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 Sujet du message: [Finie] L'amour en chaussettes - Dwight Schultz/Dirk Benedict - G
MessagePosté: 11 Nov 2010 21:51 
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Je m'étais bien amusée à écrire un petit OS (qui avait connu une suite) sur ces deux-là. Même si ils ne rencontrent pas beaucoup de succès, je ne comptais pas bouder mon plaisir. :D

L'hiver est ma saison préférée ; mon envie de neige se fait sentir jusque dans mes écrits. :lol:
Pour les noms qui apparaissent dans la fic, Wendy est l'épouse de Dwight depuis le milieu des années '80.
Ava est leur fille unique.

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Dirk ne supportait pas la neige. C’était ainsi et c’était un fait. Grandir dans le Montana entre les flocons était une malchance, ne pas déménager quand il en avait eu les moyens relevait du masochisme. En réalité, il n’aurait vendu ce ranch et ses ares de prairies, de forêts pour rien au monde. Peu importe les tempêtes du mois de novembre, le gel, les températures hivernales, les hivers pluvieux et le soleil rare, ses deux pieds étaient ancrés dans cette terre et il ne pouvait rien y changer.

Plus que des briques, il avait ici entassés de nombreux souvenirs, heureux et moins heureux. Ses garçons n’avaient jamais connu d’autres demeures et Dirk ne souhaitait nullement les chambouler. Son divorce était suffisamment difficile à gérer. Affectivement, il ne s’en sortait pas si mal : son ex-femme lui avait laissé, sans trop rechigner, la garde de ses fils. Financièrement, elle ne comptait pas lâcher un seul morceau du contrat de mariage. A côté de cette déprimante nouvelle, les projets et contrats ne s’entassaient pas.

Ecroulé près du feu ouvert, il fit sauter les gonds de son coffret à cigare. Dégustant l’un d’entre eux à cru, il en respira l’odeur suave et l’alluma finalement, glissant la divine gourmandise entre ses lèvres. Séparés de ses garçons pour quatre jours, placés chez leur belle-mère, la maison lui semblait affreusement vide. En dehors du feu crépitant, du vent qui s’infiltrait par les volets et de sa respiration, aucun cri, aucune télévision restée allumée ne perturbait ce silence oppressant.

Les joues déformées d’un sourire, Dirk rêvassa à quelques pensées plus que secrètes, prêt à s’endormir dans le fauteuil de cuir, à l’assise confortable. Le cigare se consumait doucement sur le cendrier tandis que l’âtre dégageait une chaleur appréciable. La vie n’était peut-être pas des plus parfaites, mais elle restait précieuse aux yeux de l’acteur. Refoulant ses pensées sombres, il se détendit jusqu’à somnoler pour de bon.

Voguant entre deux limbes, plusieurs coups secs et brusques le tirèrent de ce demi-sommeil. Réajustant sa chemise froissée, il écrasa le mégot qui s’éternisait et s’avança, d’un pas rapide, vers la porte. Fouinant dans l’une des armoires, il saisit la clé et ouvrit la porte, prêt à refouler l’un ou l’autre mormon ou à indiquer le chemin à un pauvre bougre du New Jersey égaré dans les plaines du Montana.
Ecarquillant les yeux, Dirk éclata de rire devant la mine frigorifiée de son visiteur. Se tournant, prêt à fermer la porte, il prit finalement la parole :
- Tu t’es trompé de porte. Baltimore, c’est à deux mil miles sur ta gauche.

Réarrangeant ses cheveux plaqués par le vent, Dwight plaça un pied dans l’entrée, grelottant de froid, un bagage à la main :
- Tu me laisses entrer ? Je vais bientôt me transformer en bonhomme de neige.

Répondant par l’affirmative, Dirk s’écarta pour dégager le passage et s’empara de la valise de son ami, la déposant sur l’une des armoires de l’entrée. Toujours aussi ahuri, il se frotta à plusieurs reprises les yeux. A cette heure, Dwight aurait dû être dans l’une des banlieues du Maryland, au près de sa femme et de sa fille. Sa prochaine visite ne devait normalement pas avoir lieu avant Noël et les fêtes de fin d’année. L’interrogeant sur ce fait, le visiteur demeura silencieux durant quelques secondes, se débarrassant du bonnet, de la cagoule, des gants et des deux écharpes qui entouraient son cou. Ôtant son manteau, Dirk découvrit avec amusement que la carrure qu’il avait attribué à quelques écarts alimentaires ne tenait en réalité qu’aux multiples couches vêtements.

