voici le debut de mon premier fic
gloup , je suis fan du Boss depuis de nombreuse années et de Slash aussi mon cerveau a fais le rapprochement. Donc je vous propose de lire le début de cette histoire qui promet des rebondissements. j'adore ce couple mais j'en aime bien d'autre sur lequel je posterai.
bonne lecture .
Tout est arrivé si vite, je n’ai pas réalisé dans tes yeux le pourquoi de cet éclat, le pourquoi de ses sourires, le pourquoi de ses silences, le pourquoi de la morsure de mon cœur, le pourquoi de cette eau salée aux coins de mes lèvres, le pourquoi des sanglots dans ma poitrine. L’air viens à me manquer et des points blancs me gâche la vue de ce ciel en colère. Le ciel gronde et la pluie ce fais plus violente alors que je reste là immobile allonge sur cette chaussé alors que j’entends des voix paniquées en arrière plan. Mais mon esprit s’est fermé à l’agitation comme mon cœur s’est brisé. Je n’ai pas vu la voiture arrivé, le vent fouettait mon visage glaçant mes lèvres, mes joues les lavant de tes lèvres. Je n’ai pas pu léviter, le choc a été si violant que mon vélo, ma monture depuis plus de 15 ans s’est brisée comme mon corps. Me voilà maintenant par terre ou mon sang s’écoule dans le ruisseau qu’a formé la pluie. Mes yeux me trahisses est ma vision se fait flou à cause la pluie ? Non se sont mes larmes. Moi Lance Armstrong sept fois vainqueur de l’épreuve la plus dure dans le monde du cyclisme, le Tour de France je pleure face a se froid qui m’emporte ? Non mes larmes sont du aux regrets, à l’échec.
Comment, moi qui était riche, célèbre et admiré, père de famille, aimer ou détester des foules je me retrouve ce soir face a mes peurs. Ma femme m’a demandé il y a quelques heures si j’étais heureux. Je lui ai répondu avec un nœud à la gorge que oui. Enfin j’avais tout pour l’être, tout sauf « toi ».
Ce nœud cela fais des années qu’il est en moi, depuis 10 ans, depuis nôtre rencontre. J’était à cette époque un homme nouveau après avoir vécu l’épreuve la plus dure de ma vie. Le cancer m’avait frappé moi à 21 ans qui était en pleine ascension de ma carrière. Après la douleur physique de la bataille contre le crabe qui avait emporte avec lui mon physique d’autant mais aussi mes certitudes, mon mentale de tête brulé. J’ai du relever la tête dépasser mes peurs de voir le cancer me refrapper avec une plus grande chance de m’emporter. A l’époque mes amis m’avaient entouré formant un seul tout autour de moi comme une famille. Après ma période de doute, de rémission, en octobre on a déclaré le cancer mort. J’allais pouvoir vivre, mais ma vie a connu son plus grand tournant lorsque je t’ai croisé pour la première fois dans ce restaurant.
Mon physique de nouveau coureur délesté de kilos était devenue une arme affuté pour la montagne, et ma quatrième place sur un grand tour sans préparation avait attiré ton intention. Après avoir était trahis par mon sponsor qui me croyais fini, toi tu as cru en moi est ma laisser une chance de faire mes preuves. Dans ton email tu me voyais vainqueur du Tour de France qui aurait pu prédire que j’en gagnerais sept. Ma vie se résume en ces sept victoires, les plus importantes qui m’ont demandés tant de sacrifice de souffrance durant les entrainements par tous temps, la pluie, la neige le froid mordant mes poumons, la chaleur des mois de juillets. Mais pour rien au monde je ne regrets cette souffrance qui m’a tant pris mais ma rapproché de toi. Toi, mon amis, mon coach, mon bourreaux. Ancien coureur cycliste belge directeur sportif d’équipe, aujourd'hui de l'équipe cycliste RadioShack, dans laquelle je cours. Toi qui es si maître de tes émotions, d’un calme nordique ton masque s’est brisé quand j’ai eu le courage de dénouer ce nœud encré en moi. Ce scandale a était de trop il m’a abimé une fois de plus me laissant seul trahis par mes amis d’autre fois, trahis par camarades de galère. On me disais dopé, une imposture depuis déjà le début de mes victoires mais aujourd’hui on voulait me blesser me nuire. Je les ai vu se liguer contre moi, sous entendre que je leur devais quelque chose. Il ne faut pas réfléchir longtemps pour savoir que mon succès avait fait ressortir la part d’ombre mauvaise de l’homme. L’argent que j’ai gagnais malgré mes actions sincères pour les autres comme pour combattre le cancer n’ont rien fait. Ils ont étaient encore plus nombreux a me demander de l’argent pour leur silence, un faux silence car je ne me suis jamais dopé. Moi l’accidenté de la vie dès ma naissance à Plano, une petite ville de Texas, naît d’une mère de 16 ans au courage et force incomparable qu’elle m’a transmit et d’un père absent, inexistant que je n’ai jamais connu. Mes victoires je l’ai tiennent, de la souffrance, de l’entraînement et de ma rage, mais aussi de toi de tes conseils et de l’équipe que tu as formée.
