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 Sujet du message: [Finie] Always by my side - Sebastian Vettel/Tommi Pärmäkoski - G
MessagePosté: 30 Oct 2011 14:56 
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Inscription: 04 Fév 2009 14:50
Messages: 1456
Voilà un OS inspiré par la façon dont Sebi a remercié Tommi, son entraineur, après le grand prix du Japon et son titre de champion du monde. La vidéo dont je parle dans cette fic est disponible ici. Et la façon dont il remercie la famille... Un vrai discours de beau-fils, c'est adorable! :mrgreen:

Merci à Aeris pour la beta!

Je ne connais pas les personnes apparaissant dans ce texte qui est entièrement fictif. Je ne gagne pas d'argent avec cette fic.


Always by my side


Les chiffres se brouillaient dans l’esprit de Sebastian. Cela faisait plus de dix minutes qu'il était incapable de se concentrer. Pourtant, il n'arrivait pas à se résoudre à abandonner. Il devait travailler, analyser les mesures, comprendre comment améliorer ses temps. Et éviter de finir à nouveau dans un mur. Ce n'était vraiment pas le moment. Il y avait peu de dégâts et il restait encore deux séances d'essais pour travailler, mais tout de même, avec tous les tests qu'il restait à effectuer, tout le travail que les mécaniciens avaient déjà fait, il devait prendre soin de Kylie. D'autant plus que ses performances étaient loin de ce qu'il attendait. Il n'avait pas de temps à perdre. Dimanche il serait certainement champion, un point lui suffirait. Mais il n'était pas question de se contenter de si peu. Il voulait gagner, comme toujours.

Et si les choses se passaient autrement? Les McLaren semblaient meilleures sur ce circuit. Et il ne fallait pas sous-estimer les Ferrari. Gagnerait-il le championnat sans gloire? Après toutes ses victoires, faillirait-il le jour de son sacre? Que diraient les journalistes? Pendant toute la saison, ils s'étaient plaints de sa domination. N'en profiteraient-ils pas pour insister sur son échec? N'insinueraient-il pas qu'il ne pouvait gérer la pression? Il avait prouvé le contraire à Abu Dhabi la saison précédente – la pression avait d'ailleurs été bien plus importante – mais les journalistes avaient la mémoire courte concernant les aspects positifs. Et s'ils avaient raison?

Cette simple pensée suffit à ouvrir la boite de Pandore. D'ordinaire, il parvenait sans trop de difficulté à repousser les idées négatives, mais ce jour-là, ses temps insatisfaisants et sa sortie de piste combinés à l'approche de son sacre le laissaient vulnérable. Et s'il ne terminait pas la course? Un accident, l'une de ses pannes qui avaient hanté ses cauchemars l'année précédente mais qui l'avaient jusque-là épargné. Cela pouvait arriver si vite, il l'avait encore prouvé ce matin-là. De quoi aurait-il l'air, lui qui n'avait jamais terminé au-delà de la quatrième place cette saison, s'il ne parvenait pas à marquer cet unique point dimanche? Et s'il n'en marquait plus jusqu'à la fin de la saison et que Jenson gagnait toutes les courses restantes? Ce scenario qui avait paru si improbable jusque-là devenait soudainement crédible à ses yeux. La panique le submergeait.

Une main sur son épaule le fit sursauter. Il n'avait pas entendu la porte s'ouvrir.

- Sors de ces chiffres, c'est l'heure de manger!

Sebastian fixa Tommi comme s'il sortait de l'un de ses rêves. Il était si profondément plongé dans sa terreur qu’il en avait oublié le monde autour de lui. Le Finlandais posa un plateau sur la table et saisit l'une des deux assiettes qui s'y trouvaient pour s'installer face à Sebastian. Ils ne déjeunaient pas ensemble d'habitude, l'Allemand mangeait avec son équipe pour parler de la voiture. Ce jour-là, il avait préféré rester seul. Mais en voyant Tommi, il réalisa qu'il avait besoin de compagnie. Il aurait peut-être même oublié de manger, plongé dans ses pensées. Son entraineur l'avait sûrement deviné.