Injustement toujours aussi mince, Dwight se tenait devant lui, l’air quelque peu gêné :
- Je sais très bien que je m’impose et que tu as peut-être des trucs de prévu-
- Nada, niet, nothing. J’ai rien reçu de concret depuis deux mois, répliqua aussitôt Benedict, amer et découragé. Vas-y, désolé de t’avoir coupé la chique.
- Non, non, t’en fais pas. J’étais pas mal inquiet depuis ton dernier coup de fil. T’avais pas l’air bien et- En plus, il annonce de la neige pour tout le week-end. Et je sais à quel point que tu détestes ça. Puis, les p’tits sont pas là. Si je ne venais pas, tu allais te bourrer la gueule au whisky et fumer comme un pompier jusqu’à lundi. J’me trompe ? Alors, j’me disais que… euh, ma place était ici. Avec toi.

Dirk ne savait comment prendre le cheminement de son ami. Il n’avait pas tord, certes, et Dwight était la personne la plus honnête et désintéressée qu’il connaisse, mais son humeur maussade l’amenait à refuser l’apitoiement ou la moindre proposition d’aide. Ne perdant pas de vue la famille de son acolyte, il tâcha de s’adoucir un peu :
- Et Wendy ? Ava ? On en avait déjà discuté… Le mariage, c’est un truc sérieux. Qui coûte cher quand il capote, d’ailleurs, appuya évasivement Dirk avant de se reprendre. Tu n’as pas- Tu n’as plus à être là pour moi, comme avant. Elle est adorable, Dwight… Ne gâche pas ça. Tu es mieux avec elle.
- C’est avec son accord clair et net, Monsieur Dirk Benedict, franc et sincère, que je suis ici devant vous, mon cher, répliqua l’invité, pointant son index sur la poitrine de son hôte. Elle a bien vu que j’avais l’esprit ailleurs. Elle ne sait presque rien… Mais c’est suffisant pour qu’elle comprenne que j’ai besoin de m’assurer que tout va bien. Les femmes sont douées, quand même ?
- Pas la mienne, grimaça le plus aigri des deux.

Face à face dans le hall venteux, la scène n’avait rien de réjouissant. En venant à redouter que son ami ne souhaite nullement sa présence, Dwight s’assombrit brusquement. De son côté, Dirk regretta instantanément son hostilité. Tendant les bras, il étreignit finalement son complice. De la simple accolade amicale découla une étreinte plus affectueuse mais néanmoins retenue. Plus petit, Benedict posa son menton sur l’épaule de son ami :
- J’allais effectivement m’ouvrir une bouteille de Jack Daniel’s.
S’extirpant à contrecœur des bras qu’il aimait tant, Dirk s’empara de la valise de l’entrée et se dirigea vers la volée d’escalier, lui indiquant le salon d’un geste de la tête :
- File te mettre au chaud pendant que je porte tes affaires à l’étage.

Dwight demeura immobile dans le hall, les mains bleuies enfouies dans ses poches. Son ami disparût bientôt ; se dirigeant d’un pas lent vers la pièce entrouverte, il fût immédiatement soulagé par le feu qui brûlait vivement dans l’âtre. Avec tristesse, il remarqua que les photographies qui garnissaient autrefois la cheminée avaient été retirées. Le charmant mariage de son acolyte avait véritablement tourné au désastre. Incapable de s’en réjouir, il se souvint néanmoins avec amertume qu’il n’avait jamais réellement aimé cette femme dédaigneuse à son égard. Il l’avait supportée, à l’époque, pour ne pas froisser Dirk.

Les pas de ce-dernier résonnèrent dans le couloir. Refermant la porte derrière lui, il se déplaça à pas de loup à travers le salon et déposa une veste sur les épaules tremblotantes de Dwight.
- Je n’ai pas oublié que tu claquais déjà des dents en-dessous de vingt-cinq degrés, justifia Dirk en souriant, tapotant le dos de son comparse et reculant finalement, à regret.
- Tu peux crâner. J’ai connu un homme qui gardait ses chaussettes au lit… Heureusement, pas pour faire l’amour.
Les joues cramoisies, Benedict le pria de se taire. Dwight poussa le vice plus loin, plissant ses yeux sournoisement et se retenant d’éclater de rire :
- Quoi ? Tu les gardes même quand une charmante demoiselle s’amuse avec toi ?
- Hm, pas vraiment. Ca fait un petit moment que je n’ai plus assouplis mon matelas, si tu vois ce que je veux dire.

