Coucou tout le monde !
Alors voilà c'est ma première histoire alors je suis un peu nerveuse, il y aura surement des fautes et je m'en excuse à l'avance.
N'hésitez pas à me dire se que vous en pensez, les petit bémols comme les petits plus, toutes critiques constructives est bonne à prendre ! ^^
Disclaimer : Je ne connais ni Jared Leto, ni Colin Farrell, et il évident toute cette histoire est purement fictive et à but non lucratif.
Ô bonne heure
Dans un salon d'une villa de L.A, la pièce est ravagée, les meubles sans dessus-dessous, les bibelots cassaient, les coussins, fauteuils et canapés éventrés, vomissant leur mousse par terre.
Et dans ce chaos, un homme debout est en train de hurler sur un autre, qui lui ne réagit pas.
- Tu m'entends, j'en ai marre bordel, remues-toi j'en peux plus Colin !
L'homme garde le silence, et soupire.
- T'es vraiment un con quand tu t'y met, je t'aime, et je fais tout se qu'il faut pour que ça aille alors pourquoi tu me fais ça, pourquoi tu me traites ainsi ?
Après ce hurlement, l'homme se met à pleurer, l'autre ne réagit toujours pas.
Alors, l'ignoré se rapproche de la source de sa colère, les joues toujours ruisselantes de larmes, et se met à taper de ses poings furieux sur le torse de son vis à vis.
Il ne réagit toujours pas, et quand son compagnon s’effondre à genoux en s'étouffant dans ses pleures, il ne fait rien pour le retenir.
Plus rien ne luis dans ses yeux, ils sont ternes et comme mort.
Il finit par les baissés sur la forme hoquetante à ses pieds et entrouvre ses lèvres pour laisser enfin une paroles s'échapper.
- Va te faire foutre Jared …
Les mots pire qu'une sentence de mort tombent, le condamné ferme les yeux de douleurs, et se recroqueville encore plus sur lui même, s'enfermant dans ses bras.
La passif tourne les talons en se dégageant dédaigneusement sans un regard, et sans va et fermant la porte de la villa derrière lui.
Après 2 jours, la forme allongée par terre se redresse difficilement, regarde autour d'elle, hagard.
Plusieurs minutes passent dans un silence mortuaire, et soudain, la forme se rapproche difficilement d'un bout de bois avec une mine de carbone.
Le saisissant et l'observant, il fut attiré ensuite par une tâche blanche rectangulaire à l'air froissé.
Une fois la page de papier vierge identifié en tant que telle, il appose son crayon sur celle-ci et se met à écrire.
Les secondes passent, les minutes défilent, les heures s'égrennent, devenant journées lassantes et semaines horrifiantes.
Tes dernières paroles me hantent encore, comme si tu les avaient susurrées à mon oreille avec toute l'horreur qu'elles t'inspiraient.
Je cherche comment m'en sortir, quelque chose à laquelle me raccrocher, qui me guérira des tourments dans lesquels tu m'as plongés délibérément.
Ta présence est devenue nulle, tes mots meurtrissants, ta langue autre fois si douce est devenue vipère et m'empoisonne de ton mal être.
Tu as chuté et entrainés avec toi avec un plaisir assassin.
Ton amour est devenu indifférence.
Ton indifférence est devenu ton moi.
Et ton moi est devenu ta principale préoccupation.
Tu t'es ris de moi, et maintenant, c'est moi qui me ris de toi.
Tu es devenu infâme d'indifférence.
Ton moi n'est plus rien de beau.
Ton amour est perverti par ce que tu es devenu.
Je t'ai fais chuter avec ce même plaisir assassin.
Tu empoisonneras de ta langue de vipère les douces.
Les meurtrissant de tes mots.
Et finiras nul de leur présence.
Tu chercheras comment t'en sortir, avec quelque chose à laquelle te raccrocher, pour te sortir de tes tourments dans lesquels tu as plongés.
Et là tu repenseras à ses paroles que tu as utilisés pour me hanter, les susurrants avec l'horreur dans laquelle tu vis.
Plus les semaines passeront, plus les jours défileront, égrenant des heures lassantes, et tes secondes de vie horrifiantes.
Et moi je rirais de toi, comme tu t'es ris de moi …
Un sourire sadique se dessine sur les lèvres de l'homme, sa poigne se raffermie sur le bout de bois, et le casse.
Dans un salon d'une villa de L.A, la pièce est ravagée, les meubles sans dessus-dessous, les bibelots cassaient, les coussins, fauteuils et canapés éventrés, vomissant leur mousse par terre.
Et on peut entendre un rire tonitruant dénué de joie y retentir.
Fin.