Alors que j’avais vécu un échec dans le dernier Tour de ma carrière on m’accusé encore d’avoir triché alors que j’étais le plus contrôlé au sien d’un peloton. Une fois rentrée dans ma patrie, les choses sont allé si vite, les visites des avocats et puis de la police fédérale, des auditions, les flashs de la presse qui cherché à me voir plier. Isolé malgré ma célébrité face au doute et à la peur de les voir me prendre tout, je t’ai appelé.
Malgré les heures de décalages tu as décroché je savais qu’il était tard mais à moi tu répond toujours. Alors en entendant ta voix endormis j’ai eu se sourire que j’ai toujours quand je te taquine.
« allo…Johan.. » me répond cette voix que je reconnaîtrai parmi tant d’autres qui résonne depuis tant d’année dans mon oreillette pendant les courses avec toujours autant de calme pour ne pas me stresser.
-« salut, désoler Johan je sais qu’il est tard pour un vieux comme toi … » lance je, content de moi.
« Lance, tu délire où quoi y a que toi pour m’appeler a cette heure et oser me traiter de vieux… tu va voir toi quand je te vois … » s’injure t’il avec une pointe d’amusement dans la voix.
-« Oulla tu calme, pense à te ménager.. » réplique ai-je avant de reprendre mon sérieux. « Non désoler vraiment je t’appel parce que…euh…je voulais te parler.. » soudain je me retrouve bien nerveux. « Tu sais, ici s’est si compliquer y a tous ces gens qui sont devant chez moi et les avocats je te raconte même pas le nombreux d’heures que je dois passer à la maison à entendre les conneries de Floyd ou de Greg qui passe en boucle sur les chaînes du câbles..Et y a aussi les enquêteurs qui cherchent je ne sais quoi et.. » Lance je d’un coup sans reprendre ma respiration.
« Stop calme toi » déclare t’il de sa voix aussi calme que d’habitude, il me connaît et réagit comme d’habitude. « Écoute je sais s’est dur, ils viennent aussi fouiner chez moi mais je me doute qu’ils sont plus acharnés pour toi. Ecoute toi et moi on connaît la vérité je sais ce que tu a fait et comment tu a gagné ces victoires. Crois moi tout ca va vite se calmer. L’USADA m’a appelé je vais devoir témoigner mais ne t’inquiet pas tu sais que je suis ton ami et moi je ne veux pas jouer au même jeu qu’eux. »
-« mais.. »
« Chut, ne t’inquiet pas je te dis, d’ailleurs on va se voir bientôt, on ma demander de venir dans deux jours mais la petite va rentrée de l’école après s’est les vacances donc ont a décidés de venir plutôt. D’ici lundi je serrai à Austin, on se verra et on pourra discuter mieux qu’au téléphone tu vois. » Termine t’il avec un soupire.
-« oui, ok d’accord.. » soufflais je avec un sourire à l’idée de le revoir.
« Je vais devoir te laisser, le vieux dois dormir pour prendre l’avions voir le Boss » déclare t’il avant de me saluer et de raccrocher.
Dans moins de deux jours il allait venir à Austin et j’allais pouvoir comme d’habitude apprécier sa présence même si elle ne devait être que d’amitié. Mais tout ne sais pas passer comme je l’avais prévu, tout a dérapé.
A suivre.
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Et puis le Boss quoi ! J'avoue que j'avais souvent pensé à ce couple, que je trouvais adorable lorsqu'ils étaient tous les deux ensembles. Et puis l'histoire est magnifique, le soupçon du dopage, la peur de Lance (sa solitude aussi). Je trouve qu'effectivement, c'était très beau à lire et puis Johan... Johan quoi ! Un mec tellement charmant 