Un silence s’étira au gré des nouvelles, des commentaires et des questions. Se rapprochant petit à petit, Dwight en était venu à l’enlacer, appréciant chaque inspiration qui l’amenait à coller son torse contre le dos de son hôte. Cet homme lui manquait ; son visage sur l’oreiller, ses habitudes irritantes, son sourire maladroit lorsqu’il s’excusait et bien d’autres choses. Plus encore, leur alchimie lui semblait unique et irremplaçable. Qui, mieux que lui, aurait pu comprendre qu’un mariage l’attendait, ailleurs ? Qui l’aurait laissé partir, lui expliquant que c’était là le meilleur choix à faire ? Dirk avait souffert volontairement pour le rendre plus heureux encore. Et personne, dans le fond, ne s'était encore autant sacrifié pour lui.

Dehors, la tempête de neige avait redoublée d’intensité. Toujours immobiles, au milieu de la pièce, Dwight sourit secrètement. Posant sa main sur le poignet de son ami, ils s’écartèrent de quelques pas, se positionnant devant le feu. Lui demandant de s’asseoir, il remercia Dirk de s’être exécuté. Perplexe, ce-dernier le fixait, patientant pour une explication qui ne tarda pas :
- Tu n’as jamais aimé la neige ? Mais est-ce que tu l’as déjà regardée devant un feu, dans les bras d’un homme que-

Dwight chuta sur les derniers mots. Fallait-il employer le présent ou conjuguer au passé ? Sa voix se brisa légèrement tandis qu’il reprenait le cours de sa pensée :
- Que tu aimes peut-être toujours un peu ?

Assis en tailleurs, Dirk décroisa ses jambes, le regard fuyant le visage qu’il connaissait tant. Fallait-il mentir pour sauver les apparences ou confier la vérité devenue trop douloureuse ? Il était las de se poser des questions, d’évaluer l’impact de chacun de ses gestes. Jetant les dés, démissionnant de sa morale, il remit son sort entre les mains de son ami :
- Autant qu’au premier jour.

Dwight le regarda, ému. La flamme qui se ravivait petit à petit les réchauffa au moins autant que le feu qui vivotait dans la cheminée. Ces dix dernières années avaient été ridiculement courtes et longues à la fois. Chacun avait connu les joies de la paternité, les aléas et les bonheurs du mariage. Aucun n’avait prit le temps de souffler et de réfléchir à ce qu’ils avaient réellement perdus en se souhaitant mutuellement une bonne route : un compagnon privilégié et irremplaçable. Immobiles sur deux pavés du carrefour, ils leur restaient à tendre la main ou, dans le cas contraire, à reprendre leur chemin respectif.
- Dix années, c’est long. Il va falloir du temps pour me réhabituer à tes pires défauts, marmonna Dwight, captant enfin le regard serein de son comparse.
- Ouais, j’pense aussi. Et je vais devoir te cacher mes nouveaux cheveux gris, répliqua l’intéressé d’une voix presque gênée.

Rampant quelques centimètres pour jeter une nouvelle bûche dans l’âtre, Dirk tourna le dos à son invité l’espace de quelques instants. Lorsqu’il reprit sa position initiale, Dwight délaçait ses chaussures avec empressement. Tête baissée, œuvrant sur ses baskets, sa voix communiquait son entrain :
- Les vols sont annulés pour Baltimore. Jusqu’à ce dimanche. Tu détestes toujours autant la neige ?

Amusé, Dirk se précipita pour extirper ses jambes de son maudit Levi's, l’envoyant valser sur l’un des fauteuils de la pièce. Lorsqu’il posa ses doigts sur l’une de ses chaussettes, une main l’arrêta brusquement :
- Ca ne m’a jamais vraiment dérangé, lui confia Dwight, mutin.

Passant ses bras autour du cou de ce-dernier, Benedict s’y suspendit jusqu’à le faire basculer, ventre contre ventre, torse contre torse. Le visage à quelques centimètres du sien, Dirk se fit violence pour ne pas fondre sur les lèvres. Il repoussa ainsi l’inévitable de quelques secondes, un temps interminable mais nécessaire à cette déclaration de la plus haute importante :
- Ce qui se passe au Montana reste au Montana.

Bouche contre bouche, Dwight éprouva tout le mal du monde à ne pas sourire. Ce fichu Etat deviendrait bientôt sa destination de vacances numéro une, il n’avait aucun doute là-dessus.

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Je te rassure public, je suis une partisane du "pas de chaussettes au lit". J'espère que cet OS a pu réchauffé quelques esprits par ce temps bien froid ! ;)

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 Sujet du message: Re: L'amour en chaussettes - Dwight Schultz/Dirk Benedict -
MessagePosté: 11 Nov 2010 22:46 
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Tu n'as pas boudé ton plaisir et tu as bien fait. Pour ma part j'ai pris plaisir à lire ce merveilleux petit OS.