- Je suis allé voir Kylie, fit le Finlandais. Elle s'est refait une beauté, prête pour le bal de cet après-midi.

Sebastian sourit. Il avait une énorme envie de se jeter dans ses bras, mais se retint.

- Elle m'en veut?
- Pas du tout. Et elle est très impatiente de te retrouver.
- Moi aussi.

Maintenant qu'il n'était plus seul, sous le regard doux de Tommi, ses inquiétudes lui semblaient un peu ridicules. Il n'était pas encore tout à fait rassuré, mais après avoir mangé et discuté avec le Finlandais, il se sentait plus serein. Son entraineur savait toujours comment lui changer les idées. Il l'avait montré à de nombreuses reprises, mais rarement Sebastian lui en avait été aussi reconnaissant. Il avait beaucoup douté quand leur relation avait évolué. Il avait craint que Tommi n’ait plus assez d’autorité sur lui, qu’il soit moins ferme quand il le fallait, que lui-même essaie de le distraire pour se défiler quand il n’avait pas envie de s’entrainer. Mais au final, ils étaient tous les deux assez professionnels pour que tout se passe bien. Avec leur rapprochement, il avait plus de facilité à se confier et Tommi savait parfaitement que dire pour le soutenir. Alors s'il était titré dimanche, ce serait en grande partie grâce à lui. Il lui avait permis de trouver son équilibre, de ne se laisser emporter ni par les doutes ni par la satisfaction. Il aurait tant voulu que le monde le sache. Il aurait tant voulu le remercier comme il le méritait. Mais c'était impossible. Et cela le blessait.

Le cœur lourd, il se leva pour s'asseoir sur les genoux de Tommi, ignorant son regard surpris. Hors de leur chambre d'hôtel, ils étaient toujours strictement professionnels. Le risque était trop grand que quelqu'un les surprenne. Et cela aurait pu ruiner la carrière de Sebastian. Seul Christian était au courant. L'Allemand et lui étaient trop proches pour qu'il supporte de lui cacher cette part de sa vie après s'être assuré que cela ne le gênerait pas. Et puis, au cas où un jour cela s'apprenait, il préférait que Christian soit déjà au courant.

Seulement ce jour-là, Sebastian avait besoin de tendresse. Juste un instant. Tommi le serra contre lui et caressa doucement son épaule. Peu à peu, le pilote se détendit, aidé par les baisers que son compagnon déposait dans ses cheveux. Ils ne restèrent pas plus de cinq minutes ainsi avant que Sebastian ne décide de ne pas pousser sa chance plus loin, mais cela avait suffi à lui faire oublier ses doutes. Il se redressa pour trouver les lèvres de Tommi dans un baiser bref mais tendre, puis il souffla:

- Minä rakastan sinua. (Je t'aime)

Le Finlandais sourit et lui répondit par la même phrase. Quelques secondes plus tard, Sebastian quitta la pièce avec une seule certitude: il allait gagner cette course.

***

- A mon avis, nous avons une relation honnête. Sebastian est très exigeant et extrêmement perfectionniste. Il veut tout faire aussi parfaitement que possible. Mais ça a été un grand challenge pour moi de voir ce qu'impliquait le fait de devenir champion du monde. Et de voir que rien n'est venu gratuitement. Ce que vous ne voyez pas derrière la caméra, c’est le travail et l'engagement quotidien qu'il a pour son travail. C'est quelqu'un de bien et qui a un grand cœur et c'est peut-être la raison principale pour laquelle il est là où il est.

Le journaliste remercia Tommi, le salua et s'éloigna, accompagné du caméraman. Au plus grand soulagement de l'entraineur. Il n'était pas habitué aux medias et pas vraiment doué pour répondre à leurs questions. Surtout quand elles concernaient sa relation avec Sebastian. Il avait beau passer une grande partie de son temps avec lui à jouer la comédie pour que personne ne soupçonne rien, il était toujours terrorisé à l’idée de commettre une erreur devant une caméra. Dans le garage, il y avait au moins une petite chance que la nouvelle ne se propage pas.

