasgow a écrit:
Tommaso a écrit:
J'ai trouvé un certain charme à l'acteur qui incarnait Moran.

+1 :mrgreen:

Pendant tout le film je n'ai pas cessé de comparer Holmes et Watson à Moriarty et Moran, du coup aucun mal à imaginer ensuite que les évènements de la fin toucherait autant les deux "survivants". D'où cette fic. Ravie que tu aies aimé en tout cas et merci pour les compliments :oops:


Moriarty n'était pas non plus en reste, je trouve. Il est vraiment fascinant et j'adorais l'interprétation. :D

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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 09 Fév 2012 20:41 
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Inscription: 06 Mai 2010 12:45
Messages: 3655
Localisation: mon coeur, lui, est toujours à Londres en tout cas
Tommaso a écrit:
Moriarty n'était pas non plus en reste, je trouve. Il est vraiment fascinant et j'adorais l'interprétation. :D

Tout à fait d'accord avec toi :wink: Je les ai tous les deux appréciés autant que je n'aime les deux héros, ce qui n'est pas peu dire :D Et si Moran a été une bonne surprise, concernant Moriarty je suis d'autant plus satisfaite parce que j'étais pas mal inquiète avant de voir le résultat.

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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 11 Fév 2012 01:16 
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Mais euh... kesk'ils font ces deux-là ?
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Ça me fait vraiment mal au cœur pour Watson. :cry: La perte de l'être aimé est terrible, il a besoin de faire son deuil et considère (consciemment ou inconsciemment) Moran comme son pansement affectif... Même si c'est la première fois que je lis une fic avec un Watson/Moran, cela ne m'a pas empêché d'apprécier énormément cette histoire. Tu as un sacré don pour l'écriture ! :D

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 Sujet du message: Re: Une forme de salut - Sherlock Holmes - Watson/? - G
MessagePosté: 11 Fév 2012 11:57 
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Contente que tu aies aimé :D C'est clair que la situation n'est pas idéale pour Watson, mais j'aimais cette idée justement^^ Merci pour ton commentaire.

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