Autant l'avouer, avant de lire ta première fic les concernant, je n'aurais jamais imaginé ces deux-là ensemble (probablement des restes de mon innoncence d'enfant étant donné que j'ai grandi avec eux :lol: ) mais tu es parvenue à me convertir totalement. Ils sont tellement adorables et dorénavant je prends d'autant plus de plaisir à suivre les épisodes le l'Agence tous risques.

Pour en revenir à ta fic, moi aussi j'aime la neige (ouais, surtout quand je dois me lever à 6h du mat pour passer deux bonnes heures à déneiger mon allée pour pouvoir prendre ma voiture pour aller bosser :lol: ) et l'image de l'amour au coin du feu alors que la tempête fait rage à l'extérieur je trouve ça trop romantique. Clairement plus romantique que l'amour en chaussettes :mrgreen: Bref, autant dire que là j'adhère totalement.

A présent que j'ai plein de jolies images en tête les concernant tous les deux, il ne me reste qu'à te souhaiter beaucoup d'inspiration parce que c'est toujours un plaisir de lire ton travail, à plus forte raison sur ce genre de couples originaux. J'attends donc la prochaine avec impatience :wink:

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 Sujet du message: Re: L'amour en chaussettes - Dwight Schultz/Dirk Benedict -
MessagePosté: 12 Nov 2010 11:36 
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Oui, sûrement les restes de l'innocence. :lol: Jusqu'ici, je me contentais d'en lire, mais j'ai vraiment aimée leur dernière interview à la télévision Belge.
(Notamment, quand le présentateur leur demande si ils s'entendent encore bien, Dirk et Dwight répliquent : "We're never out of touch." :wouah: )
Je les trouve réellement touchant en interview ou dans les conférences, et légèrement nostalgiques. Ca donne pas mal d'idées. :P

Pour le fantasme au coin du feu, je me rends compte que j'ai oublié la peau de bête. Mais dans l'fond, c'est pas plus mal ainsi ! :lol: Merci beaucoup pour ce gentil commentaire qui, comme toujours, me donne envie de recommencer. :wink: Je verrai donc à l'avenir après mes quelques projets en cours. :D

Merci ! :heart:

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 Sujet du message: Re: L'amour en chaussettes - Dwight Schultz/Dirk Benedict -
MessagePosté: 14 Nov 2010 20:47 
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Bon, si je dis que j'adore, ça t'étonne ? Ils sont un des couples RPS les plus slashiquement improbables (vu qu'ils sont quand même moins sexy qu'à l'époque d'Agence Tous Risques) et malgré tout j'accroche à chaque fois que tu poses ta plume sur eux...

Mon passage préféré :
Citation:
- Non, non, t’en fais pas. J’étais pas mal inquiet depuis ton dernier coup de fil. T’avais pas l’air bien et- En plus, il annonce de la neige pour tout le week-end. Et je sais à quel point que tu détestes ça. Puis, les p’tits sont pas là. Si je ne venais pas, tu allais te bourrer la gueule au whisky et fumer comme un pompier jusqu’à lundi. J’me trompe ? Alors, j’me disais que… euh, ma place était ici. Avec toi.
Probablement une des plus belles et des plus touchantes déclarations que j'ai lu...

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La torture des pouffes c'est bien, celle des doudous c'est encore meilleur !

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 Sujet du message: Re: L'amour en chaussettes - Dwight Schultz/Dirk Benedict -
MessagePosté: 14 Nov 2010 21:04 
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Si tu dis que tu adores, ça ne m'étonne pas autant que ça me plait ! :lol: Ca me fait vraiment très, très plaisir.

Ils sont effectivement beaucoup moins sexy qu'à l'époque (Dwight était déjà d'un genre spécial, même si je le trouve craquant.) mais il y a réellement quelque chose qui se dégage des séances photos ou des interviews, une complicité qui me fait sourire à chaque fois.

Je crois que je recommencerai. C'est un peu comme un péché mignon, deux personnages que j'prends beaucoup de plaisir à mettre en scène. ;)

Merci pour le passage, j'ai bien aimé l'écrire ! Merci beaucoup :)

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 Sujet du message: Re: L'amour en chaussettes - Dwight Schultz/Dirk Benedict -
MessagePosté: 14 Nov 2010 21:36 
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Kami a écrit:
Dwight était déjà d'un genre spécial, même si je le trouve craquant.
J'avoue que je préfère Dirk ^^

Citation:
Je crois que je recommencerai. C'est un peu comme un péché mignon, deux personnages que j'prends beaucoup de plaisir à mettre en scène. ;)
C'est le genre de péché que j'encourage :wink:

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 Sujet du message: Re: L'amour en chaussettes - Dwight Schultz/Dirk Benedict -
MessagePosté: 20 Fév 2011 19:16 
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:wouah: :wouah: :wouah: trop mignon!

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