Il s'éloigna des stands pour quitter le circuit. Sebastian avait encore de longues heures d'interview devant lui et il passerait sûrement la moitié de la nuit à fêter son titre. Tommi préférait ne pas l'accompagner, comme après chaque victoire. Il n'était pas à l'aise avec les mécaniciens et les ingénieurs dans ces moments-là. Quelle part avait-il dans le succès de Sebastian comparée à la leur? Pratiquement aucune. Bien sûr, il ne sous-estimait pas l'importance de la condition physique en F1, mais n'importe quel entraineur aurait pu le remplacer. Ces hommes étaient les meilleurs dans leur domaine et fournissaient une quantité de travail incroyable. Non, il ne méritait pas d'être parmi eux ce soir, ni sur leurs photos. Et de toute façon, il n'aimait pas les fêtes. Il y aurait trop de monde. Il préférait attendre son compagnon à l'hôtel.

Certains de ses proches avaient été étonnés par cette attitude. Ils auraient voulu le voir partager la gloire de Sebastian et ils pensaient que c'était l'amertume qui le poussait à s'éloigner dans ces moments-là. Ils étaient bien loin de la vérité. La gloire ne l'avait jamais intéressé. Il aurait choisi un autre métier sinon. Dès le début, il avait su qu'il travaillerait dans l'ombre et il aimait ça. Il ne se sentait jamais aussi mal à l'aise que lorsque l'attention était sur lui. Mais rien de tout cela ne l'empêchait d'être aussi heureux que le reste de l'équipe.

Sur le chemin, il s'arrêta dans un restaurant pour un diner en solitaire. Sebastian ne rentrerait pas avant longtemps et il mourrait de faim. Il arborait toujours un énorme sourire. Il avait encore de la peine à réaliser. Sebastian, son Sebastian, champion du monde pour la deuxième fois consécutive. Il avait du mal à tenir tranquille sur sa chaise. A chaque fois que la pensée de ce titre lui traversait l’esprit, il avait un besoin quasi irrépressible de sauter et de hurler de joie. Mais les autres clients lui lançaient déjà des regards intrigués à cause de son sourire idiot, alors il se contentait de se mordre la lèvre et de jubiler intérieurement. Il s’offrit un repas de fête qu’il aurait préféré ne pas déguster seul, mais cela lui faisait bien trop envie.

Une fois rassasié, il rentra à l’hôtel et se plongea dans un livre. Il était fatigué mais ne voulait surtout pas s’endormir avant que Sebastian ne soit de retour. Il avait de la peine à concentrer à cause de l’excitation et de la joie. Il était impatient de retrouver son compagnon pour le féliciter et voir le bonheur dans ses yeux, ils n’avaient pu passer que quelques minutes ensemble après la course. Pourtant, quand il fut interrompu par la sonnerie de son téléphone, plusieurs heures avaient passé.

- Oui ?
- Tommi ! Mon chéri ! Je suis tellement contente ! On a regardé la course avec ton père, bien sûr et… Champion ! Sebi, champion !

Tommi sourit. A entendre sa mère, on aurait dit que c’était lui qui avait gagné. Savoir sa mère si heureuse pour son compagnon ne pouvait que le combler un peu plus.

- Oui, je suis tellement content pour lui. Il a tellement travaillé.
- Et toi aussi ! Je suis fière de vous deux ! Tu le féliciteras de ma part, n’est-ce pas ?
- Tu peux compter sur moi.
- Et ce qu’il a dit sur toi à la télévision… Il est tellement adorable.
- A la télévision ?
- Oui ! Tu n’as pas vu ? Sur la chaine finlandaise.
- Ah… Non, je n’ai pas vu.
- C’est vraiment un garçon extraordinaire. Toujours tellement gentil. Et d’avoir un mot pour nous comme ça, ça m’a vraiment touchée.
- Je… Je lui dirai, répondit Tommi de plus en plus intrigué.
- J’espère que tu l’inviteras bientôt en Finlande, je me réjouis de le revoir.
- A la fin de la saison, promis.
- Parfait ! Je ne veux pas te déranger plus longtemps. Tu lui transmettras tout ça, je compte sur toi !
- Oui, oui.
- Oh et il faudra penser à inviter ses parents. Ils sont charmants eux aussi. Et d’avoir élevé un garçon aussi exceptionnel…
- J’en discuterai avec eux.
- D’accord… Mais je ne veux pas que tu croies qu’il n’y en a que pour lui ! Je suis tellement fière de toi, pupu (lapin) !
- Je sais.
- Bon, cette fois, je te laisse. A bientôt !
- A bientôt.

Tommi raccrocha le cœur battant. Sebastian avait parlé de lui à la télévision. C’était sûrement pour ça que ce journaliste l’avait interviewé. Il alluma son portable et se connecta sur le site de la chaine dont avait parlé sa mère. Il ne lui fallut que quelques minutes pour trouver la bonne vidéo et bientôt le visage de Sebastian apparut sur l’écran.

- Il est l’une des personnes les plus importantes à mes côtés. Je salue aussi sa famille en Finlande. Ils peuvent être très fiers. Nous avons accompli beaucoup ensemble, mais ils peuvent être bien plus fiers du garçon qu’ils ont élevé, avec un cœur très pur et très fort. C’est celui… Vous savez, j’ai passé la plupart de mon temps avec lui et c’est lui qui m’a toujours fait garder les pieds sur terre… Vous savez quand la tentation était là d’être paresseux un jour, de ne pas sortir du lit, c’était lui qui me ramenait sur terre et me montrait le chemin. Il a été l’une des personnes les plus importantes, vraiment les plus importantes pour réaliser ce succès mais aussi pour être capable d’apprendre du bon comme du mauvais.

Tommi se mordit la lèvre. Il y avait tellement d’émotion dans le regard de Sebastian, tellement de sincérité dans ses paroles. Il en avait les larmes aux yeux. C’était la chose la plus proche d’une déclaration d’amour qu’il pouvait faire devant les caméras. La personne la plus importante à ses côtés. Il se demandait s’il avait parlé de quelqu’un d’autre et que seule cette partie avait été gardée pour le reportage, mais il n’en avait pas l’impression. Cela ressemblait à une façon pour Sebastian de lui dédier ce titre. Il n’avait pas besoin de la gloire, il n’avait pas besoin que les medias cite son nom, le monde aurait pu ignorer totalement son existence, cela ne l’aurait pas dérangé. Mais entendre son compagnon parler de lui de cette façon, ce besoin qu’il avait eu de montrer la place qu’il prenait dans sa vie, le touchait énormément.

Il grimaça en voyant son image remplacer celle de l’Allemand et c’est peut-être cela qui l’empêcha de pleurer. Ça et le sursaut qu’il eut quand il sentit deux bras passer autour de sa taille et le menton de Sebastian se poser sur son épaule.

- Mmm, je connais ce beau-gosse.
- Ah oui ?
- Hin hin. Je ne le savais pas narcissique au point de regarder ses propres interviews, par contre.

Tommi ricana mais ne chercha pas à se justifier.

- Tu rentres tôt.
- Je voulais passer du temps avec mon homme. Et puisqu’il ne veut pas m’accompagner pour faire la fête…
- Tu sais que je déteste ça.
- Je sais… Et puis comme ça, je t’ai pour moi tout seul.

Sebastian déposa un baiser dans la nuque de son compagnon. Au même moment, son double informatique prononçait dans un Finnois hésitant : « Salutations famille Pärmäkoski. Merci beaucoup ». Pour cacher son émotion, Tommi dit d’un ton qui se voulait léger :

- Tu as encore des progrès à faire, on dirait, Sebiseni. (mon Sebi)
- Moui. Mais j’ai le meilleur des professeurs. Et des années pour apprendre.

C’en était trop pour Tommi qui laissa enfin couler ses larmes. Toutes les pensées que Sebastian avait eues pour lui et pour sa famille après ce titre… Il n’avait pas pensé pouvoir l’aimer plus qu’il ne l’aimait déjà avant, mais comparé à tout ce qu’il ressentait après avoir vu cette vidéo, l’amour qu’il avait eu pour lui semblait dérisoire. Son cœur en débordait à présent. Il aurait voulu dire quelque chose, serrer son compagnon dans ses bras, mais il était incapable de bouger. Alors il continua de fixer bêtement l’écran jusqu’à ce que Sebastian aperçoive ses larmes.

- Ça ne va pas ?

Le ton inquiet de son compagnon suffit à sortir Tommi de sa léthargie. Il posa l’ordinateur sur le lit et se retourna pour prendre Sebastian dans ses bras et nicher son visage dans son cou. Son mouvement fut si brusque qu’ils tombèrent à la renverse. Alors, pour ne pas l’écraser, il roula sur le côté, sans relâcher son étreinte.

- Merci.
- Pour quoi ?
- Tout… Tout ce que tu as dit.

Conscient qu’il était incapable de former une phrase cohérente, il se tut, se contentant de serrer l’Allemand contre lui tandis que celui-ci caressait sa nuque.

Quand ses larmes cessèrent de couler et que son espritne fut plus submergé par tout l’amour qu’il éprouvait pour Sebastian et tout ce qu’il voulait lui dire, il se recula légèrement pour pouvoir le regard. Et parmi toutes les pensées qui l’avaient envahi, il choisit de n’en exprimer qu’une :

- Je t’aime.

Il embrassa tendrement son compagnon puis murmura contre ses lèvres :

- Mon champion.

Les yeux de Sebastian brillaient. Il caressait sa joue pour sécher ses larmes.

- Je serais pas là sans toi.
- Dis pas ça.

L’Allemand fronça les sourcils, le regard peiné. Tommi ajouta pour se justifier :

- Tu es seul dans la voiture.
- Ben voyons. Tommi le modeste. Après toutes les heures que tu as passées à m’écouter, à me soutenir et à me motiver… Mais qu’est-ce que je vais faire de toi ?

L’entraineur fixa son compagnon, ses yeux bleus remplis d’amour et de reconnaissance. Il n’avait jamais eu pleinement conscience de son importance dans le succès de Sebastian. Il savait qu’il l’aimait, bien sûr, il savait qu’il comptait dans sa vie. Mais il l’avait toujours trouvé fort mentalement et n’avait jamais compris son importance dans ce domaine. Peut-être parce qu’il était aveugle ou trop humble. Il avait à nouveaux les larmes aux yeux, mais il les retint.

- Fais-moi l’amour.

Sebastian eut un sourire en coin et sa main glissa sous la chemise de son compagnon.

- En voilà une bonne idée.

Et alors que les doigts de Sebastian glissaient sur sa peau, Tommi réalisait qu’il avait trouvé avec qui il voulait passer le reste de sa vie.

Fin

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 Sujet du message: Re: Always by my side - Sebastian Vettel/Tommi Pärmäkoski -
MessagePosté: 07 Nov 2011 19:40 
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Pas encore atteint(e)... mais presque
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Inscription: 25 Juin 2009 13:24
Messages: 1988
J'adore!!! :bravo: :bravo:

Bon déjà, j'aime beaucoup beaucoup beaucoup ce couple! Ils sont vraiment trop chous et particulièrement avec ces interviews! :wouah:

Et puis j'aime aussi ta façon de raconter ça très simplement mais de façon très réaliste, comme toujours!

N'a veux encore!!

_________________
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Merci Kamiel pour ma signature!


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 Sujet du message: Re: Always by my side - Sebastian Vettel/Tommi Pärmäkoski -
MessagePosté: 10 Nov 2012 14:40 
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Slash ou non, telle est la question...

Inscription: 09 Mai 2012 18:15
Messages: 672
J'adore !!!! BRAVO !!!!

Existe-t-il d'autre fic sur eux ???


:wouah: :wouah: :wouah